« Si faire votre « Livre de chats » ou « Livre des chiens » vous tente, n’hésitez pas »

Editions des Coussinets

Il se dit que la moitié des familles ont un chien ou un chat et qu’il y aurait plus de chats que de chiens en France. Inversion de tendance car les chiens, animaux de garde et compagnons de chasse, étaient plus prisés dans la société mâle, patriarcale et petite-bourgeoise qui jusqu’à récemment entourait encore ses biens de hautes clôtures. Depuis, les chats les ont rattrapés et dépassés.

Certes, les chiffres officiels ne recensent que les chiens et chats tatoués, donc priorité encore aux chiens, « biens meubles » immatriculés qui ont de la valeur : 9 millions de chiens, 6 millions de chats en 2019. Mais les compagnies d’assurance animales, plus près de leurs clients qui leurs demandent des sous après avoir cotisé, recensent le double de chats que de chiens. Normal : les chats ont plusieurs portées par an lorsqu’ils sont bien nourris (phénomène naturel de régulation lorsque les rats sont gras et copulent comme des bêtes quand ils ont du grain à moudre) ; pas les chiens. Nous aurions donc 13.5 millions de chats pour 7.3 millions de chiens et leurs maîtres (multiples sexes confondus) dépenseraient environ 800 € par an pour eux. C’est moins cher qu’un enfant et donne peut-être à certains de meilleures satisfactions…

Mais ces petites bêtes n’ont qu’une durée de vie limitée (que fait le consommateur contre cette obsolescence programmée ?). Les chiens vivent en moyenne 13 ans, les chats 15 ans. Les siamois vivent plus longtemps lorsqu’ils sont protégés du froid (et ne vivent pas dehors comme le chat de gouttière), jusqu’à 25 ans.

A noter que les chats peuvent être contaminés par le Coronavirus SARS-CoV-2, selon une étude réalisée sur 102 chats chinois à Wuhan : 15% d’entre eux présentaient des anticorps. Le chat espagnol Negrito a été l’un des premiers en Europe à mourir du Covid en septembre 2019. Ce sont des cas rares bien que l’on en ait relevé jusqu’à présent un cas à Hong Kong, un en Belgique, un en France (mai 2020) et deux à New York. Il semble – pour le moment – qu’un chat ne transmette pas le Covid aux humains, même si les visons le peuvent peut-être (les infos restent incertaines).

Toujours est-il que la place affective que prend l’animal de compagnie dans les familles fait de leur décès un drame. Ce pourquoi Dominique Beudin, « ENSAE (1969), INSEAD (1981), DEA de droit des affaires (1982) » comme elle se présente (après le lycée Janson de Sailly), diplômée d’expertise comptable 1992, « 12 ans dans le Conseil et 25 ans en établissement de crédit » comme elle le dit sur Viadeo – à l’Agence Française de Développement – a créé les Editions des Coussinets semble-t-il vers Antibes pour publier des « livres de souvenirs».

Ce sont des mémoires de maîtres (ou plus souvent maîtresses) en hommage à leurs chats ou chiens avec textes, poèmes et photos. De quoi perpétuer l’éternel souvenir auprès de la famille ou des amis qui ont connu la bête. Ce pourrait être un brin ridicule, c’est plutôt touchant. Dire pour expurger sa peine, raconter pour « faire son deuil » est une saine thérapie. Ce pourquoi le journal intime est une psychanalyse efficace, surtout chez les adolescents (des multiples sexes, je répète). Les mots, les dessins, les photos (plus que les vidéos qui reproduisent la vie réelle) permettent de se placer à distance de ses émotions, de les exprimer donc de les mettre à la raison. Ainsi de les surmonter sans ôter en rien la mémoire du cher disparu (des deux sexes seulement chez les chiens et les chats).

