Le Quotidien du Médecin a bien lu l’essai magistral de Guy Vallancien

Anne Bayle-Iniguez
www.lequotidiendumedecin.fr
« J’aime donc je suis » : le nouveau livre érudit du Pr Guy Vallancien
Quiconque a croisé le Pr Guy Vallancien ne peut oublier la malice qui habite le regard de ce grand enfant prodige de 73 ans, qui signe cet été un nouveau livre sur une de ses marottes : disséquer l’être humain.
Dans ce nouvel opus de quelque 250 pages, le célèbre urologue et membre de l’Académie de médecine s’interroge sur la nature humaine à l’aune de l’intelligence artificielle, de la robotique et de la génétique.
Prenant Descartes à contre-pied, le médecin l’affirme :
diligo ergo sum
, j’aime donc je suis. C’est précisément la capacité d’aimer, de ressentir, de tisser des liens qui sépare l’Homme de la machine, cet « ogre numérique», qui, « bête comme il est, incapable de partager les fulgurances et les amitiés » qui animent l’être humain, ne pourra jamais restreindre la liberté de ce dernier.
Les « cons » à la casse
Dithyrambique dès qu’il s’agit d’évoquer l’Humain – le cerveau et le corps surtout –, cette « exceptionnelle machine à produire des liaisons muettes, de la folie créatrice, de l’amour indicible », Guy Vallancien l’est tout autant pour expédier à la casse les « cons », les « enragés du toujours plus quantitatif » et les «apôtres de la raison ». Son admiration pour l’humanité n’en fait pas pour autant un prosélyte aveugle.
« L’intelligence collective humaine n’intervient finalement qu’à de rares moments en bouffées éphémères, alors que la bêtise et la cruauté des foules sont terrifiantes », assène-t-il.
De l’infiniment petit à l’infiniment grand, le médecin raconte sa fascination pour la bactériologie comme pour la cosmogonie.
« Nous sommes les fils et filles des étoiles qui possèdent les mêmes molécules que nous tous. Éléments de matière se mobilisant dans des trajectoires temporelles et spatiales variées, étroitement reliées les unes aux autres au travers de flux innombrables que nous captons sans pouvoir en définir clairement leur nature ni en interpréter les messages. »
À méditer sur la plage.
«À l’origine des sensations, des émotions et de la raison, J’aime donc je suis», du Pr Guy Vallancien,
L’Harmattan, 248 p., 25 euros

Un roman immodérément russe : « Le Testament du Tsar » de Youri Fedotoff ! A lire absolument !

Vient de paraître (rentrée littéraire 2019)

 Roman d’aventures, thriller historique

Le Testament du Tsar

Chaos 1917-1945

de Youri FEDOTOFF

Immodérément russe ! chez Y & O éditions

Site officiel de l’auteur https://letestamentdutsar.com

Demande d’exemplaires en services de presse, ou de résumé chapitré du livre ou d’interviews :

guilaine_depis@yahoo.com  / 06 84 36 31 85

Déjà sélectionné pour un prestigieux événement au Salon du livre russe en décembre 2019

En bref :

  • Une aventure haletante sur un théâtre planétaire entre 1917 et 1945.
  • Des figures héroïques d’une société disparue.
  • Un «guerre et paix» du XXe siècle
  • Une saga qui tiendrait à la fois du «Guépard», «du docteur Jivago» et d’un thriller à la Robert Ludlum.

420 pages – 23 euros

En 1917, à la veille de son abdication, le Tsar confie secrètement à son filleul Michel Trepchine la régence et une fortune en diamants d’une valeur inestimable.

Le jeune héritier va s’employer à reconquérir la Russie tombée aux mains des bolchéviques.

Une aventure épique

La révolution Russe et les deux guerres mondiales offrent à l’auteur un théâtre planétaire dans lequel vont s’affronter les héros d’un monde disparaissant et ceux portant les espérances du futur. Cette confrontation permet à l’auteur de renouer avec le genre épique. Le lecteur est emporté par une succession d’aventures haletantes aux quatre coins du globe. Une redoutable partie d’échecs où se croisent de nombreuses figures historiques.

Une saga romantique

Les membres des familles Trepchine et Boulganov séparés par la révolution et les guerres sont tous habités par de fortes convictions souvent opposées : humanisme, bellicisme, pacifisme. L’auteur joue de ces oppositions en confrontant ces passions contradictoires. Il écarte les faux semblants idéologiques pour restituer la psychologie des personnages. Au gré des événements, les héros évoluent dans des tableaux naturalistes, parcourant l’Asie, l’Europe et l’Amérique. La musique incarnée par la femme concertiste du héros principal devient la part d’une humanité incorruptible traversant le chaos.

