« Le Courrier suisse » remarque l’imposant roman de Michèle Makki

Pompéi, l’année du volcan

Roman : Issue de la haute société romaine, Vera se prend de passion pour Albanus. L’ennui, c’est qu’il est gladiateur, et que s’enticher d’un tel homme, en milieu nanti, est mal vu. Par le biais de cette liaison, Michèle Makki redonne vie à Pompéi, au coeur de l’empire romain, autour de l’année 79. Pompéi, le sang et la cendre rend compte d’une ville trépidante et haute en couleur, d’événements ponctués de moments cocasses ou tragiques.

Des belles demeures ornées de mosaïques aux bas-fonds, le roman mène le lecteur dans diverses intrigues, sérieuses ou triviales, tandis que l’engouement de Vera pour le combattant alimente ragots et rumeurs. Le style est fluide et direct (….)

Marc-Olivier Partalano

Michèle Makki, Pompéi, le sang et la cendre, Ed. Baudelaire, 2020, 598 pages.

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