IRRESISTIBLE !!! « Catalogue déjanté des expressions de la langue française »

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AUX JOURNALISTES ET INFLUENCEURS :
TOTALEMENT IRRESISTIBLE !
« Catalogue déjanté des expressions de la langue française »
Par le Collectif des Crayons
Parution des tomes 1 et 2 le 9 novembre 2018
aux éditions d’Enfer
Contact presse : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

La FNAC a eu un coup de cœur pour ce livre et l’a mis en avant !
La librairie Flammarion du Centre Pompidou a fait le lancement le 9 novembre 2018 !
100 objets introuvables dans le commerce à offrir aux anticonformistes en prévision de la surconsommation qui s’annonce avec Noël.
Ils sont imaginés, dessinés et commentés avec un humour corrosif…
C’est drôle et loin d’être idiot puisque vous le remarquerez tous ces objets sont issus d’une expression française détournées.

Vous pouvez piocher comme bon vous semble dans cette énumération pour interpeller vos lecteurs ..
Les dettes ont leur trouvé leur éponge
Les pieds dans le plat, leur chaussette
Les galères, leur parking
La langue de bois, son vernis
Le devoir conjugal, son cahier
Le dur à cuire, son grill
L’amour propre, sa lessive
Le poil dans la main, son gant
Le linge sale à laver en famille, sa lessive
Le cheveu sur la langue, son peigne
La gueule de bois, sa ponceuse
Les poules mouillées, leur séchoir
La question qui tue, son gilet pare balles
La fièvre du samedi soir, son thermomètre
ETC

Site officiel :
http://cataloguedejante-desexpressionsfrancaises.fr

De l’idée initiale jusqu’à sa réalisation ce projet ne ressemble à aucun autre. Son concept est inédit et simple : imaginer des objets imaginaires inspirés par des expressions françaises prises dans leur sens littéral. Par exemple des chaussures pour « sauter du coq à l’âne », un cahier de « devoir conjugal », une éponge à « essuyer les dettes ». Le catalogue « déjanté » se situe dans la tradition de l’humour français absurde comme celui de Pierre Desproges, Alphonse Allais, Pierre Dac, et rend hommage aux grands voltigeurs de la langue française : Bobby Lapointe, Raymond Devos, Boris Bergman pour ne citer qu’eux.

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Gigantesque et magnifique article rendant hommage au roman « Les Volponi » par Frédéric Dieu

« LES VOLPONI » D’AURÉLIA GANTIER : LE DRAME, À SUIVRE, DE LA FIN D’UN MONDE

« Ambassador Hotel : le livre dont vous êtes le rockeur » par l’excellent Benjamin Berton

Roman-fleuve et véritable page turner, Ambassador Hotel déjoue la malédiction qui touche (généralement) les romans consacrés exclusivement au rock pour nous plonger, en totale immersion, dans la longue et sinueuse vie d’un groupe dinosaure fictif.

Le livre, écrit par l’écrivain canadien Marie Desjardins, démarre à Montréal en 2014, alors que le groupe RIGHT (en majuscules) entame sa dernière tournée internationale. Fondé plus de 50 ans auparavant, RIGHT est un groupe de rock progressif qui se situe quelque part entre Led Zeppelin (pour la musique) et les Rolling Stones (pour tout le reste). Emmené par un chanteur ultra charismatique et héros nostalgique de ce roman, Roman Rowan, RIGHT est un groupe de costauds à guitares dont la renommée n’atteint certes pas celle de Jagger et sa bande mais qui évolue toutefois dans la plus haute division du rock international. De salles en salles et de concerts en concerts, on suit RIGHT dans sa dernière configuration scénique, c’est-à-dire un mélange de jeunes pousses et d’anciens, tandis que Roman Rowan effectue le bilan de sa vie et est hanté par les fantômes de sa jeunesse.

