L’écrivain de la paternité, Jacques Fiorentino, de retour sur Radio Notre Dame sur le vivre-ensemble entre générations

Marie-Ange de Montesquieu reçoit Jacques Fiorentino, Médecin et consultant, auteur de « Père, passe et manque » aux éditions Assyelle et Eric Trappeniers, fondateur des Instituts d’études de la famille de Lille et Toulouse et auteur du livre « C’est ma place » (InterEditions).

Emission « En quête de sens »

Voir ici https://www.youtube.com/watch?v=DkDaHAe_Ly8&feature=youtu.be

Lorène Majou consacre dans son émission « Livres en partage » une superbe émission littéraire à l’auteur de nouvelles Jacques Fiorentino

Jacques Fiorentino – Père, passe et manque

Présentée par Lorène Majou

Beaucoup de choses ont été dites ou écrites sur les mères. Il n’en est pas de même pour les pères. Quand devient-on père ? Quelle place pour le père… de la conception de l’enfant à son indépendance, en passant par la naissance ? Pourquoi haine et amour s’affrontent-ils ou se conjuguent-ils ?
Autant de questions auxquelles l’auteur tente d’apporter des réponses, non comme le ferait un sociologue ou un psychologue, mais en simple raconteur de vies.

Réécouter l’émission ici : https://rcf.fr/culture/livres/jacques-fiorentino-pere-passe-et-manque

Jacques Fiorentino, auteur de Balustrade invité au Salon des Maths !

Retrouvez Jacques Fiorentino samedi 30 mai à 13H30 !

Jacques Fiorentino

Sacrée tâche que de présenter Jacques Fiorentino car il apparait insaisissable. Médecin,écrivain, communicant, amateur de cigares, chanteur amateur, clown parfois mais toujours ami engagé, père et grand-père aimant, adorant théâtre, cinéma, opéra et bien sûr la littérature et les mathématiques. Il est tombé très jeune dans la découverte de ces domaines.

Pour les mathématiques en 5e il en découvre le plaisir grâce à son professeur, enseignant et comédien. La littérature c’est un professeur de français en 3e qui fut en quelque sorte son guide dans l’écriture. Notez que lui n’a épousé aucun de ces professeurs, c’est important à signaler… Grâce à ces deux enseignants, deux fils rouges ont guidé sa vie.

La rigueur ludique d’analyse mathématique, la projection dans l’écriture de son affection pour la vie des gens… Ses études puis sa profession de médecin ont permis la synthèse de ces deux axes. Mais son ouverture d’esprit, qui comme le dit Pierre Desproges n’est pas une fracture du crâne, sa frustration de ne pas pouvoir mener plusieurs vies en parallèle l’ont amené à élargir sans cesse ses champs d’observation et d’action.

Outre les nombreux articles professionnels et leurs prolongement audiovisuels, il en est venu à concrétiser tardivement son engagement littéraire. Un premier recueil de nouvelles au titre explosif « Et si le Diable était une femme ? » Et puis un roman « Inachevé à quatre mains » sous-titré « une histoire d’amour des années 2000 » où le texte est fait d’échanges de sms et mails.

Pendant ce temps deux pièces de théâtre et un scénario long métrage viennent compléter la besace littéraire de son écriture. Enfin le dernier venu dans cette galaxie en 2020, « Père, Passe et Manque » un nouveau recueil de nouvelles dans lequel il s’est probablement plus impliqué que dans les précédents.

