Carton d’invitation officiel de la Mairie du 6ème pour la soirée Cossery du 2 décembre 2013

Jean-Pierre Lecoq, Maire du 6ème arrondissement,

Olivier Passelecq, Adjoint au Maire chargé de la Culture

vous invitent à participer à la soirée en hommage à Albert Cossery

CouvCossery.jpgDans le cadre de la Semaine des Livres et des Libraires, avec la librairie La Hune.

Lundi 2 décembre 2013 à 18h30

Salon François Collet

Mairie du 6ème arrondissement, 78 rue Bonaparte, 75006 Paris

Entrée libre dans la limite des places disponibles

Renseignements 01 40 46 76 60 / http://www.mairie6.paris.fr / 6scope / Librairie La Hune 

En présence de Frédéric Andrau (auteur de Monsieur Albert – Cossery, une vie, éd. de Corlevour), Joëlle Losfeld (éditrice exclusive) et Monique Chaumette (comédienne et première épouse de Cossery).

Rencontre animée par Guilaine Depis

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Le Magazine « Notre 6ème » de novembre 2013 signale une soirée Cossery le 2 décembre 2013

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Lundi 2 décembre à 18h30


Hommage à Albert Cossery


Nouvelliste et romancier, Albert Cossery est décédé en 2008 à Paris, dans sa chambre de l’hôtel La Louisiane, à Saint-Germain-des-Prés où il vivait depuis plus de 60 ans. Cette soirée, organisée à l’occasion du centenaire de sa naissance, est dédiée à l’empreinte qu’il a laissée dans la vie littéraire et intellectuelle du 6ème arrondissement si cher à son coeur. 

 

Avec la librairie La Hune

Salon François Collet

En présence de Frédéric Andrau (auteur de Monsieur Albert – Cossery, une vie, éd. de Corlevour), Joëlle Losfeld (éditrice exclusive) et Monique Chaumette (comédienne et première épouse de Cossery). 

Rencontre animée par Guilaine Depis

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Le grand public lit aussi les Nouvelles bartylebyennes d’Emmanuel Steiner, qu’attendez-vous ?

couvsteiner.jpgFanny de Hello Coton a aussi remarqué les Nouvelles bartlebyennes : 

Ces Nouvelles bartlebyennes est un recueil de nouvelles d’un jeune écrivain, Emmanuel Steiner, dont c’est le premier livre. L’ouvrage est publié par une nouvelle maison d’édition, Chroniques du çà et là. Trois bonnes raisons donc de s’intéresser plus particulièrement à ce recueil pour la curieuse que je suis. Si le titre fait référence à la nouvelle de l’Américain Herman Melville intitulée « Bartleby », c’est plus du côté de la littérature sud-américaine (Borgès peut-être mais… Lire la suite ici)

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Patrick Poivre d’Arvor choisit « Marilyn Monroe, la Cicatrice » de Claude Delay comme portrait préféré dans la Revue L’Hémicycle (18 octobre 2013)

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L’Hémicycle

Un autre regard

Par Patrick Poivre d’Arvor

18 octobre 2013

UN PORTRAIT

Marilyn Monroe, la cicatrice de Claude Delay (Fayard)

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Tant et tant de livres écrits sur Marilyn Monroe. Tant et tant d’hommes bouleversés par son destin. Tant et tant de médecins se sont succédé à son chevet post mortem, pour lui prendre le pouls, examiner ses entrailles, radiographier son cœur chancelant et son âme flottante…

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On aurait bien aimé qu’ils fussent aussi nombreux de son vivant, pour l’empêcher de dériver jusqu’à ce fatal 4 août 1962. Mais fallait-il vraiment l’en empêcher ? Ses cicatrices de naissance étaient si géantes qu’immanquablement, elle se serait rapidement abîmée, dans les deux sens du terme. Et nous, égoïstement, nous n’aurions plus matière à fantasme, à mystère.

