Dédicace + spectacle de lecture & musique sur « Rue de Rome » avec Pomme Jouffroy accompagné de son luthier, Sébastien.
Mois : octobre 2007
Voltaire / Du Deffand dans Livres Hebdo du 5 octobre 2007
Voltaire, Du Deffand Marie
Cher Voltaire : la correspondance de madame du Deffand avec Voltaire / présentée par Isabelle et Jean-Louis Vissière – Nouvel. éd. – Paris, Des femmes – Antoinette Fouque, 2007
Lettres échangées de 1759 à 1778 permettant de restituer la vie quotidienne des deux personnages et fournissant un témoignage sur la génèse et la diffusion de l’oeuvre voltairienne. Constitue également une chronique de la vie littéraire, politique et philosophique de cette période.
Br. 22 E
« Traverse ! » le 27 octobre : Spécial Pomme Jouffroy
Pomme Jouffroy sera l’invitée de « Traverse ! », l’émission de Françoise Objois sur Radio Campus 106.6 FM http://www-radio-campus.univ-lille1.fr/
« Res Nullius » en course pour le Prix Marguerite Duras !!!
Grâce à Chantal Chawaf, qui a eu la seconde idée lumineuse de le proposer aux autres membres du jury, « Res Nullius » est candidat à la première sélection du Prix Marguerite Duras.
Objectif du Prix d’après le Président de son jury, Alain Vircondelet, l’attribuer à un livre qui n’aurait pas fait honte à Marguerite Duras. Nulle recherche de clône dans la démarche, mais en revanche, une exigence de qualité, d’innovation et de modernité de l’oeuvre heureuse élue.
Première réunion du jury le 14 novembre.
Livres sans frontières dans la revue César d’octobre 2007
Revue César, octobre 2007
Le 20ème festival du Livre de Mouans-Sartoux propose cette année de retisser les liens, d’aller chercher au-delà des murs l’humanité, de faire de cette belle rencontre littéraire une rencontre sans frontières. C’est en fait un gigantesque espace de rencontres et de discussions autour des idées et des livres, entre les auteurs et les lecteurs. Un festival à la parole libre qui ouvre grand les yeux sur la société, pour faire tomber les murs, comme l’annonce cette édition. Poètes, écrivains, artistes, cinéastes sont notamment invités à débattre ensemble : à noter le grand débat entre Albert Jacquard, Julia Kristeva, Michel Maffesoli, Marilyne Desbiolles et René Backmann sur le thème « Au-delà des murs, l’humanité (le 5/10), celui qui portera sur la discrimination invisible avec Julia Kristeva, Amin Maalouf, Geneviève Fraisse, Yamina Benguigui et Antoinette Fouque ou encore L’indépendance des éditeurs qui sera porté par Olivier Nora, Marion Hennebert et Françoise Nyssen… Rendez-vous littéraire mais aussi cinématographique avec une rétrospective des films d’Amos Gitaï, en sa présence. Désengagement (2007), News from home/ news from house (2006), Kedma (2002)… seront projetés et suivis de débats. Enfin, pour la 4ème année, le Prix de l’inédit récompensera un manuscrit et non une oeuvre déjà publiée, qui sera éditée par Actes Sud. D.M. (du 5 au 7.10.07)
Du rififi en Birmanie – Ce qu’en pensent certains de nos confrères étrangers (par Nicolas Gauthier dans NH, 4 au 10.10.07)
Du rififi en Birmanie – Ce qu’en pensent certains de nos confrères étrangers
Il en va de certaines révoltes « populaires » comme des générations : elles sont données pour spontanées. La Roumanie jadis, l’Ukraine naguère ; la Birmanie aujourd’hui. Et comme à chaque fois, la compassion médiatique qui tient lieu de réflexion, l’émotion pour seul recul et l’hypocrisie en toile de fond. Certains journaux étrangers ne s’en laissent pas pour autant compter.
