Actualités (NON EXHAUSTIF)

Les Hurlements d’Léo créent un conte musical pour enfants : « Mondial Stéréo » (parution fin novembre 2019)

« Mondial Stéréo », Un livre qui explique l’exil aux enfants, un conte musical qui enseigne le douloureux parcours des migrants et éveille les jeunes à l’accueil de l’étranger. Site officiel : https://bacorecords.fr/HDL/les-hurlements-d-leo-mondial-stereo.html

Pour le recevoir en service de presse / interviewer l’auteur :

Attachée de presse Guilaine Depis guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Les Hurlements d’Léo ont marqué toute une génération depuis leur 1er album en 1998. Dans la lignée des VRP, de la Mano Negra ou des Têtes Raides,  ces bordelais ont écumé les festivals et salles de concert, publié cinq albums, un live et une double compilation en  leur nom et autant de disque et projets en collaboration avec d’autres groupes comme Les Ogres de Barback. Le son (de plus en plus rock) et le propos (de plus en plus politique) ont gardé la verve humaine et mélancolique qui les a fait connaître.

Animés par l’envie de développer un nouveau projet original, Les Hurlements d’Léo se sont lancés dans la création d’un conte musical intitulé MONDIAL STEREO. L’histoire retrace le parcours semé de rebondissements d’un enfant qui fuit la guerre avec sa mère, traverse la Méditerranée, rencontre des musiciens et finit par fonder un groupe de musique qu’on suit durant son ascension jusqu’à sa diffusion en « mondial stéréo ». Malgré la gravité du sujet, il est abordé avec espoir et simplicité et  s’adresse à un public familial, tout en étant cependant bien documenté. En effet, il fait suite à un investissement militant du groupe qui s’est impliqué dans plusieurs événements menés par SOS Méditerranée, a rencontré des associations œuvrant pour l’accueil des réfugiés dans les Landes et prévoit d’en rencontrer d’autres au fil de la tournée.

Le projet sera édité  sous forme de CD et de livre illustré, dont la sortie se fera à l’automne 2019, chez Baco Records.

Au travers de ce projet, Les Hurlements d’Léo élargissent leur registre et mêlent du calypso et du rocksteady au rock auquel ils nous avaient habitués. Toute la grande famille de la chanson  française à l’univers bohème et saltimbanque les a rejoint pour participer aux enregistrements : Aldebert, Babylon Circus, La Rue Kétanou, Daguerre, Les Ogres de Barback, la Cie Mohein… on trouvera aussi des invités plus inattendus sur plusieurs morceaux tels que Lidiop, Perrine Fifadji ou Dubioza Kolektiv. Depuis Novembre 2018, des ateliers d’écritures en direction des scolaires sont également mis en place avec des classes de primaires des Landes et de Gironde, au sein desquels les élèves découvrent et mettent en pratique le processus de création d’une chanson. Les passages travaillés lors de ces ateliers seront enregistrés et figureront sur l’album.

Plusieurs résidence sont planifiées pour terminer le projet et l’adapter en concert, et le groupe sera fin prêt à repartir sur les routes en 2020 !

Vidéos

https://www.bacorecords.fr/artist/les-hurlements-de-leo-fr/

Mondial Stéréo https://www.youtube.com/watch?v=GfBmf_CKauM

Mano Solo https://www.youtube.com/watch?v=KrxFRPRx4BM

 Luna De Papel https://www.youtube.com/watch?v=HlcDH_uX4eY

Un air deux familles https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=4MPl-kpwOHQ

L’allumette facile  https://www.youtube.com/watch?time_continue=2&v=OC60L7XGb-M

LES HURLEMENTS D’LÉO EN CONCERT

  • 13 décembre 2019
    MONT DE MARSAN (40)@CAFÉMUSIC’

Bob Bellanca reçoit Valérie Fauchet sur BTLV

Réécoutez l’émission ici : https://www.btlv.fr/une-voyante-passe-aux-aveux-valerie-replay.html

Plus d’infos sur l’émission : Diffusion : 21/10/2019 | « Une voyante passe aux aveux » : expliqué l’inexplicable avec Valérie Fauchet (médium)

(Version podcast, cliquez ici.)

Les propos tenus dans cette émission n’engagent que la ou les personnes invitées, et en aucun cas la rédaction de btlv.fr qui n’a que pour mission de vous informer sur toutes ces hypothèses dans un souci d’exploration.

Bob Bellanca reçoit Valérie Fauchet (médium) pour son livre « Une voyante passe aux aveux ».

