Philippe Olagnier, libre penseur engagé

Un Libre penseur engagé

Philippe OLAGNIER est un citoyen engagé depuis son plus jeune âge dans le monde de l’entreprise.

Mais n’étant pas membre d’une formation politique, profondément libre penseur, il est profondément militant de valeurs dites traditionnelles, de transmissions, traditions, exemplarité et honneur, respect du passé du pays, et attaché aux idées d’ERNEST RENAN, sur la nation.

Libre penseur convaincu, il est révulsé par la bien-pensante dominante, la censure exercée par des pseudos élites (qui n’en sont plus à ses yeux), il se reconnait pas dans les dérives insensées à ses yeux, de la république française, qu’il appelle régulièrement a retrouver le nord de sa boussole politique.

Il est épris de philosophie et d’histoire (du pays, comme celle du continent européen), et a des convictions laïques fortes, et se trouve d’intervenir régulièrement dans des conférences sur le danger communautarisme, les émergences de l’antisémitisme moderne, et sur les thèses conspirationnistes.

Il est par ailleurs, convaincu que le droit des femmes des lors qu’il commence à être contesté, est le signe avant-coureur de bien autres attaques, et qu’il mérite toutes les attentions et vigilance.

Un citoyen ordinaire, ne se reconnaissant pas dans les contours actuels de la société française, qui est profondément ancré sur son actualité, et en réaction permanente avec elle.

Sur un premier ouvrage, « Lettre à Marianne » son premier essai, il imagine dans des lettres courtes adressés directement à la belle républicaine, de lui demander de se ressaisir sur des thèmes précis (Justice, éducation, laïcité, diplomatie, repentance historique etc..) .

Sur ces sujets et pour ce faire,

Il convoque les grands auteurs du siècle de la philosophie des lumières, , philosophie qui lui est chère, et ajoutés à quelques grand personnages plus contemporains, ils viennent éclairer de leurs apports de ce cri de citoyen, qui appelle à un futur qui s’inscrive d’abord dans les racines de la nation.

Dans un second ouvrage, « Mon Poing sur les I » plus polémique et en très net opposition avec la présidence de la république de type LREM, il renforce son cri.

Irrité par la bienpensance et les faiseurs d’opinion, qui ont fini encore récemment de légitimer le mépris souverain du pouvoir pour toutes les opinions populaires, il témoigne en citoyen libre, et sur des sujets multiples traités en chapitres incisifs et concis, et  en quoi, le courroux populaire, est fondé sur un raisonnement solide et ne saurait s’éteindre de si peu.

L’inclassable romancier Philippe Olagnier

Philippe OLAGNIER  est diplômé de l’institut français de gestion en management stratégique et marketing.

Conférencier, il est aussi un auteur a la démarche assez bien définie.

Il appuie ses récits sur des contextes contemporains, historiques, sociétaux qu’il documente toujours.

Précisément avant de passer à l’acte d’écriture.

Sa volonté est donc d’entraîner le lecteur dans une trame romanesque, qui soit en cohérence, avec des faits réels, une époque, un milieu sociologique ou professionnel, qui permettent de donner quelques clefs de compréhension sur ces sujets, tout en procurant l’évasion de l’esprit par les mots et le récit.

Son premier roman, «  Quand tous les ponts ont brulé derrière toi » décrit le parcours aventureux, d’un chef d’entreprise qui pour aider une jeune fugitive, prend le risque de faire voler en éclats tous les aspects sécurisant de son train de vie sociale, pour se lancer dans une enquête, et une fuite qui va le mener aux confins d’un monde qu’il méconnaissait ( mafia, marché sexuel, blanchiments d’argent , terrorisme)

Le récit de ce « Road movie » permet à l’auteur à la fois de nous livrer des clefs de compréhension sur la face cachée, géopolitique ou financière de notre monde, tout en nous livrant une description sans faille de certaines bourgeoisies étriquées de province, et sur le monde du renseignement et de l’économie, toujours présents dans le fonds du récit.

Une galerie de portraits de personnages, hauts en couleur, finit de colorer le récit, et de permettre à l’auteur d’afficher son attrait pour les destins singuliers de ceux, qui préfèrent payer le prix toujours élevé d’une liberté qu’ils préfèrent aux reniements de leurs convictions et principes.

L’amour et un ode régulier dans le récit pour la nature finissent de donner à ce premier roman, un caractère aussi passionnant, que singulier .

« Les Bras d’Odin » un roman de Philippe OLAGNIER aux éditions de l’Onde, parution septembre 2020

Parution en septembre 2020 : « Les Bras d’ODIN », un roman de Philippe OLAGNIER aux éditions de l’Onde

Quatrième de couverture : Poussé à quitter les fjords de Norvège par la perspective d’une famine, un clan viking se prépare à cette expédition. Destination : les côtes normandes, où le jarl Arvid s’est déjà installé mais se trouve confronté à la montée en puissance des chrétiens, qui s’allient avec les représentants politiques des Francs pour accroître leurs richesses. Asgeir, le chef du clan, prend donc la mer avec ses hommes.

