Balustrade Coronavirus, auteurs politiques & polémistes

Balustrade Coronavirus, auteurs politiques & polémistes

Christian de Moliner, auteur notamment de « Islamisme radical : comment sortir de l’impasse ? »
La crise du grand confinement (…) Au fond qu’est-ce une société juste ? (…) Pour ma part, j’estime que dans une société « idéale » doit exister un filet de sécurité pour les accidentés de la vie, mais aussi pour les paresseux qui refusent de travailler. Le RSA, le paiement du loyer aux propriétaires, des bons alimentaires sont donc souhaitables à mes yeux. Seule condition que j’imposerais : le nombre de bénéficiaires de ces prestations ne doit en aucun cas augmenter artificiellement et on doit éviter que 300 000 nouveaux arrivés s’invitent d’eux même chaque année au partage du gâteau, sans avoir été invités par qui que ce soit. Pour le reste un écart plus faible de revenus que celui en place actuellement serait sans doute souhaitable ainsi qu’une réflexion sur les catégories qui dans un monde idéal, devraient être surpayées ou sous payées. Faut-il mettre en avant le diplôme ? L’utilité sociale ? La pénibilité ?  Ce débat sera difficile à mettre en place « les privilégiés » défendant bec et ongles leurs avantages, les « défavorisés » souhaitant accéder à un meilleur niveau de vie. Lire le début de cet article en cliquant ICI

Philippe Olagnier, deux livres à paraître à l’automne dont « Mon poing sur les i »

Philippe Olagnier est profondément militant de valeurs dites traditionnelles, de transmissions, traditions, exemplarité et honneur, respect du passé du pays, et attaché aux idées d’ERNEST RENAN, sur la nation. (…)

Libre penseur convaincu, il est révulsé par la bien-pensance dominante. Ne se reconnaissant pas dans les contours actuels de la société française, il appelle à un futur qui s’inscrive d’abord dans les racines de la nation. Lire la suite en cliquant ICI

Balustrade Coronavirus, écrivains critiquant la société

Balustrade Coronavirus, écrivains critiquant la société actuelle

Paula Marchioni, auteure du roman « N’EN FAIS PAS UNE AFFAIRE PERSONNELLE »

Aujourd’hui, la crise du Coronavirus en révélant, entre autres, la fragilité de notre système de soin nous interroge sur notre fragilité tout courtCe sont les failles de tout notre système économique néo libéral qui sont mises à nu. Peut-on légitimement continuer à ériger le profit et la rentabilité comme seule loi au détriment de l’humain, de la vie, de la nature ? Cet arrêt de travail forcé et collectif peut avoir de multiples vertus. Se confiner peut être l’occasion de repenser notre rapport au travail, son sens : Peut-on tout sacrifier au nom du profit, en commençant par l’humain ? C’est aussi la question qui est naturellement posée à la lecture de ce roman d’entreprise, une véritable descente aux enfers que la course à la rentabilité et à la culture du chiffre impose à l’héroïne « Bobette », dirigeante d’une agence de publicité, confrontée à la folie de sa cliente toute puissante « Super Power ». 

(…) Non, on ne peut pas tout contrôler avec les chiffres, on ne peut réduire l’entreprise juste à un lieu de production de profit et de gestion.(…) Après cette phase de « conscientisation » espérons que des actes suivront, pour un management plus courageux, moins « comptable », plus humain sur le terrain et pas que dans les discours. Une révolution qui doit se faire dans l’intérêt de tous et de chacun, pour une reprise économique sur des bases plus justes et durables. C’est aussi le message de fond que nous délivre ce roman d’actualité, qui narre les violences invisibles du monde du travail, drivé par la rentabilité et le chiffre. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/nen-fais-pas-une-affaire-personnelle-un-roman-de-paula-marchioni-parution-le-2-avril-2020-chez-eyrolles/

Frederika Abbate, auteure du roman « Les Anges de l’Histoire » à paraître en septembre prochain

Mon prochain roman « Les Anges de l’histoire »  initie un cycle sur la fin des temps. Dans ce roman, il y a des choses qui combattent l’incurie, l’incompétence et la cupidité des divers pouvoirs et de l’aliénation qui s’en suit, les manipulations génétiques qui signent le divorce d’avec la nature essentielle. Ces choses sont le désir absolu de vouloir rester humain, avec ses imperfections certes mais aussi et surtout avec la foncière adhérence à la vie authentique, la coïncidence de ce qu’est chacun avec son mode de vie, la création, l’amour, la recherche du sens. Dans la catastrophe sanitaire actuelle, j’ose espérer que c’est cela qui, en partie, pourrait sauver aussi. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/operation-coronavirus-sur-les-ruines-de-lhistoire-par-frederika-abbate/