Une tragédie historique

Les forces conservatrices, révolutionnaires, totalitaires et libérales chacune incarnées par des personnages attachants s’affrontent sans merci dans une succession de conflits les plus meurtriers de tous les temps. C’est «le monde d’hier» si cher à Stéfan Zweig qui disparaît en posant la question du prix exorbitant du progrès et du devenir de l’humanité.

Une nouvelle piste pour le Trésor des Romanov ?

L’existence du testament secret a été livrée à l’auteur par son père au soir de sa vie à Lima au Pérou, près d’un siècle après la révolution russe. D’une part, le roman offre une réponse à la disparition du trésor des Romanov : des wagons remplis de l’or impérial. D’autre part, il ouvre une nouvelle piste au sujet d’une fabuleuse collection de diamants disparus.

L’auteur : Descendant d’un russe blanc et d’une comtesse hongroise, Youri FEDOTOFF est né à Paris en 1959. D’un éclectisme gourmand, il sera tour à tour charpentier, urbaniste, avocat et enseignant en droit public.

Féru de littérature et de philosophie il a publié des articles dans la revue numérique « Sens Magazine », sur  « l’amitié » de Cicéron, « la Politesse » de Bergson et « l’Usage du Monde » de Nicolas Bouvier. Influencé par les réflexions d’Ernst Jünger et de René Girard, Il s’interroge constamment sur le sens du progrès.

Il publie ici le premier roman d’une trilogie couvrant le XXe siècle, consacrée à une saga historique « Le testament du Tsar » dans laquelle se confrontent les utopies matérialistes et les évolutions des courants humanistes à l’aune de la violence et du sacré.

« Science Magazine » a un coup de coeur pour « L’âme de la fontaine étourdie » de Gérard Muller

Et si la physique quantique permettait de communiquer avec l’au-delà ? Dans ce roman d’aventures à l’atmosphère de polar, Gérard Muller, ancien ingénieur de l’industrie aérospatiale, nous emmène en Namibie où chamans et chercheurs se côtoient à l’occasion de recherches archéologiques. L’auteur, plusieurs fois primé, aborde des thèmes scientifiques tout en nous proposant des réponses originales et un sujet divertissant. 

Les 4 vérités mettent à l’honneur Christian de Moliner pour « Islamisme radical : comment sortir de l’impasse ? »

Christian de Moliner avait publié en 2017 un article intitulé: «Partition, remède à l’islamisation?» Cet article connut un retentissement international important et suscita un large débat. L’auteur revient dans ce petit livre sur cette idée qui pourrait se résumer ainsi : accepter de donner un statut particulier à la minorité de musulmans radicaux et désireux d’être gouvernés selon la charia, en échange d’une acceptation des lois françaises. Il est douteux que cela produise un apaisement durable. Mais ce livre a au moins le mérite de mettre sur la table la question de l’incompatibilité de la charia avec nos mœurs et nos lois – et donc la question de la coexistence de deux communautés étrangères, sinon hostiles, sur notre sol.

POSTÉ LE 16 JUILLET , 2019, 2:53

 

Les Conquérants d’Aton – Tome 2 : Aÿ, le Pharaon Sans Couronne – un roman de Philip KAYNE

Vient de paraître le 15 juillet 2019

Les conquérants d’Aton – Tome 2 : Aÿ, le Pharaon Sans Couronne

Roman

Pour le recevoir en service de presse et/ou interviewer l’auteur Philip KAYNE, merci de contacter Guilaine Depis 06 84 36 31 85 * guilaine_depis@yahoo.com

Bien des récits mythiques recèlent des vérités, cachées à l’intérieur des mots, des noms, à travers des personnages ou des situations.
Derrière ces fameux mots, noms illustres ou situations rocambolesques se cachent aussi des personnes faites de chair et de sang. Ces personnages, que l’on juge aujourd’hui mythiques, ont connu tout ce qui fait l’existence humaine, ses moments de joie ou de peine, de gloire ou de chute.

Avec l’aide précieuse d’égyptologues de renom tels que Christiane Desroches Noblecourt, le professeur Joseph Davidovits ou Estelle Villeneuve mais aussi des archéologues comme Israël Finkelstein ou des chercheurs linguistes tels Roger et Messod Sabbah, l’auteur tente de dégager une approche différente des grands mythes, accessible au plus grand nombre.

Un roman fascinant qui mêle légende, Histoire et croyances.

Code ISBN 979-10-203-1361-4 – Format : 15 x 21 cm – 406 pages – Prix de vente public : 22,00 €

Au fil des pages…

 Râ n’a pas encore donné naissance au jour nou- veau.

Juché sur son char, Aÿ observe les premières lueurs qui émergent d’Akhet-Aton. Ce sont celles des boulangers. Avec leur dextérité, ils s’affairent à la première fournée pour le Grand temple d’Aton. Tout est paisible et serein. On dirait l’un de ces matins calmes où tout n’est que promesses et bonheurs à venir. Pourtant, contrairement aux autres jours, à tous les autres jours depuis plus de douze années, les pains sacrés n’auront pas le temps de lever. À présent, le temps presse.