Petites chattes et électricité

L’écrivain Marie Desjardins construit ses presque 600 pages avec une belle assurance, découpant le récit autour de « séquences » marquantes qui entremêlent le récit de l’ultime tournée avec des flashbacks de l’histoire du groupe. On suit ainsi la formation du groupe, l’agrégation de deux cellules souches ennemies et complémentaires l’une menée par le chanteur et l’autre par sa némésis et en même temps catalyseur de talent, le pianiste surdoué et dingo Bronte. Mais l’événement déterminant ici est le séjour du groupe à l’hôtel Ambassador Hotel lors du fameux soir en 1968 où Bob Kennedy se fait tirer dessus. Roman Rowan et son compère composent alors une chanson à chaud sur l’événement, Shooting at The Hotel, qui cartonne et les propulse dans la stratosphère médiatique, alors que le groupe végétait depuis quelques années en seconde division. Le procédé est balourd et pas forcément des plus crédibles (on voit mal comment cet événement important, mais pas historiquement décisif, aurait pu accoucher d’un groupe générationnel quasi instantanément) mais fonctionne si on y croit. Dès lors, RIGHT est intouchable et devient grand. La chanson les suit partout et devient leur sésame pour la grande vie, en même temps que le fardeau des one-hit wonders.

I shot the Kennedy

Desjardins décrit avec passion le quotidien d’un groupe de ce type : l’alcool, le sexe (les groupies, les chattes, les jeunes filles en fleurs/pleurs), les tiraillements internes, le poids des entourages, la descente qui suit les tournées. La narration est attentive et rend à la perfection le caractère rébarbatif et répétitif des tournées, les tentatives d’isolement et l’installation d’une forme de routine organisée au sein même d’une décadence sans règle. Le livre pourra en ennuyer certains pour cette raison même mais la répétition sadienne des scènes, des orgies, des baises relaxantes du goûter et des excès est admirable et probablement l’acquis majeur du roman. Roman Rowan est hanté tout du long par la figure d’une de ses conquêtes disparues, Havannah, une photographe cubaine, dont il capte le souvenir au gré de ses pérégrinations autour du monde. Ambassador Hotelfonctionne comme un James Bond en nous faisant voir du pays. La tournée se déploie sur tous les continents avec la même émotion et le même méthodisme froid, mécanique et en même temps intime, gigantesque et à fleur de peau. La deuxième des trois parties utilise la réalisation d’un DVD en l’honneur des 70 ans de Roman Rowan pour proposer une habile biographie orale de ce dernier par les siens qui n’exploite pas tout à fait son potentiel. Si le procédé est chouette, Desjardins n’en tire pas suffisamment de matière pour offrir un contrepoint enrichissant sur son personnage principal. Roman Rowan fascine mais ne dépasse que rarement le cadre qu’on lui a assigné : celui d’un rockeur quelque peu torturé mais finalement assez simple à cerner dans son attirance pour la liberté et la peur de finir seul. Ceux qui gravitent autour de lui entre Bronte le génie contrarié, Clive l’ami fidèle, son épouse et sa fille constituent une galerie de personnages attendue mais plutôt bien croquée.

Ambassador Hotel vaut aussi pour les belles descriptions de concerts qu’il propose. On sent le frisson des guitares, l’angoisse du chanteur, l’électricité de la relation au public, le flash du succès comme si on y était.

Avec ses nombreuses qualités et ses quelques défauts (une écriture passe-partout et des longueurs), Ambassador Hotel n’en reste pas moins un excellent moment de lecture et une belle réflexion sur ce qu’est faire partie d’un groupe à succès. Desjardins se dégage très bien du caractère fictif de son groupe (souvent rédhibitoire dans ce genre d’exercice) pour nous embarquer dans la tournée la plus sexy et la plus grandiose à laquelle on aura jamais accès. Rien que pour ça, le livre plaira à tous ceux qui comme nous ne vivront jamais cela que par procuration. Ambassador Hotel est la lecture de vacances idéale.

Ambassador Hotel de Marie Desjardins Editions du CRAM – 587 pages

Aurelia Gantier perce à l’international : Le Diplomate tunisien a remarqué « Les Volponi » !

L’écrivain Aurélia Gantier vient de publier un livre, une fiction intitulée “Les Volponi “. Genèse tunisienne, aux éditions Une heure en été, dont l’histoire des personnages est inspirée de celle d’une communauté de Siciliens de Tunisie dans les années cinquante, une communauté aujourd’hui presque entièrement disparue et dont l’écrivain elle-même est issue.

Guilaine Depis, son attachée de presse, explique qu’Aurélia Gantier, co-fondatrice, vice-présidente et trésorière Bénévole du Women’s WorldWide Web, a pris très tôt conscience par son histoire familiale de la difficulté d’être une femme dans des milieux traditionnellement dominés par des moeurs machistes. « Cette militante resplendissante et passionnée des droits de l’Homme en général et des droits de la femme en particulier voue une admiration sans borne aux femmes de sa lignée auxquelles elle rend hommage dans une saga en trois tomes : les Volponi », explique-t-elle.