Terreur versus Peur : (…) Une force maligne envahit tout, s’avance masquée, quelque chose de plus terrible que la peur, quelque chose d’extrêmement sournois et d’inopérant, qui ne remplit plus le rôle bénéfique de signal déclencheur pour parer au danger. J’ai nommé la terreur. La mithridatisation de la peur a donné la terreur. (…) La terreur tétanise. C’est son rôle. La terreur fait oublier la peur première que toute civilisation devrait toujours garder en tête, sous peine de se dissoudre : la peur de disparaître, de s’entretuer. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/terreur-versus-peur-rehabilitation-de-la-peur-par-frederika-abbate/

Belle âme (Pandemic 1) : (…) C’est gentil d’applaudir sur les balcons chaque soir à la même heure. Cela leur fait une belle jambe, à ceux qui sont applaudis. Je ne dis pas celles et ceux car c’est piètre comme expression. Expression répétée à l’envi parce que c’est gentil. C’est gentil d’être gentil. Cela fait paraître beau. Cela fait paraître aimable, dans le sens «  qui peut être aimé  ». Pendant ce temps, la réflexion est mise au placard. C’est le règne de la belle âme. Et chacun se l’achète à bon compte, car tout s’achète et tout se vend. Ceux qui l’oublient, oublient de penser. (…) Le pire des royaumes. Il s’appelle «  belle âme  ». Son drapeau et son modus operandi c’est «  déni de la réalité  ». Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/pandemic-1-belle-ame-par-frederika-abbate/

Culte de la mort (Pandemic 2) : (…) Il n’y a plus aucun respect pour la vie. Cette année, le printemps, ce n’est pas la reverdie. C’est le culte de la mort. Ce qui me fait froid dans le dos aussi c’est le meurtre de la pensée. Imbus d’idéologie, tenant à paraître soi-disant larges d’esprit, mais ne faisant en vérité qu’obéir aux mots d’ordre lancés par le pouvoir qui, comme sur un coup de baguette magique, se transforment en belles idées que beaucoup de gens s’empressent de défendre, ces bien-pensants n’argumentent pas quand ils ne sont pas d’accord avec d’autres. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/pandemic-2-culte-de-la-mort-par-frederika-abbate/

Pour un tribunal futur (Pandemic 3) : La personne meurt sans qu’un proche lui tienne la main. Elle est déjà rejetée du monde des humains. L’un des traits qui caractérise l’humain, c’est qu’il peut être justement inhumain, dans le sens perfide et cruel. Là, sont inhumains les états et tous leurs complices qui font que se produisent ces monstruosités. Et les médecins, les infirmiers, les infirmières, tout le personnel pleurent. Un jour viendra, et malheureusement il est très proche, où l’univers sera fait de non-humains. La cruauté et la perfidie seront intégrées par tout le monde. Les autres, les humains, seront tous morts. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/pandemic-3-pour-un-tribunal-futur-par-frederika-abbate/

La nouvelle bourse (Pandemic 4) : Je ne sors plus parce que je ne supporte pas de devoir éviter les gens, de ne pas rêver, penser, observer la vie comme je le faisais toujours, et de devoir épier pour voir s’il n’y a pas des gens aux alentours. Il y en a aussi qui s’en fichent, et qui me foncent dessus. Ils sont tous des fusils potentiels. Alors je me mets à les haïr. Je ne veux pas haïr parce que je n’ai pas été mise au monde pour faire le jeu du pouvoir. Car par cette haine insidieuse, le pouvoir peut obtenir ce qu’il désire depuis toujours. L’individualisme effréné. Que les gens ne puissent plus s’unir pour s’en défendre. Ainsi, il pourra plus facilement encore les dominer. On ne ferme pas les frontières, elles sont individualisées. Or, Hannah Arendt l’a appris à ceux qui ont des yeux et des oreilles pour voir et entendre  : l’atomisation totale des individus et l’abolition des états-nations, c’est ce que veut le totalitarisme. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/pandemic-4-la-nouvelle-bourse-par-frederika-abbate/

En mai fais ce qu’il te plaît (Pandemic 5) : Mon tempérament ne peut pas faire le jeu du pouvoir, en croyant que, dans ces cas, c’est la seule mort qui tue. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/pandemic-5-en-mai-fais-ce-quil-te-plait-par-frederika-abbate/

 

Balustrade Coronavirus, auteurs santé / psycho / famille

Balustrade Coronavirus, auteurs santé / psycho / famille

Kathya de Brinon, victime de l’inceste et Présidente fondatrice de l’association S.O.S. Violenfance – Prévention de m’inceste et de la pédocriminalité, auteure de « La femme aux cicatrices, survivante de l’inceste »

