Actualités (NON EXHAUSTIF)

Gaston Bessay a repéré Laure Minassian dans Le Monde

Pourquoi l’image de la voie professionnelle est dévalorisée ?

Pour la sociologue Laure Minassian, les objectifs contradictoires donnés à la voie professionnelle en France expliquent son image dévalorisée. (Interview dans le Monde,Extrait)

Laure Minassian, docteure en sociologie, ingénieure de recherches à l’université de Nantes, rattachée au laboratoire CIRCEFT-EScol de Paris-VIII, signe L’Enseignement professionnel, entre promotion et relégation (éditions Académia – février 2021). Elle revient sur les évolutions historiques, et récentes, de la voie professionnelle en France.

En France, la voie professionnelle souffre souvent d’une image d’enseignement de relégation. Pourquoi ?

Dans son histoire, l’enseignement professionnel n’a pas toujours eu cette image de voie de relégation. Des années 1930 jusqu’aux années 1960, alors que les besoins en main-d’œuvre qualifiée explosent, il jouit d’une très bonne réputation, celle d’un lieu de formation et d’élévation du citoyen par la culture technique. Mais les crises économiques successives vont avoir raison de cette visée émancipatrice de la voie professionnelle.

Dès les années 1970, la prolongation de la scolarité obligatoire et le fort taux de chômage des jeunes réduisent son objectif à l’insertion professionnelle rapide des élèves. Mais son rôle devient aussi progressivement de « délester » l’école des jeunes, souvent issus de milieux défavorisés, qui n’y réussissent pas, ou qui ne répondent pas aux attendus scolaires. L’image de relégation trouve son origine dans cette double injonction et dans le cumul des difficultés et des objectifs parfois contradictoires. Puis le lycée professionnel devient le fer de lance de l’objectif de « 80 % d’une classe d’âge au niveau du bac » du ministre Jean-Pierre Chevènement, en 1984. Mais on estime que les résultats de la filière professionnelle ne sont pas à la hauteur en termes d’emplois, qu’il faut donc rapprocher la formation des besoins des entreprises, au détriment des enseignements généraux donnés aux élèves. L’image d’une voie « à part » des autres se renforce ainsi, jusqu’à aujourd’hui.

Pour la sociologue Laure Minassian, les objectifs contradictoires donnés à la voie professionnelle en France expliquent son image dévalorisée. (Interview dans le Monde)

Laure Minassian, docteure en sociologie, ingénieure de recherches à l’université de Nantes, rattachée au laboratoire CIRCEFT-EScol de Paris-VIII, signe L’Enseignement professionnel, entre promotion et relégation (éditions Académia – février 2021). Elle revient sur les évolutions historiques, et récentes, de la voie professionnelle en France.

En France, la voie professionnelle souffre souvent d’une image d’enseignement de relégation. Pourquoi ?

Dans son histoire, l’enseignement professionnel n’a pas toujours eu cette image de voie de relégation. Des années 1930 jusqu’aux années 1960, alors que les besoins en main-d’œuvre qualifiée explosent, il jouit d’une très bonne réputation, celle d’un lieu de formation et d’élévation du citoyen par la culture technique. Mais les crises économiques successives vont avoir raison de cette visée émancipatrice de la voie professionnelle.

Dès les années 1970, la prolongation de la scolarité obligatoire et le fort taux de chômage des jeunes réduisent son objectif à l’insertion professionnelle rapide des élèves. Mais son rôle devient aussi progressivement de « délester » l’école des jeunes, souvent issus de milieux défavorisés, qui n’y réussissent pas, ou qui ne répondent pas aux attendus scolaires. L’image de relégation trouve son origine dans cette double injonction et dans le cumul des difficultés et des objectifs parfois contradictoires. Puis le lycée professionnel devient le fer de lance de l’objectif de « 80 % d’une classe d’âge au niveau du bac » du ministre Jean-Pierre Chevènement, en 1984. Mais on estime que les résultats de la filière professionnelle ne sont pas à la hauteur en termes d’emplois, qu’il faut donc rapprocher la formation des besoins des entreprises, au détriment des enseignements généraux donnés aux élèves. L’image d’une voie « à part » des autres se renforce ainsi, jusqu’à aujourd’hui.

