Actualités (NON EXHAUSTIF)

Dans Marianne : Un article du grand philosophe Robert Redeker sur le roman de Pablo Daniel Magee

https://www.marianne.net/culture/litterature/selection-marianne-nos-romans-preferes-de-la-rentree

LE ROMAN VRAI DE LA VIE DE MARTIN ALMADA

L’Europe ne le sait pas : Martin Almada est un grand homme, un véritable héros qui a marqué le XXème siècle de l’Amérique latine. Sa vie, son caractère, son environnement familial, culturel, et politique, son engagement de chaque heure en faveur d’une existence plus digne pour tous, forment la matière de ce roman vrai, superbement écrit, exhaustivement documenté, Le Condor vole toujours. Si certains désespèrent de l’homme, sombrent dans la misanthropie, ne broient que du noir, ne voient pas d’issue aux misères de notre espèce, qu’ils lisent ce livre ! Livre de l’espoir quand tout paraît perdu. Quand tous paraissent corrompus. Quand la politique a été remplacée par la terreur. Quand la pensée conduit à la salle de torture. Quand la brutalité voulue par le pouvoir s’exerce jusque dans les plus petites choses de la vie. Quand la perversité semble avoir le dessus. Quand il semble que le Diable a pris possession du monde. Quand un triste néo-catharisme semble de mise. Les complots de grande envergure existent. Engagé du côté du communisme, professeur et militant d’une pédagogie renouvelée, Almada tombe en 1975 dans la cruelle machine répressive du général Stroessner. Ce dernier est un allié dans le crime avec Pinochet et les militaires argentins. Malgré 1000 jours de torture, physique et psychologique, Almada ne sera pas broyé. Comme chez Soljénitsyne, quelque chose en lui résiste, lui permettant de tenir. Après son évasion rocambolesque, son exil à paris, il découvre les archives du plan Condor, ce complot organisé par Washington, orchestré par Henry Kissinger, pour installer et maintenir au pouvoir des dictatures sanguinaires dans le sous-continent sud-américain. Le combat d’Almeda est de tous les temps et de toutes les contrées : c’est celui de l’éternelle lutte pour la justice, la dignité, et la vérité. Le roman vrai de Pablo Daniel Magee, haletant comme un roman policier, attendrissant comme un roman d’amour, politique comme un roman d’espionnage, et instructif comme un roman historique, installe dans l’imaginaire européen un personnage digne de figurer au côté d’Antigone.

Opération Condor. Un homme contre la terreur en Amérique latine Pablo Daniel Magee, Éd. saint-Simon, 378 pages, 22 euros.

François de Coincy critique le livre de Bruno Le Maire

L’ANGE ET LA BÊTE PAR BRUNO LE MAIRE

Danièle Yzerman : « Blessures physiques ou psychologiques de l’enfance : mêmes séquelles, même combat pour y survivre….. »

Blessures physiques ou psychologiques de l’enfance : mêmes séquelles, même combat pour y survivre…..

On parle beaucoup aujourd’hui des scandales de l’inceste vécu par de nombreuses personnalités connues issues de milieux plutôt favorisés, et tout autant de la violence régnant dans certains foyers de milieu social défavorisé, encore accentuée par le contexte sanitaire et économique actuel.

Si l’ont sait que ces blessures du corps sont souvent indélébiles et modifient le cours d’une vie d’adulte, il me semble utile de rappeler que les blessures psychologiques de l’enfance, plus sournoises et invisibles au monde extérieur, peuvent être tout aussi, voire plus profondément destructrices.

Je peux en parler car c’est l’histoire de mon chemin de vie que je raconte, au crépuscule de celle-ci, dans mon 1er livre « La vie, envers, contre et pour tout. La vie à l’envers. ».

C’est effectivement dans la 1ère enfance que se construisent tous les repères, les modèles, le sens du bien et du mal, du plaisir ou du déplaisir …

C’est effectivement à l’adolescence que toutes ces données s’organisent et déterminent les aspirations positives et négatives de sa prise d’indépendance et de pouvoir pour dessiner sa vie d’adulte.