 Inceste et coronavirus : le match du siècle… Les enfants mis en danger par le confinement car l’ennemi est dans 80% des cas de pédocriminalité un membre de la famille qui sévit dans leur propre maison

Depuis l’Antiquité, et aujourd’hui encore, des millions d’enfants ont été, et sont toujours, victimes de parents incestueux ou de pédocriminels… Dans tous les pays, sur tous les continents, dans tous les milieux sociaux… Et pourtant, la pédocriminalité n’est pas une maladie contagieuse… Pas de virus mortel ! Qu’a-t-on fait pour ces enfants ? Rien, ou si peu… En tout cas, aucune opération d’envergure mondiale comme celle que l’on vit aujourd’hui pour combattre le coronavirus… Et des millions de jeunes vies ont été massacrées, lorsqu’elles ne se sont pas terminées prématurément par le suicide… Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/le-confinement-met-nos-enfants-sont-en-danger-dans-leurs-familles-par-kathya-de-brinon/

Docteur Jacques Fiorentino, auteur de nouvelles sur la paternité « Père, Passe et Manque »

CV ; Quatre règles simples pour bien vivre le confinement ; Comment peut se transmettre le virus ? ; Le corona virus créé en laboratoire ?

Le regard du docteur sur le Covid – Depuis près de 50 ans on ne parle de la Santé que pour évoquer les dépenses engendrées et les moyens de couper dans ce qui apparait accessoire alors même que plus de la moitié du PIB est consacrée aux dépenses publiques. On a oublié que la Santé, au même titre que l’Education, la Justice, la Sécurité, est une valeur essentielle qui doit être assurée dans les conditions optimales. On a oublié que la Santé est un investissement essentiel pour un pays et non pas seulement des dépenses. Ce qui se passe actuellement avec un pays en voie d’arrêt en donne une preuve dramatiquement éclatante. Cette pensée sur la « Santé dépensière » a formaté plusieurs générations de dirigeants politiques et économiques et voici le résultat. Lire la suite en cliquant ICI https://guilaine-depis.com/le-regard-du-docteur-jacques-fiorentino-sur-lactualite-covid-19/

Pandemic 5 « En mai fais ce qu’il te plaît » par Frederika Abbate

PANDEMIC 5, « En mai fais ce qu’il te plaît » Par Frederika Abbate

Le 11 mai, je le sais, est une date arbitraire. Elle ne correspond à rien de concret. Pourquoi le 11 mai  cessera le fait d’être en résidence surveillée ? Parce que tout le monde pourra avoir des masques de protection  ? Parce que tout le monde pourra être testé  ? Parce qu’il y aura suffisamment de lits dans les hôpitaux, de machines respiratoires, de personnel soignant  ? Et que donc les personnes contaminées pourront être soignées correctement et mises en quarantaine  ? Et que donc la pandémie pourra commencer à être endiguée comme il se doit  ? Ceci se passerait dans un autre pays que la France, dans un autre temps, un autre monde… Car pour fabriquer les masques, les tests, les places dans les hôpitaux, il faudrait être en mesure de le faire. Or, la crise sanitaire actuelle révèle que le pays n’est pas en mesure de le faire. La France a été vendue en tranches. Et en plus, pour des sommes dérisoires.

Le 11 mai n’a été nullement choisi pour des raisons rationnelles, concrètes, viables. Car, je regrette, rien de tout ça à l’horizon. Mais rien ne se fait sans raison. Le 11 mai, cela doit bien correspondre à quelque chose. À quelque chose qui n’est pas valable évidemment sur le plan sanitaire et social. On ne peut pas interdire aux personnes de sortir indéfiniment. On ne peut pas faire perdurer indéfiniment la période dite de «  confinement  ». Ce mot ridicule comporte plusieurs connotations utiles au pouvoir  : 1° C’est mignon d’être confiné, cela évoque le douillet, la protection agréable  ; 2° Cela évoque en soubassement la restriction, la contrainte, pour ne pas dire la mesure répressive masquée sous le côté protecteur et mignon… 3° Empêcher de faire penser à ceux qui peuvent rester chez eux que justement ce n’est pas le cas de tout le monde, que la moitié de la population est obligée d’aller s’exposer pour gagner sa vie. Alors, pourquoi le 11 mai  ? Cette date est révélatrice et emblématique de la manière dont ici depuis quelque temps se passent les choses. D’abord, il fallait donner l’idée de confiner le confinement. Pour endormir les masses. Ainsi, celui qu’on appelle le président devait lâcher quelque chose d’un peu concret. Les gens commencent à en avoir marre, à se poser des questions, à s’angoisser. Alors, on cherche une date qui ne soit pas trop proche, parce qu’en fait, quand le confinement sera véritablement viable, ma foi, on n’en sait rien. Mais pas trop lointaine non plus. Parce que sinon la population pourrait se mettre à réfléchir, à s’énerver, à manifester aussi peut-être pourquoi  pas  ? Bref, à se réveiller enfin. Car le pays ne se gouverne plus. Il marche à la séduction et à l’endormissement. Alors d’abord on lâche une date appropriée quant au plan psychique, c’est très important le psychique dans une mission de séduction et de manipulation. Tout en confinant le dé-confinement, en disant oui mais, pas pour tout le monde. Sur ce, quelques jours plus tard, son valet en chef commence à dire que cela se fera très, très progressivement. On laisse passer encore quelques jours, parce qu’il faut que cela infuse. Et celle qui porte la parole fausse de son gouvernement, rajoute encore quelques couches en rappelant que cela va être un long travail, qu’il faut bien réfléchir, que cela ne se fera pas pour tout le monde en même temps. C’est très important, cette idée que cela ne se fera pas pour tout le monde en même temps. Parce que cela, de façon insidieuse et sûre, va continuer à fracturer, à diviser la population. Pourquoi lui, il peut être libre et pas moi  ?

