Présentation de l’auteure de Méthana

Biographie de Steff ROSY du Roman METHANA

La quarantaine, Steff Rosy vit à Saint-Cézaire-sur-Siagne, un village pittoresque de l’arrière-pays Grassois. Entouré de nature verdoyante et apaisante propice à l’écriture. Forte d’une expérience en tant que chef d’entreprise dans le secteur médico-social, elle est d’une grande compassion et a le sens des responsabilités. Grande romantique dans l’âme, joyeuse, dynamique et tenace, son premier roman Méthana, en est son parfait reflet.

Pourquoi ce livre ?

Elle vivait une vie qui lui paraissait parfaite malgré le stress quotidien, quand soudain on lui annonça être atteinte d’un cancer… À ce moment-là, sa vie s’écroule.

C’est ce qu’elle croyait au début… Sa nature optimiste, son fort caractère, sa famille, ses amis l’aideront à surmonter l’épreuve, mais surtout, l’aide de son mari et de son amie Virginie Maury, guérisseuse d’âmes et énergéticienne, qui l’accompagnent pendant son parcours tumultueux vers la guérison. Grâce à Virginie, elle comprend que malgré cette situation douloureuse, il peut y avoir du positif dans chaque leçon de vie.

À force de travailler sur elle-même, Steff Rosy comprit qu’en fait, elle n’était pas alignée avec son âme… Elle exerçait un travail qui aidait plus les autres en s’oubliant elle-même, elle voulait avoir des enfants à tout prix… et les voyants de son corps ont commencé à passer au rouge.

En réalité, elle s’est rendu compte que vouloir faire comme tout le monde pour être intégrée dans notre société (enfant, mariage, maison, réussite professionnelle)… n’étaient pas sa vocation d’âme.

Mais est-ce vraiment ce que sa petite voix intérieure voulait ? Ce que son âme criait ? Et bien « NON ».

Finalement, le mal qui la rongeait, son cancer, a sauvé son âme. Lui permettant de comprendre ce qu’elle ne voulait plus, ce qu’elle rêvait de faire et surtout qui elle était.

Elle sortira plus forte de la maladie et en paix avec elle-même.

Pour l’aider à combattre le cancer et à s’échapper du quotidien, Steff Rosy commença à écrire, un chapitre, puis deux, puis trois… Plus elle avançait dans les traitements lourds, la privant de liberté, l’affaiblissant à tel point qu’elle crût en mourir, plus Steff se raccrochait à son histoire.

Méthana était sa bouffée d’oxygène, sa thérapie. Elle s’évadait de son quotidien et y mettait toutes ses tripes.

Au fil de l’écriture, Steff évoluait en conscience, grâce à sa maladie et à Méthana pour se diriger vers les choses essentielles de la Vie.

Le plus important face à l’épreuve, c’est comment on la surmonte et la leçon qu’on en a tirée.

Écoutez votre âme intérieure afin de trouver l’Amour, la Bienveillance et la Paix.

Qui est Steff Rosy aujourd’hui ? Une romancière, une éveilleuse de conscience…

Parution d’un livre sur l’enseignement professionnel

La Balustrade de Guilaine Depis vous propose pour la période de février 2021/juillet 2021:
(pour demander un livre, merci d’adresser un mail à guilaine_depis@yahoo.com et pour interviewer l’auteure sms 06 84 36 31 85)
 
L’Enseignement professionnel entre promotion et relégation – Une approche sociologique
aux Editions Académia. Parution février 2021
Pour tous publics : étudiants, formateurs, enseignants-chercheurs ou simplement impliqués et/ou intéressés par l’enseignement professionnel.
 
Crées en 1987, les éditions Academia, spécialisées dans les matières universitaires, sciences humaines en tête, s’adressent tant à des publics professionnels qu’aux étudiants de l’enseignement supérieur. 
 
Docteure en Sciences de l’Education, auteure d’une thèse sur l’enseignement professionnel, chercheure au laboratoire CIRCEFT-ESCOL (Centre Interdisciplinaire de Recherche Culture Education Formation Travail – Education et Scolarisation) de Paris 8, Laure Minassian exerce actuellement la fonction d’ingénieure de recherches à la Direction de la Formation de l’Université de Nantes.
 