Quand ces repères, ces modèles ont été ceux d’un père dominant sur tous les plans, d’une mère soumise, quand toutes les aspirations naturelles au plaisir, à l’indépendance personnelle et financière, au besoin de sentir belle et par là même séduisante, à la réussite professionnelle sont interdites parce que l’on est une femme, que peut-on faire ?

Mourir ou vivre ? c’est la question que je me suis posée à 17 ans et qui m’a conduite à l’anorexie, la tentative de suicide dont par miracle, je me suis réveillée en entendant une voix venue d’ailleurs qui me disait « je vais réapprendre à vivre ».

Un long parcours de reconstruction physique d’abord, puis mentale pour redevenir ce que j’avais le droit d’être et par la même redessiner ma vie de femme, de maman et de femme d’affaires….dont toutes les méandres sont dans mon livre que j’ai écrit avant tout pour laisser une « trace « de ma vie à mes enfants et petits enfants.

Un long parcours de construction pour prendre ma revanche et redessiner ma vie telle que je le voulais et démontrer par là même à tous ceux qui ont eu une enfance meurtrie que « tout est possible », « rien impossible », à condition de ne pas se considérer comme « une victime » avec les excuses que cela sous-tend.

Danièle Yzerman

« Un conte de fantaisie pour ados raconté au présent par une fille étonnante d’aujourd’hui nommée Marie, fan de Bruce Lee »

Steff Rosy, Méthana – L’appel de l’univers

Qui n’a jamais rêvé d’être extra-ordinaire, rejeton d’un dieu et princesse interstellaire ? C’est ce que réussit Steff Rosy dans ce premier roman naïf et emballant de science-fiction pour ados. Marie est une jeune fille ordinaire née en 1979 (comme l’auteur), un père militaire qui fait déménager souvent, une petite sœur et un petit frère dont elle craint l’avenir. Elle est bonne en math et habile en judo, et a toujours été très proche de son arrière-grand-mère Rosy, morte à 83 ans lorsqu’elle en avait 5. Elle en avait eu la prémonition, comme il lui arrive parfois. C’est alors qu’un soir, ou plutôt une nuit, elle rêve d’un lion. Il la regarde et ne la dévore pas. Elle a 15 ans et a décidé ses parents à l’inscrire à un internat militaire dans les Alpes pour préparer le bac sans tous ces déménagements. Le lion est son totem de feu, son signe d’août, son moi profond.

Commence alors une double vie dont rêveraient nombre d’adolescentes et même d’adolescents. L’internat est rythmé par les horaires, les cours, l’uniforme ; c’est une discipline dans laquelle Marie excelle, un brin maniaque, en tout cas organisée et toujours forte en calculs. Elle se fait des amis, un garçon « hyper bien fait » p.58 et une fille (noire), un amoureux mystérieux. Un jeu de divination la fait se remémorer ses « dons » pour la prescience ; elle « voit » ce qui s’est passé pour un copain, elle s’initie à la lecture des tarots, puis à l’écriture automatique. C’est à ce moment que le lecteur se dit qu’il entre dans un univers à la Harry Potter où les vieilleries de la fantaisie vont mettre un peu de piment dans l’existence routinière d’un internat de province. Nous sommes page 75 sur 462.

Tout faux ! Lorsque Marie s’initie à l’écriture automatique – qui parait simple, faites le vide en votre esprit et laissez courir le crayon sur la feuille – ne voilà-t-il pas que mémé Rosy lui parle ! Née en 1912, l’ancêtre a une double vie, même après sa mort. Car la mort terrestre n’est rien au regard de la Source qui est l’énergie primordiale et cosmique, en bref Dieu. C’est que Marie n’est pas n’importe qui… Son incarnation terrestre est une mission : ramener dans le droit chemin de l’Amour, du « respect » et de la bienveillance pour la Paix universelle une humanité qui se perd dans le pouvoir, l’agression et l’orgueil. Rien que ça. Sauver le monde avant 2019, ou peut-être 2049 dernier délai. Pour cela devenir aimant, écologique, spirituel – en bref tous les poncifs de l’idéalisme New Age revu ère Trump. Cela fait un peu cliché mais ça marche ; après tout, l’auteur écrit pour les ados.

