Actualités (NON EXHAUSTIF)

Eurotribune, Occitanie tribune et Hérault direct ont sélectionné « Méthana » de Steff Rosy

MÉTHANA – L’APPEL DE L’UNIVERS – Steff Rosy

Eurotribune a sélectionné Méthana de Steff Rosy

 

Occitanie Tribune a sélectionné « Méthana » de Steff Rosy 

 

Hérault Direct a sélectionné « Méthana » de Steff Rosy

Par LIBRE-LIVRE Rubrique SHOPPING, le 01 Mars 2021

– Du noir total peut surgir la lumière. Les événements qui nous arrivent ne sont pas le fruit du hasard, ils sont porteurs de sens quand on apprend à les déchiffrer.
– L’épreuve de son cancer a permis à Steff Rosy d’ouvrir les yeux sur le monde et de prendre le temps de trouver le chemin de son âme. Accompagnée par l’amour de son mari et par l’amitié de ses proches durant son combat contre la maladie, elle a aussi été portée par l’inestimable soutien de Virginie Maury, énergéticienne.

– L’écriture de « Méthana », roman dans lequel elle a mis tous les trésors de son coeur, fut d’abord une nécessité, une thérapie qui lui a permis de s’accrocher à la vie et de triompher du mal qui la rongeait.
– Aujourd’hui, elle a percé le « secret » ; elle se sent forte, réunifiée, apaisée.

Méthana – l’appel de l’Univers est l’histoire d’une adolescente, Marie, qui se croit ordinaire. Un jour, elle se lance dans l’écriture automatique et, du bout de son crayon, Mémé Rosy vient lui parler et lui annonce que son destin est étroitement lié à celui de l’Humanité. Elle va alors devoir voyager pour préserver la paix universelle et maintenir l’équilibre entre l’ombre et la lumière. Ainsi, elle se retrouve confrontée à certaines révélations : Anges, Démons, Êtres de lumière, Êtres de la nature, Extraterrestres, Fées, Dragons, Mondes parallèles… Existent-ils réellement ?

* Accepteriez-vous de ne pas être les seuls dans l’Univers ?
* Entre mythes et réalités, où se cache la vérité ?

  • Méthana est un roman extrêmement attachant, destiné en priorité aux jeunes qui se cherchent. Steff Rosy veut leur transmettre la leçon qu’elle a tirée de son expérience.
  • Cette lecture leur permettra de s’élever et de s’édifier sur les valeurs sûres, fondement de notre présence sur Terre : l’Amour, le Respect, la Bienveillance.
  • Derrière un univers en apparence naïf de « Fantasy » pour adolescents se cachent d’abyssales et complexes profondeurs. La littérature, à travers les personnages, est la voie d’excellence pour se poser les questions essentielles de l’existence avec finesse.
  • L’histoire emporte à tous les âges et à tous les niveaux car comme les autres livres du genre, elle peut se lire à différents « échelons » : assez simple pour captiver les enfants, assez riche pour nourrir les réflexions spirituelles de leurs parents.

Auteure:

Née en 1979, Steff Rosy habite à Saint-Cézaire-surSiagne, un village pittoresque de l’arrière-pays grassois. Forte d’une expérience en tant que cheffe d’entreprise dans le secteur médico-social, elle acquiert plusieurs cordes à son arc. Lorsqu’on lui annonce qu’elle est atteinte d’un cancer, elle plonge dans l’univers de l’écriture et écrit son premier roman, Méthana – L’appel de l’Univers, une bouffée d’oxygène qui réveillera votre âme.