En cette période de crise Covid, sommes-nous au crépuscule d’un enseignement professionnel dont chaque ministre appelle pourtant la revalorisation ?
 
– Quelle est la fonction sociale de l’enseignement professionnel ? 
– Et d’ailleurs, de quelle voie professionnelle parlons-nous ? De l’initiale, de la scolaire (avec périodes en entreprise obligatoires et contrôles en cours de formation), du CAP, du BAC Pro, du BTS, de celle qui tend vers les diplômes du supérieur ou de l’apprentissage qui peut aller du CAP au Bac + 5 et donc qui regroupe tant de profils variés ?
 
* La récente réforme du bac pro en France ne risque t-elle pas de refermer la porte entrebâillée vers l’enseignement supérieur (la sortie du cycle court) qui favorisait la promotion sociale ? Pour échapper à cette perspective, devons-nous envier la Suisse, le Luxembourg, la Belgique, l’Allemagne ou encore le Québec et s’inspirer de leurs modèles ?
 
* Les élèves sont-ils spécifiques selon les catégories du diplôme dispensé, les filières de formation considérées, le genre, l’ethnicité, la catégorie sociale, les territoires ? 
Les prérequis attendus et pas toujours maîtrisés par les élèves concourent aux inégalités.
 
* Un système qui favorise le recrutement d’enseignants peu qualifiés (se pose alors la question d’une éducation NATIONALE): c’est la conséquence de la formation professionnelle déléguée aux entreprises privées aux dépens des lycées professionnels et des CFA publics.
 
*L’ouvrage rend compte du devenir d’anciens élèves (enquêtes, témoignages etc) : Les apprentis qui poursuivent dans leur voie ont construit un sens de l’engagement professionnel très profond qui relève moins de l’école que deleur capacité à se saisir des ressources qui s’offrent à eux.
 

Quatrième de couverture : Soupçonnons-nous toutes les facettes de l’enseignement professionnel ? Quelle est son histoire en France, en Europe et au Québec ? Qu’apprennent les élèves et que deviennent-ils ? Par une approche ouverte aux comparaisons internationales jusqu’aux réalités concrètes des élèves, l’ouvrage discute cet enseignement sous l’angle des inégalités. Il comprend un état des lieux clair et concis de la recherche, ainsi qu’une série d’enquêtes de l’auteure sur les apprentissages en classe, le choix du stage, le devenir des élèves.

Les analyses reposent sur une comparaison entre les lycéens professionnels et les apprentis, pris entre relégation et pro- motion. L’ouvrage est construit afin que les lecteurs puissent porter l’attention sur l’un ou l’autre des chapitres proposés selon leurs besoins, qu’ils soient étudiants, formateurs, en- seignants-chercheurs ou plus largement impliqués et/ou intéressés par l’enseignement professionnel.

François Martini lecteur de Philippe Olagnier

Vikings

Les vikings ne sont pas le sujet le mieux traité en littérature romanesque. C’est dommage car leur histoire est riche et méconnue. Plus souvent marchands que guerriers, ils ont pénétré l’Europe, allant jusqu’à créer des villes comme Kiev.

Les Bras d’Odin, de Philippe Olagnier, nous emmène au dixième siècle entre des fjords de ce que l’on pense être la Norvège, l’Angleterre et la Normandie. Le roman se déroule pendant une campagne visant autant à fédérer des tribus qu’à gagner des marchés, comme on dirait aujourd’hui.


Le roman, nous dit son auteur, est très documenté, et il s’intéresse plus aux mœurs des vikings qu’aux batailles et faits de guerre. Je le crois volontiers car les détails abondent et les commentaires sont explicites. Nous assistons à des joutes, des négociations, des pactes et autre événements politiques, souvent liés à la nécessité d’unir les clans, mais aussi à l’organisation d’événements importants comme la mort d’un chef. Peu de descriptions à l’ancienne, l’auteur va à l’essentiel : les négociations entre chefs de clans, et quelques leçons d’histoire bienvenues.



Les personnages sont nombreux, passent souvent sans s’attarder, et l’auteur rend assez bien une ambiance de désordre de fin de règne, qui se précise au cours du récit par la présence de plus en plus importante de l’Église et de ses représentants. C’est le moment crucial de l’histoire du basculement entre paganisme et christianisme.



