« en résonance avec l’actualité immédiate autour du « racialisme » »

La Croisade du mal-pensant de Christian de Moliner

La Croisade du mal-pensant de Christian de Moliner est un roman ultra contemporain en résonance avec l’actualité immédiate autour du « racialisme ».

La Croisade du mal-pensant

Voici un roman passionnant et mélancolique qui brosse le portrait tout en nuances d’un professeur au soir de sa vie. C’est Une fresque lucide et subtile des conflits générationnels et civilisationnels qui ébranlent nos sociétés. Une histoire qui nous tient en haleine jusqu’à son épilogue sanglant.

Le héros, courageux professeur accusé de non complaisance avec l’idéologie militante des « racisés », nous remémore celle tragique de Samuel Paty face au totalitarisme islamiste.

Samuel Meiersohn est un personnage au premier abord sans charisme auquel on s’attache et on s’identifie au fil des pages.

Résumé

Samuel Meiersohn, un universitaire désabusé et proche de la retraite, entame une croisade contre des étudiants et des professeurs « racisés » qui veulent créer au sein de sa faculté, un espace sans Blancs.

Rejetant le prétendu « privilège blanc », il va se heurter à son administration et à la démission de la société française si prompte en 2019 à accepter les thèses radicales, aussi absurdes qu’elles soient.

Christian de Moliner

L’auteur : Christian de Moliner a publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux un autre roman La Guerre de France (2018) et un essai Islamisme radical. Comment sortir de l’impasse ? (2019).

Collaborateur au Figarovox, Causeur, Boulevard Voltaire, Breizh info …mondialement connu pour avoir créé le buzz en imaginant la partition de la France dès 2018 – (Moliner est plus célèbre en Russie, Angleterre, Hongrie, Roumanie, Italie, Allemagne etc. qu’en France), ses essais de citoyen engagé dans l’analyse des problèmes du vivre-ensemble de son époque nourrissent l’inspiration de ses romans de politique-fiction, et réciproquement afin de former une œuvre littéraire cohérente et forte.

Agrégé de mathématiques et passionné d’histoire, ses connaissances pointues sur l’islam impressionnent beaucoup ses interlocuteurs.

Lettres capitales rend hommage au dernier livre publié par Pierre-Guillaume de Roux

« La croisade du mal-pensant », le roman percutant de Christian de Moliner

À soixante-sept ans, Samuel Meiersohn mène une vie tranquille de professeur d’université à Saint-Paul, une ville de province qui ressemble à celle de Dijon, si l’on suit les indications données par l’auteur dans sa Préface. Divorcé, vivant seul dans un deux pièces, il consacre son temps à préparer ses cours et à travailler à l’ouvrage de toute une vie intitulé Civilisation et consacré aux croisades, sans penser qu’un jour il sera lui-même embarqué dans une croisade d’une rare violence, inattendue et absurde à la fois.

Résumé de cette façon, le quotidien du héros du roman de Christian de Moliner, La croisade du mal-pensant¸ ressemble à celui d’un protagoniste d’une tragédie moderne qui finit dans le tourbillon d’un procès kafkaïen. En 2019, période pendant laquelle se déroule l’action de ce roman, cette mésaventure a tendance à être qualifiée de « dérive », terme préféré par la novlangue pour nommer le drame humain qu’un tel incident déclenche dans la vie jusque-là paisible de Samuel Meiersohn. Sauf que ce combat pour défendre ses idées s’avère plus tenace que le présume la bien-pensance contrariée dans son confort, dans ses certitudes et son conformisme. En cela, l’histoire de Samuel gagne à la fois dans sa modernité et dans sa veine classique, et donc exemplaire, ramenant à l’universel une quête de justice vieille comme le monde qui, depuis les plus anciennes tragédies, réclame son rituel de réparation à travers le destin douloureux d’une victime expiatoire.  

C’est ainsi que petit à petit se mettent en scène tous les éléments de cette tragédie. Une étudiante faisant partie d’un groupe racialiste distribue des tracts réclamant un espace interdit aux blancs à l’intérieur de l’université. Le professeur Samuel Meiersohn réagit avec vigueur l’interpellant et déchirant son tract. Il s’agit selon lui d’un acte fasciste, car le fait de séparer les gens selon leur couleur de peau touche la mémoire sensible des tragédies des années ’30. La riposte du groupe racialiste dirigé par Zaynab n’Golo ne va pas se faire attendre. Samuel sera traité de « sioniste ».  Désormais, l’amphithéâtre, le campus, voire l’université dans son ensemble vont se transformer en un camp retranché où l’idéologie va remplacer toute réflexion et finira par l’emporter au bénéfice d’une intolérance grandissante.

