Actualités (NON EXHAUSTIF)

Communiqué officiel septembre 2021 de INNOOO

Le Pacte numérique INNOOO a dépassé les 104.000 signataires :
Est-ce au GAFAM de s’adapter à l’homme ou à l’homme de s’adapter et d’être asservi par le GAFAM et contraint d’en supporter les effets nocifs et délétères détaillés dans le communiqué joint ?
Le Pacte numérique Innooo repose sur l’intime conviction que la «science sans conscience (du GAFAM) n’est que ruine de l’âme» et qu’un choix de civilisation est nécessaire entre l’humanisme qui passe par un Internet sans publicité et le transhumanisme de « l’homme augmenté » du GAFAM qui nous promet de « tuer la mort », objectif aussi stérile qu’absurde car tuer la mort reviendrait à tuer la vie.
L’Internet mercantile du GAFAM, mu par une cupidité sans limite, s’est en outre développé avec une telle rapidité qu’il fait plus penser à l’évolution d’un cancer qu’à la croissance d’un être vivant.
L’objectif de l’association INNOOO, précisé dans le communiqué joint, est de faire prendre conscience des dangers de cette dépendance et de ses conséquences aux citoyens français et de demander aux candidats à l’élection présidentielle 2022 de signer le Pacte numérique INNOOO ci-dessus avant l’élection en s’engageant en cas d’élection à mettre en œuvre ses sept propositions:
1- Mise en place par une structure publique ou privée indépendante composée de membres de la société civile
2- Accélération de la mise en place du règlement et de la directive européenne sur les données personnelles
3- Mise en œuvre effective d’une loi fiscale pour lutter contre l’évasion fiscale des multinationales américaines du numérique
4- Faciliter le cryptage des courriels par des solutions françaises
5- Créer des répertoires de noms de domaines indépendants afin de sortir du monopole de l’ICANN
6- Favoriser l’utilisation intensive de logiciels libres nationaux
7- Amplifier la recherche et le développement (R&D) française et européenne sur l’Internet du futur
L’association INNOOO a contribué depuis 2010 à la genèse du RGPD et de la taxe GAFA, qui correspondent aux propositions deux et trois de son Pacte numérique, et qui, bien qu’existant juridiquement, ne sont que peu ou pas appliqués et nécessitent par la société civile, plus proche du terrain, un suivi opiniâtre pour une application effective.
L’association va en outre renforcer ses collaborations avec les institutions qui l’honorent de leur confiance : la CNIL, le ministère des Armées, la Gendarmerie nationale, le Secrétariat d’État au numérique, les ministères de la Culture et de l’Économie, le CNRS, la Bibliothèque nationale de France, le Sénat, l’université Paris Dauphine,
l’université du Mans, l’université de Lorraine et l’université Caen Normandie…
Bien cordialement
L’ Equipe INNOOO
Association d’intérêt général

L’écrivain Bertrand du Chambon rend un superbe hommage à Hélène Waysbord dans Le Salon littéraire

L’archipel des secrets

On me pardonnera peut-être la réticence qui est la mienne à entrer dans La Recherche, malgré l’amour de Swann pour Odette et les frasques de Charlus. C’est que – encore pardon ! – j’y étouffe, je m’y sens comme obligé de rester dans une chambre capitonnée, et sous la courtepointe. Que l’on apprécie donc mon courage, ma témérité consistant à lire un ouvrage qui est à la fois une rêverie à partir de l’univers proustien, un recueil de suggestions de lectures et un ensemble de fragments autobiographiques.

Il est vrai qu’on y est invité agréablement par l’excellente préface de Jean-Yves Tadié : … C’est l’histoire d’une lecture, genre qui remonte à Montaigne. Il y a en effet plusieurs manières d’être critique littéraire : la première consiste à étudier une œuvre de manière classique et universitaire. Une autre, à montrer comment on a lu, à faire l’histoire de sa lecture, à montrer comment un livre a changé votre vie ou vous a aidé à vivre.
On ne saurait mieux dire.

