Pas ma tasse de thé, « Les Joyeuses Commères de Windsor », je n’ai pas été émerveillée comme je le suis si souvent aux spectacles.
L’humour lourdingue de ce gros Falstaff ne m’a pas fait rire, ni attendrie, et tout m’a paru grandiloquent, frôlant le ridicule – en particulier le langage à la sauce Zyva qui ne sied pas du tout à Shakespeare.