Grande soirée sur Fugato avec André Lorant, François Vallejo et André Vanoncini à l’Institut hongrois

invitlorant.pngà l’Institut hongrois

à 19 h précises

92 rue Bonaparte 75006 Paris

Rencontre suivie d’un cocktail dînatoire

Mercredi 11 octobre 2017

Une table ronde autour de Fugato, opéra-roman d’André Lorant aura lieu à l’Institut hongrois.
Avec la participation du romancier François Vallejo, d’André Vanoncini et de l’auteur. Un cocktail clôturera la soirée. Vous y êtes cordialement invité.

À l’issue de la séance,

André Lorant

dédicacera son livre

Fugato

(2017, Cohen&Cohen éditeurs)

 

 

Fugato, un roman d’amour, de musique et d’Italie – érotisme et opéra

  • andre-lorant-fugato.jpg« Un de mes coups de cœur » Patrick Poivre d’Arvor (Radio Classique « L’invité culture » 23/02/17)
  • « Une œuvre vibrante d’intensité musicale et visuelle » André Vanoncini, professeur à l’Université de Bâle
  • « Fugato…tellement envoûtant, dramatique et impressionnant » Carine Gutlerner, pianiste
  • « Un vrai plaisir ! Comment aimer ce que nous aimons sans en être prisonnier… » Francis Vallejo, romancier

Résumé : Lorsque Carlo, metteur en scène d’opéra à la soixantaine élégante arrive à Lecce, il rencontre Giovanna, une jeune violoniste virtuose, dont il tombe amoureux. Il la fait admettre au Mahler Chamber Orchestra. En attendant le départ de sa belle maîtresse pour la Cité des Doges, Carlo l’entraîne pour un long périple à travers toute l’Europe. A Venise, Giovanna, dans des lettres émouvantes – l’une des plus remarquables originalités du livre – lui fait part de sa sensation d’un amour qui se meurt. Le couple de Carlo et de Giovanna pourra t-il résister à la différence d’âge et aux tourments de la jeune fille qui ne supporte pas « le regard des autres » ? Fugato explore une zone obscure dans laquelle se débattent les personnages de ce roman d’amour. Leur histoire sublime, tendre et torride, tel un livret d’opéra moderne, frôle des sujets rarement traités par l’écriture contemporaine.

C’est l’histoire d’une jeune femme d’origine coréenne…

couv tumuli1.jpgC’est l’histoire d’une jeune femme d’origine coréenne adoptée en France et qui retrouve son lieu de naissance. L’histoire se passe en Corée. Comme elle est photographe, c’est d’abord un travail photographique.

Ensuite, elle a mené en parallèle des entretiens avec le dramaturge de l’Opéra de Paris Simon Hatab. Il y a donc également tout un travail d’écriture sur le questionnement des origines. 

 

Concernant le portfolio, il raconte l’histoire d’une petite ville de Corée du nord qui s’appelle Gyeongju, lieu de naissance de la photographe. Cette histoire est concentrée sur une journée de 24 heures et découpée comme le synopsis d’un film.

Le point de départ est un magasin de vaisselle qui était l’ancienne maison d’une sage femme – c’est là que la photographe est née – puis chaque personne nous conduit à une autre. Autant de rencontres, autant de manières de raconter la ville de Gyeongju et pour la photographe de renaître.

Note d’intention de la photographe Elisa Haberer

18402881_304478329966296_1955355994418478524_n.jpgÉlisa Haberer est une photographe française d’origine coréenne de 39 ans. Etudiante en photographie, elle dédie son travail aux codes de représentation de la photographie de famille et pose la question de la trace et de la narration par l’image. Ces interrogations préfigurent les thématiques constituantes de son travail actuel. Sa photographie est fondamen- talement axée sur les histoires humaines et l’exercice du portrait. En 2009, sa série sur la représentation de soi “Moi, par l’Au- tre” est exposée à Pékin où elle a vécu 7 ans. En 2013, elle tourne son premier film, “My Lucky Bird”. En 2014, de retour en Corée du Sud, elle réalise un projet pho- tographique sur les traces de ses origines qui devient “Les Couleurs des tumuli”. www.elisahaberer.com

Note d’intention : À la genèse du livre “Les Couleurs” des tumuli il y a 3 voyages successifs dans la petite ville de Gyeongju, en Corée du sud, qui est aussi la ville de ma naissance. (août 2015, février 2015, juillet 2015)

