Présentation de la revue littéraire Livr’Arbitres par son fondateur Patrick Wagner

Présentation de la Revue littéraire LIVR’ARBITRES

(sortie du numéro 17 consacré à Dominique de Roux le 12 juin 2015, suivez le lien en cliquant pour avoir l’invitation à cette soirée)

Couverture de Roux .jpgLa Revue Livr’Arbitres ne revendique rien. Elle ne se propose pas de vous encanailler à peu de frais dans un débat sur la querelle des Anciens et des Modernes. Sur l’existence supposée des néo-hussards et présupposée des Hussards ou l’avènement d’une littérature désinstallée ! Si je prends en compte la dernière rentrée littéraire, comment faire le tri ? Combien de livres édités et déjà oubliés ? Il y a des tendances, des modes et paraphrasant Gustave Thibon, je dirais qu’être à la mode c’est une ambition de feuille morte.

Non, ce que nous désirons, c’est simplement partager nos bonheurs de lecture, nos coups de cœur et parfois… de gueule. Avec Xavier Eman, mon directeur de la rédaction, nous ne nous connaissons pas de chapelle. Seule ligne directrice le Beau, le Vrai et le Juste. Le journal se construit à chaque numéro. A la fin de chaque trimestre, j’appelle l’ensemble de la rédaction pour savoir où chacun en est, et, quand le nombre de pages me paraît suffisant, nous passons à l’impression. Rien de plus simple. Tout un chacun a des centres d’intérêts différents qui permettent de remplir nos différentes rubriques : portrait, polémique, entretien, nouvelles… On pourra nous qualifier d’amateurs, de gens pas sérieux. Le défaut de notre jeunesse ? Je répondrais que les gens sérieux sont ennuyeux. J’aime trop la vie pour la cloisonner. Ainsi, nous pouvons évoquer dans nos colonnes des sujets aussi divers que le cinéma, Béraud, la Russie ou Les écrivains des vastes horizons à travers un Dossier et un entretien avec Sylvain Tesson. Nous pouvons également apporter un éclairage sur un écrivain oublié de René Bazin à Roger Bésus ; nous entretenir avec Olivier Maulin, Erik L’Homme ou Philippe Alméras. Nous suivons également des auteurs contemporains plus ou moins confidentiels d’Andreï Makine à Eric Faye, de Bernard du Boucheron à Charles Ficat ou encore de Benoit Duteurtre à Thierry Marignac…

 

 

Un travail salué et encouragé par le critique Pol Vandromme ou l’Académicien Michel Déon qui nous fait le plaisir de nous offrir une nouvelle inédite dans notre dernier n° consacré à Dominique de Roux, où nous rendons également un hommage appuyé à Geneviève Dormann qui nous a récemment quittés.

Patrick Wagner.

Samedi 30 mai à 15h, INVITATION À LA HALLE SAINT-PIERRE AVEC L’ARTISTE D’ART BRUT VLADIMIR – RSVP

INVITATION RSVP (guilaine_depis@yahoo.com / 06 84 36 31 85) à Paris à la Halle Saint Pierre, 2 rue Ronsard, 75018 le samedi 30 maià partir de 15 heures, pour la présentation du livre de Vladimir, collection l’Art en Marche, en présence de Catherine Artheix, Editrice de la Découvrance et de Luis Marcel, Directeur de la collection l’Art en marche.

Rencontre animée par Guilaine Depis, attachée de presse du livre. http://www.hallesaintpierre.org/2015/04/vladimir/

 

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vladimir un .jpgAUTRES INVITATIONS AUTOUR DU LIVRE DE L’ARTISTE VLADIMIR / 

 

L’ART EN MARCHE

9, avenue du 8 Mai 1945

03120 – LAPALISSE

Tél. : 06 16 28 50 92 MAI 2015

Mail. : luis.marcel@art-en-marche.fr

Web : www.art-en-marche.fr

Blog : artenmarche.canalblog.com

FB : www.facebook.com/artenmarche

Lapalisse et Paris : L’événement du mois sera la présentation officielle du livre

« Ce cri qui nous décrit » de Pascal Saint Vanne dit Vladimir

 

Lapalisse au musée de l’Art en marche, vernissage les samedi 16 et dimanche 17 mai, les après-midis à partir de 15 heures jusqu’à 19 heures et sur rendez-vous pour d’autres horaires.

Un buffet campagnard et un canon de rouge accompagneront l’évènement.