Derrière lui, Aÿ entend des bruits assourdis où se mêlent couinements mats et cliquetis. Il ne s’en émeut pas ; c’est Paramessou accompagné de

Paatonheb. Tous deux viennent le rejoindre avec les officiers de leur suite. Paramessou se porte à sa hauteur, sans qu’Aÿ ne lui prête attention.

— On n’y voit goutte ! lui lance Paramessou, allongeant le cou.

La mine impassible, Aÿ lui précise qu’il n’a nul besoin de Râ, lumière du Très-Haut, pour imaginer la magnifique cité qui s’étale devant eux. Il la connaît par coeur, l’a aimée avec passion cette Cité de l’Horizon d’Aton, telle qu’on la dénommait, avec ses temples et l’or de ses palais, ses jardins luxuriants qui s’étendaient à perte de vue, sa joie de vivre. Tout y était ravissement et beauté ! Le Pharaon Akhenaton, son roi, presque son fils, l’avait voulu ainsi avec Néfertiti, sa chère fille.

Quatrième de couverture

Tout commence par une tentative d’assassinat à l’encontre du Pharaon Sémenkharâ. Le danger et la corruption sont partout depuis la disparition de son père, le Pharaon Akhenaton. Dénommé l’Hérétique par ses opposants, ce dernier était l’intransigeant souverain qui, sous l’égide d’Aton le Vrai, avait relégué les anciennes divinités au rôle de figurants. La guerre des clans reprend de plus belle et seul le Divin père Aÿ, celui que l’on nomme AtonAÿ, en mesure toute l’étendue. Aux menaces de l’intérieur ourdies par les tenants du dieu Amon, viendront s’ajouter celles des ennemis extérieurs de l’Égypte, avec les Hittites et leurs alliés.

Aÿ possède une alliée de poids, sa petite-fille, Méritaton, ambitieuse et décidée, qui est aussi l’épouse-sœur de Sémenkharâ. La rencontre amoureuse que fera la jeune reine avec le général Paatonheb la confortera encore dans son idée d’épauler Aÿ.

Dans ce conflit où l’un jure la perte de l’autre, tous les coups sont permis et les tragédies personnelles vont s’enchaîner. Aÿ verra sa famille endeuillée, le laissant un temps déconcerté et amer. Mais l’atteinte la plus inattendue viendra de la trahison dans ses propres rangs, parmi le clergé d’Aton. Alors que l’héritage d’Akhenaton semble voué à disparaître à tout jamais, Aÿ va tenter une ultime manœuvre : convaincre Pharaon de chasser hors d’Égypte les agitateurs de tous bords.

Philip KAYNE

Auteur résidant à : Antibes, Alpes-Maritimes

Guidé par le savoir d’éminents égyptologues, archéologues et linguistes de renom, Philip Kayne nous livre sa propre intuition de chercheur des civilisations anciennes et, en particulier, la civilisation pharaonique, celle qui a édifié la grande pyramide et la plus vaste société organisée de son temps. Mais Philip Kayne n’oublie pas que ce sont les hommes et les circonstances qui font l’Histoire !

Nourri de lettres classiques (latin, grec), sa passion pour l’égyptologie a grandi lors de ses trois années à l’ULB (université libre de Bruxelles) où il a étudié en tant qu’auditeur libre. Son appétence pour l’écriture et la recherche l’a naturellement porté vers la littérature et il est devenu ce que l’on appelle communément « un nègre d’Écriture ».

Sa saga « Les Conquérants d’Aton » trouve naturellement sa source dans ses propres découvertes de chercheur en égyptologie, mais également dans ses nombreux voyages en Égypte et dans ses multiples rencontres avec de prestigieux Égyptologues, archéologues ou linguistes.

 

 

Les conquérants d’Aton – Tome I : La part de vérité – un roman de Philip KAYNE

Vient de paraître le 15 juillet 2019

Les conquérants d’Aton – Tome I : La part de vérité

Roman

Pour le recevoir en service de presse et/ou interviewer l’auteur Philip KAYNE, merci de contacter Guilaine Depis 06 84 36 31 85 * guilaine_depis@yahoo.com

La XVIIIe dynastie représente sans doute la quintessence de la civilisation pharaonique, celle qui a édifié la grande pyramide, de la plus vaste société organisée de son temps. D’un point de vue politique, les souverains hors normes se succèdent. Dans leur lignée viennent s’ajouter, dans un registre très différent, Akhenaton et Néfertiti.