Treize chats et chattes jalonnent jusqu’à présent l’existence de Dominique Beudin (Madame) et ses « nombreux » enfants (en fait trois, floutés et modifiés pour les photos). Le recueil de leur mémoire est préfacé par Jasmine Catou, Dame chatte chez Guilaine Depis, attachée de presse qui « adore » les chats et les auteurs (de tous les sexes, même les plus improbables).

Si faire votre « Livre de chats » ou « Livre des chiens » vous tente, n’hésitez pas, vous serez aidés pour la rédaction, l’orthographe (eh oui), la mise en page, l’édition.

Contact Plume@editionsdescoussinets.fr

Attachée de presse BALUSTRADE : Guilaine Depis, 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

Les Editions des Coussinets recommandées par Santé Cet pour faire le deuil d’un animal

Comment faire le deuil de son animal de compagnie ?

 

L’animal fait, on le sait, partie intégrante du foyer. Bien entendu, cela n’a rien à voir avec la disparition d’un être humain, mais lorsqu’il nous quitte, la peine, le chagrin, la tristesse qui s’ensuivent sont tout aussi importants, même si certains peuvent ne pas le comprendre ou le partager.

La perte d’un animal est donc aussi douloureuse que celle d’un proche

Selon une étude menée par Esthima qui lance la première marque-enseigne de pompes funèbres animalières en France (voir encadré) et Wamiz, pour 89 % des Français la mort de leur animal de compagnie a été aussi douloureuse que celle d’un proche. Seuls 20 % se sont sentis de tous lors du chagrin. 90 % gardent en souvenir une photo de leur animal, 53 % des jouets ou accessoires, 21 % une touffe de poils. Et toujours selon cette étude, 1 maître sur 2 souhaiterait organiser une cérémonie funéraire pour son animal.

Trois phases pour le processus de deuil

Le deuil, qu’il soit celui d’un animal ou d’un humain suit le même processus. Il s’articule en trois phases s’enchaînant :  le choc (la mort peut être plus ou moins brutale), le déni pour arriver à l’acceptation.

Le risque de la dépression peut guetter certains maîtres

Mal vécu, cela peut conduire jusqu’à la dépression du maître et/ou d’un des membres de la famille. Un état pathologique qui s’installe généralement lors de la troisième phase et qui peut alors nécessiter un soutien médical dans certains cas. Il ne faut pas refuser une aide médicale.

Ne pas cacher la mort de l’animal aux enfants

On craint parfois que la mort soit davantage mal vécue par les enfants ce qui ne semble pas être le cas selon de nombreux sociologues. Leur réaction est même qualifiée de « naturelle » si l’on peut employer cet adjectif en telle circonstance.

Dans tous les cas, il ne faut pas chercher à leur cacher voire à l’aborder et leur en parler tout en évitant les détails qui pourraient les choquer.

Ne pas avoir de honte et en parler

Il n’y a pas à avoir de honte à être triste et de souffrir de la mort de son animal. En parler peut être « libérateur ». Il faut bien entendu trouver les oreilles attentives et éviter les personnes qui ne vous comprendraient pas. Votre vétérinaire est en première ligne. Ne sous-estimer pas tout ce que lui peut aussi ressentir concernant la mort d’un animal. Les soins, la maladie, l’accident la vieillesse conduisant à la mort parfois par euthanasie est un moment difficile pour lui. Il doit aussi parfois faire face à des reproches, des critiques de la part des maîtres, même si cela est injustifis.

La mort des animaux fait partie de son métier et votre vétérinaire saura vous écouter et vous accompagner dans ce dur moment.

Il existe plusieurs possibilités.

L’incinération qui peut être individuelle ou collective. Le maître récupère dans ce cas les cendres qui pourront être conservées dans une urne ou bien répandues dans un jardin.

S’en remettre à son vétérinaire. Il est possible de confier au vétérinaire le soin de faire incinérer votre compagnon ou bien de contacter un équarisseur puisqu’il est habilité à le faire en remplissant les formalités nécessaires. Vous devrez en assurer les frais.