marilyncouv.jpgCette petite Norma Jeane est née illégitime à Los Angeles. Sa mère, Gladys, ne tardera pas à gagner l’asile. C’est là que trente-six ans plus tard, quand elle apprend la mort de sa fille – du moins celle que chacun, sauf elle, sait être sa fille –, elle dira : « Marilyn Monroe ? Connais pas, je n’en ai jamais entendu parler. » Quant à Arthur Miller, le dernier mari de Marilyn, celui qui avait écrit pour elle Les Misfits (Les Désaxés), il aura une réaction encore plus incroyable. Sonné par la nouvelle, quand on lui demande s’il sera présent aux obsèques, il répond : « Mais elle ne sera pas là ? », avant de se rendre compte de l’incongruité de sa question.

C’est le destin de cette femme que nous raconte merveilleusement bien Claude Delay, dans un ouvrage qui fera date, un demi-siècle après la mort de Marilyn. Quand elle était petite, pour elle, toutes les femmes étaient des mamans, tous les hommes étaient des papas… Normal, elle ne connaissait ni son père ni sa mère. Plus tard, tous les hommes qu’elle a aimés, ou épousés, comme Miller, comme Joe DiMaggio, elle les a appelés Papa. Sauf John Kennedy, qu’elle surnommait Prez, pour respecter la fonction… Ce sont tous ces chocs affectifs, ce « tremblement de mère », ce « tremblement de père » que nous décrit en détail Claude Delay. Et, à notre tour, nous ne sortons pas intacts de la lecture de son livre.

Patrick Poivre d’Arvor a déjà lu les « Nouvelles bartlebyennes » d’Emmanuel Steiner (4 octobre 2013, revue L’Hémicycle)

Pour en savoir davantage sur le livre que Patrick Poivre d’Arvor a aimé, rendez-vous mercredi 16 octobre de 18h30 à 20h30 à la grande soirée de lancement des Éditions des Chroniques du çà et là.

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UN AUTRE REGARD 

(site http://www.lhemicycle.com/)

PAR PATRICK POIVRE D’ARVOR

DES NOUVELLES

Nouvelles bartlebyennes, d’Emmanuel Steiner (Éditions des Chroniques du ça et là)

Capture d’écran 2013-10-06 à 22.52.40.pngIl y a tout juste 160 ans paraissait dans un magazine américain une étrange nouvelle venue d’ailleurs : Bartleby, signée du futur auteur de Moby Dick, Herman Melville. Il y racontait l’histoire d’une sorte de clerc de notaire, un scribe plus précisément, qui recopiait des textes selon son bon vouloir. Car il lui arrivait de refuser certains travaux et, dans ces cas-là, il contournait le problème en disant de manière obsessionnelle : « I would prefer not to ». Ce « Je préférerais ne pas », si délicieusement british, est devenu le symbole de la stratégie de fuite théorisée par certains penseurs modernes. Et Bartleby a durablement influencé les écrivains de l’absurde. De Enrique Vila-Matas à Philippe Delerm en passant par Daniel  Pennac, nombreux sont les auteurs à se référer à lui.

C’est encore le cas d’Emmanuel Steiner, très marqué par ailleurs par les haïkus et la culture japonaise. Pour son premier recueil, publié dans une toute nouvelle maison d’édition au nom très melvillien (Chroniques du ça et là), il nous décline une série de nouvelles où l’individu se retrouve nié, ou effacé, par la société. Comme Georges Perec l’avait naguère tenté avec une expérimentation typographique originale, Emmanuel Steiner a choisi de supprimer de son écriture les majuscules en début de paragraphe et les points à la fin. Ce n’est pas gênant pour le confort de lecture… On peut même juger que cela rend la nouvelle plus fluide. En revanche le titre de son recueil, trop plat, ne reflète pas assez la qualité de l’ensemble.

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Frédéric Bizard invité à débattre sur le PLFSS 2014 avec deux Sénateurs sur Public Sénat (12 novembre 2013)

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L’économiste de la santé Frédéric Bizard était invité à débattre sur Public Sénat mardi 12 novembre 2013, date où le PLFSS 2014 est arrivé au Sénat.