En ces temps ancestraux, le sacré imprégnait tous les aspects de la vie. C’est dans ce contexte sensible qu’Akhenaton et Néfertiti vont inaugurer une voie novatrice, épurée, très en avance sur les croyances embrouillées de leur temps. Pour Akhenaton et Néfertiti, une ultime gageure, auquel le destin semble les pousser : répandre le culte de l’Unique, Aton le vrai. Akhenaton et Néfertiti seraient-ils les vrais précurseurs, les initiateurs du monothéisme qui fleurira plus tard et sous d’autres cieux ?

Code ISBN 979-10-203-1362-1 – Format : 15 x 21 cm – 430 pages – Prix de vente public : 22,00 €

Au fil des pages…

En ces temps reculés, le sacré imprégnait la vie quotidienne des Égyptiens, habitués à s’en remettre aux divinités ancestrales. C’est dans ce contexte que l’aventure d’Aton le Vrai a débuté avec le Pharaon Akhenaton et l’inoubliable Néfertiti. Ensemble, ils vont tout bouleverser. À une Égypte immobile, confinée dans des traditions superstitieuses et idolâtres, savamment entretenue par la caste des Prêtres qui confisquaient la foi à des fins de pouvoir, d’enrichissement, le couple solaire leur opposera une conception inédite et universelle : le soleil d’Aton brille pour tous, sans restriction aucune ! Pourtant, avant de reconstruire une nouvelle spiritualité il fallait d’abord réduire à néant les anciennes croyances, à commencer par les images de ces dieux innombrables, façonnées de main d’homme et qui lui ressemblaient trop dans leur comportement pour lui être vraiment supérieur. Une vraie révolution ! Mais comment le peuple allait-il vivre un changement aussi radical dans ses coutumes religieuses ? A dire vrai, l’Égyptien de base, habitué depuis des millénaires à l’enchevêtrement des dieux et des déesses qui veillaient à travers des rites magiques à chaque besoin de la vie, devait être perplexe devant l’abstraction du dieu unique (…).

Quatrième de couverture

Nous sommes en 1358 avant J-C. Le quatrième Amenhotep, futur Akhenaton, ceint la double Couronne dans la cité de Thèbes. Aux côtés du nouveau Pharaon se tient non seulement sa mère, la reine Tiy, qui l’a initié au culte d’Aton l’Unique, le Vrai, mais aussi et surtout la divine Néfertiti, son épouse, qu’il appelle Sahrâ dans l’intimité. Un couple de légende est né, mais personne ou presque ne s’en est aperçu. Akhenaton, iconoclaste convaincu, veut bouleverser les codes, renverser les barrières qu’on tente de lui imposer. Néfertiti, elle, soutient son époux, démontrant qu’au-delà des apparences, sa beauté cache un cœur vaillant et un esprit bien fait. Dans ce combat partagé, elle deviendra son égale.

Pour les tenants des divinités traditionnelles, la situation vire au cauchemar. Pharaon remet en cause leur pouvoir, et, pire encore, porte atteinte à leurs immenses richesses. La lutte des clans entre les Anciens et les Modernes aboutira à un combat sans merci qu’Aânen, Grand prêtre d’Amon, mènera contre le couple royal. Même Kya, l’épouse seconde d’Akhenaton, va prendre parti contre lui ; sans doute pense-t-elle que la couronne siérait mieux à son fils, Sememkharâ. Devant tant d’empêchements, Akhenaton et Néfertiti vont-ils renoncer ? Se renier soi-même est inconcevable pour le couple solaire qui veut accomplir jusqu’au bout le destin inouï qu’il s’est choisi. Main dans la main, Akhenaton et Néfertiti vont s’y engager avec d’autant plus de résolution que le chemin emprunté est sans retour.

« …Je me suis attaché à rendre une image non- conventionnelle et crédible d’un couple, si moderne dans son attitude de révolte face à la raideur des traditions, aux stéréotypes de toutes espèces… »

Philip KAYNE

Auteur résidant à : Antibes, Alpes-Maritimes

Guidé par le savoir d’éminents égyptologues, archéologues et linguistes de renom, Philip Kayne nous livre sa propre intuition de chercheur des civilisations anciennes et, en particulier, la civilisation pharaonique, celle qui a édifié la grande pyramide et la plus vaste société organisée de son temps. Mais Philip Kayne n’oublie pas que ce sont les hommes et les circonstances qui font l’Histoire !

Nourri de lettres classiques (latin, grec), sa passion pour l’égyptologie a grandi lors de ses trois années à l’ULB (université libre de Bruxelles) où il a étudié en tant qu’auditeur libre. Son appétence pour l’écriture et la recherche l’a naturellement porté vers la littérature et il est devenu ce que l’on appelle communément « un nègre d’Écriture ».

Sa saga « Les Conquérants d’Aton » trouve naturellement sa source dans ses propres découvertes de chercheur en égyptologie, mais également dans ses nombreux voyages en Égypte et dans ses multiples rencontres avec de prestigieux Égyptologues, archéologues ou linguistes.