L’enterrement. Une vingtaine de cimetières animaliers existent en France. Cette solution a un coût, car il faut acheter un cercueil, louer une concession et entretenir la tombe toute l’année.

Enterrer son animal dans son jardin. Il faut pour cela respecter certaines obligations qui ne sont pas toujours respectées par les maîtres. La loi stipule que l’animal doit peser moins de 40 kg. Sa dépouille doit être enfouie à 1,20 mètre de profondeur et à distance de 35 mètres de toute habitation ou de point d’eau. Elle doit être recouverte de chaux vive avant d’être enterrée.

Être enterré avec son animal. La loi française n’autorise pas que le corps d’un animal soit placé dans un caveau familial.

Le chien Félix est à l’origine d’une jurisprudence interdisant d’être enterré avec son animal de compagnie.

Il existe toutefois des possibilités pour être inhumé avec son compagnon, tout en respectant la loi.

Le fait que dès lors que l’on dispose d’une propriété privée, le code de l’administration communale peut autoriser l’enterrement de personnes (à plus de 35 mètres de l’enceinte d’une ville, village ou bourg). Dans ce cas, la « jurisprudence Félix » ne s’applique pas (l’acteur Alain Delon a par exemple prévu d’être enterré avec ses chiens et chats).

Enfin, il existe désormais des cimetières virtuels pour animauxdisponibles sur Internet ; certains sont gratuits. On les trouve dans les moteurs de recherches, tout comme des sites permettant de rendre hommage à son compagnon.

Une maison d’édition pour les chiens et chats disparus. Pour garder un souvenir du compagnon qui a fait partie de votre vie et qui vous a quittés les Editions des Coussinets propose de vous aider à publier un souvenir qui vous accompagnera après son départ : un livre-souvenir comportant des pantges de texte et des photos. L’aide peut aller de la simple mise en page de votre texte et de vos photos avec impression du nombre d’exemplaires souhaités, jusqu’à la rédaction complète de votre texte après entretien enregistré et mis en forme.

Le Groupe Veternity* lance en France la marque Esthima. Partenaire historique des vétérinaires, et spécialiste de la crémation animale, l’ex La Compagnie des Vétérinaires propose aujourd’hui avec Veternity une offre complémentaire au million de propriétaires qui ne passent pas par une clinique lors du décès de leur animal.

Sa mission : « Accompagner les propriétaires à chaque étape des obsèques personnalisées qu’ils souhaitent organiser pour leur compagnon. Et une unique conviction : le droit au respect de l’animal se doit d’être prolongé au-delà de sa vie », explique David Buisset, DG Esthima France.

Depuis l’origine, en France, les familles passent, lors de la mort de leur animal de compagnie, par un vétérinaire qui lui-même s’adresse ensuite à un centre de crémation. Aujourd’hui, avec Esthima, les familles peuvent également se rendre directement dans ses agences et centres de crémation. Différentes formes de prise en charge sont possibles :

– Le corps de l’animal est confié directement aux agences ou crématoriums Esthima où il est pris en charge rapidement

– Esthima propose également la prise en charge à domicile : nouveau service actuellement en cours de mise en place

– Le propriétaire passe par son vétérinaire : dans ce cas,

les équipes Esthima prennent en charge l’animal au sein de la clinique.

Esthima accompagne de A à Z les propriétaires d’animaux au moment du décès de leur compagnon de vie, de la prise en charge du corps à la remise des cendres après un « Service de Crémation Privé », en passant par l’organisation d’hommages.

Deux services de crémation sont proposés, individuelles (« Référence ») ou collectives (« Plurielle »), avec un tarif s’établissant de 61 à 290 €.

Les conseillers funéraires Esthima sont formés spécifiquement pour guider les propriétaires d’animaux dans les démarches à effectuer selon le lieu de décès, en clinique ou à domicile.