Elle en a adopté le vocabulaire, qui fera vite daté, comme « ah d’accord », « alors je me présente, « sinon je me présente », mais « soyez comme vous êtes », « donc attention », où tout est « hyper » mais chaque baiser « langoureux », où les gars sont très « musclés » et ont tous « le visage carré » (les filles sont simplement « sportives »), disent des « trucs de fou », alors « elle fait style de rien », ou sont « trop »quelque chose, mais sans cesse avec « respect » – mot fétiche repris maintes fois – qui « échangent » juste pour échanger mais on ne sait jamais quoi, tout en interjetant « t’inquiète », « profite », et surtout « écoute ton cœur » (la raison on s’en fout). Et ponctué par le déjà vieilli « lol » d’il y a quinze ans. Ce n’est pas très littéraire mais urgent, phrases raccourcies et mot-valise approximatifs. Les ados « adorent », autre mot fétiche employé à tout va.

Malgré ma douce ironie, j’aime ces créateurs d’univers chez qui l’action court, échevelée, parmi les êtres plus parfaits les uns que les autres, filles et garçons d’une beauté de statue grecque avec un physique de thriller américain, jonglant avec les armes laser des étoiles tout en rêvant au Roi lion ou à La Petite sirène. Marie, durant son sommeil d’internat, est transportée en vaisseau spatial et vit plusieurs semaines le temps d’une nuit à s’entraîner avec son frère jumeau et son amoureux éternel devant ses amies extraterrestres et son père archange… Défilent les wikifiches des minéraux bons pour le cerveau, la hiérarchie des Trônes et des Dominations, les multiples démons autour de Belzébuth (que j’aime à écrire Bézléputh) et divers poèmes d’anthologie amoureuse que s’échangent par écrit (le mél n’existe pas à l’internat ?) un Terminale avec une Seconde. Nous sommes entre Avatar, Star Trek, La Guerre des étoiles, les dessins animés Disney et les séries télé yankees favorites de TF1. L’Amour est une bombe A puisqu’écrit à majuscule, avec baise torride et lente de désir et bracelets d’union énergétiques irradiant. Un rêve.

Car Marie est un être de Lumière opposée à tous ceux des Ténèbres, selon la vieille dichotomie biblique de Dieu et de Satan, la liberté étant un piège cosmique pour choisir le Bien plutôt que le Mal. Dans cette vision paternaliste, les humains sont considérés comme des enfants ou des handicapés barbares. Les pyramides d’Egypte ne peuvent, par exemple, n’avoir été bâties que par des puissances extraterrestres. (…)

Malgré cela l’histoire est jolie comme un premier roman enthousiaste dont l’énergie passe et rend positif par ouverture de conscience. Avec ce message politique bien dans l’air du temps : « Ils sont prêts à écraser n’importe qui pour du pouvoir ou de l’argent ! Ils sont d’une indifférence et d’un égoïsme extrême ! Chacun ne pense qu’à soi. Diviser pour mieux régner, c’est leur devise préférée ! Ils pensent que la beauté vient de l’apparence alors qu’elle vient de l’âme, ils sont prêts à ne rien manger pour maigrir à s’en rendre malade, tout cela pour s’insérer dans leur société. Il faut être idiot pour le croire ! Ils ne respectent même pas leur planète. Ils polluent l’air qu’ils respirent, après ils se demandent pourquoi ils se rendent malades ! Et le lobbyisme, parlons-en, ils préfèrent gagner de plus en plus d’argent plutôt que de trouver de vraies solutions dans tous les domaines ! Ils trichent, ils volent, ils pillent, ils arnaquent, ils violent, ils manipulent… » p.404. L’auteur parle-t-elle de nous ? Pas du tout, mais de la planète P-231-125, vouée à être détruite. C’est vrai, nous ne sommes pas comme ça, nous les Vertueux.

Un conte de fantaisie pour ados raconté au présent par une fille étonnante d’aujourd’hui nommée Marie, fan de Bruce Lee.