Comment va réagir Samuel ? Si pour le moment aucune stratégie de renoncement n’est envisageable de sa part, se considérant être dans son droit d’exprimer son opinion et de combattre ce qui pour lui est indéniablement une forme de racisme anti-blanc, il ne tardera pas à constater le changement d’attitude de la direction de l’université en la personne de son président Marc Vieri qui, plus est, c’est un ami. Peut-il encore agir malgré cette opposition ? Est-il encore possible de défendre ses idées, surtout lorsque la logique des faits est complétement inversée ? Où est le juste, ou sont les convictions qu’il croyait inscrites dans le marbre de la vie universitaire et démocratique ? À quoi riment cette lâcheté et cette désertion ? Ce retournement de situation aura un effet dévastateur sur cet être à fleur de peau, en grand déséquilibre affectif, suite à un drame survenu au début de sa vie de couple et enfui dans un coin de sa mémoire. Samuel commencera à douter de lui tout en cherchant un appui dans son combat qu’il continue à considérer comme juste. Le scepticisme qui va gagner du terrain le fera-t-il renoncer à son combat ?

Sinon, comment va-t-il résister ? Il y aura d’abord les femmes de sa vie, Jeannine el Bahr, la syrienne à laquelle il va déclarer sa flamme, Elisabeth, son ex, il y aura ensuite l’appui de son ex beau-frère, avocat prêt à le défendre en justice. Tout cela pourrait jouer en sa faveur, sauf que petit à petit, sa fragilité gagnera du terrain et sera de plus en plus visible et de plus en plus pesante. Le destin de Samuel Meiersohn est loin d’être écrit à ce stade. Laissons aux lecteurs le plaisir de découvrir la fin de son histoire.

Précisons surtout qu’à travers son roman Christian de Moliner aborde un sujet d’une extrême actualité qui met à l’épreuve les valeurs de notre société et invite à réfléchir à la survie de notre démocratie. Son roman n’est pas un simple exercice de rhétorique, il est surtout ancré profondément dans l’actualité que nous vivons à présent et reprend une problématique qui fait l’objet de débats philosophiques et sociétaux contemporains. Il ne s’agit pas seulement de nous interroger sur nos prises de position mais aussi sur nos hésitations et nos peurs, sur notre lâcheté et notre désertion. Aurons-nous le courage de défendre nos idées contre l’ordre établi, quitte à passer pour un mal-pensant comme Samuel, ou nous contenterons-nous de notre confort intellectuel si semblable à une commune médiocrité dorée ? Avouons que les absurdité qui surgissent actuellement à tous les coins de rue sont de plus en plus nombreuses.

Bousculant nos consciences, l’auteur nous oblige à nous positionner par rapport à la vie commune de la cité et à notre propre vie. Son héros a choisi sa voie, à nous de revisiter la nôtre, car, si son courage le pousse à se battre contre vents et marées, c’est à nous de quitter les forteresses qui nous empêchent d’agir et partir en campagne pour défendre les causes qui nous tiennent à cœur. Les peurs que font peser sur Samuel la foule assourdissante des agitateurs et l’administration qui tremble devant tout événement venant troubler l’ordre établi, sont en réalité les deux faces d’une monnaie qui illustrent le prix à payer contre l’aveuglement et l’illusion d’une paix sociale condamnée à l’implosion.

Vrai regard lucide sur le monde actuel, La croisade du mal-pensant est en même temps cette interrogation que Christian de Moliner pose devant nous comme un miroir, pour nous rappeler que nous devons agir si l’on ne veut pas que les pires gangrènes du passé ne ressuscitent dans les relents des caniveaux de l’Histoire et s’insinuent dans nos vies comme un poison mortel. Devant un tel désastre, nous ne serons pas seulement des victimes mais aussi d’impardonnables complices.

Un triste hasard fait qu’au moment où paraît cette chronique, on apprend la mort de son éditeur Pierre-Guillaume Le Roux qui, malgré sa maladie, avait tenu à publié à tout prix le roman de Christian de Moliner. Hommage soit rendu à sa mémoire.

Dan Burcea

Christian de Moliner, La croisade du mal-pensant, Éditions Pierre-Guillaume Le Roux, 2021, 206 pages. 

Un nouveau roman de Christian de Moliner aux éditions Pierre-Guillaume de Roux

La Balustrade de Guilaine Depis vous propose pour la période de février 2021/juillet 2021:
(pour demander un livre, merci d’adresser un mail à guilaine_depis@yahoo.com et pour interviewer l’auteur sms 06 84 36 31 85)

La Croisade du mal-pensant,

un roman de Christian de Moliner
aux Editions Pierre-Guillaume de Roux (parution 23 février 2021)
 
– Un roman ultra contemporain en résonance avec l’actualité immédiate autour du « racialisme » 
– Le héros, courageux professeur accusé de non complaisance avec l’idéologie militante des « racisés », nous remémore celle tragique de Samuel Paty face au totalitarisme islamiste.
 
– Une fresque lucide et subtile des conflits générationnels et civilisationnels qui ébranlent nos sociétés.
 
– Un personnage au premier abord sans charisme auquel on s’attache et on s’identifie au fil des pages.
 
– Une histoire qui nous tient en haleine jusqu’à son épilogue sanglant.
 