L’idée était de trouver une manière pour photographier ce lieu avec le souci de donner à voir les gens et la ville afin de pouvoir créer un récit plus distancié qu’un simple objet autobiographique. Je me suis beaucoup interrogée sur la place à donner et à laisser à cette dimension autobiographique et à la manière de la mettre à distance. Ces interrogations ont accompagné les 3 voyages, elles ont donné lieu à des tentatives de formes et ont fait évolué le propos. Lors de mes passages à Séoul j’ai échangé avec Benjamin Joineau que je connaissais un peu. Ce n’est qu’à la fin de la réalisation de ma maquette de présentation –dont celle du livre diffère peu au finalP que je lui ai fait parvenir mon travail, pour partager avec lui l’objet qui avait été le sujet de nos échanges et non une demande précise d’édition d’un livre. Je ne crois pas que tous les travaux photographiques peuvent trouver une finalité dans la forme du livre. Mais au printemps 2016, Benjamin m’a proposé d’éditer ce portfolio à l’Atelier des Cahiers, il est alors devenu évident que ce projet, qui relevait de quelque chose du journal intime, pouvait trouver dans le livre une forme pour être présenté.

Le texte est venu dans un second temps. Pendant ces trois voyages j’ai échangé 5P6 fois avec Simon Hatab qui lors de notre première rencontre m’a proposé d’échanger sur ce projet photographique en devenir. Il enregistrait mes propos. Propos en lien avec le projet et me posait des questions sur la photographie. J’ignorais ce que nous allions en faire et lui aussi. Nous n’avions pas de projet de livre à ce moment là. Nous ne nous sommes pas vus pendant une année, l’année pendant laquelle je suis revenue de mon troisième voyage et ai travaillé sur la forme à donner au travail photographique. Suite à la proposition de Benjamin Joineau, j’ai informé Simon Hatab de la possibilité de faire un livre. Je lui ai proposé que le texte ait un traitement qui ne soit pas illustratif, redondant par rapport à la photographie, qu’il ne soit pas un accompagnement ou un contrepoint à l’image mais qu’il ait une vraie part en tant que texte à l’intérieur du projet.

Il a accepté. Nous avons repris les entretiens et Simon a commencé parallèelement à écrire en septembre 2017. Il m’envoyait des paragraphes à lire et je lui faisais part de mes impressions. La difficulté était de trouver le ton et surtout la place de l’auteur du texte dans ce dispositif: écrire à partir d’enregistrements sans les trahir tout en ayant un propos. La présence du texte raconté par cette voix extérieure participe du processus de distanciation qui a accompagné la mise en place du travail photographique.

Un récit photographique entre Paris et Gyeongju (éditions l’Atelier des Cahiers)

couv tumuli1.jpgQuatrième de couverture :

Une photographe d’origine coréenne revient dans la ville où elle est née, à la découverte de ses habitants et de ses quartiers. Un récit à deux voix à mi-chemin entre le carnet de voyage et le journal de création où l’expérience du proche et du lointain nourrit une réflexion sur notre rapport au temps et la construction de notre identité.

Adriana Langer, la nouvelliste des éditions Valensin-David Reinharc

1486385365.pngL’auteur : Née à Boston, Adriana Langer a passé la majeure partie de son enfance en Argentine et aux Etats-Unis, avant d’arriver à Paris où elle réside encore aujourd’hui et qui continue de l’émerveiller. Longtemps tiraillée entre ses vocations médicale et littéraire, elle a réussi à concilier ces deux activités en écrivant des nouvelles en parallèle à sa profession de radiologue exercée à l’Institut Curie.

De Rabelais à Céline, les médecins devenus écrivains sont nombreux. Leur expérience quotidienne de l’humain leur donne matière à penser et à s’émouvoir. Par ailleurs, les poètes persans ne disaient-il pas déjà que les mots avaient une valeur thérapeutique, que la poésie et la littérature avaient le pouvoir de soigner et de changer l’Homme en son entier ? Les textes qui composent « Oui et non » sont autant d’échographies de l’âme, ou plus précisément d’électrocardiogrammes qui mesurent les soubresauts du cœur, les va et vient du bonheur.

attachée de presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / balustrade2017@yahoo.com

« Oui et non », un recueil de nouvelles d’une qualité exceptionnelle d’Adriana Langer

langer couv.jpgToute la singularité d’Adriana Langer tient dans sa passion de la nouvelle comme genre littéraire. Pour elle, cette forme concise d’écriture permet de braquer un projecteur sur les instants-clés d’une vie, de disséquer un comportement, un caractère ou une émotion. Concentrés de vie, ses nouvelles aspirent à la force et la subtilité de celles de ses maîtres Anton Tchekhov, Vladimir Nabokov, Virginia Woolf, Flannery O’Connor et Alice Munro dont elle chérit l’extraordinaire liberté.