L’intérêt est soutenu, d’autant que l’auteur nous emmène au Valhalla, en compagnie d’Odin et de quelques valkyries, mais cela manque un peu d’intrigue structurée. Nous sommes plus du côté de la philosophie que de l’épopée. Quelques figures de chefs sont décrites dans une certaine complexité, ce qui nous permet de nous y attacher.

J’ai noté quelques erreurs de détails qui, sans nuire au récit, font sourire.


Le style de Philippe Olagnier est soigné, un peu proustien parfois, il n’hésite pas à ciseler des phrases complexes, précieuses, qui donnent un charme certain au récit. Il faut néanmoins, tant le style est riche, relire parfois un paragraphe.



Une curiosité intéressante, agréable à lire, et instructive.


Message de la modération : Edition à compte d’auteur

Son énergéticienne parle de Steff Rosy

Ma rencontre avec Steff

Initiative terre d’azur Grasse accompagne les entrepreneurs de manière solidaire.  C’est lors d’un atelier chez “ITA” que j’ai rencontré Steff la première fois, étant toutes les deux “cheffes” d’entreprise, (Steff était créatrice d’une structure d’aide à la personne à domicile)

Comme “par hasard” nous nous sommes retrouvées côte à côte, lors de la présentation de nos entreprises ; nous avons toutes deux eu envie d’en connaître davantage l’une sur l’autre.

Ma première impression en rencontrant cette femme : impressionnante, charismatique, déterminée et dotée d’une prestance incroyable. Tout le charme d’une femme et la force d’une visionnaire, “une main de fer dans un gant de velours”.

Nous nous sommes revues lors d’un rendez-vous à mon cabinet. Plusieurs choses se sont révélées lors de cette séance, en plus d’une sensation d’avoir retrouvé une vieille amie… Puis il y a eu cette terrible nouvelle : le cancer. 

L’annonce de son cancer a amené un tournant dans sa vie. Cela l’a mise face à des choix, ceux dont il y a des conséquences, un choix pas facile à faire. Steff n’a jamais baissé les bras, elle a affronté la maladie, comme toutes les épreuves de sa vie, avec détermination. Elle avait compris que sa « mal à dit » était son ultimatum.

 Je l’ai accompagnée à toutes les séances de chimio, elle a beaucoup travaillé sur elle-même, elle s’est autorisée à s’ouvrir à autre chose, à accepter un nouveau tournant sans savoir où cela la mènerait. C’est une femme d’instinct et elle l’a écouté.

Steff est une femme magnifique dans tous les sens. Elle est courageuse, déterminée, forte et sensible. Elle est aussi impressionnante qu’attachante, toujours tournée vers l’humain, sensible à beaucoup de causes.

L’écriture comme thérapie ? Oui bien sûr mais pas que… Méthana traduit tout ce que représente Steff une super héroïne au Grand coeur…

Virginie MAURY
Psycho-Energéticienne

RESSOURCESémoi

www.virginiemaury.fr

Le Billet des Arts salue Philippe Enquin

Le Billet des Arts salue Philippe Enquin

Le livre du confiné

De mon balcon

Pour un terrien, un peu romantique, le mot «balcon» évoque Roméo et Juliette, rêveries de sérénades et peut-être d’échelles de soie lancées dans la nuit.

Philippe Enquin a eu la riche idée de choisir le confinement comme décor de son idée première, photographier ce qu’il voit de son balcon, quand cette épidémie tourmente la planète.

Ses photos ne sont pas dans l’air du temps, elles sont dans le souffle de l’instant, quand la vie ne se résigne pas à baisser les bras, quand l’humour devient un acte de courage, quand les conversations du café du commerce n’ont même plus le charme des comptoirs devenus interdits. C’est aussi quand le regard bienveillant devient la plus belle arme pour résister à la fatalité, à la morosité, au défaitisme, à l’accablement propagé par tous les robinets anxiogènes des chaînes d’information.

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Un pas de côté, un regard en coin, un sourire de travers, «Il faudrait essayer d’être heureux, ne serait-ce que pour donner l’exemple». Sur un nombre de 3000 photos, il nous donne à voir 140 de celles-ci qui illustrent, grâce à la complicité volontaires ou non de ses modèles, des étincelles d’humanité qu’il tente de saisir dans ce quartier de Paris. Philippe Enquin saisit et immortalise la bienveillance, les petits gestes du quotidien. Ce sont des documents précieux, témoignages irremplaçables, d’un guetteur bienveillant dans ces rues désertes, des sourires complices, de personnages étonnants, de conversations entre voisins.

