François Martini lecteur de Philippe Olagnier

Vikings

Les vikings ne sont pas le sujet le mieux traité en littérature romanesque. C’est dommage car leur histoire est riche et méconnue. Plus souvent marchands que guerriers, ils ont pénétré l’Europe, allant jusqu’à créer des villes comme Kiev.

Les Bras d’Odin, de Philippe Olagnier, nous emmène au dixième siècle entre des fjords de ce que l’on pense être la Norvège, l’Angleterre et la Normandie. Le roman se déroule pendant une campagne visant autant à fédérer des tribus qu’à gagner des marchés, comme on dirait aujourd’hui.


Le roman, nous dit son auteur, est très documenté, et il s’intéresse plus aux mœurs des vikings qu’aux batailles et faits de guerre. Je le crois volontiers car les détails abondent et les commentaires sont explicites. Nous assistons à des joutes, des négociations, des pactes et autre événements politiques, souvent liés à la nécessité d’unir les clans, mais aussi à l’organisation d’événements importants comme la mort d’un chef. Peu de descriptions à l’ancienne, l’auteur va à l’essentiel : les négociations entre chefs de clans, et quelques leçons d’histoire bienvenues.



Les personnages sont nombreux, passent souvent sans s’attarder, et l’auteur rend assez bien une ambiance de désordre de fin de règne, qui se précise au cours du récit par la présence de plus en plus importante de l’Église et de ses représentants. C’est le moment crucial de l’histoire du basculement entre paganisme et christianisme.



L’intérêt est soutenu, d’autant que l’auteur nous emmène au Valhalla, en compagnie d’Odin et de quelques valkyries, mais cela manque un peu d’intrigue structurée. Nous sommes plus du côté de la philosophie que de l’épopée. Quelques figures de chefs sont décrites dans une certaine complexité, ce qui nous permet de nous y attacher.

J’ai noté quelques erreurs de détails qui, sans nuire au récit, font sourire.


Le style de Philippe Olagnier est soigné, un peu proustien parfois, il n’hésite pas à ciseler des phrases complexes, précieuses, qui donnent un charme certain au récit. Il faut néanmoins, tant le style est riche, relire parfois un paragraphe.



Une curiosité intéressante, agréable à lire, et instructive.


Message de la modération : Edition à compte d’auteur

Le roman de Philippe Olagnier à l’honneur dans France Net Infos

“Les bras d’Odin” le nouveau roman historique de Philippe Olagnier par Dominique Iwan

Les amateurs des « Vikings » série canado-irlandaise, de « The last Kingdom » série britannique ou simplement d’histoire anglo-saxonne et scandinave vont sans doute adorer le dernier livre de Philippe Olagnier paru aux Editions de l’Onde en septembre 2020.

Conférencier, Philippe Olagnier est aussi un auteur qui appuie son acte d’écriture sur des contextes historiques ou sociétaux extrêmement bien documentés. C’est le cas de son dernier roman historique “Les bras d’Odin”  …

… Nous sommes dans les années 900 environ dans un des nombreux fjords sur les côtes d’Europe du Nord … Asgeir chef de clan, devenu Jarl dès ses vingt hivers passés, a convoqué l’assemblée du Thing (mot dérivé du vieux danois désignant une assemblée dans les anciennes sociétés d’Europe du Nord), pour la convaincre d’organiser une expédition vers l’Angleterre avec l’aide d’Arvid …

… Arvid, jarl installé sur les terres normandes et adoubé par Asgeir pour y créer une colonie viking est l’allié idéal par nécessité et par devoir.

Alliant “la force du commandement pour conquérir dans un premier temps, et l’habileté du négociateur pour parvenir, dans des conditions favorables aux vikings, à rester sur une terre et à cohabiter avec les peuples indigènes d’abord soumis par l’épée”, Arvid avec cette double faculté, a une compréhension très fine de la situation géopolitique de la région.