Steff Rosy, Méthana – L’appel de l’univers, 2020, Vérone éditions, 462 pages, €27.00 e-book Kindle €17.99

Attachée de presse BALUSTRADE : Guilaine Depis, 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

La fédération anarchiste a aimé « Opération Condor »

(fr) FA Commune de Paris – Opération Condor

Date Tue, 2 Feb 2021 18:14:34 +0000


Un continent sous contrôle américain —- Novembre 1975, le plan Condor, un pacte secret se met en place couvrant les dictatures d’Amérique du sud. Objectif: organiser une coopération criminelle anticommuniste et contre-révolutionnaire avec le concours de la CIA et orchestré par Henry Kissinger. Résultat estimé: un demi-million de morts. Au Paraguay, le sinistre dictateur, le général Stroessner, lance le processus avec la complicité de services secrets européens dont ceux de la France (cf l’expérience en Algérie par les paras de Bigeard et Aussaresses), américains avec l’appui de nazis opportunément réfugiés grâce à différentes complicités dans ces Etats où le mot démocratie est inconnu. C’est dire si les méthodes d’arrestations et d’interrogatoires sont abjectes. Un homme, Martin Almada, professeur adepte de la pédagogie des opprimés de Freire, avocat connaît les affres des geôles et les tortures pendant mille jours. C’est son combat que nous relate Pablo Daniel Magee. Il faut dénoncer et parler de ces années de souffrance, les arrestations arbitraires, les accusations absurdes, les tortures physiques et psychologiques indescriptibles, la bêtise crasse des bourreaux pour qui tout démocrate est communiste.

L’horreur implacablement décrite

« Au Panama, Doctor Almada, il y a ce qu’on appelle l’Ecole des Amériques. Les Yankees l’ont ouverte après la Seconde guerre mondiale, à l’aube de la Guerre froide, pour former la police et les militaires d’élite de notre continent à leur méthode et, ainsi, nous intégrer au bloc idéologique américain dans le cadre de leur logique de Guerre froide. » souligne un colonel emprisonné avec Almada. Il s’agissait de contrecarrer le rayonnement de Fidel Castro. « L’idée du Condor, c’est de créer un réseau de communication ultrarapide et réactif entre les services secrets des pays membres à travers le Continent, inspiré par Interpol. La communication se fait par télex. »

A travers la vie de Martin Almada, le lecteur revivra les souffrances de tous les dissidents du continent, se remémorera les manifestations de soutien dans le monde et mesurera que le combat n’est jamais achevé. Même des gouvernements dits progressistes en Europe ont poursuivi leurs relations avec ces Etats malgré les dénonciations avérées. La raison d’Etat l’emportait.

Evadé en 1978, Almada se réfugie en France, travaille à l’Unesco, puis à la fin apparente de la dictature retourne dans son pays. Après une enquête minutieuse, il met la main sur cinq tonnes de documents TOP SECRET, les archives de la Terreur. Le contenu est implacable. Les Etats se défaussent mais au vu des évènements actuels en Amérique latine, Martin Almada considère que le « Condor vole toujours ».

Opération Condor
Un homme face à la terreur en Amérique latine

Pablo Daniel Magee

Ed. Saint-Simon, 2020

https://federation-anarchiste-groupe-commune-de-paris.over-blog.com/2021/02/operation-condor.html
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Un nouveau roman de Christian de Moliner aux éditions Pierre-Guillaume de Roux

La Balustrade de Guilaine Depis vous propose pour la période de février 2021/juillet 2021:
(pour demander un livre, merci d’adresser un mail à guilaine_depis@yahoo.com et pour interviewer l’auteur sms 06 84 36 31 85)

La Croisade du mal-pensant,

un roman de Christian de Moliner
aux Editions Pierre-Guillaume de Roux (parution 23 février 2021)
 
– Un roman ultra contemporain en résonance avec l’actualité immédiate autour du « racialisme » 
– Le héros, courageux professeur accusé de non complaisance avec l’idéologie militante des « racisés », nous remémore celle tragique de Samuel Paty face au totalitarisme islamiste.
 
– Une fresque lucide et subtile des conflits générationnels et civilisationnels qui ébranlent nos sociétés.
 
– Un personnage au premier abord sans charisme auquel on s’attache et on s’identifie au fil des pages.
 
– Une histoire qui nous tient en haleine jusqu’à son épilogue sanglant.
 