Rappelons qu’il est l’auteur de Complémentaires santé : le SCANDALE ! paru le 9 octobre aux Éditions Dunod.

Revoir le débat (18’00) ici

News du 13/11/2013 08:52 site Acuité (le portail des décideurs de l’optique)

PLFSS 2014 : vers un désengagement de l’Etat en faveur des complémentaires santé

Suite à la première journée d’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) devant le Sénat, la chaîne Public Sénat a invité sur le plateau de son émission 24h Sénat, Yves Daudigny, sénateur socialiste de l’Aisne et rapporteur du budget de la Sécu, Isabelle Pasquet, sénatrice communiste des Bouches-du-Rhône, et Frédéric Bizard, économiste de la santé auteur de « Complémentaires santé, le scandale ! » afin de débattre du PLFSS 2014 sur fond de contestation avec la manifestation des bonnets jaunes mutualistes.

Ces derniers, qui craignent de voir disparaître 40 000 emplois, étaient hier, mardi 12 novembre, devant le Sénat pour demander l’annulation d’un amendement du Gouvernement sur les closes de désignation des organismes complémentaires qui créent pour chaque entreprise d’une branche professionnelle, l’obligation de travailler avec l’Ocam choisi par les représentants de cette branche. 

Yves Daudigny a présenté le PLFSS 2014 en évoquant « des ajustements douloureux mais qui permettent le maintien de l’équité de notre système de protection sociale. » Il a estimé que « la situation actuelle est une situation de crise » et que pour y répondre, le PLFSS 2014 porte « au moins deux très fortes ambitions : d’abord de redresser les comptes de la Sécurité sociale (…) puis d’inscrire dans les faits une petite révolution avec la Stratégie nationale de santé : soins de proximité, évolution à l’hôpital et dans le circuit du médicament… ». 

Un optimisme que ne partage pas le Groupe communiste qui a prévu de tenir ce mercredi une conférence de presse au Sénat pour annoncer son intention de vote lors des séances publiques. Selon Isabelle Pasquet, « ce qui nous pose problème aujourd’hui, au-delà de certaines mesures défavorables qui ne sont pas supprimées à notre grand regret, comme les franchises médicales, ce sont les choix qui sont faits et qui ne nous conviennent pas parce qu’on s’oriente de plus en plus vers une fiscalisation. (…) » 

La sénatrice craint surtout que « l’Etat se désengage et fasse supporter aux complémentaires des charges qui devraient normalement être les siennes. Par exemple, la généralisation de la complémentaire santé qui a été décidé au travers de l’Ani (lire notre news du 24/10/2013). C’est d’autant plus injuste que du coup, les patrons sont exonérés des charges qui se rapportent aux complémentaires santé, mais par contre les salariés vont eux être imposés sur ces complémentaires sous couvert du fait que c’est un avantage en nature ». 

Dénonçant des économies de bouts de chandelles, Frédéric Bizard juge qu’« il y a toujours un manque de réformes structurelles du système de santé » qui explique que « le bateau prend l’eau de toute part ». Selon lui, la spécificité de ce PLFSS est de « nuire gravement à l’accessibilité financière de la classe moyenne à un certain nombre de soins. » Pour preuve, l’article 45 qui revient à « plafonner des contrats responsables », ce qu’il considère comme « un double cadeau pour les assureurs ». Il dit « comprendre à 200% les bonnets jaunes », car « on veut réintroduire une close de désignation qui supprime pour les entreprises le droit de choisir ! Et de manière sournoise en plus, puisque si vous ne choisissez pas la complémentaire décidée par la branche, vous devrez payer 20% de taxe sociale au lieu de 8%. » 

En face, Yves Daudigny a rappelé que « la dette sociale est la plus insupportable », et que « le Gouvernement porte avec beaucoup de force l’idée de réduction de ce déficit. En 2010, insiste-t-il, on comptait 28 milliards d’euros de déficit pour le régime général et le fond solidarité-vieillesse. L’objectif pour l’an prochain est d’atteindre moins de 13 milliards ! »

