Richard Joffo organise une réunion « Médias & démocratie » dans le cadre du Grand Débat National le 14 mars 2019

Inscriptions : acadtv@free.fr 33 6 07 88 22 66 /  https://guilaine-depis.com/category/richard-joffo/

INVITATION CI-DESSOUS après la présentation de Richard JOFFO :

Homme de médias au génie multifacettes, Richard Joffo s’est illustré tout au long de sa vie et de son oeuvre par l’importance qu’il attribue à l’oralité en matière de communication.

Auteur à succès de livres écrits par ailleurs, Richard Joffo a toujours privilégié le mode oral de communication (les textes de chansons qu’il a écrites, son programme de maîtrise du langage, ses célèbres Story sur RFI…) pour créer du lien social entre les hommes, les toucher et les élever par la force inimitable de la voix.

Créateur de l’Académie Audiovisuelle qui forme les journalistes de télévision, les animateurs, présentateurs, mais qui, depuis 20 ans constitue aussi un véritable observatoire des médias et de leurs relations avec notre société, il était naturel que Richard Joffo souhaite, dans le cadre du GRAND DÉBAT NATIONAL, introduire le questionnement MÉDIAS & DÉMOCRATIE au travers de trois grands thèmes :

1.   Indépendance des médias – liberté de la presse et responsabilité – protection des sources

2.   Journalisme sauvage et éthique  dans les réseaux sociaux et les blogs

3.   Représentativité de la diversité dans les médias

Jacques Boutault, Maire du 2ème arrondissement, a spontanément répondu présent pour s’associer à l’organisation de ce grand débat.

Richard Joffo Président de l’Académie Audiovisuelle

1ère école de Formation professionnelle :
Journalisme audiovisuel
Animateurs, Présentateurs, Chroniqueurs TV
Perfectionnement des journalistes à la télévision
Conception de programmes TV
ASBL : CREAACTIS
http://www.academie-audiovisuelle.com 

EXPERTISE TV  (Ingénierie en création et développement de chaîne de télévision)
BRUITS D’IMAGES (Créations Audiovisuelles et Créations graphiques)
Séminaires 
MEDIA-MANAGER (prise de parole en public – intervention dans les médias)

30, rue Eugène Carrière
75018 Paris
Tel : + 33(0)1 77112836 – + 33 6 07 88 22 66
BBM : 228EC325
http://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Joffo

Breizh-info met à l’honneur le thriller de Pascal Framont, merci à Christian de Moliner !

Lire l’article sur le site ici : https://www.breizh-info.com/2019/02/24/112789/chronique-litteraire-laffaire-mirage-life-pascal-framont

Luisa Portero voit sa vie basculer lorsque son mari est assassiné devant elle par des cambrioleurs. Mais elle a des doutes et soupçonne la police politique d’être derrière ce crime. Car la république sud-américaine où vit Luisa a depuis 20 ans porté volontairement au pouvoir Roberto Damiano qui a supprimé les élections et gère son pays d’une main de fer tout en assurant son développement et le bien-être de ses habitants.

L’affaire Mirage Life de Pascal Fromont est un thriller qui sort de l’ordinaire. Certes l’auteur utilise les ficