Le « Que sais-je ? » de Maître Pandelon sur « Le métier d’avocat » annoncé dans Livres Hebdo

Par Pauline Leduc, le 30.11.2018JUSTICE

La parole aux avocats

Alors que le projet de réforme de la justice est actuellement examiné à l’Assemblée nationale, plusieurs avocats prennent la plume pour raconter leur métier et les affaires qui les ont le plus marqués. Françoise Cotta, avocate pénaliste de renom, revient sur sa carrière dans La robe noire (Fayard, 16 janvier), tout comme Nicolas Gardères, qui livre, le même jour, Voyage d’un avocat aux pays des extrêmes(L’Observatoire). Dans ce document, celui qu’on décrit fréquemment comme l’avocat d’extrême gauche qui défend l’extrême droite explique comment il défend en premier lieu la liberté d’expression et les libertés fondamentales. Le lendemain, Fabienne Roy-Nansion, plusieurs fois bâtonnière du barreau dans le Nord, raconte dans Droit au cœur (Michel Lafon) les grandes affaires qu’elle a traitées – notamment le procès Outreau – et la misère des oubliés de la France périphérique. Richard Malka et Georges Kiejman livrent dans Eloge de l’irrévérence (Grasset, 13 février) leurs plaidoiries du procès du journal satirique Charlie Hebdo en 2007 dans lesquelles ils prônent le droit de se moquer des idées et des religions. Enfin, pour mieux comprendre l’histoire de la profession et de ses coutumes, on se plongera dans le « Que sais-je ? » inédit signé par Gérald Pandelon sur Le métier d’avocat en France (Puf, 20 février). Pauline Leduc

Un écrivain du Québec surfe sur la vague Sylvie-Johnny en France

Un écrivain du Québec surfe sur la vague Sylvie-Johnny en France

Marie Desjardins est un écrivain prolifique dont on parle peu au Québec. Auteur de romans, biographies, essais et divers articles, elle vient de faire paraître Ambassador Hotel, une fiction sur la dernière tournée d’une rock star, qui, en France a récolté une kyrielle de critiques élogieuses. (À lire l’article de La Métropole*).  Débarquant à Paris cet automne pour promouvoir ce livre sur le rock, Marie Desjardins s’est sans s’y attendre retrouvée en plein tourbillon médiatique. Toute la presse, attendant la sortie d’un CD posthume, était tournéesur Johnny, le seul et unique. Une déferlante qui a fait ressurgir dans les rédactions le seul et unique roman jamais écrit sur les amours du chanteur avec sa première femme : Sylvie Johnny Love Story. Lire la suite ici : http://lametropole.com/arts/litterature/un-ecrivain-du-quebec-surfe-sur-la-vague-en-france/?fbclid=IwAR0OcfcaYeIO3w2z9baux6us7t8nNWe6VbCzH5NHIU_dFxSGHAchDiz6iSg

Inauguration du 1er Cooliving de France Jeudi 13 décembre à 18H30

Inauguration du 1er Cooliving de France Jeudi 13 décembre à 18H30

Deux ans de préparation, un nouveau concept et surtout un nouveau lieu dédié à la colocation : Cooliving ouvre ses portes au 46, rue d’Étigny à Pau.
1ère colocation de ce type en France, le projet a été créé en partenariat avec deux grands acteurs du tissu économique Palois : l’ESC Pau BS et le Groupe Essor.

Cooliving, c’est la colocation affinitaire Paloise, qui s’inspire du modèle du Coliving, sur un mode 2.0 avecune infrastructure et des services entièrement adaptés au quotidien d’une communauté.

Un immeuble entier réhabilité

L’aventure Cooliving a débuté avec la réhabilitation d’un immeuble de 280 m2, situé au 46, rue d’Etignyà Pau. Totalement rénové, cet immeuble a permis la création de 9 chambres meublées, allant de 9 à 12 m2; ainsi que d’espaces mutualisés à l’échelle de l’immeuble: cuisine, salle à manger, salon, bibliothèque. L’objectif ? Proposer aux étudiants et jeunes actifs aux profils sociables, des lieux adaptés.L’aménagement a été défini en priorité avec l’ESC Pau BS et ses étudiants, pour innover et adapter le bien, tout en proposant des services à la carte.

Une colocation conçue pour créer du lien

Cooliving a été conçu pour favoriser au maximum les échanges entre les étudiants et les jeunes actifs, en mettant à disposition des lieux propices à la création du lien, au partage et au rassemblement. La maisonnée se compose de parties communes diverses : un espace de coworking pour favoriser lepartage d’expérience et l’entraide académique, ou encore un foyer et une salle de cinéma pourencourager l’échange social.

Des colocataires choisis par affinités

Intégrer Cooliving, c’est vivre avec des colocataires dont les affinités et les centres d’intérêts matchent. De ce fait, et pour renforcer l’expérience client, Cooliving met en place une sélection de candidats par le biais de la cooptation. Les équipes de Cooliving valident le dossier administratif du candidat, puis, ce sont les colocataires qui se choisissent entre eux.

Le projet s’inscrit dans une politique économique locale, et une démarche de redynamisation du centre- ville Palois, en proposant un logement étudiant innovant et collaboratif. Innover en matière de logement partagé, représente de réels enjeux pour remédier à un problème de société comptemporain : la solitude.

Finalement, Cooliving, c’est vivre avec sa bande de potes en partageant un immeuble entièrement adapté à ses besoins et à son quotidien. Plus qu’un simple logement avec des services, c’est une expérience de vie sociale et affinitaire.

Rendez-vous pour l’inauguration le jeudi 13 décembre 2018 à 18h30 au Tem’Pau Bar, 15 rue d’Etigny à Pau.

Allez viens, on est bien !

A PROPOS DE MEHDI TOULLEC, fondateur de Cooliving :

Diplômé d’un Master à l’ESC Pau et ayant fait ses armes chez Météorage, Mehdi Toullec,entreprend à 26 ans un nouveau type d’habitat partagé : le Co-living. Il revisite la colocationgrâce à un concept affuté qu’il a construit tout au long de sa vie étudiante et de sesexpériences à l’étranger.

Contact Presse :
Mehdi TOULLECmehdi.toullec@cooliving.fr

En savoir plus :
Cooliving : www.cooliving.fr / ESC PAU BS – Cooliving : www.esc-pau.fr/cooliving.html

A PROPOS D’ESSOR :

Entreprise familiale, Essor est un constructeur d’immeubles à usage professionnel structuré autourde 5 métiers : développement de programmes immobiliers, construction clé en main, maîtrised’œuvre, ingénierie agroalimentaire, ingénierie de financement. Créé en 2006 par DavidPouyanne, puis rebaptisé en juin 2017, le groupe Essor s’est d’abord appelé DPG puis Groupe DPG DELTA avec le rachat du groupe Delta. Bénéficiant aujourd’hui de 10 implantations en France, legroupe Essor emploie 150 personnes pour un chiffre d’affaires de 72M€ en 2017. Le groupe Essorcompte plus de 2250 réalisations à son actif, dont quelques réalisations emblématiquesrécompensées aux Pyramides d’Argent de la FPI et aux Green Solutions Awards 2018. La Directiongénérale du groupe Essor se situe à Paris.

En savoir plus :https://www.essor.group

Communiqué_de_presse_Cooliving13122018

L’émission « Bibliomanie » de Valère-Marie Marchand sur Radio Libertaire reçoit Aurélia Gantier

Jeudi 29 novembre, entre 15h et 16h30, les histoires de famille vous donnent rendez-vous sur les ondes libertaires. Au menu de l’émission Bibliomanie (Radio Libertaire 89.4 FM) : Rodolphe Trouilleux nous présentera, jusqu’à 16h, le journal des frères Goncourt à l’occasion de la publication de « Deux sous de Vérité, perles du journal » une édition présentée et établie par ses soins pour Le Castor Astral. En seconde partie d’émission, à partir de 16 h, place au premier volume d’une saga familiale : « Les Volponi, genèse tunisienne » le second roman d’Aurélia Gantier qui vient de paraître aux éditions Une heure en été. Une toute nouvelle maison d’édition dont nous parlerons aussi … Bonne écoute (et lecture) à tous !

Essor lance le Parc de la Fontaine Cypierre à Gonesse

Essor lance le Parc de la Fontaine Cypierre à Gonesse

Le Groupe Essor s’est jusqu’à présent principalement fait connaître pour ses réalisations en régions.Aujourd’hui, Essor relève le challenge de devenir l’un des acteurs majeurs de l’immobilier d’entrepriseen Île-de-France !

Fort d’un premier chantier industriel d’envergure en cours à Roissy, Essor poursuit son développement en Île-de-France avec un projet stratégique de transformation urbaine dans le Val d’Oise.
C’est dans la Communauté d’agglomération Roissy Pays de France et la ville de Gonesse qu’EssorDéveloppement ayant remporté un appel d’offre vient de déposer un permis de construire. Les travauxcommenceront en 2019 pour une livraison en 2020.

Un patrimoine mis en valeur

Marquée par une histoire urbaine forte, cette commune francilienne laissait apparaître une ancienne usine Paul Prédault en friche. Réinventer cet espace, le réinvestir est le défi relevé par Essor. En tant quemaître d’ouvrage de l’opération, Essor se réjouit d’avoir imaginé un rêve en train de se concrétiser : celui de participer à l’attractivité et au dynamisme de la ville de Gonesse.

Un projet à fort impact : 7 600m2 repensés pour dynamiser un territoire

La singularité du projet porté par Essor réside dans son côté résolument urbain, durable et esthétique :l’objectif est d’inscrire les deux bâtiments d’activités (5 400 m2) et celui de bureaux (2 200 m2) qu’il s’apprête à construire dans l’écosystème local.
Situé à deux pas de l’aéroport de Roissy, de celui du Bourget et de Villepinte dans une zone où sontinstallées des sociétés leaders de l’événementiel, ce parc est attendu par les entreprises déjà présentes dans l’agglomération qui pourront y nouer des relations en bonne intelligence.

FICHE TECHNIQUE DU PROJET :
Maître d’Ouvrage : Essor Développement
Maître d’Œuvre : Essor Ingénierie
Architecte : Atelier Arago
Surface : 7 561 m2
Début des travaux prévu au premier semestre 2019

Anticiper l’immobilier de demain

La puissance du groupe Essor consiste à offrir des prestations multiples et sur mesure pour ses clients privés, comme pour les collectivités locales.
En tant qu’interlocuteur unique, Essor propose un accompagnement sur mesure aux collectivités locales, garantissant une exploitation saine et féconde de ses immeubles, puisque le Groupe en demeure pour partie le propriétaire.

Cet engagement qualitatif génère une dynamique économique vertueuse, dont les impacts touchent lecœur de la ville. Il s’agit de dessiner les contours de la ville de demain, aussi agréable à vivre que pratiquepour travailler, afin que les bienfaits d’un paysage urbain repensé puissent rejaillir sur tous.

Essor s’impose donc comme un partenaire essentiel de l’accompagnement des transformations etcréations urbaines réussies. Son extrême attention portée sur les désirs des acteurs locaux fait la différence.
Gageons que le parc d’activités de la Fontaine Cypierre à Gonesse devrait faire des émules.

Essor présent au SIMI

Grand rendez-vous de l’immobilier et véritable référence pour tous les acteurs de l’industrie immobilière,le SIMI, Salon de l’Immobilier d’Entreprise, se tiendra les 5, 6 et 7 décembre prochains au Palais des Congrès de Paris (Porte Maillot). Comme chaque année, le Groupe Essor sera présent afin de partager avec vous son expertise immobilière plurielle. Seront présents sur le stand les commerciaux, mais aussi David Pouyanne – PDG –, accompagné par Jean-Yves Langla et Yannick Couach, respectivement directeurs généraux d’Essor Développement et Essor Ingénierie.

Chaque jour sur notre stand E174, les petits déjeuners à 9h30 offrent des moments privilégiés pour accueillir les professionnels et leur faire découvrir les projets du groupe Essor. En outre, des événementiels sur le stand auront lieu. Une soirée « Vin Fromage » est organisée le jeudi soir.

À propos d’Essor

Entreprise familiale, Essor est un constructeur d’immeubles à usage professionnel structuré autour de 5métiers : développement de programmes immobiliers, construction clé en main, maîtrise d’œuvre,ingénierie agroalimentaire, ingénierie de financement. Créé en 2006 par David Pouyanne, puis rebaptiséen juin 2017, le groupe Essor s’est d’abord appelé DPG puis Groupe DPG DELTA avec le rachat du groupe Delta. Bénéficiant aujourd’hui de 10 implantations en France, le groupe Essor emploie 150 personnes pourun chiffre d’affaires de 72M€ en 2017. Le groupe Essor compte plus de 2 250 réalisations à son actif, dont quelques réalisations emblématiques récompensées aux Pyramides d’Argent de la FPI et aux Green Solutions Awards 2018. La Direction générale du groupe Essor se situe à Paris. David Pouyanne, fondateur et PDG du Groupe a reçu le trophée d’entrepreneur de l’année 2018.

Contact Presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

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Maître Gérald Pandelon, avocat des sinistrés indirects de la rue d’Aubagne

Au-delà des sinistrés de la rue d’Aubagne qui ont perdu leurs vies, de multiples locataires subissent également des dommages collatéraux en raison de l’obligation qui leur est faites par la mairie de quitter leurs appartements, lesquels pourtant n’ont été impactés que faiblement par ce drame. Une double peine pour ces sinistrés indirects qui ont l’obligation d’aller vivre dans des hôtels de fortune et ce uniquement jusqu’au 5 décembre à la suite de quoi ils devront en urgence se trouver un logement sans être indemnisés.
Par conséquent, pour la plupart d’entre eux, se retrouver tout simplement à la rue. En effet, non seulement Marseille Habitat est responsable des faits survenus, mais aucune couverture des frais au-delà du 5 décembre précité n’est prévue, ni par ailleurs par une quelconque compagnie d’assurance. Enfin, la mairie ne communique aucune information à ces sinistrés indirects sur le point de savoir si un jour ils pourront regagner leur domicile… Quand l’incompétence et l’irresponsabilité se conjuguent…
Maître Gérald Pandelon, désigné par ces sinistrés, précisément et surtout parce qu’il n’appartient pas au Barreau de Marseille, va saisir les juridictions compétentes en référé.

David Pouyanne, PDG du Groupe ESSOR, élu entrepreneur de l’année 2018 en Béarn

David Pouyanne élu entrepreneur de l’année 2018

site officiel ici

Le patron d’ESSOR succède à Philippe Cazes-Carrère comme entrepreneur de l’année. Recevant son prix, il a salué le dynamisme local et loué les vertus de l’entrepreneuriat.

Portrait

Son patronyme renvoie à une longue lignée d’entrepreneurs orthéziens et une banque béarnaise toujours indépendante près de 115 ans après sa création. Patron d’Essor, David Pouyanne succède donc, pour les plus récents, à Philippe Cazes-Carrère (2016, APR), Vincent Michaud (2014, Famille Michaud Apiculteurs) et Michel Brisson (2012, Toray) comme entrepreneur de l’année.

Immobilier professionnel

Un trophée, très applaudi par la salle, qui couronne un parcours singulier, looin d’être encore terminé puisque notre homme est tout juste quinquagénaire, et a une appétence marquée pour tout ce qui relève de l’entrepreneuriat, de la création, de la prise d’initiative.

Après ses études, diplômé d’une école de commerce, David Pouyanne travaille quelques années à Paris, notamment dans la publicité avant de revenir au pays pour prendre la direction de la banque. Un établissement qu’il dirige jusqu’en 2004 avant de laisser la place à son frère Christian.

Il souhaite alors, comme il le dit lui-même, s’exprimer différemment, être « celui qui crée, bâtit et se multiplie ». David Pouyanne crée DPG à Pau en 2006. Objectif, se consacrer à l’immobilier professionnel.

Fibre de l’entrepreneuriat

Les premières années ne sont pas faciles mais peu à peu l’entreprise trouve ses marques, décroche de nouveaux marchés, séduit des collaborateurs performants. Parallèlement, il ne néglige pas la transmission, présidant le Réseau Entreprendre localement, puis nationalement.

Ces dernières années, DPG grandit aussi par croissance externe, en reprenant notamment l’entreprise nantaise Delta début 2016. La société devient Essor en 2017 avec un rayonnement national, comme en témoignent ses dernières données : 72 millions de chiffre d’affaires et 150 salariés.

La société intègre tous les métiers de la construction et assure à ses clients des prestations clés en main. Et vise les 200 millions de CA à l’horizon 2020. En plus de ses activités avec Essor, il a aussi lancé la Financière Pouyanne, fonds d’investissement ouvert aux acteurs territoriaux.

« Avec Essor, ce que j’ai voulu impulser, c’est de l’enthousiasme, pour les gens qui m’accompagnent. Pour qu’une boite grandisse et vive bien, il faut des valeurs de base, que l’on partage tous. En s’appuyant notamment sur le bien-être au travail » a souligné David Pouyanne une première fois sur scène, lors de sa nomination pour la catégorie « croissance et développement ».

En fin de soirée, alors que le maire de Pau François Bayrou, accompagné du directeur général de Pyrénées Presse Jean-Pierre Barjou et du rédacteur en chef Nicolas Rebière, lui remettait son prix d’entrepreneur de l’année, c’est encore le mot enthousiasme qui venait aux lèvres de David Pouyanne.

Ici pour saluer cette édition des Etoiles de l’économie et « toutes ces boites qui se créent. Le dynamisme économique n’est pas mal. Cela manque seulement un peu d’ETI (entreprises de taille intermédiaire, entre 300 et 5000 salariés, NDLR) » a relevé le patron d’Essor, en encourageant le travail sur la marque Béarn et en appelant à de meilleures infrastructures.

Sur l’origine de son implication entreprenariale, David Pouyanne la situe sans surprise à Orthez, berceau familial : « Quand on sort d’une famille protestante orthézienne, ça vous fait un mec » plaisantera t-il alors que plusieurs de ses frères éyaient dans la salle. Relevant aussi qu’il avait toujours vécu avec un nom qui était déjà une marque. Il pouvait conclure en remerciant pour ce prix qui comme les autres ce même soir « booste sans conteste la crédibilité d’une entreprise ».

Le gouvernement des hommes et des nations, par Jean Taillardat, éditeur de Philippe Rosinski

Communiqué de presse pour Leadership et coaching global

Jean Taillardat, l’éditeur de Philippe Rosinski, le 21 novembre 2018

Il apparaît que les peuples comprennent de moins en moins – et s’encollèrent – les décisions prises par leurs dirigeants. La manifestation des « gilets jaunes » en France est symptomatique de cette situation. Mais les dirigeants appliquent-ils les préconisations de Philippe Rosinski, qui conseille et forme des « leaders » dans le monde entier ?

Dans Leadership et coaching global, Philippe Rosinsky explore les six perspectives du champ d’action et de progrès des leaders. Bien sûr l’aspect moral de la direction des hommes entre en jeu – à ce titre, les conclusions apportées à l’action en justice intentée par le gouvernement japonais contre Carlos Ghosn seront étudiées de près – mais, parmi les perspectives recensées par Philippe (pour rappel : physique, psychologique, managériale, politique, culturelle, spirituelle), nous pointons des attitudes et des comportements qui nous semblent non seulement inefficaces mais contreproductifs et nous les interrogeons de  la manière suivante :

