L’écrivain Alexandre Arditti évoque par la fiction « L’assassinat de Mark Zuckerberg » prétexte pour parler du monde d’après

L’assassinat de Mark Zuckerberg, l’émergence d’un nouveau monde

Alexandre Arditti est un curieux personnage. Journaliste et éditeur de presse dans les loisirs et le voyage, il publie ces jours-ci son second roman, un polar moderne, qui récupère les méthodes du genre pour les subvertir et donné une critique sociale sans concession sur notre monde moderne ainsi que sur l’héritage des figures dont notre époque s’inspire largement. Rencontre.

NEW YORK, USA, 25. MAY 2020: Mark Zuckerberg silhouette, Facebook tittle on blue display in background.

Votre précédent roman, La conversation, parlait de la perte des illusions, du temps qui passe, de la transmission mais aussi du confinement durant la pandémie de 2020, et des dangers des nouvelles technologies. Celui-ci, L’assassinat de Mark Zuckerberg, commence par le meurtre de Mark Zuckerberg « d’une balle dans la tête ». C’est osé, non ?

Alexandre Arditti : En effet, je reconnais que le titre est pour le moins surprenant. Disons que cet assassinat fictif et très médiatique est le point de départ retentissant d’une histoire un peu folle autour de la société du tout-numérique et de ses dérives. L’émergence d’un nouveau monde qui vient nous interroger, parfois au risque d’ébranler nos certitudes. Sommes-nous aussi libres que nous le pensons ? Avons-nous encore la possibilité de nous opposer à cette évolution ? La course au progrès technologique doit-elle prendre le pas sur nos principes démocratiques ? Comment vivre dans ce monde ultra connecté et de plus en plus déshumanisé ? Mark Zuckerberg n’est ici qu’un symbole : ce n’est pas à proprement parler un personnage actif du roman.

Marc Alpozzo et Alexandre Arditti

Votre roman commence comme un roman policier : « La mort, c’est un peu mon métier. Je suis dans la police depuis l’âge de vingt-cinq ans […] ». Selon, la quatrième de couverture, c’est un thriller. Si, pourtant, les meurtres de personnalités se succèdent, ce sont donc les patrons d’Amazon, d’Apple, de Microsoft, et l’ex-président des États-Unis Donald Trump, Angela Merkel sans compter des attentats contre d’anciens dirigeants comme Nicolas Sarkozy, François Hollande, on en a presque une centaine. Votre roman, à double fond, est en réalité une critique sociologique de notre époque. Et vous ne semblez pas très optimiste. Est-ce que je me trompe ?

Pour traiter ce sujet, j’ai utilisé la forme d’un faux polar, en mettant aux prises un terroriste quelque peu idéaliste et parfois immature, avec un commissaire de la brigade criminelle en fin de carrière, désabusé et revenu de tout. Franck Travis, le terroriste (un clin d’œil au personnage de Travis Bickle dans le film Taxi Driver de Martin Scorsese), est membre d’une organisation baptisée « Table Rase » dont l’objectif est de s’opposer par tous les moyens au transhumanisme, et à la mise en coupe réglée de nos libertés individuelles au profit d’une société post-numérique où le progrès technologique imposerait un contrôle de plus en plus resserré de nos existences.

Cette organisation terroriste implantée dans plusieurs pays occidentaux a décidé de faire parler d’elle en s’en prenant à des personnalités iconiques du monde des affaires et de la politique. Il s’agit d’un huis clos un peu étouffant – où l’atmosphère peut rappeler le film Garde à vue de Claude Miller -, durant lequel les deux personnages échangent leurs différents points de vue et leurs arguments dans le cadre d’un interrogatoire de police qui durera toute une nuit. La forme et le fond de l’intrigue amènent forcément à noircir un peu le trait, mais les personnages évoquent aussi à tour de rôle leurs raisons d’espérer dans l’homme et notre modèle de société, si imparfait soit-il. Dans cette histoire, tout n’est pas tout noir ou tout blanc, on évolue plutôt entre différentes nuances de gris : comme dans la vie !