Editeur : Vérone Editions

Nbres de pages : 464 pages

Prix : 27,00 euros

Euro tribune et Occitanie tribune ont sélectionné Danièle Yzerman

Eurotribune a sélectionné Danièle Yzerman 

Occitanie tribune a sélectionné Danièle Yzerman

La vie, envers, contre et pour tout. La vie à l’envers – Danièle YZERMAN

Un jour, je fis un rêve ancré au plus profond de ma mémoire. Je me trouvais debout, perchée et marchant sur un fil tendu au-dessus d’un Océan de mer si immense que je n’en percevais pas les limites. Alors que je n’étais qu’au début du chemin, j’entendis une voix venue d’ailleurs qui me disait qu’il était totalement impossible de franchir cet Océan. Malgré cette évidence, tout en moi m’obligea à continuer et, pas à pas, j’avançai avec précaution et me rattrapai à chaque chute, jusqu’au moment ou l’angoisse et la peur de tomber définitivement dans les profondeurs de la mer me réveillèrent. Si j’ai le sentiment aujourd’hui que ce rêve n’a jamais quitté mon esprit, je réalise aussi tout simplement que c’est l’histoire de ma vie. Ma vie, qui avec l’âge, s’est aujourd’hui malheureusement suspendue après plus de 40 ans de combat pour vaincre cet impossible. C’est sans doute pourquoi, alors que je suis parvenue de l’autre côté de la rive, le besoin de faire exister par des mots mon « chemin de vie » s’est imposé à moi. Danièle Yzerman a travaillé dans le domaine de la communication stratégique et publicitaire et a exercé in fine en qualité de présidente France et vice-présidente Europe du pôle santé du groupe international Ogilvy/WPP. Dotée d’un grand esprit de synthèse, elle a toujours aimé écrire et apprécié la musique des mots. Poussée par un besoin impérieux de « laisser une trace » de son parcours peu banal et de son combat pour la vie, l’auteure, aujourd’hui retraitée, présente ici son premier ouvrage.

Auteure:

Danièle Yzerman a travaillé dans le domaine de la communication stratégique et publicitaire et a exercé in fine en qualité de présidente France et vice-présidente Europe du pôle santé du groupe international Ogilvy/WPP.
Poussée par un besoin impérieux de  » laisser une trace » de son parcours peu banal et de son combat pour la vie, aujourd’hui grand-mère épanouie, elle décide de publier ce témoignage.

Editeur : Les 3 Colonnes

Nbres de pages : 124 pages

Prix : 13,50 euros

Eurotribune, Hérault direct et Occitanie tribune ont sélectionné « La Croisade du mal-pensant »

Eurotribune a sélectionné « La Croisade du mal-pensant »

https://www.herault-direct.fr/articles/29317/la-croisade-du-mal-pensant-christian-de-moliner

https://www.occitanie-tribune.com/articles/29317/-la-croisade-du-mal-pensant-christian-de-moliner

 

LA CROISADE DU MAL-PENSANT – Christian de Moliner

Par LIBRE-LIVRE Rubrique SHOPPING, le 01 Mars 2021

  • Un roman ultra contemporain en résonance avec l’actualité immédiate autour du « racialisme ».
  • Le héros, courageux professeur accusé de non complaisance avec l’idéologie militante des « racisés », nous remémore celle tragique de Samuel Paty face au totalitarisme islamiste.
  • Une fresque lucide et subtile des conflits générationnels et civilisationnels qui ébranlent nos sociétés.
  • Un personnage au premier abord sans charisme auquel on s’attache et on s’identifie au fil des pages.
  • Une histoire qui nous tient en haleine jusqu’à son épilogue sanglant.
  • Un roman passionnant et mélancolique qui brosse le portrait tout en nuances d’un professeur au soir de sa vie.

Samuel Meiersohn, un universitaire désabusé et proche de la retraite, entame une croisade contre des étudiants et des professeurs « racisés » qui veulent créer au sein de sa faculté, un espace sans Blancs. Rejetant le prétendu « privilège blanc », il va se heurter à son administration et à la démission de la société française si prompte en 2019 à accepter les thèses radicales, aussi absurdes qu’elles soient.

 » Une étudiante s’approcha de lui et lui tendit un tract qu’il prit. (…) il résistait à l’injonction bien- pensante de confondre allègrement progressisme, sens de l’histoire et usages islamiques. »

Auteur:

Christian de Moliner a publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux un autre roman La Guerre de France (2018) et un essai Islamisme radical. Comment sortir de l’impasse ? (2019). Collaborateur au Figarovox, Causeur, Boulevard Voltaire, Breizh info …mondialement connu pour avoir créé le buzz en imaginant la partition de la France dès 2018 – (Moliner est plus célèbre en Russie, Angleterre, Hongrie, Roumanie, Italie, Allemagne etc qu’en France), ses essais de citoyen engagé dans l’analyse des problèmes du vivre-ensemble de son époque nourrissent l’inspiration de ses romans de politique-fiction, et réciproquement afin de former une œuvre littéraire cohérente et forte.

Agrégé de mathématiques et passionné d’histoire, ses connaissances pointues sur l’islam impressionnent beaucoup ses interlocuteurs.

Editeur : Editions Pierre-Guillaume de Roux

Nbres de pages : 205 pages

Prix : 16,00 euros

 

Des photos à couper le souffle ! Chirurgie cardiaque et art !