L’écrivain Luc-Olivier d’Algange a parfaitement compris le sens de « La Défense d’aimer », c’est le choix entre le pouvoir et l’amour

Un roman wagnérien de Domitille Marbeau Funck-Brentano

Il nous sera permis d’aimer le roman de Domitille Marbeau Funck-Brentano, pour son allant, la limpidité de son style qui laisse frémir les êtres et les choses, la proximité, que l’on devine, avec l’histoire qui nous contée et l’aura de bonheur des instants qu’elle évoque.
Si le critique ne doit se défendre d’aimer, il convient toutefois qu’il s’interdise de résumer le récit, d’en réduire le propos à l’anecdote. Il ne trahira pas en disant que l’ensemble se tient sous une égide wagnérienne, que nous sommes à Bayreuth et que la vie rêvée de l’art s’entrelace à la vie de la narratrice. Cette façon d’être au monde, à la fois ici et ailleurs, dans la réalité et dans le mythe, n’est pas, de loin, la plus mauvaise façon de vivre et d’écrire un roman.
« Nous avons », écrivait Nietzsche, – qui fut tour à tour le plus fervent admirateur et le plus sévère contempteur de Wagner, – « l’art pour ne pas mourir de la vérité ». Ce roman wagnérien illustre le moment où la voix du cœur vient à la rencontre de ce que nous recevons de l’art, pour s’y mêler, pour en faire un seul mystère amoureux.
Par devers tant de commentaires savants et de réinterprétations scéniques parfois controuvées, il est un message de la Tétralogie qui nous parvient sans faillir: nous sommes, et l’écriture au présent du roman nous rend à cette évidence, et quoiqu’il nous advienne, conduit à devoir choisir, ici et maintenant, entre le pouvoir et l’amour.
Luc-Olivier d’Algange

Domitille Marbeau Funck-Brentano, La Défense d’aimer, L’Harmattan 2019

La médium Dominique Vallée présente le livre de Sophie Reverdi (à partir de 29 minutes 10)

L’immense surprise et honneur que fait Dominique Vallée, l’une des plus célèbres médiums française, connue dans le monde entier, si chère à Sophie Reverdi, et qui présente son livre à la fin de son interview sur « on ne vous demande pas d’y croire ». Réécoutez l’émission à partir de 29 minutes 10 ici https://www.youtube.com/watch?v=XV0UhFu2Okg&fbclid=IwAR10AX_epqzFPP3AVkOLzdWVzRAL_hv9yosyyw2Kt6Zq4MyZsgH5VTvzc4Q&app=desktop

« les amants de la musique classique » mis en lumière dans Le Dit des Mots de François Cardinali

L’amour et la Musique https://fcardi17.wordpress.com/2019/10/17/pour-lamour-de-wagner/?fbclid=IwAR3g4QVbYkO75cY9rCNHANYlaWsB8RWUQeE_Rr49Vw3JZKU64ejn53nKROY

Fine connaisseuse du microcosme de la musique classique, Domitille Marbeau Funck-Brentano marie une histoire d’amour fougueuse à sa passion pour Wagner dans un court roman, La Défense d’aimer(*). Un voyage sentiment qui ne manque pas de sel.

Une femme  raconte son expérience première du festival de Bayreuth en 1978.  Un coup de cœur car, elle aime Wagner depuis des lustres. A 4 ans déjà, sur les genoux de son grand-père, adorateur du Maître, elle sentait que musique et amour étaient à l’unisson. Elle s’est donc fait une fête de vivre parmi les fervents amoureux du maestro allemand…

Empruntant son titre à une œuvre de jeunesse de Richard Wagner, Domitille Marbeau Funck-Brentano décrit avec une grande finesse la découverte de Bayreuth, lieu de pèlerinage de tous les passionnés d’opéra. Elle écrit : « Bayreuth me fait penser à une cathédrale où des fidèles vont apprendre des vérités sur la condition humaine : l’argent et les mécanismes du pouvoir, l’amour avec son lot de ruse, de mensonge et de dissimulation, mais aussi de générosité et de détresse et, pour terminer, la fin des dieux assimilés à la révolution, quand Dieu est mort et que tout est permis : « J’ai voulu changer la société, disait Wagner, elle m’a résisté, je l’analyse. »

On n’a pas travaillé dix-huit ans dans le secteur culturel – comme attachée de presse de l’Orchestre national de France notamment – sans connaître le milieu de la musique classique sur le bout de sa partition. Domitille Marbeau Funck-Brentano le prouve dans ses pages où elle marie l’amour de la musique wagnérienne au coup de foudre amoureux.

Jouant avec les noms des personnages de L’Or du Rhin, elle décrit, dans un roman conçu comme une partition, le coup de foudre de son personnage et la nuit d’amour passionnée qu’elle vit avec un certain Fasolt. C’est dans cette scène de sexe décrite avec une certaine poésie que l’auteure fait montre d’une belle inspiration. « Prenant la harpe à bras-le-corps je me mis à pincer une corde dès que le chef tendit sa baguette en ma direction et me sentis aussitôt aspirée par une spirale de sons surnaturels qui m’encerclaient de manière éblouissante. »

Par cet aller-retour entre l’opéra mis en scène par Patrice Chéreau, sous la baguette de Pierre Boulez, La Défense d’aimer est une histoire qui met en lumière les amants de la musique classique. Quand la passion se décline sur tous les tons.