Texte de Jacques Fiorentino sur son rapport aux maths : Un contact très précoce avec les mathématiques d’abord avec le calcul à l’école, avec un plaisir (déjà) particulier pour le calcul mental. Et puis c’est le lycée oui dès la 6e car à l’époque le lycée allait de la 6e à la Terminale.
Une rencontre exceptionnelle en 5e qui va marquer ma vie. Un professeur de mathématiques qui était aussi un comédien amateur se produisant au théâtre et au cinéma. Il nous a fait découvrir à la fois le caractère ludique et la clarté analytique des mathématiques. Ce sentiment ne m’a jamais quitté tout au long de ma vie scolaire, personnelle et professionnelle.
Un choix universitaire tourné vers le contact et la volonté d’être utile à ma façon et c’est la Faculté de Médecine. Même si parfois une certaine nostalgie de la rigueur mathématique était présente, j’ai pu appliquer cette rigueur analytique dans l’approche du diagnostic et de la thérapeutique que ce soit dans la prise en charge des patients, l’appréhension des études cliniques.
Et puis une autre fonction majeure, celle de père, m’a fait reprendre contact avec les mathématiques et m’a fait revivre le caractère superbement pédagogique de cette discipline. Je peux dire que sans nul doute ma vie eut été autre si je n’avais pas eu le bonheur d’enrichir très tôt mon esprit avec les mathématiques.

OPERATION CORONAVIRUS : les conseils du Docteur Fiorentino

Balustrade Coronavirus, auteurs santé / psycho / famille

Docteur Jacques Fiorentino, auteur de nouvelles sur la paternité « Père, Passe et Manque »

CV ; Quatre règles simples pour bien vivre le confinement ; Comment peut se transmettre le virus ? ; Le corona virus créé en laboratoire ?

Le regard du docteur sur le Covid – Depuis près de 50 ans on ne parle de la Santé que pour évoquer les dépenses engendrées et les moyens de couper dans ce qui apparait accessoire alors même que plus de la moitié du PIB est consacrée aux dépenses publiques. On a oublié que la Santé, au même titre que l’Education, la Justice, la Sécurité, est une valeur essentielle qui doit être assurée dans les conditions optimales. On a oublié que la Santé est un investissement essentiel pour un pays et non pas seulement des dépenses. Ce qui se passe actuellement avec un pays en voie d’arrêt en donne une preuve dramatiquement éclatante. Cette pensée sur la « Santé dépensière » a formaté plusieurs générations de dirigeants politiques et économiques et voici le résultat. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/le-regard-du-docteur-jacques-fiorentino-sur-lactualite-covid-19/

Top Santé met à jour son interview du docteur Jacques Fiorentino

Le coronavirus (Covid-19) a-t-il vraiment été créé en laboratoire ?

C’est une fake news largement relayée sur les réseaux sociaux : le coronavirus SARS-Cov-2 aurait été créé en laboratoire. Une info fausse et dangereuse.

Incroyable mais vrai : tandis que les chercheurs s’efforcent de trouver un traitement contre le coronavirus, les théories du complot, elles, n’en finissent pas de se propager. Sur les réseaux sociaux, il y en a une qui a la faveur des complotistes : le coronavirus SARS-Cov-2 (responsable de la maladie Covid-19) aurait été créé en laboratoire par des scientifiques maladroits… ou peu scrupuleux. Selon une enquête de l’Ifop réalisée auprès d’un échantillon représentatif de la population française fin mars 2020, 26 % des Français seraient persuadés que le coronavirus a été créé en laboratoire – 17 % pensent qu’il a été fabriqué « de manière intentionnelle » et 9 % « de manière accidentelle« .

VIH et coronavirus. Dans un entretien au site Pourquoi docteur ?, le 16 avril, le professeur Montagnier explique qu’il ne croit pas que le Covid-19 provienne d’une contamination dans un marché de Wuhan. Selon lui, « le coronavirus est sorti d’un laboratoire chinois avec de l’ADN de VIH« . Rappelons que, depuis plusieurs années, le Prix Nobel de médecine a développé des théories controversées, notamment sur l’origine et la transmission du VIH, sur l’homéopathie ou encore sur la vaccination.