Or, malgré ces entreprises d’endormissement et de séduction, la douleur et la colère montent. Je le vois à cette sorte d’acceptation de la mort. Oui, la mort est naturelle, inévitable et vouloir la neutraliser comme le voudraient le post-humanisme et la nouvelle techno-médecine qui a commencé à se propager chez les riches, c’est criminel. Je le sais bien, j’ai écrit un roman à ce sujet qui va paraître. Mais je ne veux pas mourir à cause d’un gouvernement et d’un pays indigents. Sur des tableaux, listons chez plusieurs pays, les nombres de cas déclarés touchés par le virus et le nombre de morts. Pour certains pays, pour des nombre de cas déclarés à peu près équivalents, les nombres se référant aux  morts sont très différents. Beaucoup dans un pays, beaucoup moins dans un autre. S’accusent ainsi des écarts considérables. Il faut croire qu’on n’est pas tous égaux devant la mort. Et ceci, non pas du fait de raisons intrinsèques mais du fait de l’environnement, de la qualité de la prise en charge, des soins. Chaque soir, le bourreau énonce des montagnes de chiffres. Et la pandémie commence à être comparée à des pandémies affreuses. Ce qui est faux bien sûr. On accentue à l’extrême la gravité de cette pandémie pour pallier l’incurie, la gestion basée sur la séduction pour cause d’incapacité à traiter vraiment le problème, pour signifier  : Voyez, si les gens meurent comme ça, ce n’est pas à cause de nous. C’est à cause du seul virus. Il est diabolisé car cela forme un alibi.

Le problème quand se produit une répression forte et qui, de surcroît, est impuissante à nous protéger, c’est que cela enclenche presque systématiquement la réaction inverse, légitimant le fait qu’il y ait des malades et des morts, en invoquant le fait naturel  : la mort. Si tant de gens sont malades et meurent actuellement, ce n’est pas tant à cause du virus, que de la manière dont cela a été traité et cela continue à être traité ici, c’est-à-dire fort mal. C’est pourquoi, mon cœur se refuse à mettre en perspective les morts par accidents de la route, cancers, infarctus ou autre motif avec les personnes qui, par ce coronavirus, sont déjà mortes, qui vont mourir aujourd’hui et qui mourront demain et encore demain… Une chose est d’accepter l’inéluctabilité de la mort, ce que nous devrons tous faire un jour ou l’autre, acceptation d’ailleurs gravée dans notre inconscient car lui ignore la mort. Une autre est d’avaler le fait que, pour un certain nombre de personnes, la mort n’aurait pas fauché. Cela, c’est plus dur en somme, beaucoup plus dur à accepter. Mon tempérament ne peut pas faire le jeu du pouvoir, en croyant que, dans ces cas, c’est la seule mort qui tue.

33ème jour de «  confinement  », quand l’incurie du pouvoir se fait passer pour la faucheuse.

Un entrepreneur lyonnais aussi libre penseur, conférencier et écrivain pense la crise du covid 19

Un entrepreneur lyonnais aussi libre penseur, conférencier et écrivain pense la crise du covid 19

A paraître en septembre : « Les Bras d’odin » (roman) et « Mon poing sur les i’ (essai) de Philippe Olagnier

Contact presse pour interview et et services de presse : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Biographie de Philippe Olagnier, un entrepreneur qui écrit !

Philippe Olagnier est diplômé de l’Institut français de gestion en management, en stratégie et en marketing. Créateur et chef d’entreprise, Il a été membre de comités de direction de grands groupes nationaux et internationaux. Développeur professionnel reconnu, il est aussi intervenant régulier dans des écoles supérieures de commerce dans les spécialités du management de changement et des techniques de négociations.