Tenant compte dans un premier temps, de la difficulté de leur installation en Normandie conquise de haute lutte par de lourds combats puis par des négociations en vue d’un traité durable …

… et d’autre part de la présence de plus en plus prégnante de cette nouvelle religion le christianisme, qui implante des monastères  et accumule en ces lieux des richesses énormes en imposant prélèvements et impôts …

… Arvid réalise qu’il ne peut plus croiser le fer en Normandie pour éviter à sa colonie devenue prospère de casser les équilibres avec les Francs, mais par contre est tout à fait favorable à un raid en Angleterre contre les nouveaux monastères et contre les moines conquérants qui moquent les traditions et ridiculisent les dieux vikings.

Tous ces arguments rassurent Asgeir  et le confortent dans sa décision d’organiser cette expédition, mais pour lui la situation est bien plus compliquée, les contrées du Nord où son clan est installé connaissent depuis deux années une vague de froid sans précédent, ses derniers combats avec les Inuits les ont affaiblis et leurs terres donnent peu en termes de récoltes … cette prochaine opération est donc vitale.

L’alliance entre les deux clans et le raid sont votés par l’assemblée du Thing ainsi que la préparation des fameux Drakkars …

Quelques mois auparavant, en Europe germanique, la question de l’évangélisation et de la conversion de certaines communautés encore païennes s’impose de plus en plus …

… C’est Adalbert jeune noble germain ayant l’oreille de l’Empereur qui réunit une assemblée pour établir une stratégie …

… et c’est Frère Thomas jeune ecclésiaste recommandé à Adalbert par la récente papauté qui par son érudition, son expertise et une foi missionnaire implacable, qui s’exprime ainsi : “Nos premiers missionnaires, même les plus doués, ont tous échoué dans l’oeuvre de ridiculisation de leurs divinités (…) nous devons réfléchir  plutôt à les récupérer qu’à les combattre de front.” Frère Thomas sera le bras séculier de cette stratégie.

Une bataille nous conduira aux portes du Walhalla … mais je n’en dis pas plus tant ce roman “les Bras d’Odin” nous emporte dans l’ère viking qui s’est révélée un apport important dans l’histoire de notre continent.

Breizh info trouve que « Mon poing sur les i » résume t charpente les idées de droite

Les bras d’Odin, Mon poing sur les i « être de droite et le revendiquer » : à la découverte de Philippe Olagnier

155 pages 14,5 €

Le titre est déjà en lui-même une métaphore. « Poing » a été choisi  à la place de «  point » pour marquer la détermination de l’auteur et la solidité de ses convictions.

Dans cet essai, M. Olagnier clarifie les positions de la droite conservatrice : refus de la politique trop ambiguë de LREM, de la bien-pensance qui nous étouffe, il parle de l’Europe qui a perdu le contact avec les habitants de ce continent, du danger du communautarisme, de l’appauvrissement de la classe moyenne, de la financiarisation excessive de l’économie, de la sympathie de l’auteur pour les Gilets Jaunes.

Le problème du livre de M. Olanier,est qu’il fait un peu fourre-tout : au-delà des thèmes déjà abordés, l’auteur évoque la fermeture inutile pour lui de Fessenheim, les livres érotiques de Mme Schiappa, Greta Thunberg, le suicide des agriculteurs asphyxiés par les dettes, de l’Algérie laissée en bon état et développée à ses habitants, les dérives des listes communautaires, le président turc Erdogan, la montée de l’antisémitisme.

Quelques solutions sont également esquissées qui dans leur ensemble appartiennent au courant conservateur, celui qui se défie du libéralisme si on excepte le domaine des mœurs.

En résumé, un bon livre pour résumer et charpenter l’idéologie de droite, un peu desservi par son côté brouillon. Christian de Moliner

Breizh info a repéré le roman de Philippe Olagnier – merci à Christian de Moliner

Les bras d’Odin, Mon poing sur les i « être de droite et le revendiquer » : à la découverte de Philippe Olagnier

Philippe Olagnier est déjà l’auteur de plusieurs livres à la thématique différente, sur le marketing : Brèves de managements, sur la politique : Lettres à Marianne, ainsi qu’un roman : Quand tous les ponts ont brûlé derrière toi. Il sort deux nouveaux livres aux éditions de l’Onde, un roman d’aventures et un essai politique, que Christian de Moliner chronique ci-dessous.