C’est ainsi qu’il a pérennisé ces chroniques dans ce livre, qui partage son regard avec ceux qui ont vécu le confinement dans la même configuration que lui. Il met en avant ceux qui l’ont vécu dans une situation difficile. C’est un témoignage humaniste de ce printemps exceptionnel qui force l’admiration. J.C.S.

En vente dans toutes les librairies, FNac, sur Amazon, etc.

voir le site www.philippeenquin.net/livre/

Témoignages de personnes coachées par Anne-Cécile Hartemann

Témoignages à propos d’Anne-Cécile Hartemann

YOGA :

« Le confinement m’a réservé des surprises, l’une d’elle était de retrouver Anne Cécile, que j’ai connue à Montréal en 2005, à travers ses sessions de cours de yoga en zoom.

C’est devenu un rendez-vous hebdomadaire attendu ! Anne Cécile fait fi de la distance que peut imposer l’écran et le différé (ses cours étaient enregistrés afin que chacun en France, au Québec ou ailleurs dans le monde puisse faire le cours à sa guise) et parvient à amener beaucoup de chaleur, de présence et de générosité.

Chaque cours s’articule autour d’un thème, inspiré d’une expérience, d’une lecture, d’une discussion qu’elle nous partage avec souvent des liens vers des textes ou des podcasts. Ces thèmes font tous écho d’une manière ou d’une autre à chacun : la liberté, l’estime de soi, la gratitude…. et si la structure du cours de hatha yoga reste classique, les exercices de respiration, les variations des salutations, les postures d’équilibres sont toujours rattachées et pensées autour de ce thème. Elle propose systématiquement différentes variations pour une même posture ce qui permet à chacun de suivre le cours quel que soit son niveau dans la pratique. Une autre particularité du cours d’Anne Cécile est sa capacité à partager ses expériences, à livrer ses émotions et ainsi à inviter l’autre à en faire autant !

Ces cours font l’effet d’un « feel good movie » ! On en ressort juste bien et on a envie d’en parler, de le partager et d’embarquer des amis. Toutes les personnes avec qui j’ai eu l’occasion de partager le cours, débutants ou avancés dans la pratique, ont été séduites !

Merci pour ce beau cadeau ! »

Anaïs

« J’adore faire du yoga avec Anne-Cécile.  En fait, je suis toute seule chez moi, mais c’est à chaque fois comme si je retrouvais une amie, une personne précieuse qui sait me faire explorer plein de zones de moi en toute confiance.  J’aime sa qualité de présence généreuse et ses idées originales de liens entre les postures et les thèmes proposés.  Il m’arrive souvent d’expérimenter par sa guidance des subtilités du yoga ou de mon expérience jamais encore découvertes!  J’aime me laisse surprendre et émouvoir par sa vitalité, sa sensibilité et sa créativité.  Ah oui, et des fois elle danse. »

Hélène

« Je fais du yoga depuis quelques années déjà. Il y a environ deux ans, j’ai commencé à

suivre des séances animées par Anne-Cécile Hartemann. D’entrée de jeu, je dirai que ce

que je trouve le plus original dans ce que celle-cipropose, ce sont ses ateliers combinant

la philosophie et le yoga. Cette invitation à l’exploration du sens et des sens grâce au

dialogue entre ces deux disciplines m’intéresse grandement et s’est pour moi avérée

très enrichissante.

Anne-Cécile parvient, à mon avis, à atteindre un bel équilibre entre, d’une part, une

solide préparation des thèmes à explorer (lectures, réflexions préparatoires) et, d’autre

part, un accompagnement décontracté accueillant et laissant la place aux surprises du

moment présent.

Elle a une écoute, une présence et une ouverture remarquables qui se sentent pendant

les séances. »

Maïté González  

 

« C’est avec sagesse, douceur et un brin d’humour que débute chaque fois ses cours de yoga. Elle y met une énergie positive, rayonnante. Des postures simples et très clairement expliquées. Une créativité qui permet de ne jamais s’ennuyer ! Je recommande ! »

 

Marianik