Devenu entrepreneur indépendant dans le monde du bâtiment, il conserve néanmoins une activité d’enseignant en techniques de ventes et négociation, et de consultant en management des organisations.

Son premier livre « Happy business, ou remettre l’humain au centre de l’entreprise », appelait de ses vœux une révolution sereine, ou respect et bienveillance devaient occuper la première place.

Cet ouvrage rencontra un fort écho qui le conduisit dans l’année de sa sortie, à animer de nombreuses conférences débat, sur tout le territoire devant des publics variés (clubs et syndicats patronaux, syndicats professionnels, universitaires et élus)

Un Libre penseur engagé : Philippe OLAGNIER est un citoyen engagé depuis son plus jeune âge dans le monde de l’entreprise.

Mais n’étant pas membre d’une formation politique, profondément libre penseur, il est profondément militant de valeurs dites traditionnelles, de transmissions, traditions, exemplarité et honneur, respect du passé du pays, et attaché aux idées d’ERNEST RENAN, sur la nation.

Libre penseur convaincu, il est révulsé par la bien-pensance dominante, la censure exercée par des pseudos élites (qui n’en sont plus à ses yeux), il se reconnait pas dans les dérives insensées à ses yeux, de la république française, qu’il appelle régulièrement à retrouver le nord de sa boussole politique.

Il est épris de philosophie et d’histoire (du pays, comme celle du continent européen), et a des convictions laïques fortes. Il intervient régulièrement dans des conférences sur le danger communautarisme, les émergences de l’antisémitisme moderne, et sur les thèses conspirationnistes.

Il est par ailleurs convaincu que le droit des femmes dès lors qu’il commence à être contesté est le signe avant-coureur de bien autres attaques, et qu’il mérite toutes les attentions et vigilance.

Un citoyen ordinaire, ne se reconnaissant pas dans les contours actuels de la société française, qui est profondément ancré dans son actualité, et en réaction permanente avec elle. Sur un premier ouvrage, « Lettre à Marianne » son premier essai, il imagine dans des lettres courtes adressés directement à la belle républicaine, de lui demander de se ressaisir sur des thèmes précis (Justice, éducation, laïcité, diplomatie, repentance historique etc..) .

Sur ces sujets et pour ce faire, il convoque les grands auteurs du siècle de la philosophie des lumières, philosophie qui lui est chère, et ajoutés à quelques grand personnages plus contemporains, ils viennent éclairer de leurs apports de ce cri de citoyen, qui appelle à un futur qui s’inscrive d’abord dans les racines de la nation.

Dans un second ouvrage, « Mon Poing sur les I » plus polémique et en très net opposition avec la présidence de la république de type LREM, il renforce son cri.

Irrité par la bienpensance et les faiseurs d’opinion, qui ont fini encore récemment de légitimer le mépris souverain du pouvoir pour toutes les opinions populaires, il témoigne en citoyen libre, et sur des sujets multiples traités en chapitres incisifs et concis, et  en quoi, le courroux populaire, est fondé sur un raisonnement solide et ne saurait s’éteindre de si peu.

L’inclassable romancier Philippe Olagnier

Philippe OLAGNIER  est diplômé de l’institut français de gestion en management stratégique et marketing.

Conférencier, il est aussi un auteur a la démarche assez bien définie.

Il appuie ses récits sur des contextes contemporains, historiques, sociétaux qu’il documente toujours.

Précisément avant de passer à l’acte d’écriture.

Sa volonté est donc d’entraîner le lecteur dans une trame romanesque, qui soit en cohérence, avec des faits réels, une époque, un milieu sociologique ou professionnel, qui permettent de donner quelques clefs de compréhension sur ces sujets, tout en procurant l’évasion de l’esprit par les mots et le récit.

Son premier roman, «  Quand tous les ponts ont brulé derrière toi » décrit le parcours aventureux, d’un chef d’entreprise qui pour aider une jeune fugitive, prend le risque de faire voler en éclats tous les aspects sécurisant de son train de vie sociale, pour se lancer dans une enquête, et une fuite qui va le mener aux confins d’un monde qu’il méconnaissait ( mafia, marché sexuel, blanchiments d’argent , terrorisme)

Le récit de ce « Road movie » permet à l’auteur à la fois de nous livrer des clefs de compréhension sur la face cachée, géopolitique ou financière de notre monde, tout en nous livrant une description sans faille de certaines bourgeoisies étriquées de province, et sur le monde du renseignement et de l’économie, toujours présents dans le fonds du récit.

Une galerie de portraits de personnages, hauts en couleur, finit de colorer le récit, et de permettre à l’auteur d’afficher son attrait pour les destins singuliers de ceux, qui préfèrent payer le prix toujours élevé d’une liberté qu’ils préfèrent aux reniements de leurs convictions et principes.

