Petit-déjeuner de la presse diplomatique autour du livre « France cherche Europe désespérément » de mon auteur Pierre Ménat ce matin Chez Françoise. François Beaudonnet de France télévisions et Ariane Bonzon de Slate faisaient partie des journalistes présents.
Catégorie : ACTU Pierre Ménat
Pierre Ménat interviewé en anglais sur France 24 vendredi 5 avril à propos du Brexit
On peut revoir l’émission de Pierre Ménat vendredi 5 avril sur France 24 sur le Brexit ici : https://youtu.be/OQXl88XGd3Y
Tribune de Pierre Ménat sur le Brexit
CV de Pierre Ménat, ancien conseiller aux affaires européennes de deux Présidents de la République lien : https://guilaine-depis.com/7348-2/
Nouveau livre de Pierre Ménat « France cherche Europe désespérément », lien : https://guilaine-depis.com/quatrieme-de-couverture-de-france-cherche-europe-desesperement-de-pierre-senat-parution-11-03-19/
Pierre Ménat, diplomate de carrière, a suivi de l’intérieur la marche de l’Europe pendant plus de trente ans. Conseiller de deux ministres des Affaires étrangères (Jean-Bernard Raimond et Alain Juppé), puis conseiller du président Chirac pour l’Europe, deux fois directeur des Affaires européennes au Quai d’Orsay, il a également servi comme ambassadeur de France en Roumanie, Pologne et aux Pays-Bas. Il vient de publier « France cherche Europe désespérément » le 4 mars 2019 aux éditions L’Harmattan.
TOUT CE QUE VOUS VOULEZ SAVOIR SUR LE BREXIT.
Pour la troisième fois, le Parlement britannique a rejeté vendredi 29 mars l’accord entre l’Union européenne et le gouvernement du Royaume Uni sur un retrait ordonné de ce pays de l’UE.
« Alors, ils sortent ou ils restent » ? « Pourquoi n’y comprend-on rien » ? Si vous vous posez ces questions, lisez ce qui suit.
QU’EST-CE QUE LE BREXIT ?
Si décrié par les eurosceptiques, le traité de Lisbonne contient pourtant une clause qui leur plait. L’article 50 du traité sur l’Union européenne donne la possibilité à un Etat-membre de se retirer de l’Union.
En 2013, le Premier ministre conservateur, David Cameron, sous la pression du parti UKIP favorable à ce retrait, décida d’organiser un referendum sur cette question majeure. Lors de ce scrutin, intervenu le 23 juin 2016, près de 52 % des Britanniques se prononcèrent pour la sortie, qu’on appela Brexit (British exit).
Favorable au maintien, Cameron démissionna et fut remplacé par le ministre de l’Intérieur Theresa May. Celle-ci prit neuf mois pour notifier à Bruxelles, le 29 mars 2017, la décision du peuple britannique.
Le traité prévoit un délai de deux ans pour définir les conditions du divorce. Ce délai expirait le 29 mars 2019.
Après 46 ans d’appartenance à l’Union, des droits et des obligations se créent comme au sein d’un couple. En l’occurrence, de nombreuses questions se posaient. Quelques exemples : va-t-on rétablir des droits de douane ? Les personnes pourront-elles continuer à circuler librement ? Les pêcheurs français ou espagnols pourront-ils continuer à pêcher dans les eaux britanniques et réciproquement. Une autre question s’est révélée très délicate : va-t-on rétablir une frontière au beau milieu de l’Irlande, puisque sa partie Nord, l’Ulster, reste membre du Royaume-Uni, alors que le sud de l’île est un Etat-membre de l’Union européenne ?
