Isabelle Béné participe au livre « Les Pionnières » de la Route de la Soie Editions

Sous la direction de Claude Mesmin & de Sonia Bressler

La Route de la Soie Editions

Diplômées 270-271 : Les Pionnières 22 €


Diplômées est une revue de l’Association Française des Femmes diplômées de l’Université. Dans le cadre de ses actions l’association cherche à donner de la visibilité aux femmes dans tous les domaines et notamment la recherche.

« Les Pionnières », voici un thème qui nous tenait particulièrement à coeur. Par cette expression, nous cherchons, dans ce numéro, à rendre hommage aux femmes qui explorent l’humanité, mais aussi le monde, ou bien l’espace.
Elles sont plus nombreuses qu’on ne peut le soupçonner. Souvent loin des médias, elles passent sous les espaces traditionnels de visibilité. Ce numéro est consacré à celles d’hier mais aussi d’aujourd’hui. Au travers de plusieurs chapitres et de nombreux articles, il s’agit de tracer des portraits, des parcours, mais aussi de découvrir le lien entre toutes ces femmes.

Ont participé à ce livre : Marie Bagi, Isabelle Béné, Sonia Bressler, Yvette Cagan, Anne-Sophie Coppin, Annie Crépin, Françoise Dasque, Laurence Frabolot, Jie Gao, Renée Gérard, Stéphanie Gicquel, Nadine Gomez, Alain Janicot, Christine Janin, Fanny Lévy, Claude Mesmin, Isabelle Mons, Elisabeth Nicoli, Sylvina Boissonnas, Michèle Idels, Nadia Pour, Françoise Richard, Hélène Romano, Maria Grazia Soldati, Sylvie Técoutoff, Inès Vissouze de Haven, Laetitia Vivien, Jing Xie.

La sculpteure Isabelle Béné invitée au 20ème Salon Culture et Jeux mathématiques

Découverte de la spirale dans la vie par Isabelle Béné

Rendez-vous Place Saint-Sulpice Dimanche 26 mai 2019 15h

 Inhérente à la structure de l’univers, la spirale est présente dans une multitude d’expressions de la vie, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Partie intégrante des mathématiques, non algébrique et unifiante, elle symbolise une forme reliante. Coquillages, cornes d’animaux, ADN, formes galactiques, mais aussi pratiques d’arts martiaux : toutes ces formes m’ont amenées à explorer la complexité et la splendeur de la spirale. 

Argoul voit « la shakti, l’énergie féminine de la déesse Parvati » dans la sculpture d’Isabelle Béné

Exposition Camille ailleurs d’Isabelle Béné

Camille Claudel a signalé avec force sa présence au monde contre son maître Rodin par une sculpture toute empreinte de sa démesure. Isabelle Béné aime à explorer les intérieurs comme le marin fouille la mer pour y trouver au hasard des perles ou du poisson. C’est la rencontre de ces deux femmes d’art, se colletant à la matière et éperdues de voyages intérieurs, qui donne lieu à cette exposition.

Architecte des Beaux-Arts de Paris, Isabelle Béné aime à toucher la substance de la terre et de la pierre « depuis l’âge de 4 ans », me dit-elle. Elle dessine pour le regard mais surtout elle sculpte pour ajouter aux sens le toucher et la couleur. Originaire de Paimpol, elle aime le bleu et l’or, ces nuances que le ciel et la mer ont avec le soleil. La Piste du goéland est une aile d’or attachée toute prête à l’envol vers l’astre solaire.

« Mais c’est la traversée du Sahara que j’ai faite seule avec mon mari pendant un mois et demi, qui a modifié le ressenti que j’avais du monde : dans l’espace sans fin des dunes de sable, des roches sombres et lunaires lorsque la Land Rover s’arrêtait en fin de journée, avant la venue de la nuit, notre immersion dans le silence du désert devenait initiatique », écrit-elle. De quoi s’interroger sur ses propres abimes – ce que le désert accomplit sur tout être intelligent, au risque de déstabiliser les âmes fragiles.

Le travail dans les pays d’Asie et l’approche de leurs cultures a permis au voyage intérieur d’Isabelle Béné de s’affiner. Elle a découvert « le féminin de l’être » qu’on appelle le Yin dans la coque historiquement plutôt masculine des œuvres humaines. Elle a voulu approfondir et Camille Claudel a surgi comme une évidence : sa relation fusionnelle avec son maître Rodin l’a forcée à introduire cette petite graine de Yin dans le grand œuvre trop mâlement sculpté. Par Isabelle, le visage de Camille apparaît voilé, comme peinant à respirer – à exister – sous la toile de son mentor ; elle crie et cet appel silencieux s’envole vers le futur, en interrogation.