L’amour et un ode régulier dans le récit pour la nature finissent de donner à ce premier roman, un caractère aussi passionnant, que singulier.

A paraître en septembre : « Les Bras d’odin » (roman) et « mon poing sur les i’ (essai) de Philippe Olagnier

Contact presse guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

D’éminents spécialistes d’opéra recommandent « La Défense d’aimer »

Les spécialistes d’opéra recommandent tous « La Défense d’aimer » : 

Marie Dominique Mornay Je vous le recommande, livre à la gloire de Wagner agrémenté d’une jolie histoire de cœur, favorisée par la merveilleuse esthétique de l’écoute … Plume délicate et forte … Je vous laisse sur votre faim…

Michèle Le Lan : Bonjour , J’ai découvert que Domitille était passionnée par R Wagner sui est mon fil conducteur musical  ; je viens de me procurer son livre que j’ai dévoré  avec le bonheur de plonger ds l’atmosphère  de Bayreuth et du Ring  en résonnance avec une passion fulgurante
magnifique de profondeur et de poésie et très belle plume pour exprimer les émotions procurés par la puissance de la musique. 
J’ai vu en dvd la version de Chéreau dirigée par Boulez que j’avais trouvée magnifique et quels grands chanteurs !
merci pour cette belle découverte
j’espère avoir le plaisir de me faire dédicacer son ouvrage ! 
Jean-François Lattarico professeur à l’université de Lyon et grand spécialiste de l’opéra vénitien : 

Grande interview de Thierry Caillat pour le Salon littéraire

Interview de Thierry Caillat par Joseph VEBRET pour Le Salon littéraire

— D’où vous est venue l’idée de consacrer un livre à Camille Claudel ?

J’ai visité un jour une petite exposition dédiée à Camille Claudel dans les locaux où elle avait été internée près de 30 ans, à l’asile de Montdevergues – aujourd’hui hôpital de Montfavet – près d’Avignon. Je ne sais plus pourquoi je m’y suis rendu. J’étais peu attiré par la sculpture, je ne connaissais presque rien de Camille Claudel – et aucune de ses œuvres. Peut-être était-ce simplement l’internement qui m’avait intrigué.

J’y ai été captivé par la conjonction de deux impressions. Le côté intime de l’exposition, un petit bâtiment en rez-de-chaussée, une succession de petites pièces, une fréquentation très réduite, quelques œuvres à peine – pas les plus célèbres – présentées à hauteur des yeux, sans protection. Et l’expressivité de ces œuvres, qui m’a frappé.

En lisant les panneaux retraçant sobrement le long séjour de Camille à l’asile, je me suis dit « c’est une vie de roman ». Et j’ai eu aussitôt l’envie d’en faire un roman.

— Vous présentez votre livre comme étant un roman alors qu’il a toutes les caractéristiques d’une biographie. Pourquoi ?

Je suis parti de cette idée de roman d’une vie, mais j’ai voulu m’appuyer sur sa vie réelle. Il m’est très vite apparu que la chronologie avait une importance considérable pour comprendre son évolution. Or les biographies existantes ne traitaient sa vie que par grandes périodes agglomérées, ou par thème. Etablir une chronologie précise m’a demandé un considérable travail de documentation, d’autant que je voulais la croiser avec celle de la production des œuvres (et pas seulement de leur apparition) : j’ai dû aller jusqu’à utiliser des outils de planification pour comprendre le déroulement de certaines phases.

Et peu à peu je me suis laissé enfermer… C’est ainsi que mon roman a tourné en biographie. J’en ai eu conscience, mais entretemps j’avais aussi découvert que le poids de l’histoire personnelle de Camille et de son contexte était trop déterminant pour que je puisse m’en éloigner.

Fait significatif : en décidant d’écrire ce « roman », j’avais surtout pensé à la partie internement, qui résonnerait pendant toutes ces années comme un écho tragique d’un passé glorieux. La réalité m’a imposé l’inverse, car à partir de son internement Camille a délibérément exclu la sculpture de sa vie et de ses pensées. La fiction que j’avais initialement imaginée eut été une tromperie.

Je suis resté attaché au sous-titre « roman » pour revendiquer la part importante d’invention qui subsiste dans le personnage que je fais vivre. Rétrospectivement, j’admets qu’il s’agit plutôt d’une biographie, avec la part d’imaginaire qu’accepte le genre.

— Quelle a été votre démarche pour restituer Camille Claudel dans ses vérités ?

Outre les faits notoires,j’ai cherché à connaître ceux qu’elle a fréquenté – famille, (rares) amis, critiques, collectionneurs –, j’ai largement plongé dans le contexte sociologique de l’époque, et je me suis beaucoup appuyé sur ses lettres pour éclairer son propre état d’esprit face aux évènements.