Hélène Waysbord a donc entrepris d’examiner ce qui la relie au monde proustien – quelques avenues parisiennes, des lettres de jadis, et bien sûr la Normandie – jonglant ensuite avec ce qu’a écrit Proust et ce qu’il a vécu, y découvrant parfois ce qu’elle a vécu elle-même. Née dans une famille de Juifs étrangers qui furent déportés à Auschwitz, cachée en Normandie, plus tard enseignante en classes prépa à Caen, elle devint la protégée de François Mitterrand qui lui demanda, entre autres missions, de présider la Maison des enfants d’Izieu.

En la lisant, on pressent la présence d’un écrivain et d’une personne d’une qualité rare. Un grand désir de révéler des pans entiers de sa vie s’entremêle à un immense besoin de secret, une hantise presque : se cacher. Entre l’envie de se livrer et le besoin de se dissimuler, Hélène Waysbord tisse une toile en laquelle les souvenirs de Marcel Proust et l’évocation de la lecture de ses œuvres sont entrelacés.  

La guerre m’avait coupée de ma famille, j’étais devenue quelqu’un d’autre, sans archives sur mon origine, un pan de ma vie englouti dans l’oubli. Si J’essaie de démêler aujourd’hui quelle sorte d’obscurité, il m’est difficile de l’exprimer. Peut-on y voir clair dans une âme d’enfant ? Je peux dire qu’il y avait en moi un secret repoussé mais présent, ma judéité. Une menace, une différence. Proust l’était lui aussi, de façon compliquée, juif. Quand je commençai à m’initier à La Recherche, le personnage de Swann, l’intérêt passionné de l’auteur pour l’affaire Dreyfus dut m’apporter quelque chose comme une parenté avec une famille perdue que j’aurais à retrouver.

Par des chapitres brefs qui sont autant de nouvelles, l’auteure nous prie de la suivre et mieux, de la connaître ; plus elle se cachera, plus nous devrons faire sa connaissance ; ainsi naîtra-t-elle avec nous. Comme toutes les personnes subtiles, Hélène Waysbord se croit devinée, et peut-être n’en dit-elle pas assez pour que nous la devinions. C’est une princesse de l’implicite.

Mais elle parvient à enchaîner ses chapitres comme des perles, bribes et fragments du passé, îlots du non-dit. Intrigués, nous la suivons et découvrons qu’il y a là mieux que des îles : un archipel.

Bertrand du Chambon

Hélène Waysbord, La Chambre de Léonie, préface de Jean-Yves Tadié, éditions Le Vistemboir, septembre 2021, 127 p.-, 19,90 €

Soirée de la Revue Natives : Rencontre- #conférence exceptionnelle avec Assossa, #Chamane Puvi-Pygmée du Gabon Assossa

#INVITATION Jeudi 16 septembre 2021 à 19h30 :
Soirée de la Revue Natives : Rencontre- #conférence exceptionnelle avec Assossa, #Chamane Puvi-Pygmée du Gabon Assossa à l’Agora 64 rue du Père Corentin 75 014 Paris (inscription obligatoire par sms pour les journalistes 06 84 36 31 85 ; Pour les non journalistes, l’entrée coûte 40 euros et un abonnement à la revue Natives est offert)
#climat #planète #écologie #réchauffement #spiritualité #religion #chamanisme #culture #sustainability #sustainable #environment #sustainable #paris #circulareconomy #sustainabledevelopment #développementdurable #financedurable

Economie : Sept idées libérales de François de Coincy (pour nourrir les programmes des candidats à l’Elysée 2022)

Sept idées libérales par François de Coincy

A paraitre en novembre 2021, publié par les Editions L’Harmattan

Chef d’entreprise à la retraite, François de Coincy avait publié en 2020 un livre renouvelant l’analyse et la théorie économique à partir des idées qu’il a accumulées au cours de sa vie professionnelle sur l’efficacité de la liberté dans le monde économique. Ce premier essai lui donné une crédibilité lui permettant d’écrire des articles publiés dans Figaro Vox, Causeur ou Economie Matin.