La Balustrade de Guilaine Depis vous propose pour la période de mars 2021/décembre 2021:

(pour demander un livre, merci d’adresser un mail à guilaine_depis@yahoo.com et pour interviewer la photographe sms 06 84 36 31 85)
 
“ Au coeur du bloc ” de Natacha SibellasLivre d’Art de photographies dans son écrin de prestige
 
* Un travail inédit et audacieux d’une beauté à couper le souffle ;
* Un hommage aux soignants par la grâce d’un regard artistique posé sur leurs éblouissantes techniques ; 
* Les émotions fortes pour sauver des vies immortalisées dans un livre ;
* Chirurgiens et photographes complices pour livrer les mystères du bloc au CHU de Clermont 
“ Au coeur du bloc ” c’est un ensemble de 2 livres indissociables de photographies captivantes : 600 exemplaires dont une série de 100 exemplaires en édition limitée dans un écrin de prestige (60€ les deux livres; 120 € avec le coffret prestige).
* un livre grand format de 43 photos impressionnantes de chirurgie cardiaque en noir & blanc 
* un livre petit format de 50 photographies environ, des portraits/regards des soignants 

 

« Au coeur du bloc » comprend un magnifique poème inédit d’Arthur HL’INTIME À NU, offert par le poète inspiré par les photographies
Publié en partenariat avec le Fonds de dotation Marc Laskar de la SFCTCV (fonds destinés à la formation des jeunes chirurgiens / Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire)
La photographe :Après un parcours professionnel pendant plus de trente ans dans le milieu culturel, Natacha Sibellas décide en 2014 de se consacrer totalement à l’art de la photographie auquel elle s’adonne depuis son adolescence. « Chaque photographe regarde la vie à sa façon. Je la vois en Noir & Blanc, avec parfois un soupçon de couleur. L’humain est au centre de mon travail : des scènes de vies, des gestes, des attitudes, des regards, des histoires… C’est la complicité qui se crée lors d’une fraction de seconde qui fait apparaître la photographie. » Natacha Sibellas

« Jasmine Catou détective » dans Lettres capitales

Jasmine Catou – un Watson félin en plein cœur de Paris

Jasmine Catou, détective est le premier opus d’une série écrite par Christian de Moliner et dédiée à Jasmine, un chat pas comme les autres. L’auteur zigzague avec aisance entre les genres littéraires du polar et du récit fantastique, en mettant en scène cinq événements inattendus de la vie du chat Jasmine Catou et d’Agathe, sa maîtresse, attachée de presse parisienne, habitant dans le quartier germanopratin.

Le charme particulier de ce récit se nourrit du rôle invraisemblable d’enquêtrice douée d’une intelligence et d’une habilité hors du commun de la part de Jasmine qui prend ainsi, à l’aide de la personnification, une place prépondérante dans la construction narrative de ces histoires. Dans une interview que l’auteur nous avait accordée en 20191, il avait dévoilé son intention « de choisir un détective animal, qui pense et qui écrit l’histoire en utilisant « je », tout en restant un félin ». Le lecteur est ainsi prévenu quant au code déictique particulier et captivant permettant à Jasmine d’occuper la première place de l’action, à la fois de narratrice et de personnage principal, et de mettre ainsi en valeur ses capacités intuitives afin de résoudre ces intrigues et de les raconter avec charme. « Je tiens les mêmes raisonnements qu’un humain », précise-t-elle à l’intention des lecteurs au cas où ils en douteraient encore…

Avec assiduité et souci de précision, Jasmine assiste sa maîtresse en l’aidant à dénouer des énigmes invraisemblables, comme, par exemple, des morts inexpliquées, la présence de fantômes dans sa maison ou l’intervention salutaire d’un marabout dans ses relations amoureuses, le décryptage d’un rébus reçu en guise d’invitation au voyage, le mystère du destinataire d’un bouquet de fleurs ou à retrouver des objets perdus dans sa demeure. À travers ces situations mystérieuses vécues par les protagonistes dans chacune de ces histoires, son empathie prend la forme d’une complicité qui va s’avérer encore plus étroite lorsqu’il s’agira de comprendre les états d’âme d’Agathe et deviner ses sentiments, ses peurs et même ses lubies. En fine psychologue, Jasmine sait quand et comment intervenir pour apaiser les angoisses de sa maîtresse ou lui éviter de tomber dans un piège réel et très souvent imaginaire. Elle mérite ainsi le titre de vrai ange gardien félin et arrive même à convaincre de cela Armelle, la sœur de cœur de sa maîtresse.