« Des travaux sur les coronavirus ont effectivement été conduits dans les laboratoires de Wuhan, notamment suite aux épidémies de SRAS (en 2002) et de MERS (en 2012), en collaboration avec le National Institutes of Health (NIH, aux États-Unis) en particulier, reconnaît le Dr. Jacques Fiorentino, médecin. Toutefois, à l’heure actuelle, rien n’indique que le coronavirus Sars-Cov-2 a été créé en laboratoire. Il me semble qu’aujourd’hui, la priorité, c’est de lutter contre cette épidémie mondiale : ce n’est pas le moment de chercher des coupables, d’élaborer des explications sans données précises et encore moins de laisser se propager des théories complotistes évidemment anxiogènes.« 

Existe-t-il un lien entre le VIH et le coronavirus ? « À ce jour, aucun expert spécialiste du SIDA n’a mis en évidence cette donnée, objecte le Dr. Fiorentino. En France, nous avons de nombreux experts reconnus à l’international.« 

Le coronavirus SARS-Cov-2  a-t-il été conçu en laboratoire ? « Non » répond catégoriquement le Dr. Jacques Fiorentino. « À partir de modèles expérimentaux, les chercheurs ont pu reconstituer le trajet du coronavirus SARS-Cov-2 : si les spécialistes ne sont pas encore 100 % sûrs de ses origines exactes, le coronavirus est bel et bien passé de l’animal à l’homme.« 

Une déclaration confirmée par une étude internationale, conduite par des chercheurs britanniques, américains et australiens, publiée le 17 mars 2020 dans le journal Nature : « nos analyses montrent clairement que le SARS-CoV-2 n’est pas une construction de laboratoire ou un virus délibérément modifié » concluent les scientifiques. Limpide.

Le virus SARS-Cov-2 a-t-il pu « s’échapper » d’un laboratoire ? Peu probable, selon le Dr. Jacques Fiorentino : « le niveau de sécurité d’un laboratoire de virologie est encore plus élevé que celui d’une centrale nucléaire. Par ailleurs, pour répondre aux complotistes qui misent sur une maladresse de l’armée, ce sont principalement des bactéries qui sont étudiées dans le cadre militaire (comme dans « arme bactériologique ») – or, comme son nom l’indique, le coronavirus est un virus.« 

S’INFORMER, OUI, MAIS PAS TOUT LE TEMPS ET PAS N’IMPORTE COMMENT !

Puisque aucune publication sérieuse ne soutient l’hypothèse d’un virus créé en laboratoire, pourquoi les théories du complot sont-elles autant relayées ? « D’un point de vue psychologique, il est rassurant d’avoir un coupable à blâmer lorsqu’on est dans l’incertitude, analyse le Dr. Fiorentino. Pendant l’épidémie de peste du XIVème siècle, par exemple, on a accusé les populations juives : c’est un réflexe humain que de vouloir rejeter la faute sur quelqu’un.« 

Mais d’autres éléments plus terre-à-terre jouent aussi : « les complotistes trouvent étrange que le coronavirus SARS-Cov-2 ait été aussi rapidement identifié par les chercheurs, par rapport au virus du Sida, par exemple, qui a nécessité plus d’un an d’étude, souligne le Dr. Fiorentino. Mais ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ce coronavirus appartient à une famille (les Coronaviridae) que l’on connaît bien, suite aux épidémies de SARS et de MERS. Nous avions déjà toutes les clés en main pour l’identifier.« 

En outre, « les (nombreuses) zones d’ombre qui subsistent quant aux origines de ce virus attisent les théories complotistes. Elles sont notamment liées au pays à partir duquel l’épidémie s’est propagée dans le monde : en Chine, l’information (même scientifique) est verrouillée, ce qui fait qu’on ne sait pas exactement de quand date le premier cas de Covid-19, combien de malades sont décédés, à quelle date est apparu le virus… » La liberté d’informer, premier rempart contre les fake news !

Le conseil du médecin ? « Il est tentant de rester bloqué devant une chaîne d’info en continu en ces temps difficiles. Mais je crois que la saturation a tendance à émousser le sens critique : plus on ingurgite d’information, moins on est capable de faire la part des choses entre ce qui est fiable et ce qui est fantaisiste. Je recommande donc un « temps » dans la journée consacré à l’information (une heure ou deux, ça suffit) avec des sources fiables (idéalement scientifiques). Il faut aussi accepter que, pour le moment, on ne sache pas tout : ne succombez pas à la tentation de « combler le vide » avec des théories farfelues !« 

Merci au Dr. Jacques Fiorentino, ex-urgentiste (SAMU et SOS Médecins), ex-instructeur pour la Croix Rouge Française.