« Moteur de sa création littéraire comme de ses combats politiques humanistes, l’héritage familial de l’auteure trouve avec cette saga une véritable sublimation dans ce récit qui rend ses aînées éternelles », dit-elle, ajoutant que le premier tome de cette saga fournit une mine d’informations sur le statut des femmes siciliennes de Tunisie, emblématique de celui de tant de femmes dans le monde « victimes au mieux du machisme, au pire de violences de la part des hommes », un phénomène toujours d’actualité.

Exil forcé

Le blog littéraire Argoul.com explique aussi que cette saga familiale provient de la fascination de l’auteure pour le destin de la communauté des Siciliens de Tunisie. « Tout commence l’été 1947 à Ben Arous, à quelques kilomètres de Tunis. La famille Panzone s’est installée, a prospéré, a accouché de six enfants dont la dernière est une fille appelée Crocefissa ». Celle-ci subira un mariage forcé et aura des enfants « soumis à la discipline paternaliste et rigoureuse du temps des colonies et des mœurs quasi-arabes ». Mais plus tard dans le roman, “tous devront quitter la Tunisie en proie au nationalisme anticolonial, aux manifestations, aux attentats et au racisme contre les Blancs, même pauvres, mêmes métèques, même dominés comme les indigènes. Les enfants sont Français de naissance sans le savoir, mais les parents sont restés Italiens. La demande de nationalité française n’est qu’une formalité et ils la font lorsque les ‘événements’ de la fin des années 1950 conduisent le Protectorat à reculer au profit de l’Indépendance », explique le blog.

Le roman s’arrête à cette période, l’exode en France sera l’objet du tome suivant. « La communauté sicilienne de Tunisie a disparu et les personnes qui ont vécu à cette période ne sont plus. Ce roman est aussi le roman d’une mémoire, celle des ancêtres maternels d’Aurélia Gantier », conclut la chronique du blog littéraire.

N.B.

« Le roman d’une mémoire », selon Argoul qui a aimé « Les Volponi »

Aurélia Gantier, Les Volponi – Génèse tunisienne

L’auteur a en partie des origines chez les Siciliens de Tunisie. Leur destin l’a fascinée et elle a imaginé en faire un roman. Les Volponi – les renards en italien – sont le premier tome de ce qui se présente comme une saga familiale. Avec les qualités et les défauts des sagas : les personnages auxquels on finit par s’attacher, les aventures d’une famille fractale qui se multiplie – en même temps que chaque personnage semble caricaturé, brossé à trop gros traits, sans toujours d’épaisseur par difficulté d’entrer dans la psychologie de tous. Il n’est pas simple de recréer une personne d’un temps révolu, mais l’universel humain permettrait cependant de peindre des caractères plus détaillés.

Tout commence l’été 1947 à Ben Arous, à quelques kilomètres de Tunis. La famille Panzone s’est installée, a prospéré, a accouché de six enfants dont la dernière est une fille appelée Crucifixion – Crocefissa. C’est elle qui, un soir de bal en été, à 16 ans, va être déflorée par le viril Marcello de trois ans son aîné. La famille va exiger le mariage malgré l’absence d’amour, et naîtra ainsi la petite Rosaria, fillette du péché vite délaissée par ses parents et élevée par deux tantes dans la maison d’à côté. Le couple mal marié aura d’autres enfants, mieux aimés mais soumis à la discipline paternaliste et rigoureuse du temps des colonies et des mœurs quasi-arabes. Tous devront quitter la Tunisie en proie au nationalisme anticolonial, aux manifestations, aux attentats et au racisme contre les Blancs, même pauvres, mêmes métèques, même dominés comme les indigènes. Les enfants sont Français de naissance sans le savoir, mais les parents sont restés Italiens. La demande de nationalité française n’est qu’une formalité et ils la font lorsque les « événements » de la fin des années 1950 conduisent le Protectorat a reculer au profit de l’Indépendance.

Le roman s’arrête à cette période, l’exode en France sera l’objet du tome suivant.