Pour l’illustrer ces qualités, prenons le cas de la première de ces cinq énigmes décrites par Christian de Moliner, et intitulée « L’éditeur ». Agathe reçoit la visite de plusieurs personnalités du monde de l’édition, un écrivain, un auteur, deux journalistes et un éditeur célèbre. À la fin du déjeuner qu’elle donne en l’honneur de ces gens, et plus précisément au moment du café, l’éditeur meurt subitement après avoir bu la première goutte de ce breuvage servi par la maîtresse de la maison. Les urgences arrivent sur place et le médecin conclut à une mort suspecte par empoisonnement. Dès lors, tous les convives se cherchent un alibi en attendant l’arrivée de la police. La mission de Jasmine Catou est bien entendu de trouver le coupable et sauver Agathe, la maîtresse de la maison, qui, en tant que charmante hôtesse, serait la principale coupable de la mort de son invité. Avec les moyens dont elle dispose (rappelons qu’elle n’a pas le don de la parole) elle dirige les regards vers les objets utilisés pendant le déjeuner pour renvoyer les enquêteurs arrivés sur place vers la source de cet empoisonnement. Arrivera-t-elle à se faire comprendre ? Forcément oui, et brillamment en plus, comme elle le fera à chaque aventure racontée dans ce livre.

Dans la vraie vie, nous avait dit Christian de Moliner dans la même interview, il s’agit de son attachée de presse Guilaine Depis dont la personnalité l’avait inspiré librement, même si, rajoute-t-il avec précaution, il laisse une place prépondérante à son imagination. Nous le savons bien, la littérature joue souvent des tours à la réalité en bénéficiant amplement de sa liberté fictionnelle. C’est aussi le cas de ce recueil qui réussit à imprégner le portrait vivant de ce chat intelligent et attachant à qui il attribue avec tendresse le nom de Watson, l’assistant du grand détective Sherlock Holmes.

Désormais, tout le monde sait que sous l’attitude somnolente sous laquelle les chats se présentent souvent devant nous, ces animaux intelligents et agiles que Jean de la Fontaine décrivit dans son temps, en sauvant ainsi de la catastrophe leur image datant de l’époque du Moyen-Âge, possèdent des qualités exceptionnelles et une intelligence capable à mettre au défi les plus grands enquêteurs de la planète.

En tout cas, en ce qui concerne Jasmine Catou, vous êtes dorénavant prévenus…

Dan Burcea

Christian de Moliner, Jasmine Catou, détective, Éditions du Val, 2019, 110 pages.

1 https://lettrescapitales.com/interview-christian-de-moliner-jai-pris-un-chat-car-un-felin-suscite-naturellement-de-lempathie-chez-les-lecteurs/

L’ouvrage de Laure Minassian a captivé l’Association des professeurs de langues vivantes

dimanche 28 février 2021
BRETON Jean-Luc

 

Laure Minassian, « L’enseignement professionnel entre promotion et relégation », Editions Academia, 20.00€

Le titre du livre de Laure Minassian pose déjà la question centrale à propos de l’enseignement professionnel : faut-il y voir un type d’enseignement permettant à des jeunes de milieux moins favorisés ou moins à l’aise dans le contexte de l’enseignement général d’obtenir un diplôme valorisant et de s’engager dans une poursuite d’études et une carrière ou est-ce une voie de garage pour ceux qui ne réussissent pas ? Les recherches de l’autrice dans plusieurs établissements d’enseignement dans des contextes différents et un suivi longitudinal d’un groupe de lycéens professionnels sur près de dix années lui permettent de mettre en évidence, dans la 3e partie du livre, certaines réussites, donc d’apporter un regard nuancé et équilibré sur la voie professionnelle.

Au-delà de la connaissance du terrain et de la littérature spécialisée, didactique comme sociologique, sur le domaine, qui permet de faire le point sur l’enseignement professionnel, l’ouvrage de Laure Minassian présente deux attraits principaux pour les professeurs de langue, une étude fine et précise de la parole des enseignants dans l’échange en classe, qui vaut pour toutes les disciplines, mais fondamentalement pour les langues (2e partie) et une approche comparative sur l’enseignement professionnel dans différents pays européens et au Canada (1re partie). Le cadre décrit pour l’Allemagne et l’Angleterre-Pays de Galles permettra aux professeurs d’allemand et d’anglais de lycée d’avoir un tableau des systèmes scolaires et des processus de sélection et de classement scolaires à l’œuvre, et de s’en servir dans le cadre d’un travail sur des axes comme « Les univers professionnels, le monde du travail », « Représentation de soi et rapport à autrui » ou « Diversité et inclusion ».

