Christian de Moliner en proximité intellectuelle avec Paul-François Paoli du Figaro

 Chronique littéraire. Aux sources du malaise identitaire français (Paul François Paoli) (Breizh info)

M. Paoli est un journaliste connu et apprécié. Dans son dernier essai, percutant et captivant, il s’interroge sur « l’identité française », question d’autant plus cruciale et centrale depuis l’émergence il y a quelques mois du mouvementBlack Life Matter. Les « blancs » français sont sans cesse mis en accusation, insultés et rabaissés. Alors que 0.2 % d’entre eux descendent de négriers ou de possesseurs d’esclaves, on les renvoie encore et toujours à cette sombre période de l’humanité qui est close pourtant dans notre pays depuis 1848, alors qu’elle subsiste sous une forme amoindrie en Afrique et dans les pays du Golfe sans susciter aucune réaction.

M. Paoli met en avant un point juste, inquiétant, voire effrayant : quand il se promène à Marseille, il éprouve un sentiment non d’insécurité, mais d’étrangeté. Il n’a plus le sentiment d’être en France, mais dans un autre pays. Tout être humain a droit à une patrie. C’est même un principe fondateur de l’ONU. Les « blancs » français semblent avoir perdu leur « home ». Ils sont devenus des étrangers dans leur propre pays.

La querelle du grand remplacement est désormais dépassée : alors qu’il y a cinq ans les démographes bien-pensants le niaient encore au mépris de la réalité, tout le monde admet que la France change de population. Rappelons par exemple que 40 % des jeunes de Montpellier sont d’origine extra-européenne. Or les nouveaux venus ont jeté la culture française à la poubelle et veulent à tout prix culpabiliser les anciens habitants de l’Hexagone. Aux USA, pays fondé sur l’immigration, le renouvellement de population a été incessant pendant 200 ans, mais ceux qui arrivaient se sont fondus sans problèmes dans l’américan way of life. Il en sera de même pour les nouveaux arrivés hispaniques dont les valeurs sont proches de celles actuellement en vigueur aux USA.

Chez nous rien de tel : les nouvelles populations veulent imposer leurs différences et leur mode de vie. Ils n’ont aucune reconnaissance envers la France qui les a accueillis généreusement et leur a fourni de quoi vivre sans se priver. Un exemple parmi d’autres : prenant conscience des nombreux avantages que ses coreligionnaires obtenaient, un musulman a déclaré, sans rires, sans aucune honte, sur un forum « Rendons grâce à Allah de nous fournir une telle aide ». Nous les blancs qui avons mis en place ce système d’aide et qui pour beaucoup travaillent dur pour le financer sommes totalement oubliés, voire méprisés. C’est tout juste si on ne déclare pas que le surcoût d’un tel dispositif pour les non musulmans est légitime, car qu’il entrerait dans le statut du dhimmi.

Cet aveuglement de notre pays qui a permis une telle dérive vient de loin : après 1789, pour une grande partie de « l’élite » la France devait apporter la liberté, les lumières et l’égalité aux autres peuples, qu notre pays avait un rôle particulier à jouer. Pour imposer ces valeurs la France révolutionnaire et napoléonienne s’est lancée dans la conquête de l’Europe et a failli dominer notre continent avant de succomber sous le poids de ses ennemis. Par la suite, cet idéal a formé le soc idéologique justifiant la colonisation d’abord de l’Algérie entre 1830 et 1842 puis de l’Afrique et de l’Indochine. Victor Hugo, ce chantre de la gauche déclarait en 1879 « Dieu offre l’Afrique à l’Europe. Prenez-la. Prenez-la non pour le canon, mais pour la charrue, (…), non pour la conquête, mais pour la fraternité ». D’une manière générale, la Gauche était pour la colonisation et la Droite contre. Cependant, les peuples asservis ont fini par se révolter et par nous rejeter à la mer.

Les libéraux de2020 aiment toujours l’idée de colonisation, mais à l’envers. Ils veulent que des millions de migrants s’installent en Europe, sans se soucier que les « Gaulois » deviennent des sortes d’Indiens dans leur propre pays. Ces universalistes font peu de cas de l’idée d’une culture française, qui existe pourtant. C’est une manière d’être, de vivre, de se nourrir, d’échanger et de partager. Il est, certes, difficile de définir objectivement la notion de civilisation française, mais elle n’est pas une illusion. Enfin pour l’instant. Nous risquons la dilution dans l’universalisme, dans le modèle libéral et mondialiste. Nous sommes aussi en train de nous fragmenter entre communautés linguistiques, religieuses ou ethniques. Les mariages mixtes se raréfient, les prénoms dénotent désormais l’origine et ne sont plus universellement « français » comme ils l’étaient au début du XIXièmesiècle. Les Marie et Charles se font rares ! De même le Français régresse. Il n’est plus parlé dans beaucoup de foyers, il s’appauvrit, le nombre de mots utilisés diminue, des temps de conjugaison sont totalement abandonnés.