Voilà quelques jours que les journaux français vivent au rythme des trottoirs de Rangoon, capitale du Myanmar. « Ténèbres », titre Le Journal du Dimanche, le 30 septembre dernier, sous la plume d’un Jacques Espérandieu dont le patronyme pousserait plutôt à en désespérer. Lequel assure, après avoir emprunté le titre de son éditorial à un film d’épouvante de Dario Argento : « Ainsi donc, rien n’y aura fait. Ni les sanctions « personnelles » de Georges Bush. Ni les remontrances de Nicolas Sarkozy. » Qu’en peu de mots, tant de choses sont résumées. L’arrogance, pour commencer. Comme si la politique de Ranggon n’avait d’autre vocation que d’être dictée de Washington ou de Paris ; comme quoi le néo-colonialisme de l’Occident est encore plus pervers que la politique colonialiste européenne d’autrefois, initiée par cet étrange attelage consistant à unir intérêts commerciaux de compagnies hollandaises et anglaises et racisme militant de notre Troisième République anticléricale. Puis, la distribution des rôles – le casting, dirait-on à Hollywood – , les « sanctions » de Bush et les « remontrances » de Sarkozy. Soit toute la différence qui puisse exister, dans la cour d’une école, entre un surveillant général et un vulgaire pion. Entre le donneur d’ordres et celui qui est censé les appliquer.
Le Monde, daté du même jour, n’est pas en reste. Mais en fait finalement un peu trop en dernière page, publiant plein format une publicité de l’Alliance des femmes pour la démocratie, justement consacrée à nos affaires birmanes. En photo grand format, l’inévitable Aung San Suu Kyi. En taille plus modeste, toujours Aung San Suu Kyi, flanquée de l’impayable Antoinette Fouque, figure française du féminisme de ménopause, surtout connue pour avoir été élue sur la liste de Bernard Tapie, aux élections européennes de 1994, en compagnie de l’actrice Mylène Demongeot, c’est vous dire le sérieux de l’affaire. Pour le reste, la télévision s’est chargée du service après-vente ; voir, ci-dessous, la chronique de Béatrice Péreire.
Quand les Russes et les Italiens s’y mettent…
Par chance nos confrères de l’étranger ne sont pas tous aussi pusillanimes qu’ici. Et le toujours excellent site voxnr.com n’a pas son pareil pour s’en aller chercher, dans d’autres médias, les voix discordantes. Ainsi, le quotidien russe Kommersant, dans une longue analyse de la situation publiée le 28 septembre dernier, note t-il que « le grand perdant d’un changement de régime à Rangoon serait la Russie, car si des forces « démocratiques » arrivent au pouvoir, tout porte à croire qu’elles s’orienteront sur les Etats-Unis. Et si les intérêts de Pékin semblent garantis par une énorme diaspora chinoise et la proximité des frontières, Moscou n’a pas à espérer poursuivre la coopération au même niveau. » Voilà qui est intéressant, d’autant plus intéressant que cette information est complétée par les informations et analyses du site italien Coordinamento Progetto Eurasia (cpeurasia.org), prônant alliance entre Europe et Asie, dont les textes sont connus pour être tout, hormis farfelus : « Derrière les protestations des moines bouddhistes de ces jours derniers, et après les tensions entre groupes ethniques artificiellement exagérées précédemment, se dissimulent des manoeuvres occidentales pour déstabiliser ce pays, afin de s’emparer de ses ressources et d’y installer un régime « démocratique », plus favorable aux intérêts financiers et économiques de l’Occident americocentrique. L’instrumentalisation des tensions internes au Myanmar vise, en particulier, à bloquer le projet stratégique d’un gazoduc qui, partant de l’Iran, traverserait l’Inde et le Myanmar et se terminerait en Chine. » Et ce site de rappeler que « Rangoon est sous « observation » des USA depuis 1997, lorsque l’administration américaine, représentée par le démocrate Clinton, établit l’embargo sur les investissements nord-américains au Myanmar. Pire, la résistance du gouvernement de Rangoon a provoqué les représailles économiques et financières voulues par le Républicain Bush, en conséquence desquelles les importations et les exportations des produits financiers entre les USA et le Myanmar sont bloqués depuis 2003. Aujourd’hui, l’Union Européenne renouvelle l’interdiction des investissements en Myanmar, prise en 2001, et limite les relations diplomatiques, rendant ainsi difficile toute solution pacifique. » C’est dire s’il est licite de tenir toute cette agitation pour spontanée, surtout lorsque aiguisée par des ONG dont on sait, qu’américaines, européennes ou islamistes, elles sont immanquablement peu ou prou liées à d’autres officines, dépandant, elles, des services secrets et autres organisations terroristes.