Les bras d’Odin, 130 pages 14,50 €

Il signe un roman d’aventures  qui se lit facilement et dont on a envie de connaître la fin. Ce livre a pour toile de fond le lent basculement des Vikings dans le christianisme. Asgeir, Jarl (roitelet) norvégien met au point une nouvelle campagne. La terre où ses hommes vivent est en effet froide et inhospitalière, les hivers sont précoces, les récoltes sont maigres, ce qui oblige la population à se chercher d’autres ressources par le pillage et la guerre. Asgeir décide de s’en prendre aux églises catholiques des pays du Sud qu’il sait riche. Il fait construire un deuxième drakkar et part rejoindre la Normandie où jadis il a permis à un jeune Jarl Arvid de s’établir au milieu des Francs et qui depuis a une dette d’honneur à son égard.

Il souhaite aller piller avec lui une des nombreuses et riches abbayes de la Gaule, mais les Vikings d’Arvid ont commencé à s’acculturer au milieu des Francs avec qui ils commercent et doivent de ce fait respecter leurs lieux de culte. Un objectif est néanmoins proposé sur la côte anglaise, mais sera-t-il accepté par les hommes d’Arvid ? Je n’ai pas l’intention de dévoiler la trame de ce livre, mais Asgeir revient en Norvège avec un esclave volontaire, Aldabert moine germanique qui va s’installer dans le nord pour convertir les rudes Vikings grâce à un long travail de sape. Il va récupérer leurs fêtes païennes pour leur plaquer un vernis chrétien, transformer leurs multiples Dieux en saints. L’histoire confirme les dires du romancier : entre 950 et 1000, la Norvège, la Suède, la Danemark et l’Islande ont basculé dans le christianisme, non sans se heurter avec l’ancienne religion des Ases (qui est bien décrite par M. Olagnier, notamment sur l’espérance de résurrection au Walhalla après la mort). À travers le destin des fils d’Asgeir, le roman d’ailleurs met en scène l’affrontement entre nouveau et ancien culte.  Convertis, les hommes du nord laissent de côté leurs expéditions puisqu’ils ne peuvent plus piller des coreligionnaires et se mettent au commerce. Ils se tournent également vers l’Est vers la Russie et Byzance. En descendant les grands fleuves russes, ils entrent en contact avec les musulmans, certaines tombes vikings dévoilant  que quelques guerriers du nord sont devenus des fidèles du prophète, mais la religion venue de l’Ouest l’emportera sans difficulté, car les contacts avec l’Islam étaient trop décousus pour que Mahomet puisse rivaliser avec  le Christ. Christian de Moliner

Mondialisme ou souverainisme raisonnable ? – un texte de Philippe Olagnier

Mondialisme ou souverainisme raisonnable ? – un texte de Philippe Olagnier

Produire français ne suffira pas.

C’est la nature mondialiste et le projet politique qui sous-tendent le capitalisme contemporain qui sont à remettre en cause.

Tant que des fonds financiers spéculatifs placeront à la tête des entreprises des managers interchangeables, voguant d’un métier à un autre, avec pour seule finalité la satisfaction unique de l’actionnariat, le capitalisme ne retrouvera pas les vertus qui furent les siennes jadis.

Réimplanter des entreprises sur le territoire sans « détricoter » tous les dispositifs les plaçant en infériorité sur leur propre sol, sans permettre à nouveau aux Etats redevenus a minima souverains d’influencer notablement leurs marchés nationaux, sans courir le risque d’être condamnés par Bruxelles, serait un pari de très court terme.

Elles subiront le même cycle infernal, prises de participation étrangère, rachats complets, disparition et renaissance dans des territoires où l’absence de toutes lois morales et sociales permet l’optimisation des profits.

C’est d’ailleurs ce que fit l’Europe avec l’intégration des pays de l’est, sans construire un socle commun social et fiscal préalable :

Elle a organisé contre ses peuples développés devenus un trop exigeants socialement et moins malléables, une délocalisation de proximité, permettant outre à court terme des productions à bas prix destructrices d’emploi nationaux, de faire exercer par ailleurs une pression vers le bas sur les salaires des pays les plus développés.

Le capitalisme dit « entrepreneurial » était certes parfois quelque peu paternaliste, mais il a construit les fameuses Trente Glorieuses, fait marcher l’ascenseur social désormais en panne sèche et créé sur le territoire national des filières économiques reliant les plus gros acteurs aux plus petits, par les accords de co-traitance ou de sous-traitance.