Celte, Isabelle Béné baigne dans la dualité cosmogonique. La vie ne surgit du chaos qu’en tension et toute œuvre créatrice garde quelque chose en elle de la pression vivante. Les sculptures ne sont pas des objets mais des concentrés d’énergie qui font réagir le spectateur, à quelque sexe qu’il appartienne. La couleur provoque ou attire, le mouvement des formes entraîne et tourbillonne, l’esprit se meut avec le regard et se frotte à la matière.

La spirale est le grand thème du sculpteur car elle est le mouvement même de l’énergie, celle au cœur de l’univers comme celle qui fait germer et croître toute vie. Le coquillage est spirale, comme notre galaxie – peut-être comme notre esprit même, qui use de dialectique pour se frayer un chemin de raison parmi les contraires.

L’or est feu, fusion nucléaire et soleil qui fait germer. D’où peut-être cette Camille souriante, apaisée, qui apparaît sous les doigts d’Isabelle comme sortant de l’onde bleutée, les cheveux en spirale, le sourire énigmatique, le petit point du Yin comme le joyau de l’être au centre du front. C’est la shakti, l’énergie féminine de la déesse Parvati.

Rien n’est dû au hasard dans les œuvres d’Isabelle Béné. La pierre vibre, Camille Claudel renaît.

Un bel hommage.

L’exposition se tient du 12 mars au 13 avril 2019 de 13h à 19h à la Galerie Marie de Holmsky 80 rue Bonaparte à Paris 6ème du mardi au samedi.

Attachée de presse Guilaine Depis, 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

Vernissage de l’exposition « Camille ailleurs » de la sculpture Isabelle Béné à la Galerie Marie de Holmsky

Exposition « Camille ailleurs » d’Isabelle Béné du 12 mars au 13 avril 2019 (des oeuvres INEDITES seront achevées et prêtes pour figurer, en plus de celles déjà connues, dans cette exposition à la Galerie Marie de Holmsky)
 
Invitation au Vernissage le 12 mars 2019 de 18h30 à 21h30 en présence de Reine Marie Paris 
 
Galerie Marie de Holmsky, 80 rue Bonaparte 75 006 PARIS – ouverture du mardi au samedi  de 13h à 19h 
RSVP inscriptions au vernissage  : attachée de presse guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85 
Site officiel ici : http://www.beneisabelle.com 

Articles sur Isabelle Béné ici : https://guilaine-depis.com/category/isabelle-bene/ 

 
Dans le prolongement du succès de l’exposition d’Isabelle Béné « Dans l’espace des bleus camaïeu, Camille Claudel et lui en duo »  à la mairie du 8ème arrondissement de Paris, la galerie Marie de Holmsky présente 80 rue Bonaparte les sculptures d’Isabelle Béné.
L’exposition « Camille ailleurs » évoque certains aspects des paysages intérieurs de Camille Claudel. Femme d’avant-garde, elle a osé signer sa présence au monde au travers de faits vécus ou sculptés empreints de sa démesure : depuis ses jeunes années, par ses œuvres et au travers de son histoire, Camille a induit en nous le ressenti de son profond rayonnement. Isabelle Béné
 
Sur mon site https://guilaine-depis.com/category/isabelle-bene/ : vous avez déjà beaucoup d’articles concernant cette artiste dont mon entreprise de relations presse Balustrade déjà l’année dernière. Et des photos de ses oeuvres. Son travail est centré sur la relation Camille Claudel et Rodin. 
 
Ici, le très beau portrait que la journaliste Claire Steinlen a fait d’Isabelle Béné pour le Télégramme de Brest l’été 2018 suite au grand succès de son exposition à la Mairie du 8ème arrondissement : https://guilaine-depis.com/le-tres-beau-portrait-disabelle-bene-par-claire-steinlen/
 
Là vous avez son CV impressionnant, Isabelle Béné a eu des tas de prix et elle a exposé dans le monde entier : https://guilaine-depis.com/biographie-de-la-sculpteure-isabelle-bene/
 
 
Je suis à votre disposition pour tout renseignement complémentaire et pour vous mettre en relation avec l’artiste et organiser vos interviews.
 