– Un roman passionnant et mélancolique qui brosse le portrait tout en nuances d’un professeur au soir de sa vie.
Résumé : Samuel Meiersohn, un universitaire désabusé et proche de la retraite, entame une croisade contre des étudiants et des professeurs « racisés » qui veulent créer au sein de sa faculté, un espace sans Blancs. Rejetant le prétendu « privilège blanc »,  il va se heurter à son administration et à la démission de la société française si prompte en 2019 à accepter les thèses radicales, aussi absurdes qu’elles soient. 
« Une étudiante s’approcha de lui et lui tendit un tract qu’il prit. (…) il résistait à l’injonction bien-pensante de confondre allègrement progressisme, sens de l’histoire et usages islamiques. »
 
L’auteur : Christian de Moliner a publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux un autre roman La Guerre de France (2018) et un essai Islamisme radical. Comment sortir de l’impasse ? (2019). Collaborateur au Figarovox, Causeur, Boulevard Voltaire, Breizh info …mondialement connu pour avoir créé le buzz en imaginant la partition de la France dès 2018 – (Moliner est plus célèbre en Russie, Angleterre, Hongrie, Roumanie, Italie, Allemagne etc qu’en France), ses essais de citoyen engagé dans l’analyse des problèmes du vivre-ensemble de son époque nourrissent l’inspiration de ses romans de politique-fiction, et réciproquement afin de former une œuvre littéraire cohérente et forte
Agrégé de mathématiques et passionné d’histoire, ses connaissances pointues sur l’islam impressionnent beaucoup ses interlocuteurs.

Christian de Moliner célèbre dans la presse étrangère, ça continue

https://thenewamerican.com/france-jihad-fighter-le-pen-has-record-poll-numbers-after-proposing-ban-on-islamist-ideologies/

France: Jihad Fighter Le Pen Has Record Poll Numbers After Proposing Ban on “Islamist Ideologies”

While the globalists succeeded in ousting President Trump, there are signs that patriotic French leader Marine Le Pen could trump the establishment in her nation’s presidential election next year. In fact, following some anti-Islamization proposals, she enjoys her highest-ever poll ratings — almost on par with incumbent president Emmanuel Macron.

The truth is that whether Le Pen prevails or not, she and her anti-immigrationist fellows, and harsh reality, have already moved France’s “Overton Window” as it relates to Islam and immigration.

As Jihad Watch reported Wednesday, “Le Pen has long been target of the worst elements of globalism as she sought to restrict France’s suicidal immigration policy that saw crime rates skyrocket and no-go zones appear in France, as well as violent Islamic antisemitism. But ever since the beheading of teacher Samuel Paty, French citizens and leaders alike have been shaken to the core.”

Paty was brutally murdered last October 16 by an 18-year-old Muslim Russian migrant of Chechen extraction, who decapitated the teacher in the street with a cleaver. It was a calculated assassination occurring after Paty had shown his students Charlie Hebdo’s 2012 “prophet” Muhammad cartoons in a class on freedom of expression.

So with the shifting political winds, even President Macron — once a member of his nation’s Socialist Party — “has cracked down on jihad preaching and the mosques where that teaching takes place, and has continued to do so in defiance of charges of ‘Islamophobia,’” Jihad Watch also informs. Politically speaking, Macron may have no choice.

But the French people will have a choice to make next presidential election, and one of those choices’ rise is panicking the European Union, reports the Express. For as a German MEP put it to the paper, Le Pen’s election would “put a stop to the process towards an ever closer union [with the EU].”

Le Pen’s ascendancy, however, is fueled by a looming disunion — in France. That is, the Islamization caused by multiculturalist and immigrationist policies is so severe that a French “intellectual” and author named Christian de Moliner actually suggested that his country essentially be divided to avoid civil war with Muslims.

Writing in 2017, de Moliner stated that the Franco-Islamic “war in France is just beginning” and that we “can never put the toothpaste back in the tube and convert the 30 percent of Muslims who demand the introduction of sharia to … our democracy.” His solution?

Create what essentially would be a quasi-Sharia state within France, where Muslims who so choose could live by the Koran. 

Now you see why Le Pen and her National Rally party have been gaining popularity.

But can she win? First, it seems likely that just as President Trump did in 2016 — and as politically incorrect figures and proposals tend to — she may be under-polling. Voters are often reluctant to reveal such support to pollsters in today’s “woke,” cancel-culture environment.

Another factor works against Le Pen, however. I’ve often cited credible research showing that GoogTwitFace (Big Tech) can shift up to 15 million votes toward leftists in an American election. Yet the Big Tech Cartel is effecting such manipulation all over the West (and beyond). France is no exception.

Given this, I don’t see Le Pen winning unless some seismic events occur before the 2022 election, such as, for example, a series of tragic terrorist attacks combined with lockdown-induced economic upheaval.

Lamentably and paralleling what happened in our 2020 election, burgeoning Big Tech could very well bust French culture.