Arvid, à la différence d’Asgeir, compte mettre à profit l’ascension du christianisme (« la religion du désert »), qu’il devine inéluctable, pour asseoir sa propre autorité et s’enrichir à son tour, quitte à s’imposer, durant quelque temps, par la violence.

De leur côté, les prélats chrétiens pressentent que ces féroces Vikings, poussés hors de leurs terres hostiles par la nécessité, pourraient s’adoucir à la perspective d’une vie plus paisible et d’échanges lucratifs, voire abandonner leur propre religion au profit du christianisme s’ils peuvent en tirer bénéfice.

Une bataille conduira le lecteur aux portes du Walhalla avec le chef Viking Asgeir, qui se rapproche dangereusement des bras d’Odin… Le moine Thomas, en soignant le chef viking grièvement blessé, recevra la reconnaissance du clan et symbolise ici le lien entre les Vikings et l’Europe en cours de christianisation.

Quinze ans plus tard, on retrouve Asgeir et son clan parmi les chrétiens de Normandie, avec le moine Thomas, sur le chemin – tortueux – de la paix et du compromis entre leurs deux cultures. Isak, fils d’Asgeir, ne supportera pas la conversion de son peuple au christianisme, vécue comme une honte, tandis que son frère Erling se montrera au contraire très favorable à cette conversion à une religion qui, par sa maîtrise progressive du continent, se révèle prometteuse pour ses affaires.

Tout en étant une fiction, présentée comme telle, ce roman sur les Vikings s’appuie sur une importante documentation historique, qui rend le propos d’autant plus captivant. À travers l’histoire du clan d’Asgeir, l’auteur nous emporte, au fil de descriptions et de dialogues saisissants de réalisme, dans l’ère viking de l’Europe, qui s’est révélée un apport important dans l’histoire de notre continent, et attire notre attention sur le rôle fondateur du christianisme, qui par son pouvoir structurant a posé les fondations de l’Occident médiéval.

Le style, alerte et fluide, rend le texte agréable à lire ; les effets de réel obtenus,  dus à l’excellente connaissance du monde viking de l’auteur, offrent au lecteur une véritable plongée en immersion dans cet univers romanesque haut en couleur.

avant-propos :

Ce livre est une fiction romanesque  et non un livre historique au sens profond du terme.

Mais les évènements qu’il décrit,  furent dans un souci de cohérence par rapport à cette période si importante pour le continent européen, appuyés néanmoins,  sur une lecture des travaux de spécialistes du peuple viking.

Chaque temps d’écriture fut donc appuyé sur un temps minima de recherches préalables, qui rendent la trame romanesque,  réaliste à minima.

Quel est le propos au travers précisément de ce récit imaginaire ?:

-Décrire au travers de l’histoire d’un clan, l’apogée puis la disparition de ce qui fut constitutif, au plan ethnologique et sociologique, d’une ère viking en Europe du nord

-Décrire les traditions, les cultes, les modes de vie et l’organisation d’un peuple, trop longtemps réduit à sa dimension guerrière, alors qu’il fut d’abord un peuple ayant ouvert les plus grandes routes commerciales de l’Europe, d’OUEST en EST, et qui fonda des cités devenues pour certaines des Etats contemporains puissants de nos jours.

 -Décrire dans un haut Moyen-Age très primaire en EUROPE des principes hautement novateurs en cette époque d’organisation sociale : Emancipation de la femme, mœurs, divorce, assemblées populaires délibérantes, mécanismes financiers de solidarité aux plus démunis…

-décrire leur immense capacité d’adaptation et d’intégration (Normandie, Angleterre), capacité qui sera à la fois le gage de leur réussite dans l’Europe catholique naissante et la raison du déclin de leur culture viking en tant que telle, dès lors que ce peuple choisit de s’y intégrer.

Dans ce roman, je tente de décrire ce combat sempiternel entre ce qui est appelé depuis la nuit des temps « le progrès » et les traditions qui doivent toujours accepter de plier et de disparaitre le plus souvent pour la survie des peuples.

Je tente de décrire par le personnage d’un JARL prestigieux et de ses deux fils adoptant un posture d’opposants à la christianisation de l’Europe quels furent les choix cornéliens qui s’imposèrent alors aux peuples païens d’Europe du nord et à leurs dirigeants.

Enfin, ce roman narre comment la puissante église catholique sut habilement sceller des alliances intéressantes et intéressées, formidablement intelligentes et redoutables, avec les Princes de l’Europe,  qui choisirent tous de servir sa cause et son expansion.

Bonne lecture et bonne immersion dans cette époque qui précéda celle du christianisme, lequel unifia et créa les pays dans leur forme contemporaine – époque qui fait partie intégrante néanmoins de nos racines européennes.

Philippe OLAGNIER, Mars 2020

« Mon poing sur les I », un essai de Philippe OLAGNIER à paraître en septembre 2020 aux éditions de l’Onde

« Mon poing sur les I », un essai de Philippe OLAGNIER à paraître en septembre 2020 aux éditions de l’Onde   

(Pensée et coups de gueule citoyens)

 « C’est leur pertinence qu’on reproche aux impertinents.” Claude Frisoni 

Propos préalable 

En décidant de compiler une série de réflexions ayant attrait à la société française et à sa politique, il convient en préalable que je limite avec réalisme et modestie, la cadre de ma démarche.