Vous remerciant de votre attention, bien cordialement,
 
Guilaine Depis, attachée de presse 06 84 36 31 85

 

Exposition « Camille ailleurs » de la sculpteure Isabelle Béné à la Galerie Marie de Holmsky

Exposition « Camille ailleurs » d’Isabelle Béné du 12 mars au 13 avril 2019

Vernissage le 12 mars 2019 de 18h30 à 21h30 en présence de Reine Marie Paris

Galerie Marie de HOLMSKY, 80 rue Bonaparte 75 006 PARIS – ouverture du mardi au samedi de 13h à 19h 

attachée de presse guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Dans le prolongement du succès de l’exposition d’Isabelle Béné « Dans l’espace des bleus camaïeu, Camille Claudel et lui en duo »  à la mairie du 8èmearrondissement de Paris, la galerie Marie de Holmsky présente 80 rue Bonaparte les sculptures d’Isabelle Béné.

L’exposition « Camille ailleurs » évoque certains aspects des paysages intérieurs de Camille Claudel. Femme d’avant-garde, elle a osé signer sa présence au monde au travers de faits vécus ou sculptés empreints de sa démesure : depuis ses jeunes années, par ses œuvres et au travers de son histoire, Camille a induit en nous le ressenti de son profond rayonnement.

Isabelle Béné

 

Le très beau portrait d’Isabelle Béné par Claire Steinlen

Photo DR
Photo DR

Isabelle Béné, sculptrice aux origines paimpolaises, vient de terminer une exposition à Paris sur Camille Claudel et Rodin, avant de repartir exposer en Allemagne à la rentrée. Cette ancienne architecte a dû désapprendre son premier métier pour vivre sa passion.

 À 32 ans, j’étais sur une plage de Turquie avec deux amies d’enfance quand j’ai une révélation », explique Isabelle Béné. Cette sculptrice, carré blond et voix douce et posée, était architecte quand elle décide de tout plaquer pour se concentrer sur son art.

Diplômée des Beaux-Arts, elle venait de terminer une grande maison à Bangkok, en Thaïlande, que ses habitants appelaient pompeusement Le Château. « Je sculptais depuis que j’avais 4 ans, et, ce jour-là, je me suis dit que je ne terminerai pas ma vie sans assouvir cette passion. Que je n’étais pas sur les bons rails. Mais il a fallu désapprendre l’architecture pour dessiner et sculpter. Tout le monde m’a dit que c’était une folie, moi je sentais que j’avais enfin trouvé ma voie ».

« Tout le monde m’a dit que c’était une folie, moi je sentais que j’avais enfin trouvé ma voie »

L’Ankou et la poudre de marbre


Poussée par son mari, cette « Bretonne de Paris » comme elle se définit, s’inscrit à l’école communale pour croquer, tous les soirs, des modèles vivants. « Beaucoup de temps passé à dessiner fait du bien, ça détend le geste », explique la sculptrice qui n’a pas voulu prendre de cours. Elle le sait : « Le premier langage de l’homme passe par la main ».

Dans son atelier du quartier de Saint-Germain-des-Prés,de la rue d’Assas, à deux pas du jardin du Luxembourg, elle débute sa nouvelle vie sans moyens pour acheter de la matière mais ce dénuement l’inspire. Tout est bon pour créer. Sac de ciment, caisses de bois récupérées sur les marchés du quartier, morceaux de bois… Ses premières sources d’inspiration sont bretonnes. Et terrifiantes ! « J’ai beaucoup créé autour de l’Ankou, des légendes celtes et la mythologie bretonne : Chrétien de Troyes, le Roi Artur, Merlin l’enchanteur… La culture celte ne s’est jamais départie de cette croyance du Moyen Âge, de la sorcellerie, de cette proximité avec la nature ».

Elle se fait aussi livrer pour quelques francs de la poudre de marbre de Carrare, qu’elle malaxe avec de la résine. Les déesses mères l’inspirent, puis la féminité dans son ensemble.

Mais le dessin fait aussi partie de son travail. Elle s’essaie aussi à la sanguine (craie rouge naturelle) avec lesquelles elle croque des portraits de chefs d’État, comme l’Allemand Willy Brant dans les années 80. Rapporte des feuilles d’or de Thaïlande dont elle couvre ses sculptures, des poudres colorées de Shiraz et d’Ispahan, de la houille de Silésie, un charbon végétal doré… Le monde s’invite dans ses créations.