Au bout d’un an et demi de négociations entre les Britanniques et l’Union représentée par Michel Barnier, un accord fut signé le 25 novembre 2018. Le Royaume Uni quitte bien l’UE le 29 mars 2019. Mais le texte prévoit une période de transition jusqu’au 31 décembre 2020, extensible deux fois un an. Cette période serait mise à profit pour négocier la relation future entre les deux parties. En attendant, un statu quo prévaudrait sur la plupart des sujets : autrement dit, pendant la transition, peu serait changé par rapport à la situation antérieure. La question irlandaise était réglée par l’existence d’une Union douanière entre le RU et l’UE évitant l’apparition d’une frontière en Irlande non seulement pendant la transition mais même au-delà, jusqu’à ce qu’une solution aussi favorable soit trouvée. Ce mécanisme est appelé « backstop » ou filet de sécurité.
POURQUOI L’IMPASSE ACTUELLE ?
Parce que Mme May n’est pas parvenue à faire adopter cet accord par la Chambre des Communes. Celle-ci l’a rejeté par xx fois, les 29 janvier, 12 et 29 mars 2019. A l’opposition travailliste s’est ajoutée une centaine de députés conservateurs hostiles au backstop, jugé trop restrictif quant à la souveraineté britannique. Ces cent ne sont plus que 34 le 29 mars mais ils suffisent à conforter une majorité négative.
Lors du Conseil Européen du 21 mars, Mme May a demandé un délai aux Européens. Ceux-ci ont fixé deux dates alternatives pour le départ du RU : soit le 22 mai, juste avant les élections européennes, si l’accord de retrait est approuvé ; soit le 12 avril si tel n’est pas le cas et si le RU ne présente pas d’alternative crédible.
QUE PEUT-IL SE PASSER ?
- Si la Chambre des Communes approuve l’accord de retrait, celui-ci interviendra le 22 mai 2019. Commencera alors la période de transition.
- Si la Chambre des Communes n’approuve pas ce texte et ne propose pas de solution alternative, un Brexit « dur » interviendra le 12 avril. Un Brexit dur signifie que les rapports entre Londres et les 27 seront fixés non d’un commun accord mais de façon unilatérale par chacune des parties.
- Quelles sont les options alternatives ?
- Normalement, une telle crise politique devrait se résoudre par une dissolution de la Chambre des députés. Mais depuis 2011, celle-ci est soumise à certaines conditions : soit réunir la majorité des 2/3, soit faire suite à un renversement du gouvernement. Dans les deux cas, ce sont les conservateurs qui ont la main. Or, ils ne veulent pas de nouvelles élections qu’ils risquent de perdre. Les durs ont cependant demandé et obtenu un engagement de Mme May à démissionner si l’accord de retrait est adopté.
- Une grande partie de l’opinion britannique souhaiterait qu’un nouveau referendum soit organisé. Mais une telle décision ne pourrait résulter que d’une loi et dépend donc là encore de la majorité conservatrice très réticente, car craignant en pareil cas une réaction virulente de ses électeurs.
- Un éventuel report du Brexit pour une durée plus longue se heurte au problème des élections européennes. Si Londres veut rester provisoirement dans l’UE au-delà du 12 avril, son gouvernement doit décider d’organiser l’élection de parlementaires britanniques au Parlement européen dans la période du 23 au 26 mai. Ce qui serait considéré par un mauvais signal par les pro-Brexit.
On le voit, les deux options les plus vraisemblables sont l’approbation de l’accord de retrait, désormais peu probable et un Brexit dur vraisemblable.
Dates des rencontres avec Pierre Ménat autour de « France cherche Europe désespérément » à Paris (d’autres sont prévues en France et en Europe) en avril/mai :
Invitation Rencontre-dédicace avec Pierre Ménat sur l’Europe le 25 avril à 19h
Pierre Ménat réagit à La Tribune du Président Macron « Pour une renaissance européenne »
CV de Pierre Ménat, ancien conseiller aux affaires européennes de deux Présidents de la République lien : https://guilaine-depis.com/7348-2/
Nouveau livre de Pierre Ménat « France cherche Europe désespérément », lien : https://guilaine-depis.com/quatrieme-de-couverture-de-france-cherche-europe-desesperement-de-pierre-senat-parution-11-03-19/
Pierre Ménat, diplomate de carrière, a suivi de l’intérieur la marche de l’Europe pendant plus de trente ans. Conseiller de deux ministres des Affaires étrangères (Jean-Bernard Raimond et Alain Juppé), puis conseiller du président Chirac pour l’Europe, deux fois directeur des Affaires européennes au Quai d’Orsay, il a également servi comme ambassadeur de France en Roumanie, Pologne et aux Pays-Bas.
