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formELLES – La femme dénudée dans la photographie hongroise (05.11.10, 19 h)
L’exposition « formELLES » met en relation des photographies du début du XXe siècle avec des photos de nu contemporaines. Comment est-on passé de la représentation du corps féminin idéalisé à une représentation en nouvelle quête d’identité ? Le choix subjectif de ces photographies en témoigne. Vides de tout contexte, ces corps nus féminins sont des empreintes de l’histoire, de ses moeurs, de ses conceptions de beauté…
Sujet éternel de l’art pictural, le corps humain représente depuis toujours un univers à part. Le corps de la femme, tant étudié, reste une énigme et un sujet de prédilection pour les photographes de tous les temps. Avec sa plasticité pure, la femme nue est le thème préféré des plus grands photographes hongrois du début du XXe siècle, Brassaï, Munkácsi et Kertész.
Suite à des changements politico-sociaux caractéristiques de l’époque, le corps féminin, jusque-là identifié soit comme celui d’une « sainte » dans le rôle maternel, soit dans un rôle méprisé, celui de la prostituée, trouve enfin une autre identité. Une existence à part entière et à juste titre, une représentation artistique de la femme, qui vient rompre avec l’image du passé. Ce phénomène est bien plus notable en Europe de l’est et notamment en Hongrie où les rôles homme-femme étaient plus rigides, qu’à l’Ouest. C’est ce changement que l’on voit se manifester sur ces photos du début du siècle, une recherche de soi, qui coïncidait au développement des techniques photographiques de l’époque.
Les photographies de László Moholy-Nagy, André Kertész, Brassaï, Tibor Csörgeõ, Dénes Rónai, Juci Laub, Károly Danassy, Tamás Dobos, Alexandra Kinga Fekete, József Keresztes-Nagy, György Tóth, Luca Gõbölyös, Máté Bartha, Krisztina Sardi, Gábor Buda, Mátyás Misetics.
vendredi 5 novembre, à 19:00 – samedi 15 janvier 2011, à 19:30 92 rue Bonaparte Institut hongrois de Paris
Ph
Les Fous de l’Île (28.09.10)
Pigeon aux petits pois et Cherche-Midi (17.09.10)
g
Luchini 16h30 09.10.10
Auditorium du Monde 80 boulevard Auguste Blanqui
Intervention de Fabrice Luccini. Durée : 45 minutes.
Lecture : Fabrice Luchini
Intervention de Fabrice Luchini.
Une lecture par Fabrice Luchini : un évènement à ne pas manquer !
Dans le hall du Monde, un week-end littéraire et artistique
Rencontres et dédicaces tout le week-end, de 11heures à 19heures avec les écrivains de la rentrée et les journalistes-auteurs du Monde.
Entrée libre et gratuite
Le programme des dedicaces
Samedi 9 octobre
12h30-13h30
Thierry Beinstingel
Maylis de Kerangal
Nathalie Kuperman
15h-16h30
Eric Fottorino
15h-17h
Plantu
Jean-Pierre Cagnat
Catherine Simon
15h30-16h30
Julia Kristeva
Raphaël Enthoven
Eric Marty
Jean Birnbaum
18h30-19h30
Umberto Eco
Ne jamais se marier avec un frigo ! 14.03.2011
Je déteste mon frigo qui ronfle encore plus fort qu’un mari !
« Les amis du Bateau Libre » au Sancerre (27.09.10)
« Tendre est la nuit » de Fitzgerald (12.09.10)
Tendre est la nuit
Luchini lisant Muray (01.11.10, 20 h)
1 place Charles Dullin 75018 Théâtre de l’Atelier
Modeste salle en bois, commandée en 1822 par le comédien Pierre-Jacques Seveste, le futur théâtre de l’Atelier débuta avec le nom le Montmartre. Connaissant des fortunes diverses selon les décennies, le Montmartre propose pendant la seconde moitié du XIXe siècle surtout des reprises des drames et vaudevilles célèbres.
Au début du XXe siècle Sarah Bernhardt joue dans La Dame aux Camélias . Le succès est au rendez-vous mais l’arrivée du cinématographe va faire fermer de nombreuses salles de théâtre à Paris. Et le futur théâtre de l’Atelier devient cinéma à son tour.
…Mais pour peu de temps ! Charles Dullin, en 1921, baptise le Montmartre « l’Atelier » et précise que son théâtre sera celui « de la poésie et de la réflexion ». Aujourd’hui encore, au théâtre de l’Atelier sont montés des textes audacieux et les œuvres de grands dramaturges modernes.