Je me suis en outre inscrit dans un atelier de modelage, où j’ai essayé de copier ses œuvres, pour les comprendre. Et c’est effectivement là que je suis devenu amoureux de sa sculpture, en découvrant son raffinement et sa sensualité.

— Camille était-elle folle au point d’être enfermée toute sa vie, ou fut-elle victime de sa famille et des convenances de l’époque ?

Il semble bien que son état mental ait au départ effectivement justifié son internement. Elle était dangereuse non pour les autres, mais pour elle-même. L’initiative première en a d’ailleurs été prise par son frère, que l’on ne peut soupçonner d’arrière-pensées à ce moment (1913). Si sa mère, qui semble avoir haï Camille pour n’avoir pas suivi comme elle la voie de la soumission, en a manifestement éprouvé une grande satisfaction, et sa sœur probablement aussi, leur ressentiment n’aurait pas suffi dans cette société patriarcale. Pour mémoire, l’internement a été décidé dès la mort du père, qui probablement s’y opposait.

Mais dès la fin des années 10, les médecins ont proposé de renvoyer Camille dans sa famille, en faisant le constat qu’elle ne présentait plus de danger – il ne lui est resté qu’un signe de dérangement, et ce jusqu’à la fin de sa vie : l’obsession que Rodin, ou ses affidés, voulait la tuer, après l’avoir dépouillée et faite interner.  La mère s’y est opposée, farouchement. Et comme c’est elle qui aurait été concernée au premier chef, on conçoit que Paul ne soit pas intervenu.

Plus étrange est l’attitude de celui-ci après le décès de la mère (1929), quand il n’a rien fait pour libérer sa sœur, qui l’en suppliait. Contrainte matérielle – Paul était diplomate –, souci des convenances, simple souci de confort… ?

— Comment expliquer le comportement de son frère Paul, très croyant, mais qui semble maintenir sa sœur à l’écart, dans des conditions déplorables ?

Paul a admiré sa sœur autant qu’elle l’admirait lui. Il l’a soutenue financièrement à plusieurs reprises. Il a assisté avec tristesse à sa déchéance, jusqu’à conclure à la nécessité de son internement.

Comment expliquer son attitude par la suite ? Je n’ai pas cherché à creuser, ce n’était pas mon sujet, mais j’en reste intrigué.

— Quel fut le rôle de Rodin durant l’internement de Camille ?

Contrairement à l’image largement véhiculée, Rodin a toujours soutenu et poussé Camille, jusqu’au bout – en sous-main à partir de leur rupture. Il n’a cessé de harceler l’Etat pour lui faire obtenir enfin une commande, étape obligée d’une reconnaissance officielle de son génie. C’est par lui qu’elle a fini par en obtenir une, alors qu’elle était déjà au bord de la folie et ne produisait plus que des remake.

Au moment de son internement encore (1913 – ils étaient séparés depuis plus de vingt ans), il lui a fait parvenir la somme de 500 f* pour améliorer son ordinaire, en lui souhaitant une prompte délivrance.

Ensuite il a décliné rapidement, jusqu’à sa mort en 17.

— Finalement, l’histoire de Camille Claudel n’est-elle pas celle des femmes du début du XXe siècle écrasées par une société misogyne et patriarcale ?

On ne peut ignorer la responsabilité propre de Camille dans sa déchéance : caractère entier, incapacité au compromis, orgueil… Rodin en a lui-même beaucoup souffert, et ce n’est pas sans raison qu’il a fui devant le mariage qu’elle lui réclamait, malgré la passion qu’elle lui inspirait.

Il est possible que Camille ait aussi eu en germe les éléments de son futur dérangement.

Mais il est indéniable que la culture masculine de l’époque a ruiné son éclosion. Elle imprégnait bien sûr l’Etat dont la toute puissance, bien que déclinante, dictait encore largement le « beau » dans les arts et ignorait superbement les femmes. C’était doublement vrai pour un sculpteur. Passer d’un orignal en terre cuite ou en plâtre à un marbre ou un bronze imposait un financeur ; or, à l’exception de rares mécènes éclairés (tels les Rothschild), les collectionneurs ne s’aventuraient pas à commander une œuvre a un artiste qui n’ait pas été dûment estampillé par une commande de l’Etat. Et le ministère des Beaux-Arts s’y refusait systématiquement.

Dans ce climat, Rodin n’a été qu’un homme de son temps. Homme à femmes certes, mais plutôt moins machiste que la société de l’époque.