Certes, il y eut l’apparition de grandes fortunes et de dynasties industrielles, mais leur enrichissement fut synchrone avec celui de la nation où elles étaient implantées.

Aujourd’hui, les mondialistes pourtant très largement responsables de la crise COVID, non seulement ne rentrent pas dans leur coquille, mais entendent se servir de la crise comme d’un facteur supplémentaire, et même comme d’une opportunité, pour renforcer le contrôle des populations et diminuer le peu de rôle restant aux Etats souverains.

Car à crise mondiale, disent-ils, il faut une réponse mondiale.

Le fossile Jacques Attali, pourtant co-acteur et conseiller des créateurs de cette ineptie européenne qui a trahi le projet initial, ne cesse de reprendre de la voix et de remettre en selle son vieux credo :

« Les Etats sont inaptes à gérer cette crise et une gouvernance mondiale s’impose d’elle-même »

Il est comme Macron une des nombreuses marionnettes publiques d’un groupe d’intérêt qui n’a jamais cessé de poursuivre cet objectif.

Le groupe Bilderbeg, le forum de DAVOS, le CFR, le sinistre milliardaire Soros ( qui a noyauté de tous ses proches la Cour européenne des droits de l’homme, les princes qataris, tout ce petit monde ne fait pas mystère de ses intentions.

Ils se réunissent en colloques et conventions, ont noyauté la plupart des instances internationales et fait des Etats des chiffons de papier qu’ils agitent pour le moment dans le sens de leurs intérêts, mais qu’ils rêvent de dissoudre dans une organisation mondiale.

Dans son idéologie actuelle, avec sa technocratie puissante de commissaires européens non élus par le peuple, la Commission européenne sert parfaitement leurs objectifs.

Et le Président Macron tout autant.

D’ailleurs c’est celui qui dans un habile et machiavélique discours trompeur, demandant davantage de souveraineté après la crise, s’est empressé de préciser que cette souveraineté ne serait pas efficace si française : il l’entend au niveau européen.

La machine qui montre toute son inefficacité dans la crise des migrants, qui a massacré la Grèce, abandonné l’Italie à ses morts du virus, ne fera pas de mea culpa mais entend au contraire renforcer ses prérogatives.

A vrai dire, il va falloir effectivement choisir entre deux voies, la voie mondialiste et la voie souverainiste.

Je ne confonds pas la voie souverainiste avec la voix nationaliste qui porte en elle la notion de haine de la nation d’autrui.

Le souverainisme économique est un bon sens visant à privilégier d’abord le bien-être de ses enfants avant celui de ses cousins, ce qui ne l’empêche pas de nourrir raisonnablement le lien familial avec ceux-ci.

Le souverainisme qui recentre ce qui doit l’être sur ses territoires, et le protège de ses lois et de ses interventions redevenues possibles, n’empêche pas les accords multilatéraux, et encore moins la résurgence de la véritable Europe politique, opposée à cette Europe seulement marchande et spéculatrice.

Dans le contexte actuel d’Etats fantoches aux mains de tous ces groupes de pression, on peut intellectuellement comprendre l’envie d’accélérer des mondialistes.

En somme le Covid a fini de démontrer une très relative efficacité des Etats, « Balayons ceux-ci d’un revers de la main et allons vers la solution finale. »

S’il y a un rendez-vous incontournable que pose le Covid, c’est celui du choix entre ces deux alternatives.

La voie intermédiaire est un leurre et une acceptation de fait de la prétendue mondialisation inévitable.

La voie de la souveraineté raisonnable sera celle de quelques vrais politiques imaginatifs, créatifs, ambitieux et visionnaires, qui au-delà de simples consommateurs qu’ils sont devenus, redonneront au peuple, une vision, un sens, un destin, et donc une dignité qu’on est en train de fouler au pied.