Les passions couvent sous le soleil de Méditerranée et l’honneur macho n’est jamais loin. Les femmes sont réduites au rôle d’épouse et de mère, elles doivent rester à leur place et celles qui « s’amusent » sont traitées de putana. Les mâles ont tous les droits, celui de boire et de commander, celui de se battre pour l’honneur, celui de forcer les filles à leur gré. Dans ce monde vraiment d’hier, l’auteur a quelque mal à prendre un ton naturel, d’où cette impression d’ouvrir des images d’Épinal. Mais les aventures des familles prises dans la tourmente des passions et du nationalisme sont en soi romanesques. L’enfant Rosaria, rejetée par ses parents et peu chérie, trop couvée et fragile, habituée à jouer seule avec ses poupées, atteinte d’une poliomyélite qui sera mal soignée, est cependant l’aînée du couple Crocefissa et Marcello. Comme elle est l’avenir, avec les autres, elle est brutalement arrachée à ses deux tantes pour accompagner ses parents en France et faire famille dans un pays d’exil.

Malgré la soigneuse relecture, des coquilles subsistent, telle la « caserne » d’Ali Baba pour la caverne (p.211), et la chemise « débrayée » comme une pédale plutôt que débraillée comme une braie. Quant à la France, vue par les Siciliens, paysans restés aux traditions ancestrales et sans culture, elle apparaît à la fois comme la modernité et comme un avenir de débauche « avec un lupanar comme maison et des enfants sans éducation » p.151. Le lecteur s’étonne pourtant de la quasi-absence de la religion et des curés parmi une population restée très catholique et ancrée dans la croyance. Où était l’Eglise dans la colonie des Siciliens de Tunisie ? Où était l’Eglise dans l’exil ?

Reste que le style est fluide et que le livre se lit bien. La saga du terroir dans le style Christian Signol, est toujours agréable et décentre l’imaginaire dans un ailleurs et une autre façon. La vie des femmes est particulièrement soignée, peut-être parce que l’auteur est une femme et qu’elle partage le point de vue féministe de notre époque qui était loin d’être celui du milieu qu’elle décrit. La communauté sicilienne de Tunisie a disparu et les personnes qui ont vécu à cette période ne sont plus. Ce roman est aussi « Le roman d’une mémoire » , celle des ancêtres maternels d’Aurélia Gantier.

Aurélia Gantier, Les Volponi – Genèse tunisienne, novembre 2018, éditions Une heure en été, 243 pages, €16.50 e-book Kindle €8.99

Note de l’auteur et biographie de l’illustrateur Cyril Delmote de « Merveilles »

Notes sur ces MERVEILLES

Des réalités hors les lois :

Des univers construits par d’autres logiques morales que les nôtres (Jour de Chance) ou par d’autres règles économiques (La Femme du Futur).

Un monde vu avec d’autres yeux que les nôtres, ceux d’un peuple de microbes (Nos Amis les Microbes), ceux de Dieu ou d’un narrateur immortel (Le Fou Rire de Jésus).

Une vérité qui n’existe plus, noyée sous les fables, les représentations, le théâtre (Le Fils du Concierge de l’Opéra).

Les illustrations sont plutôt des interprétations, utilisant toutes les gammes du noir, du gris, du blanc. De même que les textes utilisent tous les styles, l’insolite, l’intime, le burlesque, la BD, l’épique, l’antique, la SF.

L’illustrateur du beau livre « Merveilles » de François COUPRY :

Cyril Delmote, auteur-compositeur, musicien et chanteur.

Né le 24/04/1960

Graphiste et directeur artistique au début des années 80, il quitte définitivement les agences de pub (sans pour autant délaisser l’illustration et la peinture), pour revenir à ses premières amours musico-théâtrales: « Les Nonnes Troppo », « Les V.R.P », « Les Suprêmes Dindes », « The Sons of the Desert », « Bonte », « The Blisters », « Lénine Renaud »…

Il participe par ailleurs au montage de la pièce
« Comme Zatopek » avec Gérald Dumont et Franck Vandecasteele, à la lecture musicale des « Petites Oubliées de la Grande Guerre » avec Anne Cuvelier et Nathalie Renard, ou encore à la « Perf littéralement musiquée » d’ « Abrico amoureux », d’après le roman de François Coupry, avec Anne Cuvelier et J.P. Bonte.

Il continue parallèlement ses activités d’affichiste pour des pièces de théâtre, « Comme
Zatopek »…, et d’illustrateur pour des pochettes de disques, « Lénine Renaud », « Croco », « Les V.R.P »…, et de livres, « Les Contes du Cavalier Chinois » et « Merveilles » de François Coupry.