 

C’est pour sa hardiesse et son instantanéité, son caractère brutal, langoureux ou tranchant, qu’Adriana Langer aime tant la nouvelle. Selon elle, ces textes brefs et incisifs agissent comme catharsis mieux qu’aucune autre forme artistique. Tels les haïkus, ils expriment tour à tour la douceur de l’existence, la déferlante du désir, la pudeur d’une blessure, la plénitude de l’amour – notamment filial – avec une efficacité redoutable.

Le monde d’Adriana Langer est notre quotidien. Elle observe, elle écoute, elle ressent. Ses histoires sont simples, nous croyons les connaître et surtout les reconnaître. Cette femme seule qui dîne au restaurant avec sa petite fille et qui tente de maintenir à l’extérieur de sa sphère maternelle le jeune et beau serveur, nous l’avons côtoyée sans la voir, jusqu’à ce que, révélée par le charme littéraire de l’auteur, elle surgisse tout à coup devant nous, dans toute la richesse de nuances de son apparente évidence.

Son monde est tissé d’étoffes multiples, brutes ou délicates, soyeuses ou rêches, tissu pastel ou éclatant. Il est parcouru de puissants flux souterrains qui affleurent à peine, il ne cherche pas à se justifier, il n’a nul besoin d’autre sens que celui que lui donne la vie, nos vies, riches malgré tout de toutes les formes d’amour.

L’écriture d’Adriana Langer explore l’étrangeté de notre monde, à la recherche inlassable de ses vérités, de sa beauté et, au-delà de tout, de la joie d’exister.

attachée de presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 / balustrade2017@yahoo.com

Eveiller la conscience civique et éthique des collégiens par la lecture-plaisir

476138733.pngLe Maître des temps, la nouvelle saga de science-fiction résolument moderne, inventive et participative qui fera aimer la lecture aux 13-15 ans, leur donnera envie d’écrire et les aidera à devenir des citoyens conscients. Parution le 28 septembre 2017.

La nécessité de faire lire les jeunes :

Selon une étude réalisée par le ministère de l’Education nationale auprès de 760 000 jeunes de 16 à 25 ans en juin 2017, un jeune Français sur 10 est confronté à des « difficultés en lecture ». 

Selon le nouveau Ministre, Jean-Michel Blanquer et de nombreux spécialistes, il faut prendre cette situation catastrophique à bras le corps et y remédier en s’attaquant au problème à sa source, en amont : c’est à dire dans les classes précédant l’entrée au lycée, au collège. 

Par ailleurs, les actes d’inciviilité se multiplient dans les collèges. Il est grand temps de trouver un moyen de former les jeunes au respect des autres et de la vie en société. Et si lecture et civisme étaient liés ?

Le catapultage dans une société futuriste avec des héros qui leur ressemble :

Principalement destinée aux collégiens, Le Maître des temps innove en leur proposant une immersion dans une société futuriste qui pourrait être notre proche avenir, l’immersion étant la forme la plus naturelle pour captiver les jeunes lecteurs.

A la suite de héros de son âge dans lesquels il peut se projeter, le collégien est entraîné dans une aventure trépidante au cœur d’un monde où la virtualisation est à un stade avancé. Au fil des pages, le lecteur voit son intelligence aiguisée pour comprendre le fonctionnement et les enjeux de ce nouvel univers dont aucune clé ne lui est explicitement dévoilée.

L’effort fourni par le lecteur pour appréhender le cadre étonnant mais cohérent et totalement vraisemblable de l’intrigue est rapidement récompensé : il bascule vite et adhère aux codes, règles et valeurs dans lesquels ses nouveaux héros évoluent. Stimulé par l’intrigue à suspense, il découvre qu’il se prend au jeu et ne veut plus abandonner ses nouveaux copains de papier. A la fin du premier tome, sa fierté comme son impatience de lire la suite, sont immenses.

La dimension citoyenne et éthique infusée dans la saga : 

Chacun des romans de la saga « Le Maître des temps » se déroule au sein d’une école comparable à Poudlard, mais avec des problèmes à résoudre plus modernes et des enjeux renouvelés selon chaque tome. Pourtant, l’on découvre aisément que si le décor change, les grands dilemmes qui dessinent la condition humaine sont inchangés : les inégalités de naissance, l’affrontement des forces généreuses et ouvertes du bien avec celles nourries de ressentiment, égoïstes et étroites du mal. 

Parce que l’amour de la littérature se construit d’abord sur le plaisir de lire et que l’esprit ludique qui soutient la saga d’Eric Jeux rend ce plaisir plus facile d’accès.

L’ultime atout-séduction absolu du « Maître des temps », c’est également la dimension humaniste et écologiste que cette saga porte en elle, susceptible d’éveiller la conscience éthique et politique de la jeunesse, sans aucun diktat idéologique.