Senior Actu annonce le livre de Philippe Enquin

De mon balcon, chroniques d’un confinement parisien de Philippe Enquin, un photographe de 85 ans (livre)

Le 17 mars 2021, ce sera « l’anniversaire » du premier confinement. Un an déjà. A cette occasion, Philippe Enquin, un photographe de 85 ans a décidé de publier un témoignage unique sur les deux mois du premier confinement à Paris avec un livre de 140 photos toutes prises depuis son balcon. Compter 26 euros.

De mon balcon Philippe Enquin
Voici un ouvrage intéressant. Un témoignage vu d’un balcon parisien à travers le regard et l’appareil photo d’un monsieur de 85 ans qui, pendant les deux mois du premier confinement de 2020, a pris des clichés visant à rendre compte de cette vie au ralenti.
 
Préfacé par l’écrivain et peintre Alain Kleinmann et proposant un texte de François Morel en préambule, ce livre a pu voir le jour grâce au crowdfunding, au financement participatif qui permet à tout un chacun d’investir quelques euros dans un projet qu’il aime et/ou auquel il croit.
 
« Ses photos ne sont pas dans l’air du temps, elles sont dans le souffle de l’instant, quand la vie ne se résigne pas à baisser les bras, quand l’humour devient un acte de courage (….) quand le regard bienveillant devient la plus belle arme pour résister à la morosité (….) » écrit de lui le comédien François Morel également chroniqueur à France inter.
 
Philippe Enquin s’est passionné pour la photographie suite au décès de sa femme, Gladys, il y a quelques années. Elle était peintre, il va alors devenir photographe et découvrir par la même occasion la vie parisienne ainsi que sa propre potentialité artistique.
 
Comme il le dit lui-même, « la vieillesse est un très bel âge quand on a des passions. Être vieux
c’est continuer à progresser, à se fixer soi-même des challenges, à se choisir des projets pour continuer à être en mouvement, physiquement et spirituellement ».
 
Philippe Enquin a réalisé sa première exposition « Rencontres éphémères » à la Galerie Argentine en de janvier 2018. Il a également participé à l’exposition « Résistances. Mémoires libres » en octobre 2018 dans la ville de Guyancourt. Il a aussi publié « Mots croisés – Trois générations de Juifs argentins » (2013) sur l’histoire de sa famille.

Le Monde de l’Education interview Laure Minassian (merci à Séverin Graveleau)

 

 

https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/03/02/l-ambition-politique-de-faire-de-l-enseignement-professionnel-une-voie-d-acces-vers-le-superieur-n-est-elle-pas-revolue_6071647_3224.html


Séverin Graveleau 
www.lemonde.fr
« L’ambition politique de faire de l’enseignement professionnel une voie d’accès vers le supérieur n’est-elle pas révolue ? »
Pour la sociologue Laure Minassian, les objectifs contradictoires donnés à la voie professionnelle en France expliquent son image dévalorisée.

Cet entretien paraît dans « Le Monde de l’éducation ». Si vous êtes abonné au « Monde », vous pouvez
Laure Minassian, docteure en sociologie, ingénieure de recherches à l’université de Nantes, rattachée au laboratoire CIRCEFT-EScol de Paris-VIII, signe L’Enseignement professionnel, entre promotion et relégation (éditions Académia – février 2021). Elle revient sur les évolutions historiques, et récentes, de la voie professionnelle en France.

En France la voie professionnelle souffre souvent d’une image d’enseignement de relégation. Pourquoi ?

Dans son histoire, l’enseignement professionnel n’a pas toujours eu cette image de voie de relégation. Entre les 1930 jusqu’aux années 1960, alors que les besoins en main-d’œuvre qualifiée explosent, il jouit d’une très bonne réputation, celle d’un lieu de formation et d’élévation du citoyen par la culture technique. Mais les crises économiques successives vont avoir raison de cette visée émancipatrice de la voie professionnelle.