« France cherche Europe désespérément »…Pierre Ménat
C’est avec un grand intérêt que j’ai pris connaissance de la tribune du président de la République intitulée « Pour une renaissance européenne ». Pendant plus de quarante ans, en tant que diplomate, j’ai été soumis à l’obligation de réserve. J’en suis aujourd’hui délié et comme tout citoyen, suis libre d’exprimer mes idées.
Le texte d’Emmanuel Macron part d’une analyse lucide de la situation : l’Europe n’a jamais été aussi nécessaire, mais jamais autant en danger. L’ambition du président est à la hauteur des circonstances. Les points-clés sont bien identifiés, comme ils l’avaient été lors du discours de la Sorbonne du 26 septembre 2017. Nul ne peut contester les trois chapitres : liberté, protection et progrès.
Sous la première rubrique, la tribune aborde habilement un problème qui pourrait être consensuel : celui des manipulations cybernétiques qui affectent nos processus électoraux. Mais selon une habitude française, tout doit déboucher sur la création d’une structure. En l’espèce, il s’agirait d’une agence européenne de protection des démocraties. Il n’est pas certain que cette idée suscite l’enthousiasme.
Au titre de la protection, trois sujets pertinents sont abordés. D’abord, Schengen. Comme dans le discours de la Sorbonne, le chef de l’État fixe des objectifs déjà énoncés. Plus modestement, je propose1 d’appliquer enfin les décisions prises en matière d’asile et d’immigration notamment.
Ensuite, la défense. Je souscris pleinement à la création d’un Conseil de Sécurité européen, auquel le Royaume-Uni pourrait être associé. Mais il faut que, dès le départ, les intentions soient claires et que les États intéressés adhèrent à une politique étrangère et de défense indépendante, selon le modèle du Plan Fouchet présenté par le Général de Gaulle en 1961. Je suggère à cette fin une solution qui peut fonctionner, tant sur les plans politique que juridique.
Troisième sujet, la juste concurrence. Pour y parvenir, les pétitions de principe risquent de rester lettre morte. Airbus et Arianespace ont réussi parce que ces projets ont impliqué un nombre élevé d’États. La fusion Alstom-Siemens a échoué car ceux qui en étaient exclus l’ont combattue. Lorsqu’elle est assez forte pour s’imposer, la réalité industrielle peut prévaloir sur l’application des règles de concurrence.
Enfin, le progrès. Pour le climat et l’énergie, mettons en œuvre les décisions adoptées par le Conseil et le Parlement européen en 2014, puis 2018. S’agissant du bouclier social, chacun de nos présidents l’a proposé avec ses mots : l’espace social européen en 1981, le modèle social européen en 1996, l’Europe qui protège en 2008, la convergence sociale en 2012.
Si la France se répète, c’est que la difficulté demeure. Du modèle social français, sans doute l’un des plus élaborés au monde, nos partenaires se sont éloignés plus que rapprochés. À protection, ils répondent flexibilité. Au bouclier, ils préfèrent l’épée. Pourquoi cette incompréhension ?
Pour des raisons différentes selon les pays. Ceux du Nord et d’abord l’Allemagne ont estimé que la mondialisation exigeait des réformes d’inspiration « libérale », même si cet adjectif est souvent galvaudé. Ceux du Sud ont été confrontés au poids de la dette et ont eu recours à des solutions empiriques. Enfin, la plupart des nouveaux États membres sont passés brutalement du collectivisme à l’économie de marché, sans filet de sécurité. En Roumanie, où le salaire moyen est inférieur à 400 euros par mois, la notion de bouclier social risque d’être incomprise.
