Soirée « Artiste féminin singulier » avec Thierry Delcourt et « ses » artistes, mardi 27 octobre, 18 h 30, 35 rue Jacob

Mardi 27 octobre, à 18 h 30, Antoinette Fouque et Des femmes reçoivent Thierry Delcourt, Colette Deblé, Sylvia Katuszewski et bien d’autres femmes créatrices pour une soirée consacrée au livre Artiste Féminin Singulier de Thierry Delcourt (LÂge d’homme, juin 2009). 22419817_4288451.jpgVous êtes le(la) bienvenu(e) !

Espace des femmes-Antoinette Fouque

 35, rue Jacob – Paris VI – Tél. 01 42 22 60 74

Mardi 27 octobre 2009 – 18 h 30

Antoinette Fouque et Des femmes

reçoivent Thierry Delcourt , Colette Deblé, Sylvia Katuszewski, Catherine Lopes-Curval, ORLAN, Sophie Rocco, Michelle Knoblauch, Milvia Maglione, Catherine Seher, Ruta, Myona Rimoldi-Guichaoua, Virginie Roux-Cassé et d’autres artistes pour une rencontre-débat autour du livre de Thierry Delcourt :

Artiste Féminin Singulier

éd. L’Âge d’Homme, 2009

 

En 2009 et 2010, plusieurs expositions, dont celle du Musée des femmes d’Antoinette Fouque se tenant à l’Espace des Femmes du 8/09 au 17/11 2009, et de nombreux évènements confirment l’évolution remarquable et enfin remarquée de la place des femmes et de leur visibilité dans l’art contemporain. Leur engagement politique, culturel et artistique contribue à cet essor.

 

Copie de Biarritz 131.jpgArtiste Féminin Singulier soulève quelques questions à débattre:

La création a-t-elle un sexe ? Faudrait-il repérer des différences entre femmes et hommes quant à leurs pratiques créatives ? Entre distinction et spécificité, que met en jeu le processus de création au féminin au-delà de la singularité de chaque artiste et de chaque œuvre ?

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Les artistes Lydie Arickx, Edith Canat de Chizy, Carolyn Carlson, Colette Deblé, Mame Faguèye Bâ, Anta Germaine Gaye, Louise Giamari, Sylvia Katuszewski, Florentine Mulsant, Marylène Negro, ORLAN, Sophie Rocco, Valérie Rouzeau, Agnès Thurnauer etc ont accepté de parler longuement et intimement de leur pratique, de la place qu’elle occupe dans leur vie et des incidences de leur création sur leur être-femme.

 

Thierry Delcourt est allé à la rencontre de ces femmes artistes en se dégageant autant que faire se peut des a priori. Il les a écoutées attentivement parler de leur acte. de leur oeuvre et du processus de création qui les anime. Ainsi, il est possible de mieux comprendre, au-delà des évidences, le formidable mouvement impulsé par les femmes dans la création artistique contemporaine. Il ne s’agit par pour autant de catégoriser ces artistes dans une spécificité discriminante, même positive. Cette étude permet de tracer, à partir des singularités de chaque artiste, une distinction qui traverse le champ féminin où il est possible de croiser des hommes, de ceux qui ont fait le choix éclairé de quitter des prérogatives aussi aliénantes qu’illusoires en s’exposant au risque de créer Forme, expression, concept, sensibilité, énergie se conjuguent ici avec recherche, déconstruction, subversion, hétérogène, identité questionnée, appropriation …

anniversaire.jpgCette mise en chantier de l’art ouvre un espace de vie et de création passionnant qui tente de préserver un archipel d’humanité dans un monde où l’homme est sa propre crise.

(Michelle Knoblauch, Catherine Lopes-Curval, Milvia Maglione et d’autres non dans le livre seront là aussi)

 

(ci contre : Thierry Delcourt et sa petite fille, Maïa)

 

Jean-Luc Chalumeau, conquis par les pingouins de Catherine Lopes-Curval

Les Manchots (200 x 200 cm)

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Catherine Lopes-Curval,

« Crise de nerf »

par Jean-Luc Chalumeau

Catherine Lopes-Curval, L’air de la montagne, 2008, Acrylique sur toile, diptyque : 120 x 60 cm

Catherine Lopes-Curval, une des meilleures représentantes de la deuxième génération de la Figuration narrative, n’a jamais été aussi en forme. La crise est partout : financière, économique, politique, écologique, morale… mais la peinture va très bien, merci. Mieux : elle se nourrit avec gourmandise des impasses dans lesquelles nous ont plongé nos pseudo élites. Parmi les pingouins dérivant sur des morceaux de la banquise en train de fondre, d’autres pingouins, en costumes trois pièces dérivent aussi, mais ils ne le savent pas. Ils continuent de discourir sur des événements qui leur échappent. Il y a bien d’autres choses dans les images impeccables de Catherine Lopes-Curval, dont l’humour n’est bien sûr que la politesse de la mélancolie, des choses que l’on ne peut dire que par le moyen de la peinture. 