Dès les années 1970, la prolongation de la scolarité obligatoire et le fort taux de chômage des jeunes, réduisent son objectif à l’insertion professionnelle rapide des élèves. Mais son rôle devient aussi progressivement de « délester » l’école des jeunes, souvent issus de milieux défavorisés, qui n’y réussissent pas, ou qui ne répondent pas aux attendus scolaires. L’image de relégation trouve son origine dans cette double injonction et dans le cumul des difficultés et des objectifs parfois contradictoires. Puis le lycée professionnel devient le fer de lance de l’objectif de « 80 % d’une classe d’âge au niveau du bac »du ministre Jean-Pierre Chevènement en 1984. Mais on estime que les résultats de la filière professionnelle ne sont pas à la hauteur en termes d’emplois, qu’il faut donc rapprocher la formation des besoins des entreprises, au détriment des enseignements généraux donnés aux élèves. L’image d’une voie « à part » des autres se renforce ainsi, jusqu’à aujourd’hui.

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Votre ouvrage s’arrête sur la question du rapport aux savoirs qui résulte de ce positionnement ambigu entre les mondes professionnel et scolaire, et peut mettre en difficulté les élèves…

On dirige spontanément vers l’enseignement professionnel les élèves qui ont des difficultés avec la forme scolaire traditionnelle et les attendus de l’école, en se disant qu’ils s’en sortiront mieux en « accrochant » les savoirs scolaires enseignés à un métier. Mais cette frontière entre monde scolaire et monde professionnel n’a rien d’évidente, ni pour les élèves ni pour les enseignants. Il faut « scolariser » les connaissances et compétences qui sont de l’ordre du métier et « professionnaliser » en même temps les savoirs scolaires.

On se dit qu’une situation vécue en stage professionnel peut être transformée facilement en savoir scolaire, mais plusieurs études ont montré que cela marchait difficilement et pouvait mettre en difficulté des élèves -déjà fragilisés- qui ne comprennent pas ce décodage, car au fond il s’agit rien de moins que de déduire d’une expérience personnelle des savoirs génériques, ce qui reste extrêmement complexe. Cette traduction pédagogique, qui fait peu débat, ne va pas de soi, elle nécessite une formation importante des enseignants qui n’est pas toujours au rendez-vous. La réforme de « transformation de la voie professionnelle » lancée en 2018 développe, dans cette philosophie, la co-intervention en classe d’enseignants de disciplines professionnelles (industries graphiques, biotechnologies, etc.)et d’enseignants de discipline générale (lettres-histoire et géographie par exemple, pour rappel les enseignants des disciplines générales sont bi-disciplinaires) parfois utilisent les mêmes mots pour designer des notions disciplinaires différentes, qui ne visent pas les mêmes objectifs pédagogiques…par exemple, les mathématiques  dans le numérique et  les mathématiques « pures » recouvrent des domaines différents : d’un côté on se concentre sur les méthodes mathématiques appliquées dans des situations réelles qui peuvent accepter une certaine approximation, de l’autre sur les mathématiques pour les mathématiques qui n’acceptent aucune approximation. C’est extrêmement subtil et difficile à distinguer pour les élèves, surtout si on ne les familiarisent pas à faire cette distinction.

Quels sont alors les leviers d’amélioration de la voie professionnelle ?

Outre sa revalorisation symbolique vis-à-vis des voies générales et technologiques, je crois que l’amélioration de la formation des enseignants des disciplines professionnelles est une priorité. Car la relégation de la voie professionnelle s’illustre aussi par le niveau d’exigence moindre qu’on a vis à vis du bagage des enseignants qui y travaillent. Comment se fait-il qu’un master 2 soit nécessaire pour un enseignant d’une matière générale de la voie « pro » contre un bac +2 pour les disciplines professionnelles accompagnée d’expérience professionnelle et un simple baccalauréat avec une expérience professionnelle pour prétendre au concours d’enseignant dans la section des métiers ? 

En outre, il faut outiller les enseignants sur les questions pédagogiques très spécifiques à la voie professionnelle. Les aider, via la formation continue surtout, à prendre du recul sur le lien entre les différents savoirs, ainsi que sur leurs pratiques pédagogiques en adossant cette formation à la recherche  car force est de constater qu’on a bien souvent laissé les acteurs de terrain seuls.