On est devant un fabuleux outil pédagogique pour aborder certains sujets de manière légère – la démocratie, l’exclusion/racisme, la collaboration, les relations entre filles et garçons, etc…- mais néanmoins déterminante pour former les citoyens de demain.

Un site dédié au livre www.mots-de-jeux.com est également à la disposition des lecteurs, qui pourront exercer leurs talents naissants d’écrivains en herbe en participant au concours lancé par l’auteur. 

toutes les infos sur la saga (principe, synopsis du premier tome etc), son auteur et le concours ouvert à tous les 13-15 ans organisé ici : http://balustrade.blogspirit.com/eric-jeux/

attachée de presse : balustrade2017@yahoo.com / 06 84 36 31 85

Quatrième de couverture « Repérer & neutraliser un boulet » d’Emilie Ménard

Reperer-et-neutraliser-un-boulet-le-guide.jpgParution le 8 septembre 2017 – grande soirée de lancement en présence de l’auteure Emilie Ménard le 21 septembre dans un bel appartement privé près de l’Etoile à Paris, invitations à la presse sur simple demande au 06 84 36 31 85 

Demandez votre exemplaire en service de presse : 

Repérer & neutraliser un boulet

Un Guide de survie en territoire amoureux

écrit par Emilie Ménard (Editions Ellébore)

Qui, dans l’espoir de trouver le prince charmant, n’est pas tombé dans le piège du mec bien sous tous rapports et qui s’avère finalement être… un boulet ?

Avec ce guide :

    • Apprenez à repérer les profils types de boulet : le mec trop sympa et canon mais qui ne vous rappelle pas, le mec qui est amoureux de votre super pote, le sportif un peu con mais sexy, le vieux beau friqué et flippant…
    • Découvrez toutes les techniques infaillibles pour séduire votre boulet coup de cœur du moment et vivre à fond l’aventure avec lui.
    • Profitez des meilleures stratégies amoureuses pour vous débarrasser d’un boulet avec qui la situation aurait dégénéré.

Et en plus : des fiches pratiques et des bonus vous donneront les clés pour faire face à toutes les situations du quotidien (mieux communiquer en couple, mener un rencard, exaspérer votre boulet, gérer la concurrence, etc).

Un guide complet, jouissif, drôle et provocateur, indispensable pour évoluer sereinement dans la jungle des relations amoureuses !

 attachée de presse : balustrade2017@yahoo.com / 06 84 36 31 85

La bombe de la rentrée : Emilie Ménard

843164085.jpgBIOGRAPHIE

Émilie Ménard est une artiste autodidacte qui vous invite à découvrir son univers sensuel et féminin.

En 2017, elle publie « Repérer & neutraliser un boulet » chez Ellébore dont Guilaine Depis est l’attachée de presse. Pour joindre Emilie Ménard : balustrade2017@yahoo.com / 06 84 36 31 85

 

Enfant, elle passait des heures à dessiner et à l’âge de 8 ans elle réalisait sa première bande dessinée.

Ses principales sources d’inspiration sont des jeunes femmes dont le visage exprime une véritable personnalité. S’interrogeant sur le rôle de la femme dans notre société et sur l’évolution de la féminité, elle cherche à représenter des femmes libres, émancipées et solitaires.

Indifférentes ou provocantes, elles semblent contempler le monde avec un détachement désabusé.

Son travail, réalisé sur toile, est un mélange de différentes techniques : huile, acrylique et aérosol se superposent en couches successives afin d’obtenir un effet de profondeur et d’intensité qui nous plongent dans un univers sensuel et poétique.

Son travail est influencé par des artistes partageant les mêmes sources d’inspiration tels que Richard Phillips, Helmut Newton, Jean-Baptiste Valadié et bien d’autres, qui subliment la beauté de la femme à travers leurs œuvres, ainsi que quelques artistes du street art qu’elle admire pour leur regard aiguisé et ironique sur notre société, tels Jean-Michel Basquiat, Banksy ou Miss. Tic.

Inspirée par l’art urbain, la bande dessinée et le pop art, elle intègre à la plupart de ses œuvres des touches vives et colorées, qui contrastent avec la froideur de ses sujets.

La plupart de ses peintures sont réalisés à l’acrylique et à l’huile. Elle commence par donner une vie et une musicalité à la composition en y appliquant quelques effets de matières réalisés au couteau ou avec les doigts. Elle travaille ensuite en couches successives afin de donner une profondeur et une intensité à l’œuvre. Elle utilise parfois des bombes aérosols ou des pochoirs pour finaliser le tableau.

site : emiliemenard.com