Dans son nouvel essai, François de Coincy aborde le libéralisme sous un angle bien moins théorique en proposant sept idées économiques concrètes et innovantes, toujours basées sur la liberté et la responsabilité, dont la mise en place donnerait à notre pays une dynamique nouvelle.

Loin de l’idée fausse du libéralisme du laissez-faire, les propositions de ce livre sont basées sur une politique d’incitations fortes qui laissent à tous la possibilité d’agir, de participer et d’innover. Dans une période où beaucoup de Français attendent des projets et des solutions nouvelles, chacun des chapitres expose une idée en rupture avec l’approche conventionnelle qui devrait nourrir le débat.

Les 7 idées libérales du livre

1 Le produit social

Concept totalement nouveau, le produit social, qui est une forme de charge sociale négative, permet de supprimer le chômage structurel et développer une dynamique d’entreprises en France.

2 L’investissement déductible

Une vision audacieuse et de long terme du résultat des entreprises, qui génère des emplois immédiats, nous procure des ressources dans le futur et rend la France attractive pour les investisseurs.

3 Les comptes bancaires sécurisés

Le développement et les conséquences d’une idée, déjà suggérée par Maurice Allais (prix Nobel), consistant à ce que les dépôts non rémunérés des clients des banques soient considérés comme faits à la Banque Centrale.

4 La libération du marché monétaire

Hormis les activités régaliennes, la finance est le grand secteur économique qui ne relève pas d’un marché libre. Il faut corriger cette situation qui génère des crises et occasionne des transferts injustifiés de valeur ajoutée vers le secteur bancaire au détriment de l’économie réelle.

5 La régionalisation de l’Education Nationale

Le monolithisme de l’Education Nationale ne lui permet pas d’évoluer pour assurer efficacement l‘éducation de nos enfants.  En délégant totalement l’Education aux Régions on va libérer les innovations, les prises de responsabilité, et susciter une émulation dynamique.

6 L’écologie libérale

La monétarisation du carbone est effectivement une solution libérale car elle permet d’atteindre un objectif en laissant un choix aux acteurs économique ; mais il faut en contrepartie supprimer toutes les règles et contraintes de l‘écologie punitive, morale et inefficace.

7 La réforme des retraites                                                

On ne peut pas avoir un accord libre quand les choses sont confuses. Il faut distinguer ce qui relève de la cotisation de ce qui relève du transfert social et que les cotisations payées reflètent réellement les avantages obtenus.

   En conclusion

Les idées ci-dessus ne sont que des exemples d’une approche libérale qui est un art difficile : il n’y a pas de liberté sans règles, mais celles-ci doivent être un instrument de liberté  

Surréalisme, utopie, fantaisie, avec un brin de nonsense pour Yozone

Noble société de Bullford (La)
Vera Nova
L’Harmattan / Les Impliqués, traduit de l’anglais (États-Unis), fable, 118 pages, juin 2021, 16 €

On connaît les éditions l’Harmattan, qu’un mode de fonctionnement singulier permet d’assimiler à des éditions à compte d’auteur. Depuis longtemps, elles publient une profusion d’ouvrages de qualité inégale, souvent d’intérêt limité, mais couvrant un large spectre, tout particulièrement dans les champs de la géographie, de la sociologie et de l’ethnologie, mais aussi de l’autobiographie et de la fiction. Les éditions les Impliqués, avec une collection du même nom, n’apparaissent pas vraiment comme une maison d’édition à part, mais plutôt comme une branche des éditions l’Harmattan née il y a quelques années. « La Noble société de Bullford  » de l’américaine Vera Nova est l’un des nombreux ouvrages de ce label, une fiction d’une centaine de pages initialement publiée en langue originale en 2018.