L’analyse des interactions enseignant-élèves, orales aussi bien qu’écrites, est menée avec finesse par Laure Minassian, qui pose clairement la question en termes de volonté de se mettre au niveau des élèves versus nécessité de les faire accéder à des formes élaborées de discours. Elle montre de façon très éclairante comment « l’évitement des écrits scolaires » de la part des professeurs et la demande d’« écrits d’évitement » aux élèves ressortissent à ce que Bourdieu décrivait comme une « indifférence aux différences » et à « l’évitement de la parole de l’élève », qui sacralisent la parole et le pouvoir du maître et légitiment la culture dominante. Laure Minassian met en regard ce type d’interaction, qu’elle nomme « pratico-scolaire » et la co-construction des connaissances en situations-problèmes, à la fois cognitivement plus structurante et socialement plus inclusive, qu’elle nomme « scolaro-technique ».

On perçoit bien que ce que Laure Minassian traite ici dépasse largement le cadre de l’enseignement professionnel. De toute évidence, tout professeur gagne à s’interroger sur l’adéquation entre son mode d’interaction avec ses classes et ses objectifs cognitifs et socio-politiques. Et ce livre sur l’enseignement professionnel est de nature à nous aider dans une telle démarche.

Jean-Luc Breton

 

Opinion internationale applaudit Philippe Enquin

Paris se meurt ! Paris je t’aime ! L’édito de Michel Taube

Philippe ENQUIN. Tiré de « De mon balcon. Chronique d’un confinement parisien » : www.philippeenquin.net

On pourrait l’écrire de tous les bourgs de France, des places de village aux centres villes des grandes métropoles comme Marseille, Lyon, Lille. Paris incarne la France et vit ce que vivent tous ces poumons (bien altérés par la Covid) de nos pays de France que sont les cafés, les petits commerces, les salles de culture et de sport. Paris est comme nos 34.970 communes (au 1er janvier 2020), elle se meurt du désert dans lequel l’a plongée une politique obtuse, administrative et hospitalo-centrée de la gestion de la crise de la Covid.

Pendant trois jours, jusqu’au 1er mars, notre édition LifeStyle Week-End se penche sur un Paris blessé, genou à terre, déserté de ses 80 millions de touristes, de ses commerces et de ses bistrots débordants de vie. C’était hier ! 

Pendant trois jours, nous reviendrons sur ce Paris qui se meurt sous nos yeux !

Place Saint-Michel, les 4 librairies Gibert Jeune vont fermer fin mars 2021. Le Paris littéraire, le Paris étudiants disparaît…. Dans le même style, nous reviendrons demain sur ce désastre d’un quartier comme Le Marais dont les bruits de fermeture définitive du BHV annoncent la mort d’un quartier. Vous imaginez ? Les grands magasins de Paris remontaient au Baron Haussmann. 150 ans dont la page sur le point de se tourner ! Et pendant ce temps, la maire de Paris aggrave la situation en coupant Paris de la région francilienne côté mobilité et en jouant sur les nerfs des Parisiens en proposant (puis en revenant dessus à la suite de la levée de boucliers suscitée) un confinement général.

Ce « Paris je t’aime », c’est forcément un Paris vintage avec demain un hommage nostalgie à Serge Gainsbourg dont la maison rue de Verneuil, au cœur de Saint-Germain des Prés, deviendra un musée fin 2021 ou courant 2022

Beauté de Paris enfin avec le lancement lundi 1er mars d’une rubrique « Actu Photos » avec un dossier « C’était Paris en mars 2020 » qui nous fera revivre ce que nous revivons en fait tous les jours en sillonnant la capitale : le premier confinement des années Covid. Avec un jeune photographe de 85 ans, Philippe Enquin [la photo de l’article], et le Revival des créations de notre photographe préférée, Romane Berthier Binckly.

Mais commençons avec la fougue de Catherine Fuhg et un engagement fort car, à Opinion Internationale, nous aimons bien transformer nos colères en solutions : cette semaine, le CPEI (Comité ethnologique du patrimoine immatériel) du ministère de la culture de la République française devait rendre son verdict sur l’inscription de l’art de vivre dans les bistrots et cafés de France au patrimoine culturel immatériel français. Etape préalable à l’inscription à l’UNESCO. 