 

Jean-Marc Quillet (Percussions), Michel Massot (Tuba, trombone), Matthew Bourne (Piano), Gabriel Gosse (Guitare, guitare électrique sept cordes, banjo et percussions)

Jean-Marc Quillet (Percussions)

Compagnon de route de Laurent Dehors, Jean-Marc Quillet évolue entre théâtre, musique et danse.Professeur d’art dramatique du Conservatoire de Besançon, il est aujourd’hui directeur adjoint du Conservatoire de théâtre/musique et danse d’Amiens. Percussionniste mais aussi comédien et façonneur de mots, il commence sa carrière dans les bals, de 7 à 20 ans. Études au CNR de Rouen et de Créteil, Maîtrise de Musicologie, DE de percussions.
A joué avec Jacques Di Donato, le POM, Elise Caron, Yves Robert et aujourd’hui avec André Minvielle etJean-Marie Machado dans « La fête à Bobby » (répertoire autour de Boby Lapointe).
Né le 17 juillet 1960 dans la charmante petite bourgade de Pont-Audemer qui, quoique traversée par la Risle se trouve dans l’Eure, tout comme le charmant petit village de Livinhac-le-haut, contourné par le Lot, se trouve dans l’Aveyron. (Quoique cette comparaison n’est pas tout à fait valide car si les noms « Aveyron » et « Lot » désignent à la fois deux rivières et deux départements français, les noms « Eure » et « Risle » désignent bien deux rivières mais pas deux départements… Le trouble que cette distinction, apparemment délicate, pourrait causer chez le lecteur doit être aboli sur l’heure à la lecture de la première phrase quistipule qu’il est dans l’Eure).

Il a enseigné la percussion, le jazz et la musique improvisée, l’art dramatique et la chanson à l’Ecole Municipale de Musique, de Danse et d’Art Dramatique de Petit-Quevilly (agglomération de Rouen – 76)

Il a été chargé de cours à l’Université de Franche-Comté (Besançon – 25) pour l’enseignement pratique et théorique de la relation théâtre/musique (donc de la danse…) au sein de la filière théâtre (Licence, Master) et musicologie (Licence). Il dirige, avec Françoise Quillet, la Cie du Théâtre du Monde. Il est auteur compositeur interprète du QDD (Quincaille à DéDé)

Il est « ami » dans le Katrami-Duet (duo contrebasse/vibraphone) avec Emmanuel Thiry.
Il est accompagnateur et formateur au CeFEDeM Danse de Normandie (Centre de Formation des Enseignants de la Danse et de la Musique).

Michel Massot (Tuba, trombone)

Michel Massot a étudié au conservatoire de Liège.
Il s’est très rapidement rapproché de lascène avant-gardiste, comme Michel Debrulle, notamment avec Garrett List.

Il a fondé Trio Bravo avec MichelDebrulle, et c’est avec le changementdu saxophoniste que le groupe a été rebaptisé Trio Grande.

Michel Massot fait partie de nombreux groupes tels que : La Grande Formation de Garrett List, Variations on a Love Supreme, avec Kris Defoort et Fabrizio Cassol, Tribute to Jaco Pastorius, Tous Dehors… Il est de plus en plus actif sur la scène européenne. Michel Massot a également joué avec Claude Barthélémy, Gary Valente, Sophia Domancich, Evan Parker, Hélène Labarrière, Rabih Abouh Khalil, Louis Sclavis, Tom Rainey,Kenny Wheeler… Il se produit également en solo et en duo avec le tromboniste Geoffroy de Masure. Michel Massot enseigne au Conservatoire de Liège.

Matthew Bourne (Piano) http://www.matthewbourne.com

Matthew Bourne est né le 6 Octobre 1977 dans le Red Lion Pub à Avebury dans le Wiltshire. À 9 ans, il avait déjà un trombone à la main, avait déménagé quatre fois et était retourné vivre dans son petit village situé sur les collines de Cotswoled.