Il faut aussi que la voie professionnelle fasse un gros travail sur les inégalités sociales et scolaires. Genre, origine sociale, niveau scolaire, etc. : la pédagogie et l’approche proposée dans cette filière ne permettent pas aujourd’hui d’améliorer significativement le destin professionnel des élèves.

Quel regard portez-vous sur la réforme de la voie professionnelle amorcée en 2018 ?

La réforme du lycée général et technologique a mobilisé toute l’attention depuis 3 ans, en laissant de côté celle de la voie professionnelle qui touche tout de même près de 700 000 élèves (sur plus de 2 millions de lycéens au total). Il est assez curieux qu’on demande désormais aux élèves qui entrent en terminale professionnelle de choisir immédiatement entre un module « insertion professionnelle » et un module « poursuite d’études » supérieures. Cela ne risque-t-il pas de freiner leurs ambitions ?

Cela s’accompagne d’une baisse des enseignements généraux (et des enseignements professionnels aussi d’ailleurs), en raison notamment de la place prise par ces deux modules et par le nouveau « chef-d’œuvre », qui fait craindre aux enseignants une moins bonne préparation pour affronter l’enseignement supérieur. On peut se demander si l’ambition politique de faire de l’enseignement professionnel une voie d’accès vers le supérieur n’est pas révolue ? C’est pourtant cette perspective qui faisait de la filière, malgré ses défauts, un espace de promotion sociale pour les trois quarts d’élèves défavorisés qui l’a composent.

Cette réforme a été menée simultanément à celle de l’apprentissage…

L’apprentissage constitue un modèle intéressant dans lequel les jeunes inscrits sont en général très engagés et motivés. On peut se réjouir de la hausse record du nombre d’apprentis recruté en 2020. 500 000 : le chiffre est exceptionnel mais il est avant tout le résultat de la prime donnée aux entreprises qui recrutent (5 000 euros pour un apprenti mineur, 8 000 pour un majeur). On peut logiquement craindre que cet effet d’aubaine s’estompe à l’avenir en même temps que cette aide financière…

Mais la loi « Avenir professionnel » de 2018 laisse surtout de manière inédite la main libre aux branches professionnelles dans le pilotage de l’apprentissage afin que les centres de formations des apprentis (CFA) répondent plus finement aux besoins des entreprises. Avec le risque de voir les branches professionnelles porteuses sanctuariser leurs CFA, et celles qui le sont moins fermer les leurs et ainsi appauvrir l’offre de formation. C’est un retour en arrière inédit.

Eurotribune a sélectionné « Un tourbillon inversé » de Bruno Salazard

Eurotribune a sélectionné « Un tourbillon inversé » de Bruno Salazard

Un soir, en rentrant du travail, Samuel découvre que son fils a disparu de la maison d’Ardèche. Il soupçonne rapidement sa compagne, qui souffre de troubles psychologiques. Avec l’aide de Christian, un ami fidèle, Samuel part à la recherche de son petit garçon. 

Sur leur route, ils font la rencontre de Johnny, Marie-Philomène ou encore Charles, des personnages hauts en couleur, à l’existence cabossée. Touchés par la quête de Samuel, ceux-ci décident de l’aider à retrouver le petit Alexandre. Ensemble, ils traversent la France, de Marseille à Dunkerque, sur les traces de l’enfant.

Bruno Salazard nous plonge dans un roman sensible et poignant sur la famille, la paternité et l’amitié.

Auteur:

Bruno Salazard vit au milieu des arbres, près de Toulouse. Des années à rechercher l’émotion dans une vie multiple, hachurée d’échecs et de bosses mais aussi de rêves et de rires.
Chirurgien, il a parcouru le monde pour apporter ses connaissances et ouvrir son cerveau aux influences et vécus des terres lointaines, des traditions orales et écrites.
Poser les mots, imaginer des personnages atypiques, est un besoin, quand la parole est difficile.

Editeur : Librinova

Nbres de pages : 134 pages

Prix : 12,90 euros

Eurotribune a sélectionné « L’Eternité et deux mains » de Bruno Salazard

Eurotribune a sélectionné « L’Eternité et deux mains » de Bruno Salazard

En 2023, à New York, Alexandre naît sans mains. Les docteurs Jefferson, pédiatre expérimenté, et Kogino, chirurgien de la main, décident d’équiper le nouveau-né de prothèses myoélectriques intelligentes reliées à son cerveau.