À moins qu’il ne s’agisse de licence artistique, les classiques tirets cadratins des dialogues ont été remplacés par des puces – de plus en plus souvent désignées, franglais oblige, par le nom de bullet points – lors d’une conversion de fichier, ce type d’éditeur ne travaillant pas les fichiers qui doivent être rendus prêts à imprimer, d’où une singularité typographique quelque peu surprenante à la lecture. On notera toutefois que la traduction de Stéphane Normand paraît consciencieuse, avec même un très rare et délicieusement obsolète subjonctif imparfait (“pour qu’ils bussent”).

Cette « Noble Société de Bullford  », sous-titrée « Le monde merveilleux par-delà le temps, l’espace où…  » ) met en scène quelques individus aux patronymes de conte pour enfants ((M. Pensemoulin, M. Sansniffette, M. Lentecloche, Dame Quicheaupoivre, M. Petitballon, M. Fayotrouge, Dame Cerisette, M. Fugue des Orages, M. Àfeudoux, Dame Pierrepluche) dans ce qui apparaît comme un bourg, une région d’un autre monde, un pays de fable marqué par des ambiances britanniques.

Il semble que nul n’ait de grands soucis dans le monde de Bullford où l’on mène des vies de fermiers ou d’aristocrates et où l’on philosophe et s’interroge un peu sur tout. Quelques réflexions faussement ou véritablement naïves sur l’argent – avec la cupidité déplacée d’un bouc qui dévore les billets de banque – la consommation, la vie en société et la manière dont elle fonctionne, les rêves que l’on fait et les désirs que l’on imagine. Et même la guerre, puisque voilà qu’un mystérieux Messager Intermondial, par tasse à théléphone, informe le maire de Bullford qu’un ennemi “situé à droite de son fauteuil, à douze mois-lumière de là”, vient de déclarer la guerre au comté.

Comment les habitants de Bullford résoudront cette crise inattendue, alors qu’ils ne savent absolument pas ce que peut être une guerre, voilà ce que les lecteurs découvriront dans la partie centrale de ce livre. Un livre qui leur réservera quelques surprises parmi lesquelles, outre les très british tasses à théléphone, une aérobarque, une voiture au moteur rendu silencieux par l’huile d’olive vierge, de la limonade au piment, des poulets multicolores perchés sur un poivrier, ou des instruments de musique autonomes.

Cette « Noble Société de Bullford », difficile à saisir, impossible à classer, oscille donc entre conte philosophique et conte pour enfants. Surréalisme, utopie, fantaisie, avec un brin de nonsense (loin toutefois des sommets des classiques anglo-saxons du genre) se succèdent sur une centaine de pages à peine, douze illustrations de Vera Nova comprises, pour moitié en couleur, pour moitié en noir et blanc. Un petit ouvrage cocasse, burlesque, farfelu et vite lu.


Titre : La Noble société de Bullford (The Noble Society of Bullford, 2018)
Auteur : Vera Nova
Traduction de l’anglais (États-Unis) : Stéphane Normand
Couverture : Vera Nova
Éditeur : L’Harmattan / Les Impliqués
Collection : Les Impliqués
Site Internet : page roman (site éditeur)
Pages : 118
Format (en cm) : 13,5 x 21,5
Dépôt légal : juin 2021
ISBN : 9782343226910
Prix : 16 €

« faire de la philosophie sans le savoir » Emile Cougut dans Wukali

La noble société de Bullford, un conte prometteur de Vera Nova

Voilà un recueil de «  contes », enfin plus exactement une histoire, ou plutôt encore, une description d’une « société » divisée en  trois chapitres. Enfin des contestes quelques sortes des contes philosophiques, voire des paraboles. C’est dire qu’il n’est pas facile, évident, de mettre cet ouvrage dans une case préétablie.

L’autrice, Vera Nova, tout à la fois peintre-écrivain et actrice américaine, nous transporte à Bullford, un coin de l’univers où s’est créée une véritable Utopie.