Galerie Patrice Trigano, 4 bis rue des Beaux-Arts 75006 Paris

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Catherine Lopes-Curval expose « Crise de nerfs » à la Galerie Patrice Trigano (5 mars au 4 avril 2009)

Catherine Lopes-Curval – Crise de nerfs

5 mars au 4 avril 2009

Lopes-Curval.JPGVernissage le jeudi 5 mars de 18 h à 21 h

Galerie Patrice Trigano

4 bis rue des Beaux-Arts F – 75006 Paris – Tél 01.46.34.15.01

artrigano@aol.comwww.artnet.com/galerietrigano.html

Rayons, 2008, acrylique sur toile, 100 x 100 cm

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 Trash (2009 160 x 160 cm)

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L’âne et le requin (162 x 130 cm)

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Les lettres françaises : spécial Catherine Lopès-Curval (Georges Férou & Gérard-Georges Lemaire)

artwork_images_140197_480314_catherine-lopes-curval.jpgLES LETTRES FRANÇAISES, du 3 mai 2008

Illustrations de Catherine Lopès-Curval + article de Georges Férou sur sa peinture
Catherine Lopès-Curval au pays des merveilles

CATHERINE LOPES-CURVAL AU PAYS DES MERVEILLES

LES METAMORPHOSES D’ALICE de Catherine Lopès-Curval, Espace-Galerie des femmes, jusqu’à fin mai

Catherine Lopès-Curval entretient avec la littérature une relation étroite, profonde et même paradoxale. Quand elle s’est emparée voici quelques années de l’oeuvre de Franz Kafka, elle s’est mise en tête de suivre Joseph K. pas à pas. Plus elle s’est attachée à la lettre du texte, plus elle l’a rendu pictural : en réalisant ce transport dans le langage de la peinture des épisodes à la fois burlesques et tragiques du Procès, elle en a révélé le caractère onirique. En reconstituant avec une précision renversante l’univers décrit par l’écrivain pragois, elle a construit son propre roman. À partir de cette longue et intime relation, elle a pu prendre toute la mesure du sens de son art et en a excédé les limites.
Quand elle a de nouveau éprouvé le désir de se confronter à une oeuvre littéraire, elle a choisi Alice au pays des merveilles. Cette fois, elle a procédé de manière moins systématique. Son attention s’est d’abord portée sur les anamorphoses incessantes du corps de la jeune égérie du révérend Dodgson. Ses transformations anatomiques lui ont fourni un fil conducteur et aussi le motif d’une confrontation à l’espace du tableau : son corps est toujours trop grand, trop petit ; les êtres et les choses qui l’entourent changent donc à leur tour d’échelle au cours de ce voyage initiatique. La raison et le bon sens n’ont plus de place : seules s’imposent les lois abstraites du logicien.
Alors Alice tombe dans un tube interminable rempli de pilules assez suspectes (ces pilules sont omniprésentes). Elle se retrouve en grande conversation avec le mille-pattes bleu juché sur un champignon gris (tout aussi suspect que les pilules) en train de fumer son narguilé. Il ne s’agit pas seulement pour elle de subir des changements inattendus de proportions : les couleurs sont elles aussi soumises à des mutations violentes renforçant la bizarrerie des événements.
Pour rendre cet univers trouble où tout ce qui est enchanté s’avère dangereux, l’artiste a construit une fantaisie picturale où le plus absurde, le plus improbable sont la norme. La part ludique de l’art pictural tel qu’elle le vit et nous le transmet y trouve largement son compte. Avec cette grande suite de compositions, Catherine Lopès-Curval a poursuivi une quête commencée à ses débuts par des récits tirés de l’imaginaire urbain. Elle a proposé une lecture – sa lecture – du livre de Lewis Carroll ; elle est peu académique et fantasmée. Du même coup, Catherine Lopès-Curval démontre que peindre peut signifier prendre le thé avec le lièvre de Mars et le chapelier fou…

Georges Férou

http://www.humanite.fr/+-Les-Lettres-francaises-+

La revue Aréa a aimé Alice ! (Gérard-Georges Lemaire), n°16, printemps 2008

girard.JPGhttp://www.areaparis.com/

Revue trimestrielle d’art contemporain.

Area(s), l’art pour le monde, s’interroge sur les situations de l’art qui, ces 50 dernières années, ont ouvert d’autres perspectives.
Une relecture des oeuvres qui aidera à montrer que l’art est toujours une source de débats autour de des problèmes de la société.

