« La face cachée de la justice » de Maître Gérald Pandelon

couv pandelon un.jpgSavez-vous que vous pouvez reconnaître votre responsabilité pénale par l’aveu sans encourir de sanctions pénales ?

Savez-vous que l’on peut avoir raison en droit et perdre un procès ?

Savez-vous que le juge-commissaire au sein du Tribunal de commerce n’est pas commissaire ?

Savez-vous qu’il n’existe pas une seule justice européenne ?

Savez-vous qu’il existe des « ravisseurs fiscaux », particuliers qui moyennant finances informent le fisc des agissements de contribuables indisciplinés ?

Savez-vous que la fiscalité est susceptible de provoquer certaines maladies ?

Savez-vous que le conseil des prud’hommes est constitué en quantité égale d’élus employeurs et d’élus salariés ?

Pour parler d’un monde complexe, on ne compte plus les idées reçues ! Elles traînent sur internet, dans les médias.

En expert reconnu, Maître Pandelon fait le point et distingue, avec clarté et pertinence, le vrai du faux.

Maître Gérald Pandelon, universitaire et avocat à la cour d’appel de Paris, docteur en droit privé-sciences criminelles et docteur en sciences politiques, diplômé de Sciences Po, est également chargé d’enseignement.

Il est l’auteur de L’aveu en matière pénale (thèse en sciences criminelles, 2012) aux Editions Valensin, et d’une Esquisse d’une théorie politique du mensonge (thèse en sciences politiques, 2001), parue chez L.G.D.J.

Il rédige régulièrement des articles concernant la justice pénale sur le site Atlantico et défend des dossiers mêlant la matière pénale à la sphère politique ou au monde des affaires.

 

Grande soirée sur Fugato avec André Lorant, François Vallejo et André Vanoncini à l’Institut hongrois

invitlorant.pngà l’Institut hongrois

à 19 h précises

92 rue Bonaparte 75006 Paris

Rencontre suivie d’un cocktail dînatoire

Mercredi 11 octobre 2017

Une table ronde autour de Fugato, opéra-roman d’André Lorant aura lieu à l’Institut hongrois.
Avec la participation du romancier François Vallejo, d’André Vanoncini et de l’auteur. Un cocktail clôturera la soirée. Vous y êtes cordialement invité.

À l’issue de la séance,

André Lorant

dédicacera son livre

Fugato

(2017, Cohen&Cohen éditeurs)

 

 

Fugato, un roman d’amour, de musique et d’Italie – érotisme et opéra

  • andre-lorant-fugato.jpg« Un de mes coups de cœur » Patrick Poivre d’Arvor (Radio Classique « L’invité culture » 23/02/17)
  • « Une œuvre vibrante d’intensité musicale et visuelle » André Vanoncini, professeur à l’Université de Bâle
  • « Fugato…tellement envoûtant, dramatique et impressionnant » Carine Gutlerner, pianiste
  • « Un vrai plaisir ! Comment aimer ce que nous aimons sans en être prisonnier… » Francis Vallejo, romancier

Résumé : Lorsque Carlo, metteur en scène d’opéra à la soixantaine élégante arrive à Lecce, il rencontre Giovanna, une jeune violoniste virtuose, dont il tombe amoureux. Il la fait admettre au Mahler Chamber Orchestra. En attendant le départ de sa belle maîtresse pour la Cité des Doges, Carlo l’entraîne pour un long périple à travers toute l’Europe. A Venise, Giovanna, dans des lettres émouvantes – l’une des plus remarquables originalités du livre – lui fait part de sa sensation d’un amour qui se meurt. Le couple de Carlo et de Giovanna pourra t-il résister à la différence d’âge et aux tourments de la jeune fille qui ne supporte pas « le regard des autres » ? Fugato explore une zone obscure dans laquelle se débattent les personnages de ce roman d’amour. Leur histoire sublime, tendre et torride, tel un livret d’opéra moderne, frôle des sujets rarement traités par l’écriture contemporaine.

C’est l’histoire d’une jeune femme d’origine coréenne…

couv tumuli1.jpgC’est l’histoire d’une jeune femme d’origine coréenne adoptée en France et qui retrouve son lieu de naissance. L’histoire se passe en Corée. Comme elle est photographe, c’est d’abord un travail photographique.

Ensuite, elle a mené en parallèle des entretiens avec le dramaturge de l’Opéra de Paris Simon Hatab. Il y a donc également tout un travail d’écriture sur le questionnement des origines. 