Le docteur Jacques Fiorentino est interviewé sur le Covid 19 par Medisite

Coronavirus : peut-il se transmettre par les billets de banque ?

Le docteur Jacques Fiorentino démonte la fake news sur le coronavirus dans Top Santé

Le coronavirus (Covid-19) a-t-il vraiment été créé en laboratoire ? par Apolline Henry

C’est une fake news largement relayée sur les réseaux sociaux : le coronavirus SARS-Cov-2 aurait été créé en laboratoire. Une info fausse et dangereuse.

Incroyable mais vrai : tandis que les chercheurs s’efforcent de trouver un traitement contre le coronavirus, les théories du complot, elles, n’en finissent pas de se propager. Sur les réseaux sociaux, il y en a une qui a la faveur des complotistes : le coronavirus SARS-Cov-2 (responsable de la maladie Covid-19) aurait été créé en laboratoire par des scientifiques maladroits… ou peu scrupuleux.

Ça vous semble absurde ? Et pourtant : selon une enquête de l’Ifop réalisée auprès d’un échantillon représentatif de la population française fin mars 2020, 26 % des Français seraient persuadés que le coronavirus a été créé en laboratoire – 17 % pensent qu’il a été fabriqué « de manière intentionnelle » et 9 % « de manière accidentelle« .

Le coronavirus SARS-Cov-2  a-t-il été conçu en laboratoire ? « Non » répond catégoriquement le Dr. Jacques Fiorentino, médecin. « À partir de modèles expérimentaux, les chercheurs ont pu reconstituer le trajet du coronavirus SARS-Cov-2 : si les spécialistes ne sont pas encore 100 % sûrs de ses origines exactes, le coronavirus est bel et bien passé de l’animal à l’homme.« 

Une déclaration confirmée par une étude internationale, conduite par des chercheurs britanniques, américains et australiens, publiée le 17 mars 2020 dans le journal Nature : « nos analyses montrent clairement que le SARS-CoV-2 n’est pas une construction de laboratoire ou un virus délibérément modifié » concluent les scientifiques. Limpide.

Le virus SARS-Cov-2 a-t-il pu « s’échapper » d’un laboratoire ? Peu probable, selon le Dr. Jacques Fiorentino : « le niveau de sécurité d’un laboratoire de virologie est encore plus élevé que celui d’une centrale nucléaire. Par ailleurs, pour répondre aux complotistes qui misent sur une maladresse de l’armée, ce sont principalement des bactéries qui sont étudiées dans le cadre militaire (comme dans « arme bactériologique ») – or, comme son nom l’indique, le coronavirus est un virus.« 

S’INFORMER, OUI, MAIS PAS TOUT LE TEMPS ET PAS N’IMPORTE COMMENT !

Puisque aucune publication sérieuse ne soutient l’hypothèse d’un virus créé en laboratoire, pourquoi les théories du complot sont-elles autant relayées ? « D’un point de vue psychologique, il est rassurant d’avoir un coupable à blâmer lorsqu’on est dans l’incertitude, analyse le Dr. Fiorentino. Pendant l’épidémie de peste du XIVème siècle, par exemple, on a accusé les populations juives : c’est un réflexe humain que de vouloir rejeter la faute sur quelqu’un.« 

Mais d’autres éléments plus terre-à-terre jouent aussi : « les complotistes trouvent étrange que le coronavirus SARS-Cov-2 ait été aussi rapidement identifié par les chercheurs, par rapport au virus du Sida, par exemple, qui a nécessité plus d’un an d’étude, souligne le Dr. Fiorentino. Mais ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ce coronavirus appartient à une famille (les Coronaviridae) que l’on connaît bien, suite aux épidémies de SARS et de MERS. Nous avions déjà toutes les clés en main pour l’identifier.« 

En outre, « les (nombreuses) zones d’ombre qui subsistent quant aux origines de ce virus attisent les théories complotistes. Elles sont notamment liées au pays à partir duquel l’épidémie s’est propagée dans le monde : en Chine, l’information (même scientifique) est verrouillée, ce qui fait qu’on ne sait pas exactement de quand date le premier cas de Covid-19, combien de malades sont décédés, à quelle date est apparu le virus… » La liberté d’informer, premier rempart contre les fake news !

