Actualités (NON EXHAUSTIF)

Invitation 20 mars 2024 autour de Yezza Mehira avec Fabrice Pataut, Gautier Battistella, Gilles Brochard : Littérature et cuisine

Invitation Soirée littérature et cuisine le 20 mars 2024

Yezza Mehira et Guilaine Depis vous invitent à une inoubliable soirée Littérature et cuisine 
 
Mercredi 20 mars dès 18h30 à l’Hôtel la Louisiane 60 rue de Seine 75 006 Paris
 
inscription par sms : Balustrade 06 84 36 31 85
 
Yezza Mehira fait son miel de l’intimité des femmes. Les saveurs accrochées à ses souvenirs de la Méditerranée à la Goutte d’or se font nouvelles littéraires. Avec elle, tout devient comestible et désirable. Elle s’est immiscée par la porte de la cuisine dans des cœurs de femmes venant de Tunisie, du Liban, d’Egypte, en somme d’un ailleurs aux saveurs orientales.
 
Avec les recettes de son premier livre, La Cuisine des âmes nues à déguster sur place, et des conversations-plaisirs avec :
 
Philosophe, chercheur au CNRS (philosophie du langage)Prix de la nouvelle de l’Académie Française (Trouvé dans une poche (Buchet/Chastel, 2005). Fabrice Pataut a vécu plusieurs années à Los Angeles avant de publier un premier recueil, puis un premier roman, Aloysius (Buchet/Chastel, 2001). Son roman En haut des marches (Seuil, 2007) fait l’objet d’une adaptation théâtrale. Dernière parution : Les beaux jours (Héliopoles, 2022). Son travail a été reconnu du Monde au Figaro, de Libération à France Culture…
 
Gautier Battistella considère que « la cuisine est le langage du monde ». Scénariste, goûteur, et amoureux de tout ce qui s’admire ou se met en bouche. Quinze ans au Guide Michelin, voilà qui vous éduque un palais ! Il publie des romans chez Grasset : Un Jeune Homme Prometteur (2014) et Ce que l’homme a cru voir (2018). Avec Chef (Prix Cazes 2022, adaptation en cours pour la télévision), il trouve un sujet susceptible de flatter son goût pour les belles lettres et les plats mijotés. Il travaille à son prochain opus, ainsi qu’à un roman graphique consacré à un chef célèbre.
 
Gilles Brochard

est l’auteur de plusieurs livres sur le thé dont Un thé chez les tigres (P.G.de Roux), Cuisine d’altitude (Verlhac Edts), Guide secret des tables politiques (Verlhac), journaliste gastronomique, littérature et art de vivre, il collabore à Radio Notre Dame, Valeurs actuelles, Voyage de Luxe et Service littéraire….

 

Invitation 7 mars 2024 : Balustrade fête les femmes avec un peu d’avance : avec Hélène Rumer, Stéphanie Janicot, Josyane Savigneau

INVITATION POUR LE 7 MARS 2024

Balustrade prend de l’avance pour fêter 
la Journée internationale des droits des femmes
Guilaine Depis vous invite 
jeudi 7 mars de 19h à 22h30 
à l’Hôtel La Louisiane 60 rue de Seine 75 006 Paris
à une soirée de dialogues et réflexions sur « Être femme en 2024 » 
suivie d’un cocktail (participation au chapeau, inscriptions par sms 06 84 36 31 85)
avec 
 
Hélène Rumer, écrivain des violences conjugales et de la libération de la parole
Son oeuvre, d’une rare intensité, nous ouvre un champ d’une grande puissance émotionnelle et nous met face à des images, où se mêlent souffrance étouffée, tendresse à fleur de mots et accès de violence ravageurs.
Après Profil bas en 2009, Hélène Rumer fait une entrée remarquée par la presse suisse dans la littérature.
 
