Antoinette Fouque écrit sur la peintre Catherine Lopes-Curval… (en 2002)

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Texte (extrait) recopié du catalogue des trente ans des Editions des femmes :
 
Catherine Lopes-Curval est née dans la seconde moitié du XXème siècle. La Mise aux Carreaux I, c’est une course aux trésors des signifiants ; c’est une balade dans la mémoire planétaire de l’artiste, et, même geste, cent arrêts sur images aux écrans de nos rêves. Explosion fixe de la beauté.
Autant de richesses ne vont pas, c’est logique, sans produire quelques hasards objectifs, rencontres improbables mais absolument nécessaires. Par hasard, à Beaubourg, la séquence chromatique d’Aurélie Nemours a été accrochée à la suite de plusieurs Hommages au carré d’Albers. Par hasard, au festival de Cannes, le 26 mai 2002, Julie Lopes-Curval, la fille au regard bleu-vert de Catherine, a reçu la Caméra d’or pour son premier long-métrage Bord de mer.
On s’y retrouve. De rencontre en maison, d’hospitalité en passion, d’oeuvre vivante en génération, non sans passeur, de mère en fille, de femme en femme, à l’infini…
à l’occasion d’une donation de la Fondation SCALER au Centre Pompidou, Antoinette Fouque a proposé de retenir les oeuvres de trois femmes artistes : Aurélie Nemours, Geneviève Asse et Catherine Lopes-Curval.
Antoinette Fouque, Boulouris, le 30 mai 2002

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