Le sénateur, qui rejette l’idée « d’un grand soir en matière de santé », préfère « procéder par négociations, dialogue et persuasion… » Mais il admet qu’avec ce projet, « il est effectivement demandé aux complémentaires de jouer un rôle dans la régulation ». Il pense que « ce n’est ni l’intérêt du malade, ni l’intérêt de l’Assurance maladie, ni celui des professionnels de santé de rembourser sans qu’il y ait de limites, qu’il s’agisse des dépassements d’honoraires des médecins, des produits de santé comme les lunettes ou d’autres appareillages… » 

Les dix règles d’or à connaître sur les complémentaires santé – Par frédéric Bizard, auteur de « Complémentaires santé : le SCANDALE ! » aux Éditions Dunod

bizardid.jpgL’économiste Frédéric Bizard, auteur de Complémentaires santé : le SCANDALE ! (paru le 9 octobre 2013 aux Éditions Dunod) vous livre les 10 règles d’or à connaître sur les complémentaires santé.

L’objectif de ce document est de donner des conseils TRÈS pratiques pour le grand public.

REGLE  N°1

Ne pas souscrire une complémentaire santé en pensant vous protéger « au cas où il vous arrive une maladie grave ».

Dans ce cas là, vous êtes remboursés à 100% par l’assurance maladie (pour toutes les dépenses liées à votre maladie grave). Nous sommes déjà TOUS couverts par l’assurance maladie qui nous protège des risques potentiellement les plus coûteux et rembourse plus de la moitié de vos soins courants.

 

REGLE N°2

Evaluez votre profil de risque santé sur les trois dernières années et l’année à venir. Qui (de l’assurance maladie et/ou de votre complémentaire)  vous a remboursé quoi et combien?

Prenez vos relevés (demandez les à votre assureur si besoin) envoyés par votre complémentaire ou l’assurance maladie et calculez votre reste à charge après remboursement par l’assurance maladie. Si ce reste à charge est inférieur à 500 euros par an, vous n’avez probablement pas besoin de souscrire une complémentaire.

 

REGLE N°3

Comparer sur les 3 dernières années le montant remboursé par votre complémentaire et la prime (le coût) de votre contrat. L’assurance maladie complémentaire a été créée comme une assurance FACULTATIVE car tout le monde n’a pas besoin d’une assurance santé complémentaire.

Si chaque année la perte financière (différence entre le coût et le montant remboursé) sur votre contrat est significative, soit vous avez un mauvais contrat (trop cher et pas adapté en termes de garanties) soit vous n’avez pas besoin de contrat.

 

REGLE N°4

En fonction de votre situation à la règle N°3, soit vous conservez votre contrat, soit vous le résiliez, soit vous le renégociez, soit vous changez d’assureur.

Avant de prendre une décision, prenez en compte des soins nouveaux que vous aurez éventuellement à subir dans les 12 prochains mois (orthodontie pour les enfants, prothèse dentaire, soins orthopédiques…). Faites vous aider de votre professionnel de santé pour cela si besoin.

 

REGLE N°5

Souscrire une complémentaire santé pour se protéger d’éventuels soins courants coûteux n’est pas utile. Vous pouvez souscrire à tout moment un contrat si votre consommation de soins  change.

Si vous  devez  vous faire opérer avec des compléments d’honoraires ou avoir des soins dentaires coûteux et vous n’avez pas de contrat en cours, vous pouvez souscrire une assurance l’année des soins. Les soins courants coûteux sont pour la plupart planifiables.

 

REGLE N°6

Risque d’hospitalisation : si en raison de votre âge ou de votre état de santé, vous voulez vous protégez d’un risque d’hospitalisation (complément d’honoraires, chambre particulière, forfait journalier), vous pouvez souscrire à un contrat couvrant uniquement le risque hospitalier (voir p75 du livre).

 

REGLE N°7

Exiger de votre assureur des tableaux de garanties en EUROS et non en pourcentages (de tarifs de remboursements de l’assurance maladie) et d’exclure la part remboursée par l’assurance maladie.