Avec Bernard Kouchner, c’est la totale !
Le problème n’est bien sûr pas de voler au secours de la junte birmane et de dicter au bonzes locaux leur conduite. Mais qu’il nous soit au moins permis de rappeler que, dans cette affaire, tous les éléments sont réunis pour observer la plus élémentaire des prudences. Gaz et pétrole, accords avec l’Inde et la Chine – les pires ennemis de Washington – , sans compter l’Iran, son actuel épouvantail à gogos. Et qu’un Nicolas Sarkozy n’est pas forcément le mieux placé pour faire ses remontrances au Myanmar, sachant que son ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, a signé, il y a peu, un rapport assurant que cette junte militaire n’était pas si militaire qu’on voulait bien le prétendre et que les sociétés françaises pouvaient, là-bas, continuer d’investir. Le rapport en question a été commandité et payé par Total. Décidément, on n’en sort pas. Quant à Aung San Suu Kyi, elle est très jolie. Et Antoinette, elle est très chouette.
Nicolas Gauthier
François Guéry, toujours disponible à l’écoute sur le net !
Vous pouvez toujours écouter François Guéry dans l’excellente émission littéraire « Parlez-moi la vie » de Jocelyne Sauvard sur idFM98 (radio 98.0 FM et internet http://www.idfm98.fr) diffusée pour la première fois le mardi 4 septembre, de 20 h à 22 h. Le grand philosophe s’y exprime en seconde partie sur un sujet intitulé « Le petit monde d’Antoinette », dans lequel il évoque son amie éditrice éditrice, comme son livre.
http://www.jocelynesauvard.fr/pages/radio.html
Joyeux Anniversaire à Hacina Zermane !
Hacina Zermane, auteur de « Sheh ! Bien fait pour toi ! », anniversaire le 4 octobre
Demain, jeudi 4, ce sera le tour de Hacina Zermane, auteur du témoignage d’une jeune femme musulmane et séropositive, d’entamer une année supplémentaire de vie.
Vous pouvez noter sur vos agendas les dates du 10 novembre (déjeuner des Marraines et Parrains de Ni Putes Ni Soumises auquel est conviée Hacina Zermane) et surtout celle du 5 décembre où Hacina, accompagnée de sa co-auteure Myriam Mascarello, sera à l’honneur du « Mercredi de la Mixité » de la même association. (19 h – 20 h 30) en raison de l’actualité Sida de la semaine. RDV 70 rue des Rigoles, Paris 20ème (c’est à Trifouillis les Oies, bon courage l’expédition !).
Invitation officielle de Sihem Habchi !
Je tire mon chapeau à Jean-François Laloué, attaché de presse de Ni Putes Ni Soumises ( http://www.niputesnisoumises.com/ ), ayant le sentiment d’avoir gagné en le rencontrant un très bel allié dans « mes » combats de femme, le remercie de son accueil et forme des voeux pour une coopération pérenne avec lui.
Taslima Nasreen : une autre femme qui a besoin de nous !!!