Le conseil du médecin ? « Il est tentant de rester bloqué devant une chaîne d’info en continu en ces temps difficiles. Mais je crois que la saturation a tendance à émousser le sens critique : plus on ingurgite d’information, moins on est capable de faire la part des choses entre ce qui est fiable et ce qui est fantaisiste. Je recommande donc un « temps » dans la journée consacré à l’information (une heure ou deux, ça suffit) avec des sources fiables (idéalement scientifiques). Il faut aussi accepter que, pour le moment, on ne sache pas tout : ne succombez pas à la tentation de « combler le vide » avec des théories farfelues !« 

Merci au Dr. Jacques Fiorentino, ex-urgentiste (SAMU et SOS Médecins), ex-instructeur pour la Croix Rouge Française.

Le regard du Docteur Jacques Fiorentino sur l’actualité Covid 19

ET SI LA RAISON REPRENAIT LE DESSUS…

par le Dr Jacques Fiorentino 30 mars 2020

(attachée de presse guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85)

Le monde entier ou quasiment est en voie de s’arrêter ou presque…

Plusieurs milliards de personnes sont confinées chez eux ou travaillent peu ou prou dans des conditions difficiles

La raison : une infection virale

Résumé ainsi on se prend à penser que le monde et particulièrement ceux qui nous gouvernent ont perdu la raison…

Mais l’énoncer ainsi c’est rajouter des braises à toutes les polémiques qui se démultiplient grâce à cette nouvelle langue d’Esope que sont les réseaux sociaux.

Alors reprenons point par point pour essayer d’y voir plus clair (si cela s’avère possible)

 

UNE INFECTION VIRALE

On prend conscience qu’une infection virale peut avoir des conséquences sanitaires et même provoquer des morts… Quelle découverte !!!

Rappelons que malgré l’existence d’un vaccin chaque année la grippe provoque nombre d’hospitalisations et de décès, décès qui pour l’heure dépassent encore ceux causés par ce nouveau virus…

On découvre qu’une infection virale ne connait ni frontière, ni ethnie… La belle affaire !

Qui pourrait croire le contraire… Sans doute les mêmes qui nous disaient que le nuage de Tchernobyl n’avait pas passé la frontière franco-allemande.

Oui nous sommes exposés à des risques infectieux mais pas seulement…

Rappelons que la canicule de 2003 a tué 17 000 Français en quelques semaines sans que le pays ne s’arrête de vivre, sans même que les vacances ne soient interrompues…

Alors que se passe-t-il ?

Contagiosité plus importante ?

En l’état actuel des données si la contagiosité est importante, elle reste encore inférieure à nombre de maladies virales plus connues et vécues plus simplement (à tort ou à raison) comme la rougeole

Gravité plus importante ?

Il est impossible de le savoir réellement car les mêmes qui réclament à corps et à cris des études « rigoureuses » pour des traitements ne sont pas à même de fournir des données comparatives référencées par rapport à d’autre pathologies virales équivalentes.

Donc où se trouvent les problèmes ???

 

UN DEPISTAGE NON ENCORE FONCTIONNEL

Sans être un virologiste éminent on sait depuis des décennies que pour s’assurer de l’existence d’une pathologie virale on doit la dépister car

  • Les signes cliniques quand ils existent ne sont guère spécifiques la plupart du temps
  • Les porteurs sains constituent une part importante des personnes ayant été en contact avec le virus…

A cet égard, donner des pourcentages de décès ou de formes graves sans connaitre le chiffre de la population réellement atteinte est une hérésie épidémiologique.

Pourquoi ce dépistage n’a-t-il pas été mis en place précocement comme cela a été le cas dans un pays équivalent comme l’Allemagne ?

Pourquoi tant de tergiversations devant ce qui apparait comme une évidence ?

Pourquoi la France, 5èmeou 6ème(selon des évaluations différentes) puissance économique s’est rendue incapable de mettre en place ce dépistage ?