Malgré cette prouesse médicale, Jefferson se questionne sur l’existence de cet enfant. Pour quelles raisons Alexandre semble-t-il si concerné par son absence de mains, alors qu’il vient à peine de naître ?

Les recherches du pédiatre lui révèlent que la vie d’Alexandre a débuté trente millénaires plus tôt et qu’il renaît éternellement… De la grotte de Maltraviesco, en passant par l’apprentissage des hiéroglyphes et les métiers manuels, Alexandre a toujours fait de l’usage de ses mains le centre de sa vie. De quoi sera faite sa nouvelle destinée ?

Plongez dans L’Éternité et deux mains, un roman intemporel qui nous transporte de siècle en siècle sur les traces d’un homme aux vies multiples.

Auteur:

Bruno Salazard vit au milieu des arbres, près de Toulouse. Des années à rechercher l’émotion dans une vie multiple, hachurée d’échecs et de bosses mais aussi de rêves et de rires.
Chirurgien, il a parcouru le monde pour apporter ses connaissances et ouvrir son cerveau aux influences et vécus des terres lointaines, des traditions orales et écrites.
Poser les mots, imaginer des personnages atypiques, est un besoin, quand la parole est difficile.

Editeur : Librinova

Nbres de pages : 117 pages

Prix : 12,90 euros

Eurotribune, Occitanie tribune et Hérault direct ont sélectionné « Méthana » de Steff Rosy

MÉTHANA – L’APPEL DE L’UNIVERS – Steff Rosy

Eurotribune a sélectionné Méthana de Steff Rosy

 

Occitanie Tribune a sélectionné « Méthana » de Steff Rosy 

 

Hérault Direct a sélectionné « Méthana » de Steff Rosy

Par LIBRE-LIVRE Rubrique SHOPPING, le 01 Mars 2021

– Du noir total peut surgir la lumière. Les événements qui nous arrivent ne sont pas le fruit du hasard, ils sont porteurs de sens quand on apprend à les déchiffrer.
– L’épreuve de son cancer a permis à Steff Rosy d’ouvrir les yeux sur le monde et de prendre le temps de trouver le chemin de son âme. Accompagnée par l’amour de son mari et par l’amitié de ses proches durant son combat contre la maladie, elle a aussi été portée par l’inestimable soutien de Virginie Maury, énergéticienne.

– L’écriture de « Méthana », roman dans lequel elle a mis tous les trésors de son coeur, fut d’abord une nécessité, une thérapie qui lui a permis de s’accrocher à la vie et de triompher du mal qui la rongeait.
– Aujourd’hui, elle a percé le « secret » ; elle se sent forte, réunifiée, apaisée.

Méthana – l’appel de l’Univers est l’histoire d’une adolescente, Marie, qui se croit ordinaire. Un jour, elle se lance dans l’écriture automatique et, du bout de son crayon, Mémé Rosy vient lui parler et lui annonce que son destin est étroitement lié à celui de l’Humanité. Elle va alors devoir voyager pour préserver la paix universelle et maintenir l’équilibre entre l’ombre et la lumière. Ainsi, elle se retrouve confrontée à certaines révélations : Anges, Démons, Êtres de lumière, Êtres de la nature, Extraterrestres, Fées, Dragons, Mondes parallèles… Existent-ils réellement ?

* Accepteriez-vous de ne pas être les seuls dans l’Univers ?
* Entre mythes et réalités, où se cache la vérité ?

  • Méthana est un roman extrêmement attachant, destiné en priorité aux jeunes qui se cherchent. Steff Rosy veut leur transmettre la leçon qu’elle a tirée de son expérience.
  • Cette lecture leur permettra de s’élever et de s’édifier sur les valeurs sûres, fondement de notre présence sur Terre : l’Amour, le Respect, la Bienveillance.
  • Derrière un univers en apparence naïf de « Fantasy » pour adolescents se cachent d’abyssales et complexes profondeurs. La littérature, à travers les personnages, est la voie d’excellence pour se poser les questions essentielles de l’existence avec finesse.
  • L’histoire emporte à tous les âges et à tous les niveaux car comme les autres livres du genre, elle peut se lire à différents « échelons » : assez simple pour captiver les enfants, assez riche pour nourrir les réflexions spirituelles de leurs parents.