La dernière tentative pour arrêter cette dérive mortifère s’est produite sous la présidence du général De Gaulle. Ce dernier avait pris conscience de l’obsolescence de l’Empire colonial, il a su mettre fin à la guerre d’Algérie. Mais il a été un nationaliste déçu par les Français qu’ils trouvaient médiocres, indignes sans doute de sa « France ». La droite a mis plusieurs décennies pour se débarrasser de lui alors que sa figure a été paradoxalement récupérée par la Gauche (Mitterrand, Mélenchon). Malheureusement, le général De Gaulle tout lucide qu’il ait été, a entrouvert les vannes d’une immigration que ni Pompidou ni Giscard ont été incapables d’endiguer et qui pour finir nous a submergé. En 2020, Giscard regrette amèrement d’avoir permis sous sa présidence le regroupement familial et de ne pas avoir renvoyé au Maghreb, les Nord-africains sans travail tout en leur donnant de généreuses compensations financières. Il s’agit en effet d’un crime contre l’identité française accentuée depuis 2000 par une immigration sans aucun contrôle. Malheureusement, il est désormais trop tard et notre pays a implosé.

Christian de Moliner

Crédit photo : DR
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Paul-François Paoli du Figaro parle du livre de Christian de Moliner sur Breizh info

Le romancier Christian de Moliner, souffrant, est remplacé au pied levé sur TV Libertés par le journaliste Paul-François Paoli pour évoquer « Trois semaines en avril » : premier roman post-crise sanitaire.

Dans ce livre, Christian Moliner met en musique une notion effrayante : le grand remplacement de la France et de l’Europe… Une théorie qui rejoint le point de vue de Paul-François Paoli qui a beaucoup écrit sur le malaise identitaire français. Pour lui, l’absence d’identité menace dorénavant l’existence de notre peuple !

Paul-François Paoli du Figaro représente Christian de Moliner chez Martial Bild

Revoir l’émission consacrée aux livres de Christian de Moliner sur TV Libertés sur youtube : Paul-François Paoli du Figaro le représente chez Martial Bild.

Le romancier Christian de Moliner, souffrant, est remplacé au pied levé par le journaliste Paul-François Paoli pour évoquer « Trois semaines en avril » : premier roman post-crise sanitaire. Dans ce livre, Christian Moliner met en musique une notion effrayante : le grand remplacement de la France et de l’Europe… Une théorie qui rejoint le point de vue de Paul-François Paoli qui a beaucoup écrit sur le malaise identitaire français. Pour lui, l’absence d’identité menace dorénavant l’existence de notre peuple !

 

La réserve, avenir du « Français de souche » ?

Vient de paraître, été 2020 * Un essai de Christian de Moliner aux Editions du Val * La réserve, avenir du « Français de souche » ? * Pour le recevoir, interviewer l’auteur, merci de contacter guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Une implacable guerre civile et religieuse menace notre pays tandis que les Français de souche, c’est-à-dire tous ceux qui, en dehors de toute origine et toute religion, acceptent la laïcité et assument les valeurs séculaires de la France, subissent une double offensive : les musulmans intégristes veulent leur imposer leur vision restrictive de la société alors que les racialistes les renvoient par idéologie au niveau de parias. Face à ce que certains ressentent comme d’intolérables agressions, l’exaspération monte et le risque est grand que ne se créent dans le futur des réserves pour Français extrémistes. Après avoir fait un panorama mondial des peuples submergés par l’immigration, de ceux qui ont dû changer de langue ou de religion, de ceux qui ont réagi, après avoir fait le tour des innombrables conflits religieux ou ethniques qui secouent notre planète, l’auteur montrera que la différence induit le plus souvent des heurts intercommunautaires et que la mise en place de réserves est malheureusement un avenir possible, même s’il est glaçant. Il esquissera également quelques pistes pour que cette dystopie ne se réalise pas.