Son deuxième roman, Le Zal* (2013) explore *la nostalgie slave. Insaissisable, le zal est une composante inconditionnelle des mélodies de Chopin. Il saisit les êtres au plus profond de leurs émotions pour ne plus les lâcher. Le zal est tout à la fois le spleen polonais, la passion – une passion absolue et sans concession.
 
Elle vient de publier Mortelle petite annonce (Pearlbooksedition) une fiction sous forme de huis clos glaçant qui frôle le fantastique autour d’un drame familial. Chacun livre ses états d’âme, ses secrets et ses tourments. Un réalisme oppressant.
 
Stéphanie Janicot, écrivain dont tous les livres explorent la condition de la femme, parmi lesquels :
Non ma mère n’est pas un problème (le premier roman sur le viol conjugal, que les critiques hommes ont trouvé très drôle, alors que les lectrices femmes ont aussi beaucoup pleuré). 
La mémoire du monde, reprend toute sa trajectoire sur 3500 ans (Prix Renaudot Poche). 
L’île du docteur Faust évoque l’invisibilisation des femmes de plus de 50 ans dans notre société. 
Le réveil des sorcières a pour sujet sous jacent la terreur que les femmes indépendantes inspirent aux hommes.
 
Cofondatrice du mensuel Muze destiné à initier les jeunes femmes à la culture (8 ans) avant de le transformer en trimestriel consacré à la création au féminin partout dans le monde (7 ans). 
Elle participe à la création du prix de la closerie des Lilas qui prime chaque année une romancière francophone.
 
Josyane Savigneau, journaliste littéraire et féministe engagée

La prestigieuse revue « Souffle inédit » fait la part belle à Socotra

« Socotra: Des Dragonniers et des Hommes »

«Socotra: Des Dragonniers et des Hommes » – Un appel vibrant à la préservation d’un trésor naturel unique

Par Yves-Alexandre JULIEN

«Socotra: Des Dragonniers et des Hommes » «Socotra: Des Dragonniers et des Hommes »

En explorant l’île mystique de Socotra à travers l’objectif captivant de Benoît Palusinski et les mots poétiques de Cécile Palusinski on est au cœur de l’enchantement. Dans “Socotra, des Dragonniers et des Hommes,” la symbiose entre art photographique, poésie et la nature singulière immortalisée résonne comme une ode à la préservation de notre planète. Comme le souligne Rachel Carson dans “Silent Spring,” la connexion entre l’art et l’environnement offre une voie puissante pour sensibiliser et agir.

«Socotra: Des Dragonniers et des Hommes »

“Socotra, des Dragonniers et des Hommes,” invite à un voyage visuel qui transcende les frontières de l’art photographique, nous remémorant la sagesse d’écrivains et de chercheurs éminents qui ont exploré la relation complexe entre l’homme et la nature.

Une relation profonde entre les arbres et leur environnement.

Au cœur de Socotra, l’icône emblématique du dragonnier, surnommé “l’arbre au sang de dragon,” attire notre attention, rappelant les écrits de Richard Powers dans “The Overstory.” Powers explore la relation profonde entre les arbres et leur environnement, une relation mise en lumière par les photographies saisissantes de Benoît Palusinski. Ces clichés en noir et blanc, véritables témoignages du mystère de Socotra, s’inscrivent dans une tradition visuelle qui transcende le simple documentaire pour atteindre une dimension artistique, une esthétique soulignée par Robert Macfarlane dans “Underland.”

«Socotra: Des Dragonniers et des Hommes »

Aldo Leopold, dans son œuvre pionnière “A Sand County Almanac,” souligne l’équilibre délicat entre l’homme et son environnement. C’est cette harmonie fragile qui trouve une résonance profonde dans les majestueux dragonniers de Socotra, des arbres millénaires qui portent en eux l’histoire silencieuse de cette île océanique.