L’exposition durera jusqu’à fin juin. Vous bénéficierez du prix de souscription de 25 euros.

 

Paris à la Halle Saint Pierre, 2 rue Ronsard, 75018 le samedi 30 mai, à partir de 15 heures, présentation du livre de Vladimir, collection l’Art en Marche, en présence de Catherine Artheix, Editrice de la Découvrance et de Luis Marcel, Directeur de la collection l’Art en marche. http://www.hallesaintpierre.org/2015/04/vladimir/

 

Vichy à l’Orée des Thermes, 49 avenue Thermale, le mercredi 27 mai, Luis Marcel animera deux conférences. La première à 16 heures, la seconde à 20 heures. Le thème abordé sera la collection de l’Art en marche et l’art brut avec projection d’images du musée.

 

Saint Pourçain sur Sioule salle Art Media, ancienne salle de la justice de paix, le mardi 2 juin à 20 heures 30conférence animée par Luis Marcel. Le thème : « Découvrir les oeuvres du musée de l’Art en Marche (art brut et neuve invention) en images, apprendre à les observer, les analyser,… ». http://www.ville-saint-pourcain-sursioule.com/fr/Article/851/Vie-locale-Salles-municipales-Salles-culturelles-La-salle-Art-Media

 

Les photographies du livre de Vladimir et celles du musée sont de Pascal François http://www.pascal-francois.fr/

Il est l’un des membres fondateurs de l’Art en marche, actuellement trésorier de l’association.

Il est aussi le photographe attitré des Salins de Guérande et du Centre National du Costume de Scène et de la Scénographie de Moulins.

Association Loi 1901 – N° W033000627 du 30 juillet 1996

 

N° SIRET 412 216 418 00027

Vladimir « envoûte » selon Argoul (28 mai 2015)

Vladimir, Ce cri qui nous décrit…

vladimir ce cri qui nous decrit
Pascal Saint-Vanne, peintre écrivain – né à Verdun – crie en écorché vif sous le patronyme de Vladimir. Le grand prince de Kiev a décidé le baptême pour la Russie en 988 avant que son métropolite du même nom ne périsse en martyr en 1918. Pascal-Vladimir est créateur d’art brut parce qu’autodidacte sans culture du geste scolaire, exprimant sans tabou le subconscient, révolté social, anarchiste limite libertarien. Il en veut aux Normalisateurs, qu’ils soient médecins-psychiatres qui castrent chimiquement les délires artistes, les gens du marketing qui packagent le prêt-à-jouir pour le commun abêti, ou les « Mélenchon Le Pen » qui imposent impérialement leurs façons de voir aux citoyenfantiles.

« De la tripe ou du banquier, qui produit, à votre avis, l’œuvre la plus authentique ? »L’auteur éructe sa rancœur. Vlad l’empaleur enfile le monde actuel au bout de son pinceau et le lacère avec délectation de sa plume. Sainte Colère ! Dont « la rapidité d’exécution s’est faite de la lenteur ». Il enfile les mots comme des perles d’un collier étrangleur. Un exemple :

« Nous sommes au sommet d’un populaire assommé, déraisonné : il nous en pollue le salubre et l’insalubre du lugubre ou le dernier salut de l’air, et la terre n’est pas conçue pour se taire et il devrait y avoir encore à faire parmi tout ce décor ou serait-ce le corps à corps aux gestes télévisés : une dualité très perverse s’est ainsi réalisée dans cette impasse bien paisible, cette docilité mondialisée nous fronce bien des sourcils, à sa sourde vitesse : j’irais montrer mes fesses délectées dans la paresse, il en reste ainsi la baise d’un peuple défroqué… » p.25. C’est ample, dense, presque somptueux de sens à découvrir.

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Lui Vladimir impose le fascisme narcissique du « narcisme » par ses « autoportraits fusionnés à la pornographie de la femme » – comme il l’explique en des textes confus où la phrase est dissociée pour mieux associer les assonances. Son « je auto-érotique » provoque, consciemment, pour faire sortir de sa coquille et réagir. Il y aurait du Rimbaud si Vladimir en avait l’âge ; bien qu’il chie les ombres comme Schiele, il y a plutôt du Artaud ou du Rotko.