Vous abordez également le contrôle de la pensée d’une population, le flot continu d’informations soit publicitaires et indigentes, le capitalisme sauvage. Vous abordez des thèmes très actuels, et qui présentent les dangers de demain, notamment avec l’endoctrinement par le réseau, la polarisation des opinions, et notamment cette société de plus en plus matérialiste. Quelles sont les vrais enjeux de notre société que vous mettez en lumière ? Quels problèmes y voyez-vous ?

Je ne suis certainement pas anticapitaliste mais je crois que nous sommes tous amenés à nous poser ces questions. Nous sommes aujourd’hui continuellement soumis à une pression médiatique et publicitaire dont les réseaux sociaux sont la forme la plus déstabilisante. Car il faut bien nous l’avouer, même si l’on peut être critique avec cette nouvelle forme d’expression et de communication, nous en sommes aussi les parties prenantes. Ces questions ne concernent pas uniquement les jeunes générations. Nous sommes tous de près ou de loin – et de gré ou de force -, des utilisateurs de technologies numériques. Nous pouvons à la fois être dans le système et en dehors.

Quant aux réseaux sociaux, c’est l’idée que développe Travis dans le livre en les assimilant à un nouveau Big Brother, qui nous surveillerait certes, mais qui serait avant tout un businessman ! Car ne nous trompons pas : les grandes multinationales du numérique et autres Gafam sont avant tout là pour faire de l’argent. Finalement, c’est un simple business, même s’il touche de fait à l’organisation de nos sociétés et à nos vies intimes. Ce n’est pas un jugement de valeur, c’est une réalité.

Vous abordez aussi les questions du transhumanisme et du wokisme. Votre enquête policière n’est pas qu’une simple enquête comme on les connait généralement, c’est aussi un questionnement de l’idéologie moderne, qui veut en finir avec l’ancien monde, et balayer tout ce que l’on a connu, et qui se dérobe aux nouvelles morales de la censure. On nous oblige à tous penser la même chose, et si l’on refuse, on est accusé de délit d’opinion. Quelle est donc la vraie question à terme ?

À l’origine de ce roman, je me suis un jour posé une question simple : « Que se passerait-il si une partie, même minoritaire, de la population se mettait soudainement à refuser cette société du tout-numérique ? À contester ce nouveau monde où la surveillance généralisée deviendrait la norme, et par extension où la liberté d’expression, les opinions divergentes, et toute complexité dans le débat public auraient disparu.

Une société dans laquelle on réécrirait les livres lorsqu’ils ne conviendraient plus à l’idéologie de l’époque, mais aussi où les individus seraient traités différemment selon leur couleur, leur religion ou leur sexualité. Même si cela part d’une bonne intention, c’est l’exact opposé des valeurs humanistes et universalistes qui ont fondé nos démocraties depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Le fait qu’il existe actuellement un tel antagonisme dans les positions des uns et des autres dans le débat public, que ce soit en France ou dans le monde entier, était un point de départ idéal pour imaginer un roman !

Peut-on dire que Facebook et Instagram ne sont pas en odeur de sainteté dans votre esprit ? Mais avez-vous des profils sur ces deux réseaux sociaux. Et pourquoi ?

L’une des citations en ouverture du livre que j’ai empruntée à Jean d’Ormesson est celle-ci : « Méfiez-vous de l’évidence, elle passe son temps à changer ». Je ne suis pas du tout un adversaire des réseaux sociaux que j’utilise largement, même si c’est uniquement dans un cadre professionnel. Mais il n’est pas inutile de les questionner, voire de les critiquer.

Cette histoire est une fiction, une parabole, presque une dystopie. Nous faisons tous partie de ce nouveau monde. Comme tout être humain, je suis pétri de contradictions. A travers ce roman, mon intention n’est pas de donner des réponses, mais simplement de poser des questions.