En effet, il s’agit là d’une société qui se bâtit en opposition totale avec celle que nous connaissons depuis quelques millénaires. Au lieu de faire une confiance aveugle dans le progrès et l’apport de la technologie, ce sont les modes de pensée qui sont, en quelque sorte inversés. On frisotte avec « de l’autre côté du miroir » de Lewis Caroll. L’Occident s’est construit à partir du célèbre adage : « ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas que l’on te fasse ». A Bullford, la devise, la façon de vivre est : « Ne jamais traiter les autres comme on aurait aimé qu’ils vous traitâssent, sauf s’ils y consentent en premier lieu, car ce qui est bon pour vous peut causer aux autres des préjudices fatals. »

Alors oui, le résultat est quelque peu étonnant, déconcertant même! Il faut dire que parfois, on se croirait un peu dans l’univers des bisounours, voire parfois dans un roman de science-fiction. Mais nous sommes là bien sûr, dans une métaphore, et pas dans une société réelle ou réalisable.

Vera Nova

De fait Vera Nova nous inscite à réfléchir pour savoir ce qu’est un état, une société humaine. Elle nous pousse à méditer sur ce qu’est l’argent, sur l’utilité de la guerre et ses racines : «  la tâche des Chefs consiste à transformer par l’émotion des individus en une foule stupide formée à la destruction à tous les échelons, et même à l’autodestruction. ».  Et puis enfin, « last but not least« , sur tout ce qui fait société.

À ce stade de la démonstration, inutile de préciser qu’à Bullford, même s’il y a un maire, il n’y a pas de hiérarchie, mais des personnes indépendantes, c’est à dire qui ont opéré la seule indépendance imaginable, celle qui leur est personnelle !
Soit des individus, chacun avec son caractère et ses particularités. Et quand on risque d’avoir une guerre, chacun revêt l’uniforme qui lui est propre, donc, il n’y en a pas deux identiques . Il faut dire que l’uniforme est à l’inverse du mode de vie des bullfordiens car : « l’uniforme est la tenue invariable qui fait que des individus ressemblent à la même personne et ont le même esprit. L’uniforme a pour but de remplacer la personnalité d’origine. » Toute la philosophie de vie de cette utopie est résumée dans cette phrase, enfin, enfin, dans l’inverse de cette phrase. C’est bien clair n’est-ce-pas ?

Vera Nova est aussi une artiste peintre, et quelques unes de ses œuvres émaillent son récit. De belles vignettes qui en elles seules créent un univers original entre le cubisme et Bottero.

Pour les amateurs de bandes dessinées, comment ne pas penser à Rêverose, la cité utopique créée par Dany dans la série Olivier Rameau.

Indéniablement un second volume doit paraître pour continuer la construction de cette utopie au plus grand plaisir des lecteurs qui, plongés dans un récit plein d’humour, font de la philosophie sans le savoir. Mais n’est-ce pas le but premier de ce genre ?

La noble société de Bulford
Vera Nova

éditions Les Impliqués. 16€

Illustration de l’entête: Vera Nova. photo FaceBook

 

Hélène Waysbord face à Maya Nahum dans L’Etoile et le Jasmin sur Radio J

L’étoile et le jasmin

L’Etoile et le Jasmin est une émission littéraire crée par André Nahum qui, depuis 25 ans donne, en liberté, la parole aux écrivains et à tous les artistes qui posent un regard sur le monde à travers leurs œuvres.

Maya Nahum

Maya Nahum, diplômée d’histoire et de lettres. Auteure, chroniqueuse et scénariste elle a travaillé pour plusieurs médias ( Libé, radio France , a présent Causeur). Elle a enseigné l’écriture pendant 15 ans.
Elle présente un jeudi sur deux à 10h35, l’émission « L’étoile et le jasmin » au micro de Lise Gutmann.

Réécoutez l’émission ici : 

Lise Gutmann

Aprés des études avancées d’anglais et de yiddish elle a aujourd’hui une double carrière: journaliste et professeur de Yiddish.

Lauréate de deux prix du yiddish pour son action en faveur de la langue et de la culture, les prix Cukierman et Korman, elle anime le 10/11h de Radio J du lundi au vendredi.