– Un roman passionnant et mélancolique qui brosse le portrait tout en nuances d’un professeur au soir de sa vie.
Résumé : Samuel Meiersohn, un universitaire désabusé et proche de la retraite, entame une croisade contre des étudiants et des professeurs « racisés » qui veulent créer au sein de sa faculté, un espace sans Blancs. Rejetant le prétendu « privilège blanc »,  il va se heurter à son administration et à la démission de la société française si prompte en 2019 à accepter les thèses radicales, aussi absurdes qu’elles soient. 
« Une étudiante s’approcha de lui et lui tendit un tract qu’il prit. (…) il résistait à l’injonction bien-pensante de confondre allègrement progressisme, sens de l’histoire et usages islamiques. »
 
L’auteur : Christian de Moliner a publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux un autre roman La Guerre de France (2018) et un essai Islamisme radical. Comment sortir de l’impasse ? (2019). Collaborateur au Figarovox, Causeur, Boulevard Voltaire, Breizh info …mondialement connu pour avoir créé le buzz en imaginant la partition de la France dès 2018 – (Moliner est plus célèbre en Russie, Angleterre, Hongrie, Roumanie, Italie, Allemagne etc qu’en France), ses essais de citoyen engagé dans l’analyse des problèmes du vivre-ensemble de son époque nourrissent l’inspiration de ses romans de politique-fiction, et réciproquement afin de former une œuvre littéraire cohérente et forte
Agrégé de mathématiques et passionné d’histoire, ses connaissances pointues sur l’islam impressionnent beaucoup ses interlocuteurs.

Franck Archimbaud, un cuisinier militant, se raconte et nous émerveille

La Balustrade de Guilaine Depis vous propose pour la période de février 2021/juillet 2021:
(pour demander un livre, merci d’adresser un mail à guilaine_depis@yahoo.com et pour interviewer l’auteur sms 06 84 36 31 85)
 
L’homme qui voulait Otrechoze
un récit de Franck ARCHIMBAUD, cuisinier militant, entrepreneur restaurateur humaniste et audacieux, patron du traiteur Otrechoze en Normandie et en Touraine. Installé en Normandie dans son restaurant gastronomique Le Saint-Pierre La Bouille, fameuse adresse historique et spirituelle existant depuis 1860, il gère également le restaurant de l’aéroport de Normandie.

 
« Restaurateurs et Monde de la culture, nous sommes l’âme de la France. »
 
« La France pourra compter sur le cœur et la créativité de ses restaurateurs pour se réinventer après le Covid. » 
 
Confronté comme ses pairs à la crise sanitaire, Franck Archimbaud a eu le déclic d’écrire un livre, dans lequel il déroule son parcours afin de transmettre aux autres ses secrets – autour des choix de vie, des limites, de l’audace, de la spiritualité, de la solitude, de la mort, de la vie – pour mieux surmonter ses fragilités et les épreuves – en un mot pour rebondir.
 
« La cuisine est pour moi l’expression de l’amour. »
 
Habité dès l’enfance par sa vocation de cuisinier, Franck Archimbaud vit ses années de formation tel un « sociologue restaurateur ». C’est en faisant partout le constat de la dégradation du monde et de la santé qu’il décide de ramener du bon sens dans la cuisine en renouant avec le fil de l’authenticité, en valorisant l’origine de ses produits
 
Manger doit être un moment sacré de plaisir et de partage, un acte écologique pour soi-même et pour le monde. Un monde qu’il décide de « sauver » par la nourriture. Il crée en 2007 le premier restaurant bio local en zone franche urbaine, puis un service traiteur.

« Tout a commencé il y a deux ans, avec ce cahier à dessin sur lequel je n’écrivais qu’une seule phrase par page. (…) Je me sentais comme conduit vers l’écriture de ce que jamais je n’aurais imaginé comme un aussi beau voyage. »
 
L’auteur : Diplômé de l’Ecole Hôtelière de l’Avalasse, Franck Archimbaud fait ses armes au sein des grandes maisons parisiennes avant d’élargir son expérience à l’étranger. Cadre au sein d’une multinationale durant plus de dix ans, il continue de nourrir pour le monde du spectacle une passion née dès l’enfance. En 2004, il décide de rassembler ses compétences en créant OTRECHOZE, concept novateur éco-responsable au carrefour de la restauration et de l’événementiel, qu’il développe et décline désormais dans toutes les branches de son entreprise. Ce livre est le témoignage d’une incessante quête prenant racine au coeur de l’intime.