Caroll Le Fur en voie de devenir une invitée régulière de Marie-Ange de Montesquieu pour parler de l’orientation des jeunes, son métier passion ! Sa seconde émission « En quête de sens » le 24 juin 2020

En Quête de Sens

Émission du 24 juin 2020 : Stages reportés, jobs annulés, comment se retourner ?

A réécouter ici : https://radionotredame.net/emissions/enquetedesens/24-06-2020/

Caroll Le Fur, dirigeante de « Best Futur », structure d’accompagnement pour l’orientation scolaire et professionnel des 15-25 ans. Elle est l’auteur de « Qu’est ce que tu veux faire plus tard ? » (Eyrolles)

Jean-Claude Puerto-Salavert, PDG d’Ucar, président de l’association des anciens élèves de l’Inseec et auteur de « #Partage ta bagnole ! » (Exils)

Penser l’orientation des adolescents après le confinement avec Caroll Le Fur, coach d’orientation

bac2020 hashtagparcourssup hashtagorientationpostbac

Comment penser l’orientation de son ado qui est déjà confronté à l’épreuve d’un baccalauréat chamboulé après le confinement ?

Quelles études peut-il entreprendre après le confinement ?

Quels seront les métiers de demain ?

« 65% des jeunes qui sont en classe primaire exerceront un métier qui n’existe pas encore », Caroll Le Fur, coach pour l’orientation de parents de lycéens et auteur de « Qu’est ce que tu veux faire plus tard ? »

Merci de me contacter comme attachée de presse pour l’interviewer / recevoir son livre 06 84 36 31 85

 

Marie-Ange de Montesquieu reçoit Caroll Le Fur et Eric Jeux, deux auteurs spécialisés dans l’adolescence de Balustrade

Réécoutez l’émission de Radio Notre Dame avec Caroll Le Fur auteur de « Qu’est ce que tu veux faire plus tard ? » (Eyrolles), coach de parents de lycéens pour les aider à trouver leur voie chez et Eric Jeux auteur d’une saga pour adolescents « Le Temps des infralents » (éditions Pierre-Guillaume de Roux) : https://radionotredame.net/emissions/enquetedesens/04-03-2020/

Caroll Le Fur“Qu’est ce que tu veux faire plus tard ?” Eyrolles

Eric Jeux : Ingénieur polytechnicien passionné de science-fiction, il a écrit plusieurs ouvrages de science-fiction dont “Le temps des infralents”, saga de science fiction pour ados qui se déroule dans le monde virtuel où s’est réfugiée l’humanité après avoir fui la terre dévastée, tout continue comme avant. il intervient dans les collèges régulièrement pour inciter les enfants à lire et à écrire.

François Moreau : président de LHH (Pour lui la transformation des métiers va s’accélérer sous l’impulsion des technologies, des enjeux écologiques et des modes de consommation)

Féminin Bio interviewe Carol Le Fur ! Merci à Anne Ghesquière

Féminin Bio

Anne Ghesquière reçoit Caroll Le Fur, coach d’orientation et spécialiste de la génération Z. Qu’est-ce que tu veux faire plus tard ? est le titre de son dernier livre. Nous allons parler de quelle orientation pour les jeunes et comment en tant que parents bien les accompagner sur ce passionnant chemin – Épisode #76

Dans cet épisode avec Caroll Le Fur, j’aborderai les thèmes de son livre.

Qui est mon invité de la semaine, Caroll Le Fur ?

Nos ados nous étonnent souvent, nous émerveillent parfois et nous laissent aussi un peu perplexes, notamment quand il s’agit d’orientation scolaire et professionnelle. On voudrait qu’ils s’épanouissent dans leurs futurs métiers, mais ils ne savent souvent pas ce qu’ils veulent faire, et nous non plus.

Caroll Le Fur, fondatrice de Best-Futur est coach d’orientation. Sa spécialité : engager un dialogue constructif sur le futur professionnel d’une génération Z, aux parents parfois un peu perdus.  Cette spécialiste d’un monde du travail en mutation est aussi auteure du livre « Qu’est-ce que tu veux faire plus tard ?» aux Ed. Eyrolles où elle donne aux parents les clés d’un échange bienveillant pour l’avenir professionnel de leurs enfants.

Quelques citations du podcast avec Caroll Le Fur : 

« La juste posture n’est pas facile mais salutaire. Le non-jugement et l’accueil sont importants »
« Les jeunes sont souvent seuls avec la question de l’orientation, il faut en prendre conscience »
« Certains parents pensent à la place des enfants. Ils oublient de les questionner »
« Comment penser plutôt que quoi penser, avoir un sens critique. C’est ce que nous devons apprendre aux jeunes »
« Les parents osent dire de plus en plus qu’ils souhaitent avant tout que leurs enfants soient heureux »
« Les talents, se sont des billes qui se révèlent au fur et à mesure de notre évolution »
« Il faut rassurer les ados : s’interroger sur son avenir est sain »
« On ne peut plus fonctionner en terme de filière « porteuse » et programmer l’enfant dans ce sens »
« Pour les nouvelles générations, le travail, c’est seulement 40% de leur intérêt »

Retrouvez Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience sur Apple Podcast / Google PodcastsSpotify / DeezerYouTube / SoundCloud / CastBox / TuneIn.