(*) Ed. L’Harmattan/ Collection Amarante

« l’auteur rend suffisamment bien Bayreuth pour que l’on puisse croire en être » par Argoul

Domitille Marbeau Funck-Brentano, La défense d’aimer

Ce roman va plonger le lecteur dans l’univers initié des croyants de Wagner et le grand amour qui naît des passions remuées par la Tétralogie à Bayreuth. Il est cependant trop court, trop autobiographique, écrit au trop plat temps présent, pour véritablement décoller. En reste un drame romantique de la fin des années 1970 qui accroche le cœur comme l’âme.

Une femme qui dit « je » raconte son expérience première du festival de Bayreuth en 1978. Longtemps, elle avait aimé Wagner. A 4 ans déjà, sur les genoux de son grand-père, adorateur du Maître, elle sentait que musique et amour étaient à l’unisson. Elle s’est donc fait une fête de vivre parmi l’élite des amants de la musique totale, dont Nietzsche disait qu’il était difficile de se déprendre (lui l’a fait).

Bayreuth en festival, ce sont des journées entières d’opéra sans presque aucune pause, un bain de musique et de lumières, des acteurs pris par leur rôle et le mythe, en arrière-plan, qui remue l’or et l’amour, la passion et le tragique. Patrice Chéreau officiait cette année-là.

Parmi les spectateurs, des gens connus et, parmi eux, des relations et des amis de la narratrice. Un chef d’orchestre (le Jean-Claude Casadeus qui a écrit une très courte préface ?), un « écrivain-célèbre » de la gauche presque au pouvoir, géant boulimique de mots, de bouffe et de femmes (le Jean-Pierre Angrémy alias Pierre-Jean Remy, auteur de la Floria Tosca citée, qui a aujourd’hui disparu des radars littéraires ?). Je n’ai lu de lui que le prix du roman de l’Académie française pour Une ville Immortelle, un imaginaire de Florence, mais cela ne m’a pas laissé un souvenir impérissable (…).

Que de belles pages (…) dans ce livre ! Le début est un peu lent (…) Puis la musique s’élève, le roman se construit comme une partition musicale ; elle enveloppe la narratrice comme le paysage, et l’écriture s’envole, lyrique. La passion naît de petites choses engluées dans la grande, les sentiments remués comme la mer par les vagues. Bayreuth est un bain de jouvence, un culte orgiaque à l’opéra – auquel je n’ai jamais assisté mais que l’auteur rend suffisamment bien pour que l’on puisse croire en être.

Le titre, énigmatique, est tiré d’une œuvre de jeunesse de Richard Wagner. Il dit le grand amour impossible, le fusionnel des jumeaux Siegmund et Sieglinde, le conflit entre l’amour et la puissance pour Siegfried et Brunhilde, les facettes de la personnalité irréconciliables en même temps. Tout amour est contingent, mené par la passion, elle-même attisée par l’illusion lyrique dont la musique séductrice de Wagner amplifie les effets. « Je me complais dans cette confusion douce-amère : le baiser de Jean-Pierre au cœur de la forêt et celui de Siegfried sur son rocher entouré de flammes » p.119.

Domitille Marbeau Funck-Brentano, La défense d’aimer, 2019, éditions L’Harmattan collection Amarante, 143 pages, €15.50

Attachée de presse Guilaine Depis, 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

 

L’équipe qui entoure Sophie Reverdi : que des super nanas Smart and Light !

Message de Sophie Reverdi suite au déjeuner de presse de gastronomie diététique organisé chez elle par Smart and light le 16 octobre 2019 (24 journalistes présents dont Paris Match !, un grand succès pour Balustrade !)

Mon équipe de choc, mes amies mes sisters, mille mercis, vous avez été des stars ⭐️⭐️ ⭐️⭐️⭐️⭐️je vous aime Aurélie Vien Elise Hobbé Jana Vitezova Joana Sauer ❤️❤️❤️❤️❤️❤️et derrière l’objectif ma Mireille Roobaert 🤩🤩🤩🤩🤩🤩et évidemment mon Valentin Reverdi, ma Guilaine Depis , mon Skander Guetari ma Refka Chp , ma Hela Bee, ma Manon Tournier , à Londres, mon Khaled Trabelsi à Tunis, mon Allison Osborne à Portland ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️et toutes mes copines adorées qui m’ont boostée….. elles se reconnaîtront Tove Engström Sorensen Farrawo Zicmali Pilar Guzman Nathalie Amand Marielle Alix , et mon équipe à tunis: Mehdi Hajji Hajji, Tarek waer,  Tarek M’rad a Tunis, pour leur amour et leur soutien inconditionnel, leur amitié♥