En 1989, Matthew est au Kingham Hill School – situé au milieu de nulle part près des plus beaux Cotswold.Après avoir vu Frank Sinatra à la télévision en 1993, Matthew se lance seul dans l’apprentissage du piano. Ses rapides progrès l’amènent à mettre de côté le trombone. C’est en 1995 que Matthew Bournecommence à taquiner le jazz. Lors des ses études à L’École de Musique de Leeds (Leeds College of Music), il prit du recul quant à sa vision traditionnelle de la musique pour explorer le monde de la musique contemporaine et avant-gardiste. Lors de sa dernière année d’école, il reçut le soutien de Jonty Stockdale qui lui assura qu’il pouvait, s’il le voulait, crier et jouer du piano avec ses pieds sans passer pour un fou ! C’est cette part de lui qu’il montra au Perrier Young Jazz Awards en 2001. Il y attira l’attention de SERIOUSInternational Music Producers qui le fit jouer en solo (surréaliste et unique) devant des producteurs et une assemblée internationale. La fréquente répétition de ses solos a été attentivement suivie par de nombreux lieux de production et a abouti à des relations de travail avec Luxton Cultural Associates, le British Council, la PRSF Fondation, CMN et le IJFO. Matthew a été ensuite chargé de réaliser et de produire de la musiquepour FuseLeeds, la Fondation Michael Tippett, le Festival de Jazz de Londres, L’Italian Instabile Orchestra, la radio 3 de la BBC, Jazz on 3, Conservatoires UK, Faber Music et la pianiste Joanna MacGregor.Actuellement, Matthew est en résidence à l’Ecole de Musique de Leeds où il donne des cours decomposition et de piano et continue ses prestations en solo ou à plusieurs (Trio Grande), où son jeu écorché, bouillonnant et physique, flirte souvent avec les limites du jazz et de ses structures. Matthew est également titulaire de nombreux prix (Perrier Young Jazz Award en 2001, BBC Radio Jazz Awards, Innovation Award en 2002, Festival International de Jazz de l’Organisation (IJFO) en 2005 Eisteddfod, Overseas Award, International Visual Communications Association (IVCA) Bronze Award pour la musique (partagé avec Dan Berridge) en 2007.

Gabriel Gosse (Guitare, guitare électrique sept cordes, banjo et percussions) 

https://fr-fr.facebook.com/gabriel.gosse

Originaire de Rouen, Gabriel Gosse est diplômé du CRR de Rouen en guitare classique, percussion classique et jazz.

Il étudie pendant un an au Centre des Musiques Didier Lockwook (Diplômé en 2012). Il entre ensuite au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans le Département Jazz et Musiques Improvisées, dirigé par Riccardo del Fra (DNSPM mention Très Bien à l’Unanimité, 2014). Il a étudié avec PierrePerchaud, Hervé Sellin, Pierre de Bethmann, Glenn Ferris, Manu Codjia, Nelson Veras, Marc Ducret, Larry Grenadier, Danilo Perez, Jimmy Cobb…
Il compose aussi au sein de son propre Trio: LynX Trio (lauréat jazz à vannes 2013) et joue avec le groupe de jazz-fusion Totem (gagnant du Golden Jazz Trophy 2013).

Il est également batteur dans le groupe d’électro-swing Kabaret et guitariste dans le groupe Nighthawks (jazz-fusion). Il joue depuis 2014 avec Laurent Dehors. Il accompagne également la chanteuse Linda Bergmark (Folk-Pop) et Ambre (chanson). Il s’est déjà produit dans des lieux et des festivals tels que : Théâtre du Châtelet, Le Duc des Lombards (avec Benjamin Henocq), Festival Django Reinhardt de Samois- sur-Seine, Archeo Jazz (1ère partie de Marcus Miller), Jazz à Vannes, Festival de Jazz D’Avignon, Les Terrasses du Jeudi à Rouen…

Présentation de la soprano de Tous Dehors, Tineke Van Ingelgem

Présentation de la soprano de Tous Dehors, Tineke Van Ingelgem

Soprano

www.tinekevaningelgem.be

Tineke Van Ingelgem est un soprano belge avec une présence scénique inoubliable.

Grâce à son talent d’actrice combiné avec sa voix claire et puissante, elle incarne parfaitement des rôles de femmes fortes comme Médée, Jenny (Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny) et Gräfin Mariza, ce qui la mène aux maisons d’opéra en Belgique, France, Monaco, Autriche, Italie et Espagne.

Née en 1980, Tineke fait ses débuts dans le rôle de Rosalinde/Die Fledermaus. Elle est régulièrement invitée à se produire dans les trois maisons d’opéra belges. A la Monnaie, Opera Vlaanderen et l’Opéra Royal de Wallonie, elle interprète les rôles de Jenny/Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny, Mimi/La Bohème, Alice Ford/Falstaff, Micaela/Carmen, Diane/Orphée aux Enfers, Erste et Zweite Dame/Die Zauberflöte, Erste Magd/Daphne, Blumenmädchen /Parsifal et Zerlina/Don Giovanni.

Tineke lance sa carrière internationale en se produisant dans le rôle-titre de Gräfin Mariza au Landestheater Linz. Elle est invitée par l’Opéra de Monte-Carlo et l’Opera de Oviedo pour SecondNiece/Peter Grimes, par le Grand Théâtre de Luxembourg pour Blumenmädchen/Parsifal et par le Teatro Regio di Parma pour La Voix Humaine et La Dame de Monte-Carlo de Poulenc. Elle entame sa carrière en France avec le rôle de Polly/Die Dreigroschenoper dans des productions privées à Lille et Rouen. Elle remporte un grand succès dans le rôle-titre de Médée (L.Cherubini) à l’Opéra de Dijon, ce qui la mène à l’Opéra de Rouen pour la reprise en 2018.