Esthima met en place une multitude de moyens pour assurer le suivi de l’animal confié. « La transparence est une valeur majeure pour la marque, nous améliorons donc sans cesse nos process pour pouvoir communiquer aux propriétaires qui le désirent les différentes étapes de la prise en charge et de la crémation de l’animal », poursuit-il. « Nous savons également que les familles nouent des relations de plus en plus fortes avec leurs animaux. Nous leur proposons donc un accompagnement émotionnel via un ‘’soutien psychologique’’. Notre ambition est de faire d’Esthima la référence des pompes funèbres animalières auprès des 60 millions de propriétaires d’animaux en France. »

Esthima s’appuie sur un réseau de 14 crématoriums dans l’Hexagone et ouvre sa première agence funéraire animalière dans la métropole lyonnaise (à Décines-Charpieu). Prochaine étape : l’ouverture de 5 nouvelles agences sur le territoire en 2021.

C’est un engagement sociétal qui est prône: même dans la mort, l’animal mérite de la considération et du respect. Esthima s’engage pour faire évoluer la législation française sur le respect de l’animal. Aujourd’hui, d’un point de vue réglementaire, le corps d’un animal défunt est considéré comme un déchet et traité comme tel.

La conviction d’Esthima est que l’animal, même après sa mort, mérite de la considération et du respect, tout comme le besoin psychologique pour les maîtres de faire leur deuil via des obsèques dignes. La marque s’engage à continuer à faire bouger les lignes (sociétales, législatives), dans un objectif de progrès (pour l’humain, l’animal, la planète).

Pour en savoir plus…

Le site Esthima : www.esthima.fr ; service client, tél. :03 20 61 22 92

A noter qu’Esthima propose également un cimetière virtuel – L’animorial– afin de permettre aux maîtres d’entretenir le souvenir en mode digital ainsi qu’une sélection d’articles funéraires pour animaux de compagnie sur son site internet (urnes dès 90 €, bijoux cinéraires dès 110 €, articles souvenir dès 26 €, cadre photo dès 44 €)

*Ex La Compagnie des Vétérinaires, groupe créé il y a 25 ans autour d’un projet éthique : offrir une solution de fin de vie digne aux animaux domestiques.

La question se pose pour de nombreux maîtres ayant perdu leur compagnon. Faut-il ou peut-on reprendre un nouvel animal ? Il faut laisser le temps et lorsque cela est envisagé garder à l’esprit que ce sera un nouveau lien d’affection qui se créera avec un autre animal. Il ne viendra pas remplacer celui disparu, ce dernier restera dans votre cœur et ne n’est pas lui faire « offense » ou l’oublier.

L’assurance santé animale SantéVet propose une option garantie décès pour chien et une option garantie décès pour chat.

Cette garantie permet à faire face aux frais liés à la disparition de son animal de compagnie. Voire à retrouver un nouveau compagnon. Ce qui n’est pas trahir la mémoire de celui qui est parti.

Santé Vet

Ensemble, prenons soin de votre animal

Photos : Shutterstock

 

Le Parisien salue la naissance des Coussinets, un sujet grand public qui concerne tout le monde

