Fabrice Pataut, Prix de la Nouvelle de l’Académie française, sensible aux nouvelles d’Adriana Langer

Fabrice Pataut.  Prix de la Nouvelle de l’Académie française, message écrit 18/10/17

« Chère Adriana (si je puis me permettre),

J’ai lu vos nouvelles avec grand plaisir. Je les ai trouvées à la fois rêveuses et percutantes, avec des détours inattendus par la littérature (Mansfield, Brodsky). « La bague » et « Rencontre » restent mes préférées. Parlons-en à l’occasion. Bravo pour ces jolis textes courts et poétiques. »

« J’ai été sensible à vos nouvelles, à votre écriture précise et poétique. »

 

Michel Lambert, écrivain couronné notamment pour ses nouvelles, très sensible à celles d’Adriana Langer

Michel Lambert, Grand Prix de la nouvelle de la Société des gens de lettres 2006 et  Prix de la nouvelle francophone de l’Académie royale de Belgique 1998

Messenger 11/10/2017

« J’ai été très impressionné par vos qualités d’écriture (une langue précise, élégante, fluide) et par l’analyse subtile voire raffinée de l’intime de vos personnages. Je vous en dirai plus d’ici peu. J’aimerais moi aussi vous rencontrer, nous aurions, je crois, beaucoup de choses à nous dire. Quand on a une passion commune, il faut absolument la réchauffer au contact de l’autre, de sa propre expérience. Il y a des êtres nés de la nuit qui nous hantent, il y a aussi des textes qui vous restent en mémoire et en rêve (je pense à votre première nouvelle). »

Mail 14/10/2017

 « Entre deux lectures pour le Rossel, je n’ai pas pu m’empêcher de poursuivre la lecture de votre livre. Décidément, j’y prends beaucoup de plaisir, vous me faites réfléchir par le côté singulier de votre approche de la vie quotidienne, je suis aussi ému ou amusé quand vous mettez en scène un jeune enfant et sa mère, ou deux grands de la littérature, Tchekhov et Katherine Mansfield, ou quand vous me conviez à un étrange voyage nocturne. Me frappe aussi la cohérence du recueil – cohérence née d’une très belle maîtrise de l’écriture, et d’une belle souplesse aussi, car votre style s’adapte parfaitement à chaque situation. 

Merci de m’avoir fait parvenir ce beau recueil, j’espère que vous en préparez déjà un autre. »

 

Adriana Langer, la nouvelliste des éditions Valensin-David Reinharc

1486385365.pngL’auteur : Née à Boston, Adriana Langer a passé la majeure partie de son enfance en Argentine et aux Etats-Unis, avant d’arriver à Paris où elle réside encore aujourd’hui et qui continue de l’émerveiller. Longtemps tiraillée entre ses vocations médicale et littéraire, elle a réussi à concilier ces deux activités en écrivant des nouvelles en parallèle à sa profession de radiologue exercée à l’Institut Curie.

De Rabelais à Céline, les médecins devenus écrivains sont nombreux. Leur expérience quotidienne de l’humain leur donne matière à penser et à s’émouvoir. Par ailleurs, les poètes persans ne disaient-il pas déjà que les mots avaient une valeur thérapeutique, que la poésie et la littérature avaient le pouvoir de soigner et de changer l’Homme en son entier ? Les textes qui composent « Oui et non » sont autant d’échographies de l’âme, ou plus précisément d’électrocardiogrammes qui mesurent les soubresauts du cœur, les va et vient du bonheur.

attachée de presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / balustrade2017@yahoo.com

« Oui et non », un recueil de nouvelles d’une qualité exceptionnelle d’Adriana Langer

langer couv.jpgToute la singularité d’Adriana Langer tient dans sa passion de la nouvelle comme genre littéraire. Pour elle, cette forme concise d’écriture permet de braquer un projecteur sur les instants-clés d’une vie, de disséquer un comportement, un caractère ou une émotion. Concentrés de vie, ses nouvelles aspirent à la force et la subtilité de celles de ses maîtres Anton Tchekhov, Vladimir Nabokov, Virginia Woolf, Flannery O’Connor et Alice Munro dont elle chérit l’extraordinaire liberté.

 

C’est pour sa hardiesse et son instantanéité, son caractère brutal, langoureux ou tranchant, qu’Adriana Langer aime tant la nouvelle. Selon elle, ces textes brefs et incisifs agissent comme catharsis mieux qu’aucune autre forme artistique. Tels les haïkus, ils expriment tour à tour la douceur de l’existence, la déferlante du désir, la pudeur d’une blessure, la plénitude de l’amour – notamment filial – avec une efficacité redoutable.

Le monde d’Adriana Langer est notre quotidien. Elle observe, elle écoute, elle ressent. Ses histoires sont simples, nous croyons les connaître et surtout les reconnaître. Cette femme seule qui dîne au restaurant avec sa petite fille et qui tente de maintenir à l’extérieur de sa sphère maternelle le jeune et beau serveur, nous l’avons côtoyée sans la voir, jusqu’à ce que, révélée par le charme littéraire de l’auteur, elle surgisse tout à coup devant nous, dans toute la richesse de nuances de son apparente évidence.

Son monde est tissé d’étoffes multiples, brutes ou délicates, soyeuses ou rêches, tissu pastel ou éclatant. Il est parcouru de puissants flux souterrains qui affleurent à peine, il ne cherche pas à se justifier, il n’a nul besoin d’autre sens que celui que lui donne la vie, nos vies, riches malgré tout de toutes les formes d’amour.

L’écriture d’Adriana Langer explore l’étrangeté de notre monde, à la recherche inlassable de ses vérités, de sa beauté et, au-delà de tout, de la joie d’exister.

attachée de presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / balustrade2017@yahoo.com