Propos recueillis par Marc Alpozzo

Auteur de Galaxie Houellebecq (et autres étoiles). Éloge de l’exercice littéraire, Éditions Ovadia, 2024 et co-auteur de L’humain au centre du monde. Pour un humanisme des temps présents et à venir, Les éditions du Cerf, 2024.

« Non à la victimisation des femmes » : Interview de Valérie Gans dans Eléments

Valérie Gans : « Non à la victimisation des femmes »

Valérie Gans : « Non à la victimisation des femmes »

Souhaitons la bienvenue à une nouvelle maison d’édition : Une Autre Voix. Sa fondatrice, Valérie Gans, journaliste, chroniqueuse, critique littéraire, romancière, a franchi le pas en créant à l’été 2023 sa propre enseigne. Une gageure, d’autant qu’elle n’a pas l’intention de verser dans le discours victimaire et le fémininement correct en vogue. Tout le contraire. #MeToo ? Pas elle ! Exaspérée par le climat de chasse à l’Homme, elle est bien décidée à faire entendre « une autre voix »…

ÉLÉMENTS : Que diable allez-vous dans cette galère de l’édition ? Vous étiez jusqu’ici une romancière comblée, publiée par Jean-Claude Lattès, et une critique au Figaro Madame. Tout allait bien pour vous dans le meilleur des mondes possibles. Or voilà que vous vous jetez à l’eau, dans la fosse aux requins. Pourquoi ? L’édition mainstream surferait-elle trop sur la vague féministe et ne laisserait-elle guère de place aux femmes qui ne se présentent pas avec un cahier de doléances et un acte d’accusation contre les hommes ?

VALERIE GANS. J’étais comblée mais je n’étais pas libre. Au fil des ans, certains mots devenaient proscrits, certains sujets étaient interdits… Un jour mon éditrice, qui était pourtant une grande dame de l’édition, m’a même dit que je devrais m’inventer une histoire victimaire pour susciter l’empathie. En un mot, m’inventer un personnage autre que celle que je suis, juste pour « plaire », et par capillarité, pour vendre. C’était le début de cette mouvance grotesque de la victimisation, qui satisfait l’appétit voyeur de notre société, ce que j’appelle l’« ère victimaire ». La langue allemande a un mot extraordinaire pour qualifier un phénomène semblable : Schadenfreude. On se réjouit du malheur des autres. On ne s’intéresse aux autres que parce qu’ils souffrent. L’ont bien compris ceux qui font de la souffrance, réelle ou inventée, instrumentalisée, un fond de commerce.

Alors oui, il m’a semblé important, et même nécessaire, de larguer les amarres, toutes les amarres, et de construire mon propre vaisseau. Je n’ai rien d’une victime, je n’ai rien contre les hommes, ni personnellement ni idéologiquement. Je suis une femme libre, désireuse de faire entendre la voix de millions de femmes libres qui ont des choses à dire elles aussi, et qu’on ne laisse pas s’exprimer parce qu’elles ne sont pas des victimes. Et la voix des hommes aussi.

ÉLÉMENTS : Sur votre site, vous vous présentez comme « femme », « blanche », « cis », « mère de famille ». Tous ces termes – « femme », « blanche », « cis », « mère de famille », a priori hétérosexuelle (encore qu’aujourd’hui tout soit possible) – comptent-ils autant pour vous ou y en a-t-il un auquel vous êtes plus attachée et qui sera le propre de votre maison d’édition ?

VALERIE GANS. Ils sont tous aussi importants ! Même si je trouve consternant pour ne pas dire discriminant et même raciste, d’avoir à se déterminer aujourd’hui par sa couleur de peau, son genre et son inclination sexuelle, il semble qu’il faille désormais constamment asséner les évidences. Alors oui, femme, blanche, cis, mère de famille, hétérosexuelle, je suis tout cela à la fois et le revendique fièrement. D’une banalité déconcertante, me direz-vous, et là encore pas du côté des victimes. Mais Une Autre Voix, dont la philosophie est de ne discriminer personne, accueille aussi volontiers des hommes blancs hétérosexuels avec des pénis… et, j’ose l’espérer, ce qui va avec !