Un fil d’Ariane entre l’image, le mouvement des lieux et la littérature 

L’introduction de Mohammed Jumeh, établit un pont entre le temps figé de l’image et le mouvement constant de l’endroit. Les mots de Jumeh, énoncés dans la lignée de poètes et écrivains visionnaires, tels que Kafka, Picasso, et Holderlin, nous guident vers une compréhension plus profonde de la quête artistique qui anime les créateurs de “Socotra, des Dragonniers et des Hommes.”

«Socotra: Des Dragonniers et des Hommes »

Nous nous retrouvons face à la question fondamentale posée par Jumeh : “Pourquoi prenons-nous des photos ? Pourquoi écrivons-nous ?” Ces interrogations, héritières d’une longue tradition poétique, trouvent des échos dans la nature unique de Socotra, à l’instar des réflexions de Michael Pollan dans “The Botany of Desire.”

«Socotra: Des Dragonniers et des Hommes »

La vérité des images et des mots 

Dans ce voyage littéraire et artistique, Socotra n’est pas simplement un lieu géographique, mais un espace mythique où les mots et les images convergent pour révéler une vérité plus profonde. Les références à des chercheurs tels que Dr. Suzanne Simard et Peter Wohlleben, connus pour leurs travaux sur la communication entre les arbres, ajoutent une dimension scientifique à cette exploration.

La fragilité des dragonniers et la lutte pour la biodiversité

Les dragonniers de Socotra, joyaux millénaires, incarnent la fragilité de notre environnement. Des experts tels que Aldo Leopold, dans “A Sand County Almanac,” mettent en lumière l’urgence de protéger ces trésors naturels. Les tempêtes dévastatrices et la menace des chèvres, évoquées par des écrivains comme Terry Tempest Williams dans “Refuge,” reflètent les défis modernes de la préservation écologique.

Au cœur de Socotra, les majestueuses montagnes et l’emblématique dragonnier, surnommé “l’arbre au sang de dragon,” attirent l’attention. Cependant, la rareté de ces arbres et la menace sur la biodiversité insulaire sont des préoccupations croissantes. Comme le décrit l’auteur Richard Powers dans “The Overstory,” la relation entre les arbres et leur environnement est complexe, et l’impact des changements climatiques se fait ressentir de manière dramatique sur des espèces uniques telles que le dragonnier. La diminution alarmante de certaines espèces est notable, particulièrement les arbres à encens, réduits de 78 % entre 1956 et 2017. Des auteurs engagés dans la préservation de la nature, tels que Robin Wall Kimmerer avec “Braiding Sweetgrass,” mettent en lumière la nécessité cruciale de préserver ces écosystèmes fragiles menacés par des forces humaines et naturelles.

Les menaces qui pèsent sur le dragonnier de Socotra sont multiples, des cyclones aux chèvres en surpopulation. L’intensification des cyclones, attribuée aux changements climatiques, reflète les défis mondiaux discutés par Bill McKibben dans “The End of Nature.” Les chèvres, dévastatrices pour les jeunes arbres, rappellent les dilemmes de la coexistence humaine et animale explorés par Diane Ackerman dans “The Zookeeper’s Wife.” Alors que la coupe d’arbres est interdite, le constat de bateaux remplis de bois souligne la nécessité d’une action concertée. Des initiatives de reforestation résonnent avec l’espoir de sauvegarde décrit par Wangari Maathai dans “Unbowed,” soulignant l’importance de replanter et de protéger ces trésors végétaux en danger.

Comme l’évoque Terry Tempest Williams dans “Refuge,” les défis modernes de la préservation écologique sont semblables aux protagonistes de récits écologiques contemporains et résonnent avec l’appel à l’action de Rachel Carson dans “Silent Spring.”