Dominique Beudin, grande amoureuse des chats et la fondatrice de cette maison d’édition parisienne, veut permettre à ceux qui ont perdu leur compagnon à quatre pattes de publier leurs souvenirs.
Dans sa vie, il y eut Coucou, Cachou, Ophélie la noire angora, Othello, Plume la petite birmane née trop frêle, et tant d’autres aux noms un peu drôles, ou distingués, comme la grâce du Sacré de Birmanie. Dominique
Beudin aime les chats, leur compagnonnage a jalonné la vie de cette mère de 4 enfants du genre « business woman », ex-directrice à l’Agence française de développement (AFD) puis dirigeante d’un cabinet de conseil
en gestion financière.
Aujourd’hui son amour pour « ces montagnes de tendresse et de douceur », ainsi qu’elle parle de ses «infatigables aspirateurs à câlins », a soufflé à Dominique Beudin l’idée de créer « Les Coussinets», une maison d’édition
dédiée à ceux qui veulent immortaliser le souvenir de leur(s) chien(s) ou chat(s), dont la disparition a laissé tant de vide.
«Quand un animal meurt, c’est une partie de nos souvenirs qui part avec lui»
« Il y a en France 14 millions de chats domestiques et 7,5 millions de chiens, plus d’un foyer sur deux possède un animal de compagnie, qui est le plus souvent un véritable membre de la famille, parfois même un substitut aux enfants que l’on n’a pas eu, ou qui sont partis », explique Dominique.
« Quand un animal meurt, c’est une partie de nos souvenirs qui part avec lui, une tranche de vie. Ce fut le cas pour moi avec Peluche, une chatte qui est morte il y a 2 ans. Elle avait 19 ans, a vu grandir puis partir mes enfants… A sa mort , j’ai eu l’idée de faire un album de nos souvenirs. Quand j’ai perdu un peu plus tard un chaton trop fragile, j’ai eu besoin d’écrire. »
D’un projet d’album, l’idée de Dominique Beudin est ainsi devenue un livre d’une bonne centaine de pages et plus encore de photos, «Tous les chats de ma vie »*, consacré non seulement à Peluche mais aussi à tous les autres, ces chats meilleurs amis des enfants. Tiré en 250 exemplaires il est le premier ouvrage des Coussinets, une nouvelle venue parmi les maisons d’édition parisienne.
«A la mort de leur animal, beaucoup de gens parlent de leur envie d’écrire, souligne la fondatrice. Ce que je veux, c’est leur donner la possibilité de publier leurs souvenirs, pour eux et pour d’autres. Les grands éditeurs
ne font pas cela, et publier à compte d’auteur est coûteux. Il y avait quelque chose à créer. »
«S’adresser à des gens qui ont des émotions à transmettre»
Sous sa nouvelle casquette d’éditrice, Dominique Beudin ne se range ni parmi les éditions à compte d’auteur, ni parmi celles en quête d’auteurs rentables : pas question de refuser des textes. « Tout le monde doit avoir
le droit de matérialiser ses souvenirs. Sauf s’ils sont réellement trop mauvais pour être édités, auquel cas on peut imaginer les mettre sur le blog ! », suggère-t-elle. « Je verrai selon la charge de travail que représente
le livre. » Pas question non plus de chercher à faire de l’argent. « Si les livres se vendent ce sera bien, mais je prévois plutôt de publier aussi des textes plus littéraires ou documentaires, toujours sur les chiens et les
chats, qui se vendront plus. »
L’objectif des Coussinets, c’est de « s’adresser à des gens qui ont des émotions à transmettre, que je peux les aider à écrire, et à d’autres qui écrivent bien et dont je publierai le lire tel quel », précise-t-elle. « Tout le monde rêve de raconter sa vie, mais personne n’a envie de lire la vie des autres ! L’amour des animaux, en revanche, est le trait d’union entre auteur et lecteur. » Pour certains textes, trop courts pour faire un livre, Dominique Beudin prévoit également « d’en rassembler dans des ouvrages collectifs, ou d’en faire des petits livres de souvenirs ».
30 exemplaires autour de 200 ou 300 euros. 
Pour les auteurs, l’investissement reste modeste. « Le coût de revient, et, en fonction du nombre et des ventes, une petite commission », explique l’éditrice. Selon le volume du livre, du travail de mise en page et des illustrations, un ouvrage édité en 30 exemplaires n’excédera pas « les 200 ou 300 euros », estime-t-elle. Dominique Beudin mise sur son réseau, de l’imprimerie à la distribution. Les livres seront ainsi disponibles
dans plusieurs librairies de Paris et Antibes (Alpes-Maritimes), où elle vit en partie, chez des vétérinaires, des bars à chats, des expositions félines et canines. « Les lieux où viennent les gens qui s’intéressent à ces
livres .»
Parmi les premiers «auteurs » séduits par la nouvelle maison d’édition, Liliane Rozelot imagine volontiers ses « belles histoires avec tous nos chats de récup ! », ainsi qu’aime se souvenir cette retraitée à la vie remplie de
chats trouvés, adoptés, accueillis et parfois déposés devant son portail. « Lorsqu’on m’a parlé des Coussinets, je me suis mise à rappeler des souvenirs et à les concrétiser sur papier, raconte-t-elle. Je n’ai aucune ambition
littéraire mais je me suis fait plaisir, et le livre qui en sortira permettra une certaine survie à ces animaux qui n’en auraient pas. Cela perpétuera leur souvenir ».
*Tous les chats de ma vie, Editions des Coussinets (15€), renseignements et contact sur le site
Journée des chats : 88% des maîtres conversent avec leur félin