« Mes couleurs n’expriment que de la vie et ne veulent rien dire ». Art à la racine, psychose. Des yeux hallucinés vous fascinent, trous noirs parmi les ombres violentes. Ils interpellent, ils appellent. Dialogue impossible, tant la raison est ici volontairement absente. Il faut subir l’assaut, se laisser hanter par les fresques qui gagnent à être vues en grand. Les couleurs sont « mortes dans la douleur », ambiance rouge pâle que perçoit le fœtus dans le ventre. Et tout ce noir. Des yeux, des trous, des ombres, embabouinées de mandibules en noir et sang sur fond de glaires, parfois. Tout l’être disparate criant la Mère.

« Rature de la nature », ce Vladimir ? Il promeut « l’acte de peindre la fièvre exaltée du nulle part », presque sartrien inclination Heidegger lorsqu’il démontre que « l’être doit disparaître avant l’après d’atteindre l’acte d’exister !…» Reconnaissez son génie dans l’acrobatie des concepts. « La schizophrénie est un luxe, très en vogue dans le chic et l’Afrique » p.107. Les textes qui accompagnent les peintures sont « le constat qu’il est urgent de constater » p.188.

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Mais vous convaincre de raison sur une œuvre de passion n’est pas de saison. Il vous faut voir Vladimir, vous perdre dans ses textes qui – dissociant – associent. Vous perdre dans ses peintures expressionnistes de turbulences. Il envoûte, il crie de mots et de couleurs. Il est lui – et nul autre.

Vladimir, Ce cri qui nous décrit…, 2015, éditions La Découvrance, 215 pages et 100 photos couleurs des œuvres, préface par Luis Marcel, €29.00

Le site de référence Actualitté repère le livre de Vladimir – Merci à Félicia-France Doumayrenc (26 mai 2015)

 
 
 
 
 
De nombreux peintres tel Léonard de Vinci qui affirmait que « la peinture est une chose intellectuelle », Delacroix, Salvador Dali, Paul Klee, Kandinsky ont écrit sur la peinture. D’autres ont construit autour de leur peinture une approche où se mêlaient mots et œuvre picturale (comme le livre Pure Perte de Ramon Alejandro) d’autres encore étaient aussi auteurs et l’on pense aux anagrammes de Hans Bellmer.
 
vladimir un .jpgDe même, de nombreux écrivains ont écrit sur les peintres Bernard Noël sur Matisse, André Velter sur Ernest Pignon Ernest pour ne citer qu’eux. Beaucoup d’écrivains dessinaient parallèlement à leurs travaux littéraires : Victor Hugo, Henri Michaux, etc. 
 
La peinture amène, de façon naturelle, à son explication, donc à sa mise en langue. Le livre de Vladimir Ce cri qui nous décrit est une vision extrêmement subjective du monde dans lequel le peintre vit dans la ville de Verdun. 
 
Un ouvrage où sont réunis textes et peintures qui détonnent dans l’univers policé habituel.
 
Car Pascal Saint-Anne dont le pseudonyme est Vladimir n’a ni ses pinceaux ni sa plume dans sa poche.
Sa peinture torturée où l’abstrait (il pratique l’art brut) nous fait parfois découvrir un visage, un corps défragmenté, des paysages tourmentés, est répertoriée dans cet ouvrage qui réunit plus d’une centaine de tableaux sur une période d’une dizaine d’années.
 
Peinture où les mots de Vladimir se mélangent aux coulures comme pour mieux leur donner forme, les rendre singulières, uniques, peinture sombre et parfois tragique où les mots de par leur truculence éclairent les toiles d’une vision pénétrante.
 
Aucun sujet n’est oublié, le peintre parle aussi bien dans ses courts textes quasi poétiques de mort, d’érotisme, de politique, de vie, d’amour, de solitude, de tristesse, etc. Vision d’un monde particulier qui s’articule dans des phrases tout aussi torturées que ses toiles, l’auteur nous emporte dans un univers parfois grinçant, parfois malicieux, parfois totalement mortifère. Il joue avec les mots : «C’est l’été d’un étranglé : car, ici, pas d’étranger une étrangère et l’étagère… l’air est sans étage ».
 
 
Il critique ouvertement la politique du Front National, ainsi que la politique en général d’ailleurs, manie l’art de l’écriture érotique, nous emmène sur des chemins troubles où les mots deviennent des traits et où les traces de peinture se transforment en phrases.
Livre atypique préfacé par Luis Marcel qui lui ouvre les portes de la langue en lui disant « tu veux crier Vladimir ? Eh bien soit, exprime-toi, vocifère, gueule, crache, vide-toi de tout ce qui t’encombre, de toutes ces incompréhensions, de tes souffrances accumulées depuis le jour où ta vie a basculé ».
 