Auteure:

Née en 1979, Steff Rosy habite à Saint-Cézaire-surSiagne, un village pittoresque de l’arrière-pays grassois. Forte d’une expérience en tant que cheffe d’entreprise dans le secteur médico-social, elle acquiert plusieurs cordes à son arc. Lorsqu’on lui annonce qu’elle est atteinte d’un cancer, elle plonge dans l’univers de l’écriture et écrit son premier roman, Méthana – L’appel de l’Univers, une bouffée d’oxygène qui réveillera votre âme.

Editeur : Vérone Editions

Nbres de pages : 464 pages

Prix : 27,00 euros

Euro tribune et Occitanie tribune ont sélectionné Danièle Yzerman

Eurotribune a sélectionné Danièle Yzerman 

Occitanie tribune a sélectionné Danièle Yzerman

La vie, envers, contre et pour tout. La vie à l’envers – Danièle YZERMAN

Un jour, je fis un rêve ancré au plus profond de ma mémoire. Je me trouvais debout, perchée et marchant sur un fil tendu au-dessus d’un Océan de mer si immense que je n’en percevais pas les limites. Alors que je n’étais qu’au début du chemin, j’entendis une voix venue d’ailleurs qui me disait qu’il était totalement impossible de franchir cet Océan. Malgré cette évidence, tout en moi m’obligea à continuer et, pas à pas, j’avançai avec précaution et me rattrapai à chaque chute, jusqu’au moment ou l’angoisse et la peur de tomber définitivement dans les profondeurs de la mer me réveillèrent. Si j’ai le sentiment aujourd’hui que ce rêve n’a jamais quitté mon esprit, je réalise aussi tout simplement que c’est l’histoire de ma vie. Ma vie, qui avec l’âge, s’est aujourd’hui malheureusement suspendue après plus de 40 ans de combat pour vaincre cet impossible. C’est sans doute pourquoi, alors que je suis parvenue de l’autre côté de la rive, le besoin de faire exister par des mots mon « chemin de vie » s’est imposé à moi. Danièle Yzerman a travaillé dans le domaine de la communication stratégique et publicitaire et a exercé in fine en qualité de présidente France et vice-présidente Europe du pôle santé du groupe international Ogilvy/WPP. Dotée d’un grand esprit de synthèse, elle a toujours aimé écrire et apprécié la musique des mots. Poussée par un besoin impérieux de « laisser une trace » de son parcours peu banal et de son combat pour la vie, l’auteure, aujourd’hui retraitée, présente ici son premier ouvrage.

Auteure:

Danièle Yzerman a travaillé dans le domaine de la communication stratégique et publicitaire et a exercé in fine en qualité de présidente France et vice-présidente Europe du pôle santé du groupe international Ogilvy/WPP.
Poussée par un besoin impérieux de  » laisser une trace » de son parcours peu banal et de son combat pour la vie, aujourd’hui grand-mère épanouie, elle décide de publier ce témoignage.

Editeur : Les 3 Colonnes

Nbres de pages : 124 pages

Prix : 13,50 euros

Eurotribune, Hérault direct et Occitanie tribune ont sélectionné « La Croisade du mal-pensant »

Eurotribune a sélectionné « La Croisade du mal-pensant »

https://www.herault-direct.fr/articles/29317/la-croisade-du-mal-pensant-christian-de-moliner

https://www.occitanie-tribune.com/articles/29317/-la-croisade-du-mal-pensant-christian-de-moliner

 

LA CROISADE DU MAL-PENSANT – Christian de Moliner

Par LIBRE-LIVRE Rubrique SHOPPING, le 01 Mars 2021

  • Un roman ultra contemporain en résonance avec l’actualité immédiate autour du « racialisme ».
  • Le héros, courageux professeur accusé de non complaisance avec l’idéologie militante des « racisés », nous remémore celle tragique de Samuel Paty face au totalitarisme islamiste.
  • Une fresque lucide et subtile des conflits générationnels et civilisationnels qui ébranlent nos sociétés.
  • Un personnage au premier abord sans charisme auquel on s’attache et on s’identifie au fil des pages.
  • Une histoire qui nous tient en haleine jusqu’à son épilogue sanglant.
  • Un roman passionnant et mélancolique qui brosse le portrait tout en nuances d’un professeur au soir de sa vie.