Avec « Trois semaines en avril », Christian de Moliner poursuit l’édification de son oeuvre romanesque

Avec « Trois semaines en avril », son nouveau roman qui paraît en juin 2020 aux Editions du Val Christian de Moliner poursuit l’édification de son oeuvre romanesque, autour d’une pensée politique originale qui part du constat qu’il est devenu difficile de « vivre ensemble » et qui avance toute en mesures et en nuances.

Pour le recevoir en service de presse / interviewer l’auteur, merci de contacter guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Le sujet : La France dans un futur proche : notre pays est sorti de l’euro et s’est enfoncé dans une crise économique catastrophique. Il est en proie à des attentats meurtriers et à des affrontements ethniques et religieux. Seules, l’armée et la police maintiennent un semblant d’ordre.

A Saint-Pierre, petite ville lugubre du Nord de la France, Fatima, l’institutrice musulmane, croise la route de Xavier, le capitaine chargé par des effectifs dérisoires de ramener la paix après des émeutes sanglantes. Réussiront-ils à construire un pont entre les communautés qui se déchirent ?

Ni manichéenne ni moralisatrice, cette chronique amère de trois semaines d’un bref printemps nous tend un miroir aux reflets cruels qui permet d’entrevoir ce que sera, peut-être, notre pays dans quelques années. 

L’auteur : Christian de Moliner est né en 1956. Agrégé de mathématiques, il est passionné d’histoire et auteur de nombreux ouvrages.

Le Journal des Deux Rives diffuse les nouvelles des auteurs de Balustrade

Alain Llense, auteur du roman jubilatoire Emmanuel, Brigitte et moi  inspiré par l’histoire des Macron transposée dans l’univers de la haute gastronomie Nouvelle Louise et Louis

Si la lumière est là c’est que bientôt ils seront là aussi, Paul, Virginie, les jumeaux, ils ne sont pas de ceux qui se rendent aux nuages fussent-ils noirs, aux épidémies fussent-elles mortelles, aux locataires provisoires fussent-ils armés d’amour et d’insouciance. Ils vont rentrer bientôt retrouver leurs vies de carte postale, leur appartement de magazine déco, rentrer pour reprendre leur vie et fabriquer des souvenirs qui rempliront ensuite leurs foutus cadres photos. D’ici là, il faudra être partis, retrouver les rives opposées de la Seine et une vie où Louise et Louis n’auront plus rien à se dire puisqu’il n’y avait qu’une fois, que c’était celle-là, que c’était cette nuit et qu’à cette aube tout s’achève.
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Alain Schmoll, auteur du roman politique et sentimental La Tentation de la vague Nouvelle La coronotentation d’un vague vaccin

Il faut dire que j’avais été bien inspiré, le mois dernier, de téléphoner à Camilo, à La Havane. Nous avions été très copains, une quinzaine d’années plus tôt, lorsque nous combattions côte à côte pour la révolution mondiale voulue par Fidel Castro. Les temps avaient changé. Fidel avait disparu, mais son esprit planait encore sur la mémoire des jeunes guérilleros de l’époque. (…) Mon vrai nom est Werner, pas Romain… 
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Christian de Moliner, auteur de Jasmine Catou détective Nouvelle Jasmine Catou et le Covid 19

Je m’étire voluptueusement sur notre canapé, en m’efforçant de reproduire au mieux une posture présentée dans l’émission de télévision, le chat, son maître et le yoga. Je me sens bien, détendue. Je savoure pleinement l’instant présent et le rayon de soleil qui réchauffe mon ventre. Ah ! Maman s’approche de moi en souriant. Ma récréation est terminée, je crois ; elle me saisit et m’affuble d’un drôle de masque, un cône blanc, avant de me porter jusqu’à ma cage de transport. Je savais que je devais sortir ce matin, mais ce déguisement ridicule me surprend et m’exaspère. Ma mère m’a avertie hier que nous étions attendues aujourd’hui dans un studio d’une radio parisienne pour présenter Les enquêtes de Jasmine Catou, le livre dont je suis l’héroïne.  (…) Le philosophe antique aurait été incapable d’interpréter les aboiements de Griffouille même s’il est aussi intelligent que moi. Le vétérinaire aurait eu raison de souligner que le présentateur confond allégrement humains et animaux. Mais il se tient coi pourtant, il est devenu prudent. Jasmine Catou tu as encore triomphé ! 
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Oula Kelbocha, Mascotte des Editions des Coussinets  Nouvelle d’Oula Kelbocha