Pensez-vous que l’on peut concilier deux mots qui apparemment s’opposent, Europe et réalité ? C’est mon cas, et c’est ce que j’ai voulu démontrer dans le livre France cherche Europe désespérément.
1. France cherche Europe désespérément, Editions Pepper – L’Harmattan, 2019.
Le Bulletin Quotidien dit la nécessité de lire « France cherche Europe désespérément »
Pierre Ménat invité de Vincent Hervouet sur LCI
Samedi 2 mars, Pierre Ménat a été l’invité de Vincent Hervouet sur LCI pour évoquer son ouvrage « France cherche Europe désespérément » qui vient de paraître chez L’Harmattan.
Contact presse pour l’interviewer ou le recevoir : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85
Quatrième de couverture de « France cherche Europe désespérément » de Pierre Ménat, parution 11/03/19
Journalistes politiques intéressés par l’Europe, merci de prendre contact avec moi en tant qu’attachée de presse de « France cherche Europe désespérément », le nouveau livre de Pierre Ménat.
Vu la qualité et l’objectivité de son livre sur l’Europe, et surtout sa légitimité à traiter ce sujet de brûlante actualité en ponctuant son ouvrage par ses souvenirs personnels de haut diplomate, d’ambassadeur de France, ce livre publié peu avant les élections devrait attirer l’attention de la presse et avoir la visibilité qu’il mérite !
France cherche Europe désespérément
de Pierre MENAT
Parution le 11 mars 2019 aux éditions L’Harmattan
Attachée de presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85
guilaine_depis@yahoo.com
En cherchant désespérément une Europe à son image, la France s’est cherchée elle-même, ne s’est pas retrouvée et a saisi l’occasion pour se déchirer un peu plus. Une rupture s’est produite lors du référendum négatif du 29 mai 2005.
Ce livre a d’abord pour ambition de relater cette longue quête, en remontant à la source, voici soixante-dix ans. Il se propose ensuite d’analyser les causes d’un malaise installé, avant de suggérer quelques pistes de réconciliation.
Le monde de 2019 est en alerte rouge. Les désordres économique, militaire, terroriste, climatique, migratoire, démographique sont à l’œuvre. Mais les acteurs internationaux et d’abord les Etats-Unis jouent le chacun pour soi. Jamais le rôle de l’Europe comme puissance n’a été aussi attendu. Mais jamais l’Union européenne n’a été aussi contestée en son propre sein.
A l’heure du Brexit, le rôle de la France est essentiel. Pour que notre pays puisse remplir pleinement sa vocation, il faut tout mettre sur la table. Examiner en profondeur les sujets du débat européen : souveraineté, libéralisme, notion même d’Europe-puissance, partenariat franco-allemand. Réfléchir à l’adaptation du modèle européen aux défis actuels. Reprendre le projet le plus ambitieux jamais formulé en matière de politique étrangère et de défense : le plan Fouchet présenté par le Général de Gaulle en 1961.
Présentation longue du livre ici : https://guilaine-depis.com/presentation-longue-par-pierre-menat-de-france-cherche-europe-desesperement/
Pierre Ménat, (biographie ici) diplomate de carrière, a suivi de l’intérieur la marche de l’Europe pendant plus de trente ans. Conseiller de deux ministres des Affaires Etrangères (Jean-Bernard Raimond et Alain Juppé), puis conseiller du président Chirac pour l’Europe, deux fois directeur des Affaires européennes au Quai d’Orsay, il a également servi comme ambassadeur de France en Roumanie, Pologne et aux Pays-Bas. Son livre est ainsi tout à la fois récit et analyse, témoignages et force de proposition.
Pierre Ménat, un ancien ambassadeur de France écrit sur l’Europe
CURRICULUM VITAE, Pierre Ménat,
auteur de « France cherche Europe désespérément »
Sont en gras les lignes concernant l’expérience européenne de Pierre Ménat
Situation actuelle
Ministre plénipotentiaire hors classe honoraire.