ÉLÉMENTS : Pourquoi « Une Autre Voix » ? Vous vouliez que cette voix soit « autre » ? C’est quoi, c’est qui cette « autre » ? Un éloge de l’altérité (ce que dit l’étymologie) ? L’autre pour un homme, c’est une femme, et réciproquement. Cette autre voix témoignerait-elle en faveur de la différenciation sexuelle ?

VALERIE GANS. L’«autre » d’Une Autre Voix est l’altérité. Et je dirais même plus : l’altérité de l’altérité. Aujourd’hui, avec les dogmes du wokisme, la théorie critique de la race, la théorie du genre et le pompon, cette grande fumisterie intellectuelle qu’est la théorie intersectionnelle, l’altérité est à sens unique : celui de la victime, de la minorité.

La mission que se donne Une Autre Voix est de faire entendre toutes les voix, en particulier celles que l’on fait taire, et qui sont nombreuses. Plus nombreuses peut-être… Et la voix du bon sens. Qui témoigne, entre autres, de la différenciation sexuelle. Il n’y a qu’à ouvrir les yeux.

ÉLÉMENTS : Comment vous situez-vous par rapport à #MeToo, à #BalanceTonPorc, au wokisme, à la cancel culture ? Et comment se situera votre maison d’édition ?

VALERIE GANS. #MeToo et #BalanceTonPorc sont abjects, le wokisme et la cancel culture sont des fourvoiements intellectuels, voire des manipulations totalitaires dont je n’arrive toujours pas à comprendre qu’ils soient aussi suivis. C’est à croire que le bon sens, la nuance, la réflexion, l’observation même ont complètement disparu de notre civilisation.

Soljenitsyne disait : « Pour faire le mal, l’homme doit d’abord croire qu’il fait le bien. » C’est exactement ce qui est en train de se passer avec #MeToo, #BalanceTonPorc, le wokisme et la cancel culture ! On stigmatise les uns et les autres en les répartissant en deux ensembles : celui des oppresseurs et celui des oppressés. On les incite à la haine. On embrase les masses avec un discours victimaire, afin qu’elles prennent parti du côté des « minorités opprimées ». Et on efface socialement toute personne qui oserait prôner un avis contraire. Aussi ahurissant que cela puisse paraître, ça marche ! Pire : cela a tellement pénétré les mentalités que d’aucuns vous diront aujourd’hui : « Le wokisme ? On n’en parle plus, il y a un retour en arrière ! » alors qu’il n’a jamais été aussi présent. Simplement, tel un virus, il nous a infectés, et poursuit désormais ses dommages de l’intérieur.

C’est, pour reprendre l’expression géniale de Mathieu Bock-Côté, le totalitarisme sans le goulag.

Pas de ça chez Une Autre Voix !

ÉLÉMENTS : Que vous inspirent toutes ces « affaires », de Polanski à Depardieu, en passant par dix autres mâles blancs de plus de 50 ans ?

VALERIE GANS. Une chasse aux sorcières. Et une manne économique.

Je m’interroge sur deux points : pourquoi la cabale ne s’applique-t-elle qu’aux personnalités connues et « bankables », et pourquoi, comme vous le soulignez fort justement, ne parle-t-on que des mâles blancs de plus de 50 ans ? Serait-ce à dire qu’eux seuls sont des prédateurs ? Ou que, selon les principes du wokisme ambiant, eux seuls sont des prédateurs politiquement et médiatiquement fustigeables ?

Souvent, je pense à toutes ces gamines qui se font violer jour après jour et dont on ne parle pas. Parce que leur malheur, à elles, ne rapporte rien à personne. Ne sont-elles pas les premières victimes du grand cinéma #MeToo ?

ÉLÉMENTS : Disant cela, vous n’ignorez pas qu’on ne manquera pas de vous accuser de servir la « domination masculine », pour ne rien dire de la violence masculine. Que répondrez-vous ?