Art et recherche agronomique

Au-delà de son impact artistique, “Socotra, des Dragonniers et des Hommes” sert de passerelle entre l’art et la recherche agronomique, notamment en mettant en lumière la rareté des dragonniers de Socotra. Ces arbres, endémiques à l’île, sont devenus des trésors botaniques rares menacés par des facteurs environnementaux. Dans son ouvrage “The Hidden Life of Trees,” l’auteur Peter Wohlleben explore la vie sociale des arbres, rappelant ainsi la complexité et l’importance de ces êtres vivants. Les travaux de spécialistes comme Dr. Suzanne Simard, dont les recherches révèlent les réseaux souterrains de communication entre les arbres, soulignent l’importance de protéger des espèces uniques comme les dragonniers de Socotra. C’est une invitation à réfléchir, à l’image de Michael Pollan dans “The Botany of Desire,” sur la relation profonde et interdépendante entre l’homme et la nature, évoquant ainsi la nécessité de préserver ces trésors botaniques pour les générations futures.

Engagement environnemental

Les éditions Melrakki s’associent à l’association Dragon Blood Tree, reversant une partie des bénéfices pour protéger les dragonniers. Cette initiative unique contribue à la préservation du patrimoine naturel et culturel de Socotra, soulignant la responsabilité sociale des artistes envers l’environnement, un thème central dans “The Sixth Extinction” d’Elizabeth Kolbert.

Noir et Blanc, le véhicule d’une poésie revendicative

Le choix du noir et blanc, allié à la poésie de Cécile Palusinski, revendique un message puissant. Cette esthétique souligne le mystère de Socotra, capturant l’essence de la lutte quotidienne pour préserver un héritage millénaire face aux défis modernes, à la manière de Robert Macfarlane dans “Underland.”

Strasbourg capitale mondiale du livre UNESCO

C’est le 23 avril que Strasbourg  deviendra officiellement la Capitale mondiale du livre Unesco 2024, pour un an.
Les festivités seront lancées avec « Le Printemps de la Grande Lecture », premier chapitre d’un programme qui en égrènera cinq jusqu’en 2025. L’édition de ce livre pourrait être présenté avec une exposition des photographies à l’occasion de Strasbourg capitale mondiale du livre UNESCO.

Socotra fait partie de la sélection biennale du World Monuments Fund 2022 de 25 des sites patrimoniaux et menacés les plus importants au monde nécessitant une attention immédiate. Elle est aussi inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco pour le caractère exceptionnel de sa biodiversité et son taux d’endémisme

Cette reconnaissance mondiale contribue à sensibiliser davantage aux enjeux environnementaux de l’île, un thème exploré par E.O. Wilson dans “The Diversity of Life” et son appel à la préservation des écosystèmes uniques.

L’ile de Socotra : un trésor en péril

Au large du Yémen, l’île de Socotra se dresse comme un joyau de biodiversité, qualifiée de “Galápagos de l’océan Indien” par l’UNESCO. Cependant, « Socotra , des dragonniers et des hommes » alerte intrinsèquement sur les menaces qui pèsent sur ce trésor naturel unique au monde. La rareté des espèces, telles que les arbres au sang de dragon, évoqués dans cet ouvrage artistique, est mise en exergue. Comme l’écrivait Rachel Carson dans “Silent Spring,” les écosystèmes fragiles comme celui de Socotra sont vulnérables aux impacts des changements climatiques et de l’urbanisation incontrôlée.

L’appel à l’action: le destin incertain de Socotra

Socotra bénéficie d’un écosystème exceptionnel, mais aussi d’une vulnérabilité face à des menaces croissantes. Fondamentalement est-il trop tard pour sauver Socotra ? Cette question est un appel à l’action urgent. Des parallèles peuvent être tirés avec l’œuvre “The Sixth Extinction” d’Elizabeth Kolbert, qui explore les conséquences dévastatrices des activités humaines sur la biodiversité. Comme le démontre cet ouvrage photographique, il est crucial de sensibiliser et d’agir rapidement pour préserver Socotra, un trésor de la nature qui pourrait être perdu à jamais si des mesures significatives ne sont pas prises.