Samuel Meiersohn, un universitaire désabusé et proche de la retraite, entame une croisade contre des étudiants et des professeurs « racisés » qui veulent créer au sein de sa faculté, un espace sans Blancs. Rejetant le prétendu « privilège blanc », il va se heurter à son administration et à la démission de la société française si prompte en 2019 à accepter les thèses radicales, aussi absurdes qu’elles soient.

 » Une étudiante s’approcha de lui et lui tendit un tract qu’il prit. (…) il résistait à l’injonction bien- pensante de confondre allègrement progressisme, sens de l’histoire et usages islamiques. »

Auteur:

Christian de Moliner a publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux un autre roman La Guerre de France (2018) et un essai Islamisme radical. Comment sortir de l’impasse ? (2019). Collaborateur au Figarovox, Causeur, Boulevard Voltaire, Breizh info …mondialement connu pour avoir créé le buzz en imaginant la partition de la France dès 2018 – (Moliner est plus célèbre en Russie, Angleterre, Hongrie, Roumanie, Italie, Allemagne etc qu’en France), ses essais de citoyen engagé dans l’analyse des problèmes du vivre-ensemble de son époque nourrissent l’inspiration de ses romans de politique-fiction, et réciproquement afin de former une œuvre littéraire cohérente et forte.

Agrégé de mathématiques et passionné d’histoire, ses connaissances pointues sur l’islam impressionnent beaucoup ses interlocuteurs.

Editeur : Editions Pierre-Guillaume de Roux

Nbres de pages : 205 pages

Prix : 16,00 euros

 

Des photos à couper le souffle ! Chirurgie cardiaque et art !

La Balustrade de Guilaine Depis vous propose pour la période de mars 2021/décembre 2021:

(pour demander un livre, merci d’adresser un mail à guilaine_depis@yahoo.com et pour interviewer la photographe sms 06 84 36 31 85)
 
“ Au coeur du bloc ” de Natacha SibellasLivre d’Art de photographies dans son écrin de prestige
 
* Un travail inédit et audacieux d’une beauté à couper le souffle ;
* Un hommage aux soignants par la grâce d’un regard artistique posé sur leurs éblouissantes techniques ; 
* Les émotions fortes pour sauver des vies immortalisées dans un livre ;
* Chirurgiens et photographes complices pour livrer les mystères du bloc au CHU de Clermont 
“ Au coeur du bloc ” c’est un ensemble de 2 livres indissociables de photographies captivantes : 600 exemplaires dont une série de 100 exemplaires en édition limitée dans un écrin de prestige (60€ les deux livres; 120 € avec le coffret prestige).
* un livre grand format de 43 photos impressionnantes de chirurgie cardiaque en noir & blanc 
* un livre petit format de 50 photographies environ, des portraits/regards des soignants 

 

« Au coeur du bloc » comprend un magnifique poème inédit d’Arthur HL’INTIME À NU, offert par le poète inspiré par les photographies
Publié en partenariat avec le Fonds de dotation Marc Laskar de la SFCTCV (fonds destinés à la formation des jeunes chirurgiens / Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire)
La photographe :Après un parcours professionnel pendant plus de trente ans dans le milieu culturel, Natacha Sibellas décide en 2014 de se consacrer totalement à l’art de la photographie auquel elle s’adonne depuis son adolescence. « Chaque photographe regarde la vie à sa façon. Je la vois en Noir & Blanc, avec parfois un soupçon de couleur. L’humain est au centre de mon travail : des scènes de vies, des gestes, des attitudes, des regards, des histoires… C’est la complicité qui se crée lors d’une fraction de seconde qui fait apparaître la photographie. » Natacha Sibellas