Cette saison, Tineke chantera Erste Dame/Die Zauberflöte à La Monnaie, Mrs. Naidoo/Satyagraha à Opera Vlaanderen et Gran Sacerdotessa/Aida et la doublure d’Aida à l’Opéra Royal de Wallonie. Elle est également l’invitée du Bozar pour chanter le soprano solo dans le Te Deum de Bruckner sous la baguette de Hartmut Haenchen, et du Volcan au Havre pour Une petite histoire de l’opéra, Opus 2.

Tineke a travaillé avec de célèbres metteurs-en-scène comme Olivier Py, Jean-Yves Ruf, David Alden, David Hermann, Romeo Castellucci et Tatjana Gürbaca, et a été dirigée par Marc Minkowski, Hartmut Haenchen, Leif Segerstam, Alexander Joel, Nicolas Krüger, Lothar Koenigs et Eliahu Inbal.

Tineke se produit également dans le répertoire du lied et de l’oratorio et donne régulièrement des récitals en Belgique et à l’étranger. Elle a chanté ainsi Ein Deutsches Requiem/J.Brahms (Opera Vlaanderen),Wesendoncklieder/R.Wagner (La Monnaie), Marguerite/Jeanne d’Arc au bûcher, Paulus/F.Mendelssohn,La Petite Messe Solenelle/G.Rossini et Stabat Mater/F.Poulenc.

Tineke a étudié au Lemmensinstituut à Louvain et y a obtenu un Master en chant avec la plus grande distinction et les félicitations du jury. Depuis 2017, elle y est elle-même professeur de chant. Elle est également licenciée en langues et littératures germaniques (diplômée des universités de Bruxelles et Louvain).

Présentation de Laurent Dehors et discographie

Laurent Dehors

Direction musicale, compositions et arrangements, saxophones et clarinettes.

Saxophoniste, clarinettiste et compositeur français né en 1964. Dès 8 ans, il entre au Conservatoire de Rouen, fait partie de la classe de clarinette de Jacques Lancelot, et obtient un premier prix en clarinette et en solfège ainsi qu’une licence demusicologie. Tout en étudiant, il écoute Sydney Bechet, Glenn Miller, Police, etc.

Poly-instrumentiste accompli (clarinettes, saxophones), c’est l’un des rares musiciens français, avec Louis Sclavis et Michel Portal, à utiliser en proportion quasi-égale les deux instruments. Très prolifique, il débuteen 1988 avec Antoine Hervé, rejoint l’ONJ (Orchestre National de Jazz) ce qui lui permet de jouer avec lascène jazz de l’époque. Puis, en 1992, il crée son premier trio avec David Chevallier et Louis Moutin, remplacé ensuite par Denis Charolles puis Eric Thielemans. La rencontre avec de jeunes musiciens, séduitspar leur personnalité, l’amène à créer le Big Band Tous Dehors pour lequel il compose un répertoire aux textures, couleurs orchestrales et rythmes foisonnants, sous la forme de masses sonores et de combinaisons multiples en un cocktail explosif qui mêle savamment jazz, rap, musette, rock et folk.

En 2000, le Big Band diversifie ses projets artistiques et propose des spectacles musicaux : Ebony Concerto, Trois pièces pour clarinette seule et Histoire du soldat de Stravinsky (2000), Qué tal Carmen ? d’après l’œuvre de Bizet (2005) puis La Flûte enchantée d’après l’opéra de Mozart (2007). Pour Laurent Dehors, créer de telles œuvres répond à son désir de tisser une transversalité stylistique et de modifier le rapporthabituel du public à la musique savante. En 2009, Laurent Dehors a composé un Concerto grosso pourquatuor de saxophones, piano et trio jazz, commande d’état 2009. Pour 2010, Une petite histoire del’opéra est créée à l’Abbaye de Royaumont (Val d’Oise) ; il retrouve ensuite Matthew Bourne pour un duo autour de Chansons d’amour (2011). En 2012, l’Opéra de Rouen-Normandie lui passe commande d’un programme intitulé Les Sons de la Vie, concert présenté en collaboration avec l’Orchestre symphonique de l’Opéra de Rouen-Normandie et le Big Band Tous Dehors. En 2013, le Théâtre des Champs-Elysées lui passecommande d’un programme « hommage » aux années 20 à l’occasion de son Centenaire ; puis en 2014, il réalise une création intitulée Chanson politique. L’année 2015 marque le 20ème anniversaire de l’orchestre

avec une tournée et la sortie du CD Les Sons de la Vie (feat. Matthew Bourne/ Marc Ducret). En 2016, il propose un concert destiné au jeune public : Margotte et les tontons timbrés avant de s’atteler à l’Opus 2 d’Une petite histoire de l’opéra. Parallèlement, il travaille sur la composition d’un nouveau répertoire pourson trio avec Franck Vaillant et Gabriel Gosse avec la sortie de l’album intitulé Moutons le 1er février 2019 chez l’Autre Distribution.

