Michel Assenmaker sur Françoise Collin

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Lettre ouverte
Michel Assenmaker
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« Crâne et ciel“Je sais que c’est le plus haut livre de notre époque” »“On dirait une ville” de Françoise Collin
quel du désir ou de l’absence de désir restitue l’aube. Quel accompagne en piété la passante. Quel la délivre. Quel fait retour dans une phrase et continue la phrase jusqu’au bout dans sa robe d’Iphigénie. Quel la soutient pour le troisième fois et toutes les fois

au moment où sur une fenêtre un rideau s’ouvre, sans que l’on sache ni le spectacle ni la scène, dans l’enclos répété des murs

un peu de poussière aux doigts

p.46, des femmes, Antoinette Fouque, 2008

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