Il faudra bien qu’un jour et le plus vite sera le mieux que l’on réponde à ces questions essentielles

 

DES INJONCTIONS CONTRADICTOIRES

D’un côté « Restez confinés » et de l’autre « Il faut que le pays continue à fonctionner » …

On vous parle de confinement, on met en place une politique coercitive avec amendes lourdes à la clé et un ministre vient, sans honte, déclarer que les Français doivent aller dans les champs aider les agriculteurs…

On vous demande de rester confiné et on met en place des élections municipales que l’on est bien incapable de finaliser. Rappelons qu’en même temps on culpabilise la population qui, le même jour, prenait un peu l’air dans des parcs ou des forêts…

Et si l’on y rajoutait avec une certaine cruauté le défilement de messages différents et erratiques toutes les semaines, voire tous les jours sur la conduite à tenir…

Et n’oublions les effets du confinement dont nombre d’études ont montré les conséquences médicales et psychologiques qui peuvent être dans certains cas dramatiques.

 

UNE GUERRE MEDIATIQUE AUTOUR D’UNE THERAPEUTIQUE

Si la situation n’était pas si grave, il y aurait de quoi rire devant cette querelle de cour d’école où s’écharpent des éminents experts… sauf que cela laisse désemparée toute une population, et même nombre de professionnels de santé.

Un médicament utilisé pour la prévention et le traitement du paludisme depuis nombre de décennies et dont on connait largement les risques et les effets secondaires semble – je dis bien semble car je n’ai pas la prétention de clore ce débat a fortiori sans l’ensemble des données – montrer une certaine efficacité.

Or que fait-on ? On continue à débattre sur le « sexe des anges » alors même que l’on n’a rien d’autre à proposer.

Si l’un de mes proches ou moi-même présentaient des signes évocateurs de cette virose, je n’hésiterais pas un seul instant à prescrire ce médicament après avoir pris les précautions d’usage propres à toute décision thérapeutique.

 

DES MASQUES CACHANT UN SCANDALE D’ETAT

Comment a-t-on pu ne pas se soucier de refaire des réserves de masques alors que l’on puisait larga manudans les réserves ?   

Sous des prétextes fallacieux, sans que personne n’accepte d’assumer la responsabilité on a mis en péril une population de soignants qui paie le prix fort de cette incurie.

Comment un pays comme le nôtre a pu se rendre à ce point dépendant sur des secteurs vitaux, bien sûr les masques qui nous préoccupent actuellement, mais aussi les médicaments. Les ruptures de stocks de médications devenues une espèce de réalité acceptée auraient du constituer des alertes et réveiller certaines consciences face à des risques vitaux.

 

Et on pourrait continuer ainsi longtemps à énoncer ce qui fait que face à cette épidémie devenue pandémie, on a marché cul par-dessus tête…

 

LA SANTE ? L’OUBLIEE DU SYSTEME

Depuis près de 50 ans on ne parle de la Santé que pour évoquer les dépenses engendrées et les moyens de couper dans ce qui apparait accessoire alors même que plus de la moitié du PIB est consacrée aux dépenses publiques.

On a oublié que la Santé, au même titre que l’Education, la Justice, la Sécurité, est une valeur essentielle qui doit être assurée dans les conditions optimales.

On a oublié que la Santé est un investissement essentiel pour un pays et non pas seulement des dépenses. Ce qui se passe actuellement avec un pays en voie d’arrêt en donne une preuve dramatiquement éclatante.

Cette pensée sur la « Santé dépensière » a formaté plusieurs générations de dirigeants politiques et économiques et voici le résultat.

 

ALORS ?

Loin de moi la prétention de sortir d’un chapeau des solutions toutes faites ce d’autant que la gestion incohérente de ce problème a rendu trop tardives ou caduques certaines préconisations.

Mais simplement quelques idées simples

  • Mettre le paquet sur le dépistage afin de libérer au plus vite le pays du carcan du confinement
  • Utiliser à bon escient des protocoles thérapeutiques avec une surveillance accrue
  • Soulager au plus tôt les personnels soignants, si peu entendus jusqu’à présent et qui mènent un combat acharné pas avec des mots mais des moyens importants, authentiques et adaptés.