  • Perspective psychologique : les dirigeants peuvent-ils s’adresser à leurs concitoyens en manifestant des formes de mépris (« ceux qui ne sont rien », « traversez la rue et vous trouverez du travail », etc.) et en s’adressant à eux comme à des enfants à qui il faut expliquer pourquoi les mesures prises d’augmentation de telle ou telle taxe sont faites pour eux ?
  • Perspective managériale : les hauts-dirigeants, politiques et administratifs qui centralisent toutes les décisions à Paris, le produit des impôts et des taxes à Paris également pour les redistribuer en fonction de critères fluctuants et incompréhensibles des concitoyens sont-ils les mieux à même d’adapter les décisions aux niveaux les plus proches du lieu de l’action et de faire en sorte que les contribuables les comprennent et les acceptent ?
  • Perspective politique : les urnes donnent aux élus leurs statuts, en vertu desquels ils prennent les décisions. Mais les urnes apportent-elles la légitimité ? Non, il faut deux autres pieds pour que la légitimité du chef soit incontestable : la compétencequi permet d’engager le dialogue avec toutes les forces vives – ici les ménages et leurs représentants – pour trouver les arrangements « les moins mauvais » qu’elles accepteront parce qu’elles leur paraissent justes et efficaces ; et le charismequi est capacité à inspirer la confiance. Le président Macron s’est appuyé sur sa capacité à inspirer la confiance mais cette confiance avait-elle des bases solides ?

La perspective politique traite du pouvoir et de son utilisation, au service des personnes sur lesquelles il s’exerce : est-ce le cas ? Le corps social perçoit-il que le pouvoir qu’il a donné à ses représentants est à leur service ?

  • Perspective culturelle : les gouvernants actuels sont certes plus issus de la société civile que les précédents mais sont-ils représentatifs de la culture de l’ensemble du corps social ? Et comprennent-ils les différentes cultures qui traversent la société ; celle des populations qui vivent en milieu rural, celle des personnels de santé, celle des policiers et militaires, celle des laissés pour compte, celle des retraités aux faibles revenus, celle des « territoires perdus de la République » ? ou bien ne comprennent-ils que la culture des start-up, des diplômés intégrés et des citadins ?
  • Perspective spirituelle : les recherches en sciences sociales montrent que les individus sont prêts à beaucoup pour trouver un sens à leur vie et sont dans l’ensemble généreux – ce sont d’ailleurs les personnes à faibles revenus qui font des dons aux personnes dans le besoin. Si le bien-être matériel est une aspiration largement partagée, chacun sait que la joie réside dans le lien parental, familial, communal, dans le sourire d’un enfant ou d’un vieillard, le remerciement d’un pauvre, dans la contemplation de la beauté d’un paysage ou d’une œuvre d’art. Nos gouvernants, au-delà des discours compassionnels sans âme et sans authenticité, font-ils appel à ce qu’il y a de plus grand chez l’homme ou le réduit-il à sa dimension de producteur-consommateur ?

Vous tous qui portez des responsabilités et qui cherchez à réussir votre vie autant qu’à faire réussir les autres, parmi d’autres ouvrages passionnants, mettez à votre agenda de lire celui de Philippe Rosinsky, non seulement vous ne le regretterez pas mais il pourrait vous aider à transformer votre vie !

Leadership et coaching global, Philippe Rosinsky, Éditions Valeurs d’Avenir, mars 2018

Richard Joffo lance la littérature orale 3.0 avec « Talion aiguille » sur Smartrezo !

TALION AIGUILLE  de Richard JOFFO

Lancement public sur smartrezo.com : Fin octobre 2018

Attachée de presse : guilaine_depis@yahoo.com Guilaine Depis 06 84 36 31 85

Richard Joffo concilie la tradition ancestrale avec la modernité 3.0 puisqu’il lance le premier roman oral, spontané, disponible sur les supports digitaux en cette rentrée littéraire 2018 où nous sommes ensevelis sous beaucoup de livres en papier, souvent de qualité médiocre.

Avec Richard Joffo, pionnier d’une nouvelle ère littéraire, la littérature orale 3.0

La littérature est née de l’antique tradition orale des peuples à se transmettre des histoires. A la fois héritages et témoignages des cultures antérieures à la nôtre, les contes, mythes et légendes ont contribué à fédérer les Hommes entre eux autour de thèmes et de valeurs en commun. Constituant un solide socle, un patrimoine collectif, l’ensemble des récits oraux a longtemps été la seule source de savoir. Extraordinaire vecteur d’émotions, l’oralité a surmonté toutes les épreuves puisque certaines de ses histoires sont parvenues jusqu’à notre millénaire.

