« un polar en huis-clos » : Sur Alexandre Arditti dans « Le Dit des Mots »

Polar
Il ne manquait plus au patron de Facebook que d’être la cible d’un polar. C’est chose faite avec L’Assassinat de Mark Zuckerberg(*), de Alexandre Arditi, dont l’intrigue se passe dans un commissariat.

Ce polar est l’histoire d’un crime aux mobiles étranges. En plein Paris, un évènement vient secouer le monde : l’exécution en plein jour du PDG de Facebook Mark Zuckerberg, au sein d’une prestigieuse université parisienne.  Alors que la nouvelle fait l’effet d’une bombe, la police se lance dans une course contre la montre pour démêler les fils d’un complot qui semble impliquer bien plus que ce que l’on voit en surface. Pris dans la tourmente, le Commissaire Gerbier, figure emblématique de la persévérance et de l’intégrité. se trouve confronté à un suspect issu de la mystérieuse organisation Table Rase, plongeant dans un face-à-face tendu avec le coupable déclaré du meurtre.

Journaliste, éditeur, Alexandre Arditi signe un polar en forme de huit-clos qui se déroule essentiellement durant la garde à vue et l’interrogatoire de Franck Travis (en clin d’œil au héros de Taxi Driver) qui reconnaît avoir tiré sur le médiatique PDG connu du monde entier et semble regarder la situation avec une vraie distance. Tout en reconnaissant : « (…) je revendique cet acte on ne peut plus civique et héroïque »

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