La sédentarité de Maman a quand même un bon côté pour nous. Jamais je n’ai vu à la maison autant de réserves de pâtée et de croquettes. J’ai même trouvé où elle range le stock important de friandises et je me suis enfilé en douce ce matin quelques délicieuses bouchées au canard. Elle a aussi un stock important de notre jouet préféré, le papier toilette, qu’elle a hélas mis sous clé. Il paraît que c’est très difficile d’en trouver en ce moment. Pourquoi nos humains n’utilisent-ils pas notre litière ? Maman vient d’ailleurs d’en stocker des kilos dans le garage… est-ce pour cela ? 
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Gérard Muller, auteur du roman écologique Daintree, la forêt intelligente(link is external) Nouvelle Un voyage avec retour

Cela me revient. J’ai été testé positif au corona virus. Cette saloperie. D’abord de la fièvre, des courbatures, un essoufflement qui accompagne le moindre mouvement. Et puis la toux, une toux sèche qui déchire les poumons. Le lendemain matin, d’horribles douleurs dans la poitrine. 40 °C. Tout va alors très vite : le SAMU, l’ambulance, l’hôpital où des soignants déguisés en cosmonautes m’accueillent, s’affairent autour de moi. Ils me branchent à de l’oxygène. Augmentent la pression et le débit toutes les heures. Prennent mon pouls. La quantité d’oxygène dans mon sang diminue comme le niveau d’eau dans un oued après la pluie. Soudain, c’est la panique. Six personnes autour de moi. Elles me soulèvent, me retournent, me perfusent, me parlent, mais je n’entends plus rien. Ma tête se vide. Et puis plus rien. Plus aucun souvenir. Ma vie s’est arrêtée là. 
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Michèle Makki, auteure d’un roman historique sur Pompéi Pompéi, Le Sang et la cendreNouvelle Mon coronavirus au quotidien

Je m’absorbe, vexée, dans le documentaire qui passe à la télévision, tourné avant la pandémie, censé donner du courage aux téléspectateurs ou, plus modestement, censé leur changer les idées. Il y est question de femmes qui accomplissent des exploits en solitaire. En vrac, l’une a traversé le désert à moto, l’autre a vécu au fond d’une grotte souterraine pendant trois mois, la troisième, qui est chamane, jeûne deux jours sur trois et apprend aux gens à marcher pieds nus. Voyant cela, je me dis que je ne serai jamais célèbre et que je ne serai jamais invitée à une émission tv. Le seul risque que je prends, c’est de sortir le chien en période de pandémie. 
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« des nouvelles qui se lisent avec bonheur » selon Argoul

Christian de Moliner, Les exploits de Jasmine Catou

La chatte détective poursuit ses enquêtes dans l’actualité la plus immédiate, le salon des mathématiques qui se tient chaque année en juin à Paris et le confinement Covid.

Pas sûr que le salon, cette fois-ci, soit physique – mais les mathématiciens concurrents se livrent une lutte à mort pour gagner le prix. Et celui qui l’emporte ne l’emporte pas en paradis. Quoique : Who done it ? comme disent les vieilles anglaises, expertes en intrigues mortelles : Qui l’a fait ? Malgré ses talents d’observation aiguë pour tout ce qui bouge, Jasmine la chatte n’est pas sûre – mais après tout, si c’était vrai ? Si son hypothèse audacieuse était la bonne ? Reste le problème fondamental de tout chat : comment communiquer ce qu’elle sait à un humain ?

Quiconque côtoie de près ces petits félins adaptés à l’homme depuis des millénaires sait très bien que le chat communique. Mais pas avec les instruments humains. Si son miaulement se module selon ce qu’il ressent et ce qu’il veut, c’est surtout par son attitude et sa mimique faciale qu’il s’exprime. Mais ce ne sont que des réactions simples de plaisir, de requête et d’amour – rien de sophistiqué. Dès lors, comment « dire » ce que l’on a compris d’une question qu’il faudrait poser ou d’un indice à examiner ?

C’est pourquoi l’auteur qui fait agir la chatte est ingénieux. Le lecteur est surpris à chaque fois a de constater que dire ce qu’on sait est possible, même quand on est une chatte devant des humains raisonneurs. La logique fait-elle partie de l’organisation mentale d’un chat ? En tout cas, la relation directe de cause à effet est indispensable aux prédateurs, dont les félins sont les plus affûtés.