Elle est personnelle, et cette parole libérée d’un citoyen parmi d’autres n’a aucune valeur d’universalité et ne pretend à aucune vérité.

Elle n’est mue par aucune volonté, ni ambition d’engagement dans la vie publique pour laquelle, si je la respecte, je ne me reconnais ni les aptitudes, et encore moins la motivation nécessaire.

Juste un cri.

Juste un cri parmi tant d’autres, si j’en juge par les rues qui ne désemplissent pas de multiples colères ; colères qu’on feint dangereusement de ne pas entendre et pire que l’on méprise.

Un cri de désarroi devant une république fracturée, communautarisée, où chacun se replie derrière sa spécificité, l’impose parfois et trop souvent à autrui, plutôt que de travailler à ce qui pourrait et devrait nous rassembler.

Mais un cri d’amour aussi pour cette république ; et, si je suis sévère ou critique dans de nombreux passages de ce livre envers ce qu’elle devient, mon exigence témoigne de mon attachement à son histoire, à ses valeurs et à ses traditions.

Il est encore temps que la fraternité reprenne ses droits dans la cité, même si nous nous en éloignons pour le moment.

Une fois que nous aurons cessé par démagogie de tolérer l’intolérable dans une république laïque et que nous aurons eu de nouveau le bras ferme pour sanctionner et rappeler à l’ordre ceux qui entendent faire infléchir nos manières de vivre ensemble ; une fois que l’Etat sans devenir entrepreneur pour autant aura repris son devoir de régulation des inégalités et de modérations des excès ultralibéraux de l’économie, rien ne s’opposera à ce que nous rebâtissions ensemble le beau pacte social qui fut le nôtre, dans un passé encore récent.

Comme beaucoup je suis préoccupé de savoir si au nom d’un changement pour le changement, d’une confusion politique entre le mouvement et l’agitation forcenée ( marque de fabrique du dernier Président), nous ne sommes pas en train de liquider trop vite, des actifs sociétaux conquis de haute lutte par nos aînés.

Je ne suis pas nostalgique et encore moins un adepte du « c’était mieux avant «, mais j’aimerais voir cette frénésie réformiste encadrée par une vision, un projet, un dessein, un destin à moyen ou long terme.

Cette vision ne vient pas, et l’attitude d’un gouvernement qu’on peut qualifier de « circuler, y a rien à voir », ne fait que renforcer mon inquiétude.

Je fais partie de ces millions de français qui ne se reconnaissent que très peu dans l’offre politique actuelle, encore moins dans ses comportements, mais pour autant, ce livre en témoigne, la vraie politique, la vraie, celle que les philosophes grecs décrivaient si bien, j’aspire à son retour !

Alors que ce livre soit simplement pris pour ce qu’il est : un cri du cœur, pas plus, mais pas moins.

Je sais qu’une certaine élite qui dirige la bien-pensance en France et se croit autoriser à baliser ce qui peut être dit ou pas n’aime pas ce genre d’incursion populaire dans le discours politique ;

 Les gueux devraient rester à leur place.

Ceux qui aiment les propos tièdes  et creux, que cette même bien-pensance nous impose d’écouter matin et soir via des medias de plus en plus serviles n’apprécieront que modérément certaines de ces pages où mon coup de gueule est évident.

Je ne cache pas que je penche à droite, une droite populaire et sociale, profondément laïque, droite qui à mon sens a cessé d’exister ou mérite d’être rénovée au plan national.

Et je suis très profondément attaché aux destins des classes moyennes, mais surtout des classes ouvrières et paysannes, ces classes qu’on peut qualifier de grandes cocues des vingt dernières années,

Et de grandes oubliées par ce nouveau monde, dont on nous vante les mérites, mais qui embarque si peu de monde dans son train.

Je mesure le risque pris en m’exprimant ainsi.

 

Probablement je dois accepter le risque, de rejoindre dans la fosse bien pratique qu’ont inventée ceux qui n’apprécient pas l’expression populaire directe, cette fosse commune où on enterre plutôt que de débattre  avec eux ceux qu’on décrète populistes.

Comme elle est pratique, pour ne pas avoir à débattre, cette fosse commune où on enterre très vite aujourd’hui, et de leur vivant, tous les contradicteurs au système !

Tout cela m’indiffère au plus haut point.

Je suis comme le coq, notre animal national fétiche, celui d’ailleurs qui dérange désormais les citadins bobos découvrant son chant dans nos campagnes.

J’ouvre ma gueule, et je l’ouvre bien grand, ne vous en déplaise !

 Et comme cet animal, je ne chante jamais aussi fort que lorsque mes pieds sont dans la merde.

Il me semble très objectivement, que nos pieds y sont bien profondément enlisés, à de multiples égards.

Vous voilà prévenus avant de commencer votre lecture.

Philippe Olagnier