« Mozart s’est-il contenté de naître ? » les solutions économiques de François de Coincy

ECONOMIE – Présentation du livre « Mozart s’est-il contenté de naître ? » de François de Coincy

https://www.decoincy.com

Parution en auto-édition novembre 2020

Contact presse pour le recevoir / interviewer l’auteur : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

« Mozart s’est-il contenté de naître ? »

Synopsis

Les commentaires en italique soulignent le caractère nouveau des idées développées dans le chapitre. Cet aspect nouveau est jugé par rapport aux principaux  ouvrages publiés en langue française.

1 Analyse de la contribution productive

Où on montre qu’une grande partie de la population contribue peu à la richesse nationale et qu’une minorité produit beaucoup. L’inégalité dans la contribution productive est considérable.

C’est la première fois qu’est soulevée cette question dans la littérature économique.

2 La bien meilleure distribution des richesses

Où on montre que 60 % des gens ont un niveau de vie supérieur à ce qu’ils produisent. On calcule que les inégalités de production sont de 1 à 10 et celles de niveau de vie de 1 à 3. On propose un coefficient de mesure de la solidarité bien plus pertinent que le coefficient de GINI.

C’est la première fois qu’une étude montre qu’une proportion importante de la population consomme plus qu’elle ne gagne.

Le coefficient de mesure de la solidarité est également une nouveauté.

3 Pont à péage et sans péage

Où on montre par un exemple que la valeur d’un investissement est celle de ses recettes futures et que le travail qu’on y consacre est la valeur du crédit qui est généré.

L’explication de la valeur du pont rappelle des choses déjà connues mais nécessaires à la bonne compréhension de la suite du livre. La génération du crédit par l’investissement est par contre une démarche nouvelle.

4 La soi-disant valeur ajoutée du capital

 Où on démontre que la répartition entre valeur ajoutée du travail et du capital est fonction de la durée de la période sur laquelle elle est mesurée. Il en découle que la valeur ajoutée du capital n’existe pas.

La fonction qui lie les deux concepts classiques de valeur ajoutée et la période sur laquelle ils sont étudiés est une nouveauté. Elle permet de démontrer l’inexistence de la valeur ajoutée du capital, inexistence qui avait déjà été revendiquée par des économistes .

5 Le PIB : un très mauvais indicateur

Où on dénonce la mauvaise qualité du PIB comme indicateur qui additionne le beurre et l’argent du beurre.

Les économistes connaissent les défaut du PIB mais ont pris l’habitude de vivre avec. Ce chapitre dénonce ce concept ( le chapitre 10 propose des indicateurs de remplacement).

6 Investissement et entreprise

Où on montre que le moteur de l’économie n’est pas l’investissement mais le projet.

Cet aspect est en rupture avec la culture économique et politique contemporaine.

7 Le système monétaire est un jeu d’écritures

Où on montre que l’argent n’existe pas, le système monétaire n’est qu’un journal de dettes et créances.

L’inexistence de l’argent a déjà été expliquée, mais cette idée n’est passée ni dans l’opinion populaire ni dans celle de la plupart des économistes. La démonstration nouvelle est facilité par la popularisation des modes de paiements numériques.

8  La main invisible

La mise en place de systèmes autorégulés libérant l’économie du dirigisme est une avancée fondamentale de nos systèmes économiques.

Une approche nouvelle menant vers un concept de libéralisme qui est l’instauration de règles générant la liberté .

9 Egalité et consensus

L’inégalité des individus est un fait. Le consensus s’obtient par la liberté et la solidarité. La recherche de l’égalité est absurde.

Il y a déjà des économistes qui s’élèvent contre la religion égalitaire dominante. L’approche nouvelle consiste à associer inégalité, consensus et solidarité. 

10 Quels sont les bons indicateurs

Où on propose d’abandonner le PIB et d’utiliser à la place trois valeurs.

Cette approche nouvelle consiste simplement à utiliser les valeurs de base de l’économie qui sont individuellement représentatives et ne pas les fusionner dans une seule valeur représentative de rien.

11 Libérer le système monétaire

Où on propose d’assainir le système monétaire en le faisant sortir d’un système dirigé pour passer à un système de marché libre. Les banques n’étant plus créateurs monétaires mais teneurs de comptes.

Il s’agit d’une vraie révolution ( il me semble que transformer les banques en teneurs de comptes a été proposé en Suisse).

12 Le produit social ou la fin du chômage de masse

Où on propose la création du produit social afin d’en finir avec le chômage structurel.

C’est une idée totalement nouvelle qui va dans le sens de l’amélioration des niveaux de vie en totale contradiction avec le revenu universel.

13 Changer l’assiette de l’impôt sur les bénéfices des sociétés

Où on propose un nouveau système de comptes d’entreprise où l’amortissement ne sera plus forfaitaire mais réel permettant ainsi d’avoir une vision long terme.

L’idée est également nouvelle. Il me semble que personne n’a remis en cause l’approche comptable des amortissements qui empêche d’avoir une approche de long terme.

 Quatrième de couverture : 

Faisons l’effort d’un raisonnement sincère pour sortir des analyses économiques convenues.

Il y a une énorme inégalité des contributions individuelles, une majorité produit peu et une minorité produit beaucoup.
La majorité de la population française a un niveau de vie supérieur au produit de son travail.
La mesure de la solidarité est donnée par le rapport entre l’inégalité de production et l’inégalité de niveau de vie.
La valeur ajoutée du capital est un mythe, elle est en réalité la valeur ajoutée d’un travail réalisé dans une période antérieure.
C’est l’investissement qui génère le crédit, l’argent n’existe pas, le système monétaire est un jeu d’écritures

Nous pouvons alors découvrir des voies nouvelles pour créer un monde libre et solidaire où le chômage structurel sera supprimé en instaurant le produit social, où on passera d’un système monétaire dirigé à un système régulé et où on changera le mode de calcul du résultat des entreprises pour avoir une vision long terme.

 

 

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