VALERIE GANS. Ce n’est pas servir la domination – ou la violence – masculine que de faire preuve de discernement. Certaines « affaires » sont réelles, brutales et tout à fait dramatiques… mais ce sont rarement celles qui font la Une des journaux. Ces crimes n’ont généralement pour écho que le silence assourdissant des néo-féministes.

ÉLÉMENTS : La « voix » du féminisme – et un féminisme agressif et belliqueux – a fini par recouvrer la voix des femmes. C’est une frustration pour vous que ces féministes aient le monopole du discours féminin et en viennent à parler en votre nom ? Pourquoi ne vous reconnaissez-vous pas dans ce discours ? Que lui reprochez-vous ?

VALERIE GANS. Plutôt que de défendre les femmes de manière positive, ce qui était au départ la raison d’être du féminisme, en leur ouvrant la voie de l’éducation, de l’égalité dans l’entreprise, en leur donnant le droit de vote, etc., le féminisme aujourd’hui ne se construit que contre les hommes. Nous sommes là encore dans cette optique binaire de bons et de méchants, de victimes et d’oppresseurs.

C’est simpliste. Et pour nous, les femmes, c’est dégradant. C’est faire insulte à notre intelligence et à notre liberté que de nous reléguer constamment au rang de victimes. Les harpies du féminisme, tout comme les pleurnicheuses, desservent notre cause en voulant la défendre. Mais veulent-elles seulement la défendre, ou n’est-ce qu’un prétexte facile pour conspuer des hommes qu’elles haïssent ?

Le féminisme aujourd’hui a triste mine, en ce sens qu’il détruit plus qu’il ne construit, et ne grandit pas celles qu’il prétend défendre.

ÉLÉMENTS : Vous annoncez la sortie d’un roman, La Question interdite. Quel en sera le sujet ?

VALERIE GANS. Il est déjà en vente sur le site d’Une Autre Voix !

Inspiré de faits réels, La Question interdite raconte l’histoire d’un homme accusé par une jeune fille. Avant même d’avoir été jugé, acculé par des campagnes de haine tant dans la presse que sur les réseaux sociaux, il perd tout. Y compris la vie.

Vingt ans après et contrairement à ce qui se passe actuellement, à l’heure où des femmes dénoncent des histoires passées et souvent juridiquement prescrites, l’héroïne, au lieu d’accuser l’homme, va tenter de le réhabiliter et de défendre sa mémoire.

Prenant le contrepied de #MeToo, interrogeant la présomption d’innocence et le fait de pouvoir remettre en cause – ou non – la parole des femmes et des jeunes filles, ce roman devait être publié par mon éditeur historique. Pour une raison que j’ignore encore à ce jour, celui-ci a pris peur et s’est désisté.

N’étant pas le seul auteur confronté à cette omerta, j’ai décidé d’être libre et de ne dépendre de personne. Et de faire bénéficier de mon expérience et de cette liberté à tous les écrivains ostracisés par le wokisme ambiant.

Une Autre Voix est la voie de cette liberté.

Pour aller sur le site d’Une Autre Voix : www.uneautrevoix.com

France inter reçoit Josiane Balasko racontant « Mon manège à moi » d’Edith Piaf

Josiane Balasko raconte « Mon manège à moi » par Edith Piaf : réécouter ICI

Elle prête sa voix au nouveau podcast de France Musique « Le journal intime d’Édith Piaf ». Au micro de Frédéric Pommier, Josiane Balasko évoque un classique du répertoire de la chanteuse : « Mon manège à moi », chanson qui lui rappelle instantanément son enfance. (Rediffusion de l’émission du 6/6/2023)

Avec
  • Josiane Balasko Comédienne, réalisatrice, metteur en scène et romancière

Pourquoi a-t-elle choisi cette chanson ? Qu’évoque-t-elle pour la comédienne ?

Josiane Balasko nous raconte également sa rencontre avec la chanteuse.