ALLIANCE DES FEMMES POUR LA DEMOCRATIE
Présidente : Antoinette Fouque
COMMUNIQUE
Taslima Nasreen, à l’instar d’Aung San Suu Kyi, est une héroïne qui se bat à mains nues, avec les seuls mots, contre le totalitarisme fondamentaliste et pour un idéal démocratique. Ecrivain et grande figure du combat pour les droits des femmes, elle vient d’adresser, lundi 1er octobre, depuis l’Inde, un nouvel SOS à Antoinette Fouque.
Le premier remonte à 1994. Elle était alors menacée de mort dans son pays, le Bangladesh, par des intégristes musulmans qui avaient lancé contre elle une fatwa, comme auparavant contre Salman Rushdie. Une forte mobilisation internationale avait alors permis qu’elle puisse quitter le Bangladesh en sécurité, et le Parlement Européen lui avait décerné le prix Sakharov pour la liberté de pensée.
C’est aujourd’hui en Inde, où elle vit exilée, qu’elle est en danger.
Elle a été agressée et blessée, il y a quelques semaines, par une centaine d’intégristes, lors de la signature de l’un de ses livres, tandis qu’un parti islamiste appartenant à la coalition gouvernementale mettait sa tête à prix, déposait plainte contre elle et demandait son expulsion.
Elle écrit: « Les temps sont mauvais. Je ne sais pas ce qui m’attend. Ou bien les extrémistes vont me tuer, ou bien le gouvernement indien va m’expulser. (…) Si je suis expulsée d’un pays laïque et démocratique (comme l’Inde), je ne pourrai plus jamais de ma vie aller dans pays du sous-continent indien. Je ne peux retourner au Bangladesh ; l’Inde est ma seconde maison, c’est sa langue que je parle, sa culture que je partage. Je ne peux survivre en tant qu’écrivain engagé que si je vis dans une région du monde où je me sens chez moi, où je ne suis pas considérée comme une étrangère».
Taslima Nasreen doit pouvoir vivre en Inde en toute hospitalité et en toute sécurité. Or depuis qu’elle y réside et alors même que le pays est présidé par une femme depuis juillet 2007, elle n’y jouit pas de ses pleins droits : la citoyenneté qu’elle a demandée au gouvernement du Bengale lui a été refusée ; ce même Etat a interdit, en novembre 2003, la vente de son autobiographie et il a fallu une décision de la Haute Cour, en septembre 2004, pour que l’interdiction soit levée.
Par la mobilisation militante, médiatique et diplomatique, nous avons réussi à la sauver en 1994. Nous devons le faire aujourd’hui encore.
Il y va de sa vie, de la liberté des femmes et de la liberté d’expression dans le monde.
Nous appelons celles et ceux qui ont à cœur de les défendre, à écrire aux autorités indiennes pour manifester leur indignation et demander que soit assurées à Taslima Nasreen une pleine citoyenneté, la sécurité et la liberté de mouvement et d’expression.
Le phénomène Susana Guzner par Pierre Salducci (sur le site « La référence.info, actualité du livre gay et lesbien »)
Recopié du site d’actualité du livre gay et lesbien http://www.la-reference.info, ici http://www.la-reference.info/32-hiver2005.htm#romero
Le phénomène Susana Guzner
Par Pierre Salducci
On dit d’elle que c’est une « auteure brillante », « une écrivaine courageuse » et qu’elle est « énormément talentueuse ». Originaire d’Argentine et née en 1944, Susana Guzner est le nouveau phénomène de la littérature lesbienne et rayonne maintenant à partir des îles Canaries en Espagne où elle a choisi de s’installer.