Quel est le jour où la vie de Vladimir a basculé ? C’est ce qu’on se demande en regardant de nombreuses fois, les reproductions de ses peintures remarquablement photographiées par Pascal François, en essayant de comprendre tous ces textes de l’année 2014. Pourquoi juste cette année-là ? S’est-elle imposée à Vladimir comme l’an de l’écriture, comme la langue de la peinture ?
 
De cela nous ne savons rien.
 
Ce livre qu’on pourrait qualifier de livre objet tant il est beau est un mystère. Peut-on l’aimer de manière inconditionnelle ? Cela semble délicat à affirmer. Car cet ouvrage dérange et ne peut laisser celui qui le tient, en main, insensible.
 
Mais, comme tout livre de peinture ou livre sur la peinture d’un peintre, il ne peut nous laisser indifférents. Il prend aux tripes, et on aimerait savoir quelle est la fêlure qui a poussé Vladimir à se livrer ainsi tout en se cachant derrière ses toiles d’art brut.

Inauguration du 16ème Salon Culture et Jeux Mathématiques Place Saint-Sulpice jeudi 28 mai 2015 à midi

Jeudi 28 mai 2015 à midi  vous êtes invité(e) à l’inauguration avec toutes les personnalités du 16ème Salon Culture et Jeux Mathématiques – ET EN PARTICULIER NOTRE PARRAIN JEAN-PIERRE LUMINET – et un cocktail mathématique sur la mythique Place Saint-Sulpice

(inscription conseillée par mail auprès de l’attachée de presse Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com)

 

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COMMUNIQUE de PRESSE OFFICIEL Mai 2015 

16Salon Culture et Jeux Mathématiques 

organisé par le Comité International des Jeux Mathématiques 

sous le parrainage de Monsieur Jean Pierre Luminet 

astrophysicien, historien des sciences et des mathématiques 

 

du jeudi 28 mai au dimanche 31 mai 2015 

Place Saint Sulpice – Paris 6ème – Entrée libre et gratuite 

Mathématiques et Lumière 

 

Patrice Trigano à L’Écume des Pages, venez nombreux jeudi 28 mai de 19h à 21h

patrice trigano.pngLa librairie L’Écume des Pages et les Éditions de La Différence vous invitent à la signature du roman de Patrice Trigano « L’Oreille de Lacan », le Jeudi 28 mai 2015 de 19 à 21 heures.

attachée de presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com 

Librairie L’Écume des Pages 174 boulevard Saint-Germain 75006 Paris 01 45 48 54 48 

www.ecumedespages.com 

Un Salon pour les maths (28-31 mai 2015) à une époque où elles posent « beaucoup de problèmes aux collégiens » (source Journal de 20 heures de France 2 du 17 mai 2015)

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Attachée de presse du Salon Culture et Jeux Mathématiques pour interviewer Jean-Pierre Luminet le parrain de l’édition 2015 : guilaine_depis@yahoo.com / 06 84 36 31 85

ACTUALITÉ ET NÉCESSITÉ ET IMPORTANCE DU 16ème SALON CULTURE ET JEUX MATHÉMATIQUES QUI SE DÉROULERA PLACE SAINT-SULPICE DU 28 AU 31 MAI 2015 (cliquez pour en savoir plus) : 

Revoir le Journal de 20 heures de France 2 du dimanche 17 mai 2015 avec le sujet « Les maths posent des problèmes à beaucoup de collégiens » : 

http://www.francetvinfo.fr/societe/education/les-maths-posent-des-problemes-a-beaucoup-de-collegiens_908769.html

Ce sont 8 000 collégiens de troisième qui ont fait le même test de mathématiques que des élèves de même niveau il y a six ans. Résultat : le nombre d’enfants dits « faibles » est passé de 15 à 19%, quand ceux dits « bons » sont 15% au lieu de 18%.

Le poids de l’origine sociale

Pour le ministère de l’Éducation, c’est la preuve que le collège français n’arrive pas à réduire les inégalités sociales. « Ce qui augmente, c’est le poids de l’origine sociale sur la réussite scolaire. Par exemple, si vous êtes un collégien en éducation prioritaire, vous avez trois fois moins de chance qu’un collégien hors éducation prioritaire d’être très bon en maths », exprime Catherine Moisan, membre de la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance.