Philippe OLAGNIER

Extrait de mon essai à paraitre automne 2020

« Être de droite et le revendiquer »

 

OPERATION CORONAVIRUS : les textes politiques du polémiste Philippe Olagnier

Balustrade Coronavirus, auteurs politiques & polémistes

Balustrade Coronavirus, auteurs politiques & polémistes

Philippe Olagnier, deux livres à paraître à l’automne dont « Mon poing sur les i »

Philippe Olagnier est profondément militant de valeurs dites traditionnelles, de transmissions, traditions, exemplarité et honneur, respect du passé du pays, et attaché aux idées d’ERNEST RENAN, sur la nation. (…)

Libre penseur convaincu, il est révulsé par la bien-pensance dominante. Ne se reconnaissant pas dans les contours actuels de la société française, il appelle à un futur qui s’inscrive d’abord dans les racines de la nation. Lire la suite en cliquant ICI

Un entrepreneur lyonnais aussi libre penseur, conférencier et écrivain pense la crise du covid 19

Un entrepreneur lyonnais aussi libre penseur, conférencier et écrivain pense la crise du covid 19

A paraître en septembre : « Les Bras d’odin » (roman) et « Mon poing sur les i’ (essai) de Philippe Olagnier

Contact presse pour interview et et services de presse : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Biographie de Philippe Olagnier, un entrepreneur qui écrit !

Philippe Olagnier est diplômé de l’Institut français de gestion en management, en stratégie et en marketing. Créateur et chef d’entreprise, Il a été membre de comités de direction de grands groupes nationaux et internationaux. Développeur professionnel reconnu, il est aussi intervenant régulier dans des écoles supérieures de commerce dans les spécialités du management de changement et des techniques de négociations.

Devenu entrepreneur indépendant dans le monde du bâtiment, il conserve néanmoins une activité d’enseignant en techniques de ventes et négociation, et de consultant en management des organisations.

Son premier livre « Happy business, ou remettre l’humain au centre de l’entreprise », appelait de ses vœux une révolution sereine, ou respect et bienveillance devaient occuper la première place.

Cet ouvrage rencontra un fort écho qui le conduisit dans l’année de sa sortie, à animer de nombreuses conférences débat, sur tout le territoire devant des publics variés (clubs et syndicats patronaux, syndicats professionnels, universitaires et élus)

Un Libre penseur engagé : Philippe OLAGNIER est un citoyen engagé depuis son plus jeune âge dans le monde de l’entreprise.

Mais n’étant pas membre d’une formation politique, profondément libre penseur, il est profondément militant de valeurs dites traditionnelles, de transmissions, traditions, exemplarité et honneur, respect du passé du pays, et attaché aux idées d’ERNEST RENAN, sur la nation.

Libre penseur convaincu, il est révulsé par la bien-pensance dominante, la censure exercée par des pseudos élites (qui n’en sont plus à ses yeux), il se reconnait pas dans les dérives insensées à ses yeux, de la république française, qu’il appelle régulièrement à retrouver le nord de sa boussole politique.

Il est épris de philosophie et d’histoire (du pays, comme celle du continent européen), et a des convictions laïques fortes. Il intervient régulièrement dans des conférences sur le danger communautarisme, les émergences de l’antisémitisme moderne, et sur les thèses conspirationnistes.

Il est par ailleurs convaincu que le droit des femmes dès lors qu’il commence à être contesté est le signe avant-coureur de bien autres attaques, et qu’il mérite toutes les attentions et vigilance.

Un citoyen ordinaire, ne se reconnaissant pas dans les contours actuels de la société française, qui est profondément ancré dans son actualité, et en réaction permanente avec elle. Sur un premier ouvrage, « Lettre à Marianne » son premier essai, il imagine dans des lettres courtes adressés directement à la belle républicaine, de lui demander de se ressaisir sur des thèmes précis (Justice, éducation, laïcité, diplomatie, repentance historique etc..) .

Sur ces sujets et pour ce faire, il convoque les grands auteurs du siècle de la philosophie des lumières, philosophie qui lui est chère, et ajoutés à quelques grand personnages plus contemporains, ils viennent éclairer de leurs apports de ce cri de citoyen, qui appelle à un futur qui s’inscrive d’abord dans les racines de la nation.

Dans un second ouvrage, « Mon Poing sur les I » plus polémique et en très net opposition avec la présidence de la république de type LREM, il renforce son cri.