“Socotra, des Dragonniers et des Hommes” transcende le simple album photographique. Benoît et Cécile Palusinski nous guident à travers un voyage visuel et poétique, éveillant notre conscience environnementale. C’est un appel à l’action, une célébration de la nature et une contribution significative à la préservation de ce précieux héritage.

L’émission radio « Le jour où » sur Vivre FM avec Quentin Tousart invité de Cendrine Genty

L’émission radio « Le jour où » sur Vivre FM avec Quentin Tousart invité de Cendrine Genty

Réécoutez ici 

Cendrine Genty reçoit Quentin Tousart, Entrepreneur passionné par l’Innovation et co-Auteur du livre  » Partir de soi pour changer le monde à son échelle avec les méthodes effectuales. »

LES CIRCONSTANCES DE LA VIE NOUS IMPACTENT TOUS. CELA A ETE LE CAS POUR QUENTIN DONT L ENFANCE A ETE MARQUÉE PAR UN CONTEXTE PERSONNEL AUX REPERCUSSIONS FORTES QUANT A SES CHOIX POUR SA VIE FUTURE. JUSQU’AU JOUR OÙ D’AUTRES CIRCONSTANCES ENCORE, LUI ONT OFFERT L’OPPORTUNITE D’UNE PLEINE BASCULE.

Alors que Quentin n’a que 5 ans, sa maman tombe malade. Dès lors, le petit garçon, puis le jeune homme ne va avoir de cesse que de chercher à comprendre. Et se prend de passion pour la recherche de connaissances. Au moment de choisir sa voie, le jeune bachelier choisit la recherche. Il poursuivra ainsi se quête d’informations et de compréhensions du monde. Tout en se sentant protégé de ce monde en menant ses futures recherches seul dans son coin. Mais l’histoire n’est jamais linéaire et c’est au cours de son année de licence que Quentin se retrouve face à une situation inattendue. qu’il va rapidement transformer en formidable opportunité. Un choix qui va changer le cours de sa vie. Et le propulser de plein fouet dans le monde du business, de la levée de fond, du développement d’entreprise, mais également des méandres de la vie avec associés, des mésententes naissantes, des chemins divergents, de la revente avec succès. Ou même, du crash pur et simple. 

Dans « Le jour où… Quentin nous raconte ce parcours mené depuis ce jour où, soudain, il pris la décision inopinée de quitter ses études pour créer sa première start-up, sans rien y connaître. Et de sa vie passée dans l’action pure, jusqu’au jour où… une nouvelle rencontre fut nouvelle source d’une opportunité majeure. Celle de Dominique Vian, chercheur. Ensemble, les deux hommes co-écrivent leur livre à destination des entrepreneurs mais pas que. Et créent leur méthode afin de permettre « à chacun de devenir créateur de changement à son échelle.(…) Reprendre le contrôle, retrouver le pouvoir d’agir, dans des situations complexes et d’incertitude généralisée – Identifier votre surcapacité, ces aptitudes particulières qui vous sont propres (votre identité), qui vous permettent de contribuer à la société de manière significative en les mettant à profit pour créer un projet viable. » cf Balustrade, le site de Guilaine Depis leur attachée de presse.

« Dans Le jour où… » Quentin Tousart nous montre « comment le fait de devoir se protéger au départ de sa vie a pu faire naître une sorte de moteur autour de la curiosité qui se traduit aujourd’hui dans sa surcapacité qui est de comprendre ce qui passe autour de lui. « 

Non-dits et violences du couple grâce à la romancière Hélène Rumer (« Mortelle petite annonce »)

Littérature

Hebdo Bourse Plus n°1225

Yannick URRIEN

Mortelle petite annonce.

Dana Ziyasheva dans L’Hebdo Bourse Plus 1224

Littérature

Hebdo Bourse Plus n°1224

Yannick URRIEN

Choc…