Mac Luhan l’avait observé dans son ouvrage La Galaxie Gutenberg , les nouveaux moyens de communication numériques ont bouleversé notre société. Internet remet paradoxalement de l’immédiateté, c’est à dire de l’oralité, dans les rapports humains. Richard Joffo est le précurseur de la grande aventure qui est susceptible de révolutionner la littérature dans son support !

Résumé :Talion aiguille apporte un vent de fraîcheur, un souffle nouveau à la littérature car c’est un thriller haletant plein de surprises. Richard Joffo cherche à renouer avec l’envie du lecteur de se passionner pour une fiction incroyable, riche en rebondissements. Grâce à Talion aiguille, le lecteur redécouvre les plaisirs de l’attente, de la curiosité, en attendant à la manière d’un feuilleton chaque soir l’épisode suivant.

L’auteur Richard JOFFO : Homme de médias au génie multifacettes, Richard Joffo s’est illustré tout au long de sa vie et de son oeuvre par l’importance qu’il attribue à l’oralité en matière de communication.

Auteur à succès de livres écrits par ailleurs, Richard Joffo a toujours privilégié le mode oral de communication (les textes de chansons qu’il a écrites, son programme de maîtrise du langage, ses célèbres Story sur RFI…) pour créer du lien social entre les hommes, les toucher et les élever par la force inimitable de la voix.

Mode direct, spontané et brut de communication entre les hommes, l’oral permet en effet de divulguer des messages dont la puissance est renforcée par le charisme et la chaleur d’une intonation. La voix est un outil merveilleux au service du contenu qu’elle énonce. Elle marque profondément les êtres car elle leur rappelle leur origine, les premiers sons perçus du monde et des Hommes, elle est authentique.

Une sensibilité et une sensualité qui décuplent la force du contenu, lui donnent âme et relief. L’oralité comme trait d’union chaleureux et sensuel entre les hommes.

En outre, tous les experts convergent de nos jours sur la suprématie de la communication non verbale, qui englobe une myriade de gestes, d’attitudes, de détails faisant profondément sens.

Une nouvelle forme artistique intégrale

L’excellence à tous les échelons de Talion aiguille

Une oeuvre intégrale Bien au-delà d’un simple livre, Richard Joffo embrasse avec sa nouvelle forme littéraire toutes les dimensions artistiques afin de donner vie à une oeuvre totale.

En effet, la musique et l’affiche de Talion aiguillesont à elles-seules de véritables bijoux, l’un sonore, l’autre visuel, qui confèrent à leur objet un aspect « happy few ». Soucieux de créer de la beauté et d’atteindre l’excellence à chaque niveau, Richard Joffo a peaufiné avec soin tous les détails de son oeuvre aussi étrange qu’attachante, enveloppante que transcendante.

Claude Povillon Lorsque Richard Joffo parle de son projet de création d’une Web Radio et de son concept de littérature audio-visuelle improvisée au jour le jour, Claude Povillon intéressé pour en faire l’habillage musical lui envoie en parallèle une musique, dans l’ambiance Miles Davis… qui va devenir la musique de Talion Aiguille, sur laquelle Richard va écrire des paroles pour que ça devienne une chanson.

Autonomie et économies ! Richard Joffo n’a besoin ni d’éditeur, ni de correcteur orthographique, ni de libraire, ni même de cameraman ! Puisqu’il se filme lui-même. Sa nouvelle forme de littérature naît dans l’autarcie, même si elle a vocation à faire le tour du monde de manière virale grâce au net.

Sauver la planète, la dimension écologique :Talion aiguille, premier spécimen de littérature orale 3.0, est l’ami des arbres, de la planète et donc de la cause écologique. Nous consommons d’une manière générale trop de papiers, dévastant la forêt amazonienne – poumon de la Terre. Enfin, Richard Joffo apporte une solution concrète pour remédier définitivement à ce problème. Sa littérature orale 3.0 s’élabore sans grands moyens, ni matériel compliqué.