 

REGLE N°8

Choisir les contrats les plus flexibles : sans délai de carence (ou avec des délais courts), sans réseau de soins, avec une résiliation possible à la date anniversaire et non au 31 décembre de l’année d’après, sans plafonnement des remboursements.

 

REGLE N°9

Ne pas faire confiance aux comparateurs internet de complémentaires santé. Ces sites internet sont pour la plupart des sites de courtiers (d’agents commerciaux des assureurs) qui représentent quelques assureurs et qui mettent en avant les contrats les plus intéressants pour eux mais pas pour vous.

 

REGLE N°10

Mettre en concurrence au moins TROIS assureurs différents sur la base d’une simulation de votre dépense de soins annuelle.

Exigez que les trois assureurs vous donnent par écrit le montant en euros remboursé par la complémentaire sur une liste de soins que vous leur donnez. Choisir les trois assureurs en vous renseignant autour de vous et en interrogeant votre assureur habituel (habitation, voiture) si vous en êtes satisfaits.

Téléchargez le document ici: LessentieldesCS-1

Frédéric BIZARD 

Le Courrier de l’Ouest annonce une interview de Frédéric Bizard (11 novembre 2013)

Deux-Sèvres. Un livre sans concession sur les complémentaires santé

Un Niortais, Frédéric Bizard, économiste de la santé et maître de conférences à Sciences Po Paris, vient de publier un livre, « Complémentaires santé : le scandale !« , dans lequel il essaie de guider son lecteur dans ce qu’il baptise « les dysfonctionnements d’un secteur économique ». Il explique : « Dans cet ouvrage, j’ai voulu procéder à l’analyse du financement de notre système de santé et plus précisément au rôle des complémentaires santé, ce qui n’avait jamais été vraiment réalisé ».

A lire dans le Courrier de l’Ouest de ce mardi, édition Deux-Sèvres. (lundi 11 novembre 2013)

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Planning du PLFSS qui arrive au Sénat le 12 novembre 2013

Recommandation de lecture : Complémentaires santé : le SCANDALE ! de Frédéric BIZARD paru le 9 octobre 2013 aux Éditions DUNOD.

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Le PLFSS  passe mardi 12 novembre au Sénat, voici le planning :

  • 12 novembre 2013 : 

    Examen du PLFSS au Sénat

  • 25 novembre 2013 : 

    Nouvel examen du PLFSS modifié à l’Assemblée nationale

  • 28 novembre 2013 : 

    Nouvel examen du PLFSS modifié au Sénat

  • 3 décembre 2013 : 

    Examen définitif du PLFSS à l’Assemblée nationale

  • mi-décembre 2013 : Publication au Journal officiel

Livres Hebdo annonce la naissance des Éditions des Chroniques du çà et là (Catherine Andreucci, 11 octobre 2013)

securedownload.jpeglivre-hebdo.jpgLivres Hebdo, n° 969 du 11 octobre 2013

Nouvel éditeur

De la revue à la maison d’édition

Dans le prolongement de la revue littéraire qu’il a fondée en 2011, Philippe Barrot crée les éditions du même nom, Chroniques du çà et là, dont les deux premiers titres paraissent le 14 octobre : Nouvelles bartlebyennes d’Emmanuel Steiner (96 pages, 10 euros) et Connaître et apprécier de Guillermo de La Roca (160 pages, 12 euros). 

Des formes courtes seront privilégiées dans une ligne éditoriale qui s’ouvrira aussi aux romans et aux essais, tout en soignant « la matérialité du livre ». 4 à 6 titres par an sont prévus (autodiffusion et autodistribution). 

Ancien typographe qui a longtemps réalisé du suivi éditorial et de la préparation de copie chez Flammarion, Robert Laffont et Odile Jacob, Philippe Barrot a aussi été membre du comité de rédaction de La Quinzaine littéraire pendant dix ans auprès de Maurice Nadeau qui a publié ses deux romans High light cigarettes (1992) et Victoria et Cie (2000).

Catherine Andreucci