30 millions d’amis a interviewé la fondatrice des Editions des Coussinets !

https://www.animaux-online.com/article,lecture,2395_deuil-d-rsquo-un-animal-publier-vos-souvenirs-c-rsquo-est-maintenant-possible-.html

Bons plans/ Livres

Pour les amoureux des chiens et des chats, la vie est souvent rythmée par des rencontres mais aussi des pertes… Afin de garder à tout jamais une trace de ces merveilleux compagnons de vie, les éditions des Coussinets proposent de les figer sur le papier. Nous avons rencontré Dominique Beudin, la créatrice de cette maison d’édition pas comme les autres, qui nous parle plus en détail de son projet.

ANIMAUX-ONLINE : COMMENT VOUS EST VENUE L’IDÉE DE CRÉER CETTE MAISON D’ÉDITION ?

Dominique Beudin : J’ai 73 ans et j’ai fait ma carrière à l’Agence française de développement, en Afrique. Quand j’ai arrêté de travailler, j’ai créé ma petite entreprise. Je fais des missions en Afrique depuis 10 ans, mais là, j’ai envie d’arrêter. L’idée de cette maison d’édition m’est venue quand j’ai perdu ma dernière chatte, Peluche. J’ai alors fait un album photos. Ensuite, dans la dernière portée de deux de mes chats, j’ai perdu un chaton et j’ai beaucoup pleuré. Ça peut sembler idiot parce qu’elle est morte à 1 semaine, mais c’est là où j’ai eu besoin d’écrire cette expérience. En lisant des témoignages sur les réseaux sociaux, je me suis rendu compte que c’était la même douleur pour tous les gens qui perdent un chat, que ce soit un bébé ou un chat qui a partagé notre vie pendant 19 ans, comme Peluche. J’ai donc réalisé le premier album de la collection « Tous les chats de ma vie », qui vient de sortir. J’y raconte mon quotidien et celui des chats qui ont partagé – et partagent toujours – ma vie depuis 50 ans.

AO : QUEL EST SON BUT ?

D. B. : Les chats et les chiens sont des membres de la famille comme les autres. En racontant notre vie par le prisme de nos animaux, je pense que l’on peut arriver à intéresser davantage de personnes. L’amour des animaux est alors le trait d’union entre l’auteur et le lecteur. Et puis, il s’agit surtout d’immortaliser cette période de notre vie. À partir du moment où on la raconte, où on l’illustre, on n’oublie plus. 

AO : CONCRÈTEMENT, COMMENT CELA S’ORGANISE ?