Un seul mort dans ces trois nouvelles qui renouvellent les exploits de Jasmine la chatte. L’auteur se sert de la vie de sa maitresse, l’attachée de presse parisienne Agathe, pour mettre en scène des intrigues. Une recette de cuisine d’une autrice qui va sortir un second tome de son best-seller se retrouve malencontreusement livrée à la presse concurrente. Par qui ? l’amant d’Agathe qui a utilisé son ordinateur à son insu soi-disant pour envoyer un mél ? Par un stagiaire de la chaîne de production de l’article prévu pour dans quelques jours ?

Covid-19 relate une émission de radio qui a réellement eu lieu… avec Jasmine Catou en vedette. Mais elle est transposée aujourd’hui, sous le confinement pandémique. Un vieux professeur arrive avec son chien philosophe, Agathe avec sa chatte fourrée détective ; leur sont confronté un vétérinaire rationaliste que l’anthropomorphisme systématique appliqué aux bêtes agace. Un test : il a perdu son portable, Jasmine sera-t-elle capable de le retrouver ?

D’un ton léger, d’un style agréable, ces nouvelles policières à la manière de dame Agatha, se lisent avec bonheur. De quoi en faire tout un recueil pour éditeur policier.

Christian de Moliner, Les exploits de Jasmine Catou, 2020, Les éditions du Val, 97 pages, €6.50 e-book Kindle €3.00

Les exploits précédents de Jasmine Catou sur ce blog

OPERATION CORONAVIRUS : le texte politique de Christian de Moliner

Balustrade Coronavirus, auteurs politiques & polémistes

Balustrade Coronavirus, auteurs politiques & polémistes

Christian de Moliner, auteur notamment de « Islamisme radical : comment sortir de l’impasse ? »
La crise du grand confinement (…) Au fond qu’est-ce une société juste ? (…) Pour ma part, j’estime que dans une société « idéale » doit exister un filet de sécurité pour les accidentés de la vie, mais aussi pour les paresseux qui refusent de travailler. Le RSA, le paiement du loyer aux propriétaires, des bons alimentaires sont donc souhaitables à mes yeux. Seule condition que j’imposerais : le nombre de bénéficiaires de ces prestations ne doit en aucun cas augmenter artificiellement et on doit éviter que 300 000 nouveaux arrivés s’invitent d’eux même chaque année au partage du gâteau, sans avoir été invités par qui que ce soit. Pour le reste un écart plus faible de revenus que celui en place actuellement serait sans doute souhaitable ainsi qu’une réflexion sur les catégories qui dans un monde idéal, devraient être surpayées ou sous payées. Faut-il mettre en avant le diplôme ? L’utilité sociale ? La pénibilité ?  Ce débat sera difficile à mettre en place « les privilégiés » défendant bec et ongles leurs avantages, les « défavorisés » souhaitant accéder à un meilleur niveau de vie. Lire le début de cet article en cliquant ICI

OPERATION CORONAVIRUS : une nouvelle inédite de Jasmine Catou

Balustrade Coronavirus, auteurs de nouvelles sur le covid 19 et le confinement

Balustrade Coronavirus, auteurs de nouvelles sur le covid 19 et le confinement

Christian de Moliner, auteur de « Jasmine Catou détective » Nouvelle « Jasmine Catou et le Covid 19 »

Je m’étire voluptueusement sur notre canapé, en m’efforçant de reproduire au mieux une posture présentée dans l’émission de télévision, le chat, son maître et le yoga. Je me sens bien, détendue. Je savoure pleinement l’instant présent et le rayon de soleil qui réchauffe mon ventre. Ah ! Maman s’approche de moi en souriant. Ma récréation est terminée, je crois ; elle me saisit et m’affuble d’un drôle de masque, un cône blanc, avant de me porter jusqu’à ma cage de transport. Je savais que je devais sortir ce matin, mais ce déguisement ridicule me surprend et m’exaspère. Ma mère m’a avertie hier que nous étions attendues aujourd’hui dans un studio d’une radio parisienne pour présenter Les enquêtes de Jasmine Catou, le livre dont je suis l’héroïne.  (…) Le philosophe antique aurait été incapable d’interpréter les aboiements de Griffouille même s’il est aussi intelligent que moi. Le vétérinaire aurait eu raison de souligner que le présentateur confond allégrement humains et animaux. Mais il se tient coi pourtant, il est devenu prudent. Jasmine Catou tu as encore triomphé ! Lire la suite de la nouvelle en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/operation-coronavirus-la-nouvelle-de-christian-de-moliner-sur-jasmine-catou/