 

Concernant le portfolio, il raconte l’histoire d’une petite ville de Corée du nord qui s’appelle Gyeongju, lieu de naissance de la photographe. Cette histoire est concentrée sur une journée de 24 heures et découpée comme le synopsis d’un film.

Le point de départ est un magasin de vaisselle qui était l’ancienne maison d’une sage femme – c’est là que la photographe est née – puis chaque personne nous conduit à une autre. Autant de rencontres, autant de manières de raconter la ville de Gyeongju et pour la photographe de renaître.

Note d’intention de la photographe Elisa Haberer

18402881_304478329966296_1955355994418478524_n.jpgÉlisa Haberer est une photographe française d’origine coréenne de 39 ans. Etudiante en photographie, elle dédie son travail aux codes de représentation de la photographie de famille et pose la question de la trace et de la narration par l’image. Ces interrogations préfigurent les thématiques constituantes de son travail actuel. Sa photographie est fondamen- talement axée sur les histoires humaines et l’exercice du portrait. En 2009, sa série sur la représentation de soi “Moi, par l’Au- tre” est exposée à Pékin où elle a vécu 7 ans. En 2013, elle tourne son premier film, “My Lucky Bird”. En 2014, de retour en Corée du Sud, elle réalise un projet pho- tographique sur les traces de ses origines qui devient “Les Couleurs des tumuli”. www.elisahaberer.com

Note d’intention : À la genèse du livre “Les Couleurs” des tumuli il y a 3 voyages successifs dans la petite ville de Gyeongju, en Corée du sud, qui est aussi la ville de ma naissance. (août 2015, février 2015, juillet 2015)

L’idée était de trouver une manière pour photographier ce lieu avec le souci de donner à voir les gens et la ville afin de pouvoir créer un récit plus distancié qu’un simple objet autobiographique. Je me suis beaucoup interrogée sur la place à donner et à laisser à cette dimension autobiographique et à la manière de la mettre à distance. Ces interrogations ont accompagné les 3 voyages, elles ont donné lieu à des tentatives de formes et ont fait évolué le propos. Lors de mes passages à Séoul j’ai échangé avec Benjamin Joineau que je connaissais un peu. Ce n’est qu’à la fin de la réalisation de ma maquette de présentation –dont celle du livre diffère peu au finalP que je lui ai fait parvenir mon travail, pour partager avec lui l’objet qui avait été le sujet de nos échanges et non une demande précise d’édition d’un livre. Je ne crois pas que tous les travaux photographiques peuvent trouver une finalité dans la forme du livre. Mais au printemps 2016, Benjamin m’a proposé d’éditer ce portfolio à l’Atelier des Cahiers, il est alors devenu évident que ce projet, qui relevait de quelque chose du journal intime, pouvait trouver dans le livre une forme pour être présenté.

Le texte est venu dans un second temps. Pendant ces trois voyages j’ai échangé 5P6 fois avec Simon Hatab qui lors de notre première rencontre m’a proposé d’échanger sur ce projet photographique en devenir. Il enregistrait mes propos. Propos en lien avec le projet et me posait des questions sur la photographie. J’ignorais ce que nous allions en faire et lui aussi. Nous n’avions pas de projet de livre à ce moment là. Nous ne nous sommes pas vus pendant une année, l’année pendant laquelle je suis revenue de mon troisième voyage et ai travaillé sur la forme à donner au travail photographique. Suite à la proposition de Benjamin Joineau, j’ai informé Simon Hatab de la possibilité de faire un livre. Je lui ai proposé que le texte ait un traitement qui ne soit pas illustratif, redondant par rapport à la photographie, qu’il ne soit pas un accompagnement ou un contrepoint à l’image mais qu’il ait une vraie part en tant que texte à l’intérieur du projet.

Il a accepté. Nous avons repris les entretiens et Simon a commencé parallèelement à écrire en septembre 2017. Il m’envoyait des paragraphes à lire et je lui faisais part de mes impressions. La difficulté était de trouver le ton et surtout la place de l’auteur du texte dans ce dispositif: écrire à partir d’enregistrements sans les trahir tout en ayant un propos. La présence du texte raconté par cette voix extérieure participe du processus de distanciation qui a accompagné la mise en place du travail photographique.

Un récit photographique entre Paris et Gyeongju (éditions l’Atelier des Cahiers)

couv tumuli1.jpgQuatrième de couverture :

Une photographe d’origine coréenne revient dans la ville où elle est née, à la découverte de ses habitants et de ses quartiers. Un récit à deux voix à mi-chemin entre le carnet de voyage et le journal de création où l’expérience du proche et du lointain nourrit une réflexion sur notre rapport au temps et la construction de notre identité.