Président de la société Pierre Ménat Conseil (PMC)
Senior adviser chez Lysios Affaires publiques.
Senior adviser auprès de la société Villepin international
Assesseur à la Cour nationale du droit d’asile.
Chargé d’enseignement sur l’Union européenne à l’Institut d’Etudes politiques de Toulouse.
Carrière professionnelle
Ambassadeur pour les régions Limousin et Midi-Pyrénées (2015).
Ambassadeur de France aux Pays-Bas et représentant permanent de la France auprès de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) (juillet 2011-septembre 2014). En charge de la négociation au nom de la France du plan de désarmement chimique de la Syrie.
Ambassadeur de France en Tunisie (2009-2011).
Directeur de la coopération européenne puis directeur de l’Union européenne au ministère des affaires étrangères (2007-2009). Direction traitant de l’ensemble des questions européennes et notamment chargée d’animer la présidence française du Conseil au second semestre 2008.
Ambassadeur de France en Pologne (2004-2007). Missions : accompagner les débuts de la Pologne dans l’UE et soutenir les grands investisseurs (Orange, Canal Plus).
Directeur de la coopération européenne au ministère des affaires étrangères (2002-2004). Grandes négociations : Convention européenne, élargissement, euro, OMC.
Ambassadeur de France en Roumanie (1997-2002) : préparation de l’adhésion du pays à l’UE et l’OTAN ; préservation de la francophonie ; soutien aux investisseurs français.
Conseiller du Président de la République pour les questions européennes (1995-1997). Dossiers de cette période : la préparation de l’euro ; la gestion européenne de la reprise des essais nucléaires ; le traité d’Amsterdam.
Chargé de mission (questions européennes) auprès de M. Alain Juppé, Ministre des affaires étrangères (1993-1995). Principaux dossiers : Gatt (bouclage des négociations de l’Uruguay Round) préparation de la présidence française du Conseil du premier semestre 1995.
Sous-Directeur des questions politiques à la direction des Nations unies et des organisations internationales du MAE (1992-1993).
Conseiller pour les questions politiques à la mission permanente de la France auprès de l’ONU à New York, (1988-1992).
Conseiller technique au cabinet du Ministre des affaires étrangères (M. Jean-Bernard Raimond), chargé des affaires européennes (1986-1988).
Rédacteur en charge de politiques communes européennes à la direction des affaires économiques et financières (1982-1986).
Nommé et titularisé secrétaire des affaires étrangères (1erjuin 1982).
Scolarité à l’ENA (1980-1982).
Chef de cabinet du Secrétaire Général de la Préfecture de la Seine-Saint-Denis (1974-1979).
Animateur à l’Office franco-québécois pour la jeunesse (1973-1974).
Diplômes
Diplômé de l’Institut d’Etudes politiques de Paris (1971).
Maîtrise en droit public (Paris I Panthéon-Assas) (1973).
Ancien élève de l’Ecole nationale d’administration (promotion Henri-François d’Aguesseau, 1980-1982).
Décorations
Officier de la Légion d’honneur.
Officier de l’Ordre national du Mérite.
Langues
Anglais, espagnol, roumain, polonais, allemand (bases).
Divers
Activités d’enseignement : à l’Ecole française des attachés de presse (1975-1980) ; dans des structures de préparation à l’ENA (Paris, Rennes, Grenoble) ; à l’Ecole nationale d’administration (maître de conférences à l’ENA à de nombreuses reprises dans les années 1980 et 1990).
Membre du jury de sortie de l’ENA (questions internationales) : 1986 et 1987.
Président du jury de sortie de l’ENA (questions européennes) : 2004, 2008 et 2015
Publications :
« France cherche Europe désespérément », L’Harmattan, 2019
« Un ambassadeur dans la révolution tunisienne ». Editions Pepper-L’Harmattan, Paris, octobre 2015.
A venir : « Attendre » Editions du Panthéon, novembre-décembre 2017.