D. B. : Je prévois deux types de choses. Le livre collectif avec un chapitre par animal ou par auteur, alimenté par 5 personnes maximum. Il faut que ce soit écrit dans un bon français, sinon je propose une réécriture et là, c’est plus cher. J’aurais pour principe de ne pas refuser, toutefois, s’il y a vraiment trop de travail et que ce n’est pas publiable en l’état, je proposerai plutôt une mise en ligne sur le blog. Si c’est bien écrit, ça ira vite, je ferai juste la mise en page et je produirai l’album.
Autre cas de figure : quelqu’un qui a un livre entier tout prêt. Là, par exemple, il y a un monsieur qui m’a envoyé un livre de 250 pages sur 3 chiens, c’est pratiquement prêt à être édité, ce que l’on va faire. Dans ce cas-là, c’est du sur-mesure. Le principe est de publier l’amour que l’on a eu pour nos animaux. Le reste, je m’en occupe. Je pense que ce concept peut encourager les gens à se lancer dans l’écriture. Chaque livre sera un produit à traiter différemment. Le prochain ouvrage que je voudrais sortir est : « Nos petits rescapés », qui réunirait des témoignages de sauvetages de chatons, mais aussi d’animaux qui se sont remis d’accidents ou de graves maladies.

AO : COMMENT COMPTEZ-VOUS DISTRIBUER CES OUVRAGES ?

D. B. : Pour la distribution, en plus du cercle familial et amical des auteurs, je pense à déposer quelques exemplaires dans des librairies. Je vais essayer d’avoir des points dans la plupart des grandes villes. Mais surtout, je pense au circuit vétérinaire. Le mien m’a déjà pris un exemplaire et des flyers, et m’a dit qu’il renverrait les gens qui sont intéressés vers moi. Je pense également aux expositions félines et canines et aux bars à chats.

D. B. : L’argent que devront débourser les auteurs variera en fonction de ce qu’ils demanderont. Disons que si le texte n’est pas à reprendre, qu’il y a assez de photos et que c’est dans le cadre d’un livre collectif à 3 ou à 4, je pense que, hormis le coût de fabrication, ça ne coûtera pas plus de 300 ou 400 euros, à tout casser. 

Pour soumettre vos idées d’ouvrage, vous pouvez contacter les éditions des Coussinets à Plume@editionsdescoussinets.fr
Toutes les informations sont à retrouver sur leur site.

Livres Hebdo consacre un article à la naissance des Editions des Coussinets

EDITION Les animaux ont leur éditeur

pour publier aux Editions des Coussinets, contactez plume@editionsdescoussinets.fr

Dominique Beudin lance les éditions des Coussinets, consacrées aux chiens et aux chats de compagnie pour permettre à leur maître d’immortaliser les moments passés avec eux.

Par Alexiane Guchereau, mis à jour le 18.08.2020 à 17h06

Ex-gérante du cabinet de conseil en gestion comptable et financière BE-ST Conseil et Prestations, Dominique Beudin lance Les éditions des Coussinets pour permettre à tous ceux qui souhaitent honorer leurs compagnons, félins ou canins, de partager leur histoire et celle de leurs animaux. Elle a déjà consacré un livre intitulé Tous les chats de ma vie à ses 13 félins successifs.
 
La nouvelle éditrice propose aux propriétaires un service d’impression personnalisé. Selon les besoins, les auteurs pourront choisir un album photo format 21×29,7 sur le modèle de Tous les chats de ma vie ou un chapitre de ce type d’album pour en extraire un tiré à part. Ils peuvent aussi opter pour un plus petit format avec de belles photos pleine page et un texte qui évoque la vie avec lui.
 
A l’heure actuelle, deux collections sont disponibles, Tous les chats de notre vie et Tous les chiens de notre vie. Dominique Beudin propose également son aide aux auteurs, qui peut aller de la simple mise en page du texte et des photos avec impression du nombre d’exemplaires souhaités, jusqu’à la rédaction complète du texte, après entretien téléphonique enregistré et mis en forme.
 
Les éditions des Coussinets prévoient la parution d’un livre consacré à plusieurs chiens de chasse, à la demande de leurs maîtres et d’un prochain album sur les chats, en participation. »Les éléments que nous publierons seront collectés auprès des volontaires au troisième trimestre 2020″ prévoit l’editrice.