 

« Merveilles » un beau livre de François COUPRY – parution le 8 novembre 2018

MERVEILLES de François COUPRY

Parution le 8 novembre 2018

aux éditions Pierre-Guillaume de Roux

Attachée de presse :

Guilaine Depis

guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

« François Coupry n’hésite pas à évoquer le vrai pour éclairer le fictif, tandis qu’il recourt au fictif pour démasquer le vrai »,

Anne Bragance, Le Monde (1987).

« Nous sommes dans l’un des univers enchantés de François Coupry, dans ses logiques incongrues mais irréfutables »,

Vivianne Forrester, Le Matin (1982), à propos deJour de Chance.

« Baroque, astucieux, inventif, débordant d’humour mais un peu effrayant aussi », Jacques Nerson, Le Figaro-Magazine (1989), à propos de Nos Amis les Microbes (Une journée d’Hélène Larrivière)

« François Coupry est un ogre baroque et bienveillant, se nourrissant de la chair des livres et invitant le lecteur à sa table », Christine Bini, postface au Fou Rire de Jésus(2016) – A lire sans modération.

Le contenu : Un assassin récidiviste ne parvient pas à se faire arrêter, à être jugé, condamné, emprisonné, et demeure innocent…

Les malheurs d’une jeune femme sont racontés par ses microbes intérieurs, un peuple farceur, joyeux, qui vit dans sa propre logique…

Un enfant s’ennuie dans un théâtre où la réalité n’est que représentée. Il comprend qu’il ne peut en sortir et deviendra le maître de ces illusions…

Dieu, avant d’être crucifié, s’est confié au magistrat qui le condamne et qui, devenu immortel, tente de raconter ce qui n’est qu’un vague souvenir…

Dans une civilisation où l’on s’enrichit sans travailler, où tout le monde s’aime, une jeune fille s’émeut de ce bonheur, essaye d’en douter…

Une anthologie des contes insolites de l’auteur du Rire du Pharaon, de L’Agonie de Gutenberg – une oeuvre où la réalité est montrée d’un autre point de vue, extraordinaire, décalé, anormal, inhumain… et merveilleux !

Dans le registre du Merveilleux, où les lois ordinaires ont été recréées,  l’imaginaire bâtit la réalité de l’univers.

* Merveilles reprend, dans un « beau livre » illustré, certains textes parus dans La Femme du futur et autres contes paradoxaux (Pascal Galodé éditeurs, 2012), déjà une anthologie, mais aujourd’hui indisponible. En y ajoutant Le Fils du concierge de l’Opéra (Gallimard, 1992). Et Le Fou Rire de Jésus (Pascal Galodé éditeurs, 2016), ouvrage également aujourd’hui indisponible.

* Ce florilège expose « à merveille » l’univers de François Coupry – où la réalité est racontée d’un autre point de vue, extraordinaire, décalé, ludique, anormal, inhumain…

François Coupry a publié une quarantaine de récits dans le registre du Merveilleux, où le monde est raconté d’un point de vue anormal, inhumain, et où les lois ordinaires et les principes physiques ont été recréés. 

« L’oeuvre romanesque de François Coupry se répartit en deux grands ensembles : l’un, baptisé Contes paradoxaux, est composé de romans assez courts, souvent centrés autour d’un héros en devenir, dont le destin est lié à un élément insolite qui lui donne tout son sens ; l’autre, un cycle romanesque intitulé Les Souterrains de l’Histoire, est une délirante cosmogonie historique. Nombre de ses héros sont des enfants qui, croyant en une fiction, finissent par changer celle-ci en réalité. »(Francis Berthelot, Bibliothèque de l’Entre-Mondes, les Transfictions, Gallimard, 2005) 

Dans Notre Société de Fiction(Editions du Rocher, 1996), François Coupry définit le cadre de son approche de la littérature : « Ce n’est pas le Réel qui engendre la fiction, afin de se donner un sens ; c’est la Fiction qui crée le réel, afin de se donner une Vérité. »

L’émission télé « La boite à idée » a craqué pour « Talion aiguille » de Richard Joffo

Regardez l’émission Télé de Richard Joffo sur « Talion aiguille » : 

Richard Joffo état l’invité d’IDF1 dans l’émission de Isabelle et Olivier animateurs de l’émission « La Boite à Idée » durant laquelle il a pu présenter son Thriller et surtout expliquer le concept novateur de Talion Aiguille.

https://www.smartrezo.com/talion-aiguille-thriller/tv-talion-aiguille-sur-idf1-le-18-octobre-2018-avec-isabelle-et.html?vod=15850