Suivez les épisodes sur mon Instagram, découvrez l’invité de la semaine et gagnez des surprises 😉

Bonne écoute ! 

Cet épisode a été réalisé grâce au soutien de LÉA NATURE, engagée de nature et premier fabricant français de produits bio et naturels, partenaire officiel de la #Saison2 de « Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience ». Merci !

Choisis ses spécialités avec Caroll Le Fur (interview dans Le Parisien)

Réforme du lycée : choisir ses spécialités, un vrai casse-tête pour les lycéens

Maths, anglais, philo… les élèves de 1ère doivent décider quelles spécialités ils garderont en terminale. Un choix qu’ils craignent lourd de conséquences pour leur orientation post-bac.

Le 12 février 2020 à 07h28

Anglais ou philo ? Entre les deux matières, le cœur de Lou balance, et sa raison n’est guère plus éclairée. Laquelle de ces deux disciplines la préparera le mieux à Sciences-po ? Dans son lycée de Moulins (Allier), la jeune fille a entendu des avis contradictoires, chacun de ses profs prêchant naturellement pour sa matière. Au forum de l’orientation où elle s’est rendue récemment, elle est restée le bec dans l’eau.

Et pour cause : en rebattant largement les cartes du système scolaire, la réforme du lycée déstabilise les établissements du supérieur, et laisse des milliers d’élèves passablement perdus devant leurs « fiches avenir ». Quelle orientation, quand la boussole n’indique plus de Nord?

Garder un maximum de portes ouvertes

Jusqu’ici, les lycéens entraient après la seconde dans des filières, S, ES ou L, selon une hiérarchie dictée bien davantage par leur niveau scolaire que par leurs goûts – les meilleurs se précipitant vers la « voie royale » scientifique. La réforme a substitué à cette scolarité en couloirs un lycée « à la carte », dans lequel l’appétence des jeunes est remise au centre : chacun choisit en Première trois enseignements de spécialité, puis en conserve deux en Terminale.

Maths, anglais, histoire, philo… Tout est possible. Mais ensuite vient l’orientation post-bac, où tombe, dans de nombreux cursus, le couperet d’une sélection drastique. Quelles matières cocher pour se garantir un maximum de portes ouvertes ? « Il ne faut pas parler de ça, ça va rajouter de l’angoisse ! » s’inquiète spontanément un conseiller d’orientation.

« Le problème, c’est cette tendance à vouloir toujours des garanties sur tout… Les parents voudraient qu’on leur donne un tableau avec pour les spécialités à suivre pour chaque école, mais ça n’existe pas ! soupire Michel Roger Gilmert, directeur du centre d’information et d’orientation CIO Mediacom, à Paris. Si on faisait cela, on recréerait de fait des filières et c’est toute la réforme qui tomberait à l’eau. »

Les instructions officielles consistent donc à renvoyer les jeunes à des arguments de bon sens. « Ce sont surtout les résultats globaux des élèves qui seront regardés : ce qui nous intéresse, c’est de recruter des jeunes qui savent apprendre », rassure Christine Gangloff, vice-présidente de la conférence des présidents d’université.

Une hiérarchie entre les matières ?

Le site horizons 21, créé par l’organisme d’information sur l’orientation Onisep, permet aux élèves de tester, dans les grandes lignes, l’adéquation entre leurs choix de spécialité et les cursus du supérieur. On y apprend par exemple que la combinaison « physique SVT » colle mieux au programme de médecine que « maths physiques ». Pourtant, Téo, en 1e à L’Isle-Adam (Val-d’Oise), doute encore. « J’ai un prof qui m’a dit d’abandonner la matière que j’aurais le moins de mal à rattraper tout seul, et c’est plutôt la SVT », soupèse le jeune homme, qui aimerait revêtir la blouse blanche.

« Beaucoup d’élèves hésitent entre des cursus totalement différents et pour eux le choix est encore plus difficile », note Caroll Le Fur, coach privée à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Officiellement, aucune formation « ne peut exiger une combinaison de spécialité en particulier », annonce l’Education nationale sur son site. Les établissements du supérieur ont même signé une charte, en janvier 2019, dans laquelle ils s’engagent solennellement à ne pas instaurer de hiérarchie entre les matières.

Pourtant, « on voit des écoles post-bac qui commencent à passer le message qu’elles ne recrutent que des élèves qui ont choisi maths physiques », confie le patron des Arts et métiers, Laurent Champaney, qui préside la commission orientation de la conférence des grandes écoles. « Il est clair que dans l’incertitude, les formations ont tendance à rester sur ce qu’elles connaissent… » En clair, sans maths, toujours point de salut ? « Oui », admet-il.