 

Ces chiffres viennent confirmer une tendance déjà révélée en 2012 : la France rétrograde de la 22e à la 25place des pays développés en termes de résultats scolaires.

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Salon « Mathématiques et lumière » avec pour parrain Jean-Pierre Luminet qui publie « Ulugh Beg, l’astronome de Samarcande » aux Éditions Lattès

Le parrain du 16ème Salon Culture et Jeux mathématiques (28 au 31 mai 2015), Jean-Pierre Luminet, publie un nouveau roman aux Éditions Lattès.

Pour interviewer Jean-Pierre Luminet sur le thème « Mathématiques et lumière » de l’édition 2015 du Salon, contactez l’attachée de presse du CIJM Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com 

Parution du nouveau roman d’histoire des sciences de Jean-Pierre Luminet, consacré cette fois à un épisode méconnu de l’astronomie arabo-musulmane, au temps de Tamerlan !

Un sujet d’une brûlante actualité aussi, car il montre les deux faces de l’Islam –  celui des savants et lettrés ouverts à l’interrogation devant le monde, et celui des fanatiques et des obscurantistes ennemis de toute liberté de pensée et de parole. 

couv luminet.jpgUlugh Beg, l’astronome de Samarcande

Editeur : JC Lattès (15 avril  2015)

Collection : Romans historiques
315 pages
ISBN-13: 978-2709644839

Egalement disponible en format Kindle

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Quatrième de couverture :

En 1429, Samarcande, escale majeure de la route de la soie, connaît une animation encore plus vive qu’à l’ordinaire. Le plus grand observatoire jamais conçu vient d’être inauguré. Les ambassadeurs du monde entier vont contempler un immense sextant de 40 mètres de rayon plongeant dans une fosse vertigineuse, un gigantesque cadran solaire dont les parois externes sont couvertes d’une vaste fresque représentant le zodiaque, et une terrasse qui abrite les plus perfectionnés des instruments de mesure du temps et de l’espace : sphères armillaires, clepsydres, astrolabes…
Le promoteur de ce prodige architectural, mais aussi le directeur de l’observatoire n’est autre que le prince et gouverneur de Samarcande, Ulugh Beg, le petit-fils du conquérant redoutable qui mit tout l’Orient à feu, de l’Indus au Jourdain : Tamerlan.
Amoureux des sciences et du ciel, piètre politique et militaire – ce qui lui vaudra sa mort –, Ulugh Beg, entouré des meilleurs astronomes de son temps, va calculer la position de mille étoiles et rédiger un ouvrage majeur : les Tables Sultaniennes qui fascineront les savants, les lettrés et les voyageurs du monde entier.
C’est l’histoire totalement hors du commun de ce savant poétique et rigoureux que Jean-Pierre Luminet nous invite à découvrir dans une fresque romanesque épique, au cœur d’un monde de grandes étendues désertiques, de cités au raffinement incomparable et de guerres permanentes où, cependant, l’homme continue plus que jamais sa conquête de la science et des étoiles.

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jpl.jpgJean-Pierre Luminet
Directeur de recherches au CNRS
Laboratoire d’Astrophysique de Marseille
& Observatoire de Paris
Site web : luth.obspm.fr/~luminet/ 
Blog français : http://blogs.futura-sciences.com/luminet/
English Blog : Blog français : http://blogs.futura-sciences.com/e-luminet/

Étonnants Voyageurs : Roger Taylor, finaliste du Prix « Compagnie des pêches » 2015

taylor un .jpgBonne nouvelle : 

« Mingming au rythme de la houle » de Roger Taylor 

finaliste de la dernière sélection du prix Compagnie des pêches au festival Étonnants Voyageurs de Saint-Malo !  

PRIX GENS DE MER, PRIX COMPAGNIE DES PECHES, PRIX THERMES MARINS AU FESTIVAL ETONNANTS VOYAGEURS 2015 

LA SELECTION DU JURY

Au terme de ses premières délibérations, il a retenu 

 (…)

2 titres parmi lesquels se déterminera le lauréat du prix Compagnie des Pêches 2015 :

Josiane Guéguen : « Voyage au cœur du Seamen’s club », Géorama 

Roger Taylor : « Mingming au rythme de la Houle », La Découvrance

 (…)

Le jury se réunira le samedi 23 mai à 18 h pendant le festival, face à la mer, dans les locaux de l’Ecole Nationale Supérieure Maritime de Saint-Malo pour délibérer. Une rencontre-débat publique avec les lauréats aura lieu sur place.