Caprices de ville numéro 16 printemps 2008 20 euros

Mercredi 19 mars, Soirée exceptionnelle pour le Vernissage de l’exposition de Catherine Lopes-Curval (dès 18 h 30) !!

Pour les pressé (e) s – oranges ou citrons, c’est idem : agrumes mâles et femelles traitées de la même manière aux éditions Des femmes !!! – filez décrocher le bijou (imprimable) ici d4226b05c871f59cec76a33c71e889bf.jpg: il vous fera office de carton d’invitation moderne pour notre chic soirée Catherine Lopes-Curval… (en présence d’Antoinette Fouque… murmure t-on !!!)

Pour ceux qui disposent d’une minute, je vous suggère de la scinder en deux (Attention, le compte à rebours commence ! Symptôme de l’attachée de presse soucieuse de la gestion de votre temps) : 30 secondes politiques humanistes et militantes en consultant le lien Tibet Libre d’Irène Frain http://www.dailymotion.com/IreneFrain/search/irenefrain/video/x4qggi_tibet-libre-contre-la-repression_blog et 30 secondes esthétiques contemplatives plus parisiennes mais tout aussi militantes (pour la création artistique des femmes !) en jetant un coup d’oeil sur l’oeuvre de Catherine Lopes-Curval ici http://www.artnet.com/artist/654765/catherine-lopes-curval.html.

Spécialement nourrie et inspirée par les écrivains (Kafka par-dessus tout), cette peintre dont l’univers me semble aussi nocturne et inquiétant que celui de la précédente exposition (Colette Deblé, illustratrice du si bel agenda Des femmes 2008 – encore en vente, précipitez-vous !) était diurne et jovial nous honore de venir nous habiter, au 35 rue Jacob, jusqu’au 17 mai prochain.

Le travail présentement exposé « chez nous » de Catherine Lopes-Curval, à l’imposant dossier de presse, mondialement célèbre (jusqu’en Chine !), comme Colette Deblé, porte sur « Les métamorphoses d’Alice », à partie de Lewis Carroll. Rien d’étonnant à ce qu’une grande psychanalyste comme Antoinette Fouque ait eu un violent engouement pour son talent il y a quelques années déjà, ait acquéri plusieurs de ses tableaux et désiré mettre son oeuvre en valeur…

Une Alice aussi brune que celle de Walt Disney est blonde doit être un argument suffisant pour vous convaincre de venir assister CE MERCREDI 19 MARS (clôture du Salon du Livre) DES 18 H 30 au vernissage que nous organisons à la Galerie des femmes. Adresse : au bout de l’allée fleurie, 35 rue Jacob, Paris 6ème.

Cet émile vaut invitation personnelle.

Philippe Djian a déjà remarqué la peinture de Catherine Lopes-Curval, aussi délicieuse que Colette Deblé l’a été tout l’hiver ; et Guy Goffette – autre auteur Gallimard – sera amicalement des nôtres ce soir-là.

En espérant que vous en serez aussi, je vous laisse deux mini pubs : une pour la Galerie Trigano qui expose habituellement Catherine Lopes-Curval et une pour notre livre audio (durée plus de trois heures) d’Arielle Dombasle lisant de son inimitable voix le texte de Lewis Carroll. (parution Bibliothèque des Voix 2006) + photo de couverture en PJ.

Bises pressées…! (décidément, je reste dans le « pressé » cde mon « accroche » cette nuit… Sûrement pour aller me coucher…! ) N’hésitez ni à m’appeler ni à me rappeler pour des infos en bonus….! La prochaine fois, je vous parlerai du Salon (Passez me voir mardi ou mercredi, ça me fera plaisir ! Stand S 55, Danielle Michel-Chich, Thérèse Clerc, Michèle Ramond, Catherine Weinzaepflen et Benoite Groult seront là………..) et de nos livres………….

G.

La Galerie Trigano :
http://www.artnet.com/galerietrigano.html
Galerie Patrice Trigano
4 Bis, Rue des Beaux-Arts
75006 Paris

Grande soirée Irène Frain mardi 4 mars, 18 h 30 au 35 rue Jacob !!

L’Espace

Des femmes

Antoinette Fouque

vous invite à rencontrer :

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Irène Frain

« Au royaume des femmes »

(Bibliothèque des Voix, Des femmes)

Mardi 4 mars

à 18 h 30

***

A la Galerie des femmes,

LOPES-CURVAL.pdf

« Les métamorphoses d’Alice »

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Une exposition de Catherine Lopes-Curval

du 6 mars au 17 mai

de 11 heures à 19 heures

35, rue Jacob

et Impasse des Deux-Anges

75006 Paris

Tél : 01 42 22 60 74

http://www.desfemmes.fr