Pour l’instant silence de la rue de Valois, trop occupée, nous imaginons, à préparer la réouverture des salles de spectacles après 36 expérimentations qui s’étaleront dans les prochains mois…

Pétition, message vidéo au président de la République : Alain Fontaine, président de l’association « Bistrots et cafés de France » qui a présenté cette inscription, fait feu de tout bois. Il est aussi président de l’Association française des (4000) maîtres restaurateurs (AFMR), et à la tête d’un bistrot parisien, Le Mesturet, entre Palais Brongniart et Opéra, qui sert l’excellence : goûteux, généreux, produits frais, esprit des pays de France. On adore ! Contraint au click and collect, comme beaucoup d’autres bistrotiers que nous saluons comme Sabrina et Mouss du Bac Saint-Michel en face du Luxembourg, ou près du Val-de-Grâce, Sylvain et la bande à Nono au Gamin de Paris.

Avec ces bistrots, c’est Paris qui se bat pour survivre !

Paris vaut bien une messe ? Paris vaut bien trois jours d’articles dans notre Edition LifeStyle Week-End.

Michel Taube

 

 

 

 

Parution d’un livre historique sur le premier confinement à Paris par le photographe Philippe Enquin

Communiqué de presse officiel en PDF

« DE MON BALCON – Chroniques d’un confinement parisien »

du jeune photographe de 85 ans Philippe Enquin (site officiel https://www.philippeenquin.net), un beau livre historique avec un préambule de François Morel

contact presse pour recevoir le livre / interviewer Philippe Enquin : guilaine_depis@yahoo.com / 06 84 36 31 85

Le philosophe Denis Marquet interviewé par Anne Ghesquière dans Féminin Bio

Podcast

DENIS MARQUET : OSEZ DÉSIRER TOUT POUR UNE VIE INFINIE – ÉPISODE #12

Anne Ghesquière
Mis à jour le 25 février 2021
Anne Ghesquière reçoit Denis Marquet et sa philosophie du Christ, pour les amoureux de l’intensité du vivant. Ou comment oser tout désirer pour une vie infinie…

Dans cet épisode passionnant, j’aborderai avec Denis Marquet les thématiques suivantes :

  • Qu’est-ce que la philosophie du Christ ?
  • Comment désirer infiniment ?
  • Regarder. Écouter. Humer. Goûter. Toucher. Vivre. Là, où est « moi » ?
  • Se croire coupable est-il un sommet d’orgueil ?
  • Comment devenir ou faire advenir l’être que nous sommes ?
  • Il est complexe de se défaire de nos pulsions et compulsions, de nos névroses et psychoses et des egos et liens qui nous attachent comme le désir de reconnaissance ?
  • Comment Dieu nous parle-t-il ?
  • Comment accueillir nos blessures et nous guérir ?
  • Et le rôle du corps dans la philosophie du Christ ?
  • Faut-il que l’ego s’effondre pour toucher la grâce ?
  • Pour toi la voie Christique affirme-t-elle la vérité de toutes les traditions spirituelles humaines ? Est-elle l’ultime vérité ?

Qui est mon invité de la semaine, Denis Marquet ?

Agrégé de philosophie, il est aussi romancier et thérapeute. On pourrait aussi dire qu’il est un « amoureux de la philosophie du Christ » et c’est avec ce prisme que nous allons explorer les thèmes de son livre. Denis Marquet se partage entre l’écriture et l’accompagnement de personnes en quête d’accomplissement spirituel et humain auxquelles il apporte, par son savoir-faire autant que son savoir-être, une aide précieuse.

Quelques citations du podcast avec Denis Marquet :

« Tout est grâce ou impasse »

« Tous les événements de la vie sont là pour réveiller les blessures et les guérir »

« Nous guérissons quand nous prenons conscience de notre unité avec l’humanité ».

« Le divin aspire à descendre dans les entrailles pour illuminer les ténèbres »

« A l’homme c’est impossible, si je m’ouvre au divin et à Dieu tout est possible »

Son livre : « La véritable philosophie du Christ : « Oser désirez tout pour vivre une vie infinie » aux éditions Flammarion et le site de Denis Marquet : www.denismarquet.net. Son nouveau livre à paraitre le 13 mars chez Flammarion : « La véritable philosophie du Christ : Aimez à l’infini » chez Flammarion.

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Podcast enregistré au studio Stéréoplane à Paris.

Bonne écoute ! 

Cet épisode a été réalisé grâce au soutien de LÉA NATURE, engagée de nature et premier fabricant français de produits bio et naturels, partenaire officiel de la #Saison1 de « Métamorphose, le podcast qui éveille la conscience ». Merci !