Déjà bien connue au Canada anglais, Susana Guzner peut se vanter d’avoir captivé des milliers de lecteurs en Espagne et à travers le monde. Après avoir été traduit en anglais, en allemand et en néerlandais, son roman La Géométrie insensée de l’amour est enfin disponible en français. Publié par les éditions des Femmes, le livre a battu des records de ventes en France en très peu de temps. Selon María Rodríguez Peña Alfonso, professeure de littérature à l’université de Salamanque (Espagne), La Géométrie insensée de l’amour est « peut-être un des meilleurs romans d’amour entre femmes qui ait été publié jusqu’à présent en espagnol. Susana Guzner a ce don inné des latinos-américains pour raconter des histoires excitantes avec un énorme talent. En l’occurrence, l’amour entre les deux femmes est construit comme un suspense amoureux. »
En Espagne, Susana Guzner est considérée comme une des meilleures romancières du moment, même si María Rodríguez déplore qu’elle soit encore « injustement oubliée par les médias grand public » (comme toujours lorsqu’il s’agit de littérature homosexuelle). Son roman a réussi l’exploit de pulvériser le box-office espagnol sans un article dans la presse ni une interview à la télévision, tout s’est fait de bouche à oreille de lecteurs / lectrices. Pourtant, les critiques qu’elle reçoit sont toujours très positives comme le prouvent ces deux déclarations d’auteures : « Un roman qui vous emporte aussi fort que si vous descendiez des rapides, avec une histoire parfois tendre, parfois bouleversante, mais aussi parfois hilarante, et dans son ensemble, aussi spirituelle et turbulente que la vie », Rosa Montero, et « La Géométrie insensée de l’amour est une histoire pleine d’intrigue, d’intelligence, d’émotion et d’ingénuité, qui raconte la rencontre de Maria et d’Éva, mais aussi leurs moments de bonheur, leurs hésitations, leurs peurs et leurs audaces », Cristina Peri Rossi.
Le fil conducteur du roman pourrait se résumer en quelques mots. María, jeune traductrice, rencontre à l’aéroport de Rome la belle et énigmatique Éva, par laquelle elle se sent immédiatement attirée. La première est une lesbienne affirmée, l’autre est hétéro. Pourtant, cette rencontre marque le début d’une histoire d’amour intense et complexe, d’une passion tumultueuse qui évolue de manière inattendue et tient le lecteur en haleine jusqu’à la dernière page. L’imposant récit de plus de 500 pages tisse une toile sentimentale subtile qui s’achève par un rebondissement spectaculaire qui à lui seul justifie toute la lecture du livre. D’autant plus que Susana Guzner nous gratifie d’une impressionnante bataille de femmes qui risque de faire date dans les anales de la littérature lesbienne.
Dans la préface de son livre, Susana Guzner précise que La Géométrie insensée de l’amour est une pure fiction, animée par des personnages inventés, mais que, aussi étrange que cela puisse paraître, elle a vécu exactement les mêmes situations que dans son roman juste après les avoir écrites. Elle en arrive ainsi à la conclusion que son livre est en fait un autobiographie à l’envers puisque c’est la fiction qui est devenue sa vraie vie et non l’inverse. Par ailleurs, elle révèle que si certaines parties du récit se sont écrites presque toutes seules, s’imposant quasiment d’elles-mêmes, elle dût s’y reprendre à plusieurs fois avant de trouver le dernier chapitre de son histoire. Au terme de plusieurs tentatives infructueuses, elle décida de laisser aller ses personnages au gré de leur fantaisie, de céder aux voix qu’elle entendait, et d’adopter la fin qui lui était ainsi dictée plutôt que celle qu’elle avait auparavant prévue. Et visiblement, elle n’a pas eu tort car tout se déroule d’une manière admirablement bien tournée.
Au final, La Géométrie insensée de l’amour est un livre absolument exquis, raffiné et intelligent, admirablement porté par une langue subtile et vive. Susana Guzner décortique avec maestria la complexité des jeux de l’amour et du hasard entre deux femmes. Une grande découverte. Une auteure comme on en lit rarement. Un roman qui s’adresse à tous et toutes, et qui a les meilleures chances de devenir un incontournable de notre littérature.
Susana Guzner, La Géométrie insensée de l’amour, éditions des Femmes, Paris, 2005, 512 pages, 22 euros.
On peut en apprendre plus sur Susana Guzner, sa vie, son œuvre, en consultant son site officiel (en anglais et en espagnol) : www.susanaguzner.com