Mongolie, Sahara, Perros-Guirec


« Tous les artistes travaillent par période », relève l’artiste, qui créé aujourd’hui des formes de spirale blanches, représentant chaque être humain et leur spirale d’énergie, comme un ADN sans fin. Isabelle Béné voyage, en Asie, au Tibet, elle est exposée en Corée, en Mongolie, New York ou Amsterdam…

Isabelle Béné crééé aujourd’hui des formes de spirale blanches, représentant chaque être humain et leur spirale d’énergie, comme un ADN sans fin. (Photo DR)

Avec son mari – décédé il y a quatre ans -, elle entreprend un rêve : traverser le Sahara. Lui qui a fait la guerre d’Algérie rêve d’y retourner, elle le suit. Pendant un mois et demi, ils marchent, dans la chaleur du jour et le froid de la nuit. Une « expérience initiatique » qui la fascine et la terrorise, elle qui a peur des bêtes et dormait la nuit dans la voiture, mais qui l’inspire pour renouveler ses sculptures.

« La forme des dunes, com

Isabelle Béné crééé aujourd’hui des formes de spirale, représentant chaque être humain et leur spirale d’énergie, comme un ADN sans fin. (Photo DR)

me celle des vagues » parle à cette Bretonne fascinée par la mer et l’équilibre des éléments. Elle est fière de la licorne imaginée pour une maison privée à l’Ile d’Yeu. Et réalise une pierre tombale pour un chef breton, près de Perros-Guirec, alliant une pierre blanche d’Inde et un Triskell. Le mélange, toujours, des racines et de l’inspiration des voyages.

Biographie de la sculpteure Isabelle Béné

Architecte DPLG, diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris et sculpteure, je dessine et façonne la matière depuis l’âge de 4 ans. Une première exposition de mes dessins se fera six ans plus tard dans une école aux Etats-Unis.

Avant comme après mon diplôme, j’ai travaillé dans des agences d’architecture. Plus tard, j’ai construit des habitations à Bangkok. Lors des congrès de l’Union Internationale des Femmes Architectes, mes sculptures ont été exposées en Corée du Sud, Japon et Mongolie. Mais c’est la traversée du Sahara, que j’ai faite seule avec mon mari pendant un mois et demi, qui a modifié le ressenti que j’avais du monde : dans l’espace sans fin des dunes de sable, des roches sombres et lunaires lorsque la Land Rover s’arrêtait en fin de journée, avant la venue de la nuit, notre immersion dans le silence du désert devenait initiatique.

Par mal suite, c’est un « voyage intérieur » qui m’a interpellée. J’ai exprimé en sculptures et en dessins le thème du « féminin de l’être » que l’on nomme YIN dans certains pays d’Asie.

Puis l’histoire de la sculpteure Camille Claudel que j’ai évoquée sous forme de modelages, m’amènera à m’exprimer plus récemment avec la même technique, la relation fusionnelle qu’elle a vécue avec le sculpteur Auguste Rodin, avec ce qu’ils se sont apportés l’un à l’autre dans le cadre de leurs oeuvres respectives.

Diplômes 

Architecte DPLG

Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts, Paris 

Salon d’Art et Expositions Collectives

Salon Dialogue, UNESCO, Paris

Salon Comparaison, GRAND PALAIS, Paris

Salons Ligne et Couleur, Paris-Edimbourg Varsovie, Venise, Vérone, Stuttgart

Salon des Artistes Français, GRAND PALAIS, Paris

Salon AAPP, MAIRIE DE PARIS

Salon d’Automne, CHAMPS ELYSEES, Paris

Exposition de sculptures, MUSEE D’AMIENS

Exposition à l’I.G.S., « Couleurs 92 », Commissaire d’exposition : Véronique Taupin

Exposition chez Christie’s, Glasgow, Ecosse

Expositions A.A.A., Botega du Tintoret, Venise ; Castelvecchio, Vérone, Italie

Expositions FICF : Mairie du IVème Paris ; Téhéran ; Istanbul ; Osnabruck ; Spire ; Parlement de Bucharest, Roumanie

Expositions personnelles : 

Exposition Galerie Bouma, Amsterdam, Editions Elzewier

Exposition avec ROLAND TOPOR, Galerie Daniel Hallet, Ivrey-la-Bataille

Exposition personnelle, Galerie Monte Carlo Soft Art, Paris-Beaubourg

Exposition au Commissariat à l’Energie Atomique, Sarclay

Exposition de la sculpture monumentale « L’OISEAU SOLAIRE », Hôtel Méridien, Paris