Par ailleurs, c’est un sideman très demandé, que l’on retrouve régulièrement aux côtés d’AndyEmler/Mégaoctet, Stéphan Oliva/François Raulin, Henri Texier, Michel Portal, Trio Grande avec Michel Debrulle et Michel Massot, Portal New Unit/Sclavis Quintet, Minu Cinelu/ G. Valente/ Yves Robert(L’Eté), Martial Solal, Daniel Humair…

Discographie de Laurent Dehors

2019 – MOUTONS / Laurent Dehors Trio, Asso. Tous Dehors/L’Autre distribution page7image1840****

2016 – LES SONS DE LA VIE / TOUS DEHORS, Asso. Tous Dehors/Abalone productions/ L’Autre distribution page7image2832****

2012 : Chansons d’Amour, Emouvance/ Socadisc

Elu Citizen jazz /Choc Jazzman/Jazzmag/ Oui Culture jazz

2010 : Une petite histoire de l’opéra, Laurent Dehors, Asso. Tous Dehors/ Orkhêstra

Choc Jazzman/Jazzmag /Elu Citizen jazz/Choix du Nouvel Ob’s

2009 : Happy Birthday – Tous Dehors -, Asso. Tous Dehors / Orkhêstra

2008 : La flûte enchantée – Laurent Dehors, Asso. Tous Dehors / Orkhêstra

2006 : Que Tal Carmen ? Tous Dehors, Dist. Orkhêstra (DVD)

2003 : Tu tousses ? Tous Dehors, Fairplay /Orkhêstra

2002 : Dommage à Glenn, le petit orchestre de Laurent Dehors, Fairplay /Orkhêstra 1998 : Dentiste, Tous Dehors, Evidence/ Harmonia Mundi

1997: En attendant Marcel, Laurent Dehors trio, Evidence/Harmonia Mundi,

“Disque d’émoi” Jazz Magazine

1996 : Dans la rue, Tous Dehors, CC productions/Harmonia Mundi

1993 : Idée fixe, Laurent Dehors Trio

En tant que side-man :

2015 : Andy Emler MegaOctet « Obsession 3 » – La Buissonne / Harmonia mundi

2012 : Andy Emler Megaoctet « E total » – La Buissonne

2011 : Pause – Andy Emler/Laurent Dehors – Naïve

2009 : ‘Crouch, touch, engage’ – Andy Emler Méga Octet – Naïve

2008 : Un matin plein de promesse – Trio Grande – De Werf

2008 : Echoes of Spring – Stéphan Oliva/ François Raulin

2007 : West in peace, Andy Emler / Mégaoctet, 2007

2006 : Pieces in tune, Andy Emler Méga Octet – Nocturne

2005 : Sept Variations sur Léni Tristano – Sketch – Dist. Harmonia Mundi

2003 : Lemasnacuba, Luc Lemasna – Buda Musique

2001 : Signé, Trio Grande

Entre chien et loup, Daniel Mille, Universal

1999: Eté, Yves Robert Quintet, Deux ZZ,

“ CHOC” du Monde de la musique, “Disque d’émoi” Jazz Magazine

Haute mer, Daniel Goyone, Label Bleu, Dist. Harmonia Mundi

1997: Concerti, Terra Nova, Musique, Night & Day

Chants de la mémoire, Jean-Marie Machado, Label Hopi, Dist. Harmonia Mundi

1995: Trois images du désert, Alain Blessing, Artalent, dist. Night & Day, “ CHOC” du Monde de la musique

Cinémas, Michel Portal, Label Bleu, Dist. Harmonia Mundi

Il y a de l’orange dans le bleu, Daniel Goyone, Label Bleu, Dist. Harmonia Mundi, sélection Jazzman

1994: Trio Grande, Michel Debrulle, Michel Massot, Laurent Dehors, Igloo, Dist. Concorde

Big One, Jean-Michel Pilc Big Band, EMP, Dist. Harmonia Mundi

Terra Nova, orchestre de Luc Lemasne, Music, Dist. Musidisc, “CHOC” du Monde de la musique

1992: Migrations, David Chevallier Quintet, ADDA

1991: Paris Zaghreb, Antoine Hervé Quintet, Deux ZZ, Dist. Harmonia Mundi

Tutti, Bob 13 d’Antoine Hervé, Flat et Sharp, Dist. Musidisc

1989: African Dream, ONJ, Label Bleu, Dist. Harmonia Mundi