Il faut quand même souligner que les critiques d’art ont, eux, quasi unanimement reconnu très vite le génie de Camille. Et relever avec étonnement l’ouverture d’esprit du père, Louis-Prosper, qui a su distinguer très tôt le talent de sa fille, et y a progressivement sacrifié la majeure partie de ses biens.

— Ce livre est également une déclaration d’amour aux sculptures de Camille Claudel quelque peu occultées par l’immense Rodin. Comment qualifieriez-vous l’ouvre de Camille Claudel ?

Subtilité et sophistication des postures – un enseignement de Rodin –, extrême sensualité.

Originalité des sujets, devenus très vivants dans la deuxième moitié de sa carrière.

Camille était aussi une travailleuse acharnée. Contrairement à Rodin, elle sculptait elle-même les marbres – le travail le plus épuisant.

* L’anecdote résume presque à elle seule les trois principaux protagonistes de la vie de Camille – Rodin, la mère, l’Etat – : « Le conseil de famille » s’oppose à ce don – à part la mère, on ne voit pas qui serait à l’origine de ce refus, que rien ne justifie… ? Rodin se tourne alors vers l’Etat. Miracle : l’Etat, découvrant soudain le génie de Camille (à ce qu’elle est folle ?), a décidé de lui attribuer une pension de 500 f. Mais ne dispose pas du premier franc… C’est ainsi que l’Etat va verser à Camille sa première pension … financée par Rodin.

38e Marché de la Poésie, Report : mercredi 21 – dimanche 25 octobre 2020, Édition spéciale « Pour le livre et la lecture ! »

38e Marché de la Poésie, Report : mercredi 21 – dimanche 25 octobre 2020,

Édition spéciale « Pour le livre et la lecture ! »

Depuis sa naissance il y a 38 ans, le Marché de la Poésie consacre son énergie à la défense et la promotion des éditeurs et revues de poésie, des poètes et du poème.

Depuis son origine, sa vocation est de mettre en lumière tous les acteurs liés au poème, une politique audacieuse et presque unique au monde qui a souvent permis de valoriser et de donner de la visibilité à des éditeurs qu’on ne peut rencontrer quasi nulle part ailleurs qu’en France Place Saint-Sulpice et dans la périphérie du Marché.

Fidèle à cet esprit de soutenir surtout ceux qui en ont le plus besoin, les maisons d’édition de création et les poètes qui œuvrent à la création par les mots, le Marché de la Poésie se devait d’être au rendez-vous pour contribuer à aider ces sinistrés du confinement imposé par les mesures sanitaires.

Les métiers de la culture et de l’art, et l’édition en particulier, sont parmi ceux qui ont subi de plein fouet les plus dramatiques conséquences de la mise en pause de l’activité de notre pays. La poésie, parent pauvre de l’édition, la plus vulnérable, se retrouve naturellement encore plus malmenée.

En 2020, face à la menace de disparition de nombreuses maisons d’édition et de librairies, le Marché de la Poésie se devait de réagir par un geste fort : il a donc décidé de bousculer sa programmation. Au lieu de mettre un pays à l’honneur comme traditionnellement, cette occurrence 2020, reportée du mercredi 21 au dimanche 25 octobre Place Saint-Sulpice, aura pour thématique « Édition spéciale, Pour le livre et la lecture ! », pour défendre plus que jamais l’édition de création, avec près de 500 éditeurs et revues.

Par ce changement radical dans ses habitudes, le Marché de la poésie veut témoigner de la nécessité de tous se mobiliser pour que puisse advenir un sursaut vital et national en faveur du livre et de la lecture. Tous les amoureux de la littérature devront répondre présents à ce rendez-vous de l’automne. Chacun doit se convertir plus que jamais en militant de la littérature et de la poésie.

De votre enthousiasme et de votre participation ardente et massive à cette édition pas comme les autres du Marché de la Poésie, peuvent et doivent résulter une dynamique nouvelle, qui fera s’amorcer un mouvement positif et salvateur pour le livre, les écrivains, les revues et les éditeurs.

Yves Boudier & Vincent Gimeno-Pons président délégué général

Attachée de presse : Guilaine Depis +33 6 84 36 31 85, guilaine_depis@yahoo.com

Penser l’orientation des adolescents après le confinement avec Caroll Le Fur, coach d’orientation

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Comment penser l’orientation de son ado qui est déjà confronté à l’épreuve d’un baccalauréat chamboulé après le confinement ?

Quelles études peut-il entreprendre après le confinement ?

Quels seront les métiers de demain ?

« 65% des jeunes qui sont en classe primaire exerceront un métier qui n’existe pas encore », Caroll Le Fur, coach pour l’orientation de parents de lycéens et auteur de « Qu’est ce que tu veux faire plus tard ? »

Merci de me contacter comme attachée de presse pour l’interviewer / recevoir son livre 06 84 36 31 85