Exposition UIFA, Musée National de Corée, Séoul ; Tokyo, Japon ; Oulan Bator, Mongolie

Exposition-rétrospective à la Maison de la Culture Gérard Philippe, Fontenay sous Bois

Concours 

Concours International, Musée Georges Pompidou : projet retenu pour l’exposition « Le geste architectural », GRAND PALAIS, Paris

Premier Prix décerné par le Public du 4ème Salon, Salon de Sculptures contemporaines à Fontenay-sous-Bois

Lauréate du Concours AFFDU, Bourse Michelle Coguillat

le troisième oeil.jpg(sculpture d’illustration : « Le troisième oeil »)

Evénements Particuliers :

Projet d’Architecture : Conception et réalisation suivant commande d’une demeure « à la française », Bangkok

Portrait sur le vif du Président allemand Willy BRANDT, Bundestag, Bonn, Allemagne

Conception et réalisation du Trophée pour le Prix Turgot, Ministère de l’Economie et des Finances et du Numérique, au lauréat du meilleur livre d’Economie Financière de l’année. Président : Jean-Louis Chambon

Conception et réalisation du Trophée pour le Prix Turgot : Prix d’Honneur, remis à Jean TIROLE, économiste, Prix Nobel d’Economie en 2014, pour l’ensemble de son oeuvre.

Médailles :

Médailles d’Argent et d’Or du « Mérite et Dévouement Français », Président Jean-Paul de Bernis

Médaille de Bronze, Salon des Artistes français, Paris

Médaille de Vermeil à la Société d’Encouragement au Progrès, Ecole Militaire, Pris

Médaille de Bronze la Renaissance française, Paris

Chevalier dans l’Ordre National du Mérite, Paris

Expositions et dons pour des oeuvres caritatives :

Réalisation d’un dessin sur vêtement pour la cause du Tibet

Exposition de dessins avec la collection « Van Cleef & Arpels », « SOS drogue International », Paris. Présidente : Régine

Texte d’Hélène Bouvard sur Isabelle Béné

Un sculpteur, tel un alchimiste qui travaille au grand’oeuvre, opère des transformations sur lui-même et se découvre au fur et à mesure qu’il dépouille et parfait son art. Il transmet sa découverte à son matériau dont les formes s’épurent et racontent son histoire. A ce prix, et à ce prix seulement il est un véritable artiste.

Depuis ses premières expositions, Isabelle Béné, tantôt consciemment, tantôt souverainement, tantôt par explosions, a réalisé cette transformation et nous l’espérons inachevée car elle a encore beaucoup à dire et à exprimer.

Aussi nous passons de l’étrange et de l’angoissé des premières sculptures en plâtre et matières nouvelles peintes, aux têtes épurées de divinités actuelles qui crient la féminité et son instant tragique, mais aussi la féminité dans sa puissance tellurique. Nous passons du surréalisme à une révélation profonde avec les visages qui crient leur mystère et dont les yeux de pierre dure et précieuse ne raconteront l’essentiel qu’à ceux qui les regarderont assez longtemps et sans précipitation.

Au départ, Isabelle Béné était architecte, aussi tout est non seulement modelé mais construit et cette construction vise l’harmonie même si cette harmonie ne néglige pas la terreur du chaos ; mais tout cela aboutit à des coquilles parfaites dont la spirale dégage, telle une mer ou une matrice surhumaine, un corps de déesse naissante.

Isabelle Béné, sur le chemin de sa propre découverte, de son arrachement à l’angoisse, de sa libération des ombres, atteint dans sa sculpture une dimension hiératique, une histoire digne des thèmes antiques où la tragédie de la démesure, rejoint l’harmonie, la beauté dans la forme pure de l’extase sereine.

Hélène Bouvard

#CAMILLE CLAUDEL : Carton d’invitation au vernissage de l’exposition d’Isabelle Béné à la mairie du 8ème

CARTON D’INVITATION OFFICIEL

Isabelle BÉNÉ

sculpteure

Au coeur des bleus camaïeu, Camille CLAUDEL et lui en duo

Le jeudi 31 mai 2018 à 18h30 à la Mairie du 8ème arrondissement 3 rue de Lisbonne 75008 Paris

inscription rsvp et contact presse : guilaine_depis@yahoo.com / sms 06 84 36 31 85

site web d’Isabelle Béné http://beneisabelle.com