Irrité par la bienpensance et les faiseurs d’opinion, qui ont fini encore récemment de légitimer le mépris souverain du pouvoir pour toutes les opinions populaires, il témoigne en citoyen libre, et sur des sujets multiples traités en chapitres incisifs et concis, et  en quoi, le courroux populaire, est fondé sur un raisonnement solide et ne saurait s’éteindre de si peu.

L’inclassable romancier Philippe Olagnier

Philippe OLAGNIER  est diplômé de l’institut français de gestion en management stratégique et marketing.

Conférencier, il est aussi un auteur a la démarche assez bien définie.

Il appuie ses récits sur des contextes contemporains, historiques, sociétaux qu’il documente toujours.

Précisément avant de passer à l’acte d’écriture.

Sa volonté est donc d’entraîner le lecteur dans une trame romanesque, qui soit en cohérence, avec des faits réels, une époque, un milieu sociologique ou professionnel, qui permettent de donner quelques clefs de compréhension sur ces sujets, tout en procurant l’évasion de l’esprit par les mots et le récit.

Son premier roman, «  Quand tous les ponts ont brulé derrière toi » décrit le parcours aventureux, d’un chef d’entreprise qui pour aider une jeune fugitive, prend le risque de faire voler en éclats tous les aspects sécurisant de son train de vie sociale, pour se lancer dans une enquête, et une fuite qui va le mener aux confins d’un monde qu’il méconnaissait ( mafia, marché sexuel, blanchiments d’argent , terrorisme)

Le récit de ce « Road movie » permet à l’auteur à la fois de nous livrer des clefs de compréhension sur la face cachée, géopolitique ou financière de notre monde, tout en nous livrant une description sans faille de certaines bourgeoisies étriquées de province, et sur le monde du renseignement et de l’économie, toujours présents dans le fonds du récit.

Une galerie de portraits de personnages, hauts en couleur, finit de colorer le récit, et de permettre à l’auteur d’afficher son attrait pour les destins singuliers de ceux, qui préfèrent payer le prix toujours élevé d’une liberté qu’ils préfèrent aux reniements de leurs convictions et principes.

L’amour et un ode régulier dans le récit pour la nature finissent de donner à ce premier roman, un caractère aussi passionnant, que singulier.

A paraître en septembre : « Les Bras d’odin » (roman) et « mon poing sur les i’ (essai) de Philippe Olagnier

Contact presse guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Biographie de Philippe Olagnier, entrepreneur atypique

Biographie de Philippe Olagnier, un entrepreneur qui écrit !

Philippe Olagnier est diplômé de l’Institut français de gestion en management, en stratégie et en marketing. Créateur et chef d’entreprise, Il a été membre de comités de direction de grands groupes nationaux et internationaux. Développeur professionnel reconnu, il est aussi intervenant régulier dans des écoles supérieures de commerce dans les spécialités du management de changement et des techniques de négociations.

Devenu entrepreneur indépendant dans le monde du bâtiment, il conserve néanmoins une activité d’enseignant en techniques de ventes et négociation, et de consultant en management des organisations.

Son premier livre « Happy business, ou remettre l’humain au centre de l’entreprise », appelait de ses vœux une révolution sereine, ou respect et bienveillance devaient occuper la première place.

Cet ouvrage rencontra un fort écho qui le conduisit dans l’année de sa sortie, à animer de nombreuses conférences débat, sur tout le territoire devant des publics variés (clubs et syndicats patronaux, syndicats professionnels, universitaires et élus)

Il anime régulièrement sur les réseaux professionnels, autour de posts managériaux, des discussions autour du management.

Outre le fait de considérer que l’humain a été le grand laisser pour compte des vingt dernières années, et qu’il est temps d’inverser la tendance, il soutient la cause ce qui est appelé aujourd’hui la management agile (Diminution des procédures, allègement des procédures, mises en place d’organigramme de direction les plus légers et le plus plat possible, mobilisations de l’intelligence collective, prédominance de la culture du client, mentorat des équipes etc…)

Dans un deuxième ouvrage, « Brèves de management » cette fois ci redigé en 28 fiches opérationnelles de situations concrètes, il a donné les voies de la mise en pratique de cette philosophie d’entreprise, ( dont il a été un des premiers défenseurs sur le territoire national), et qui gagne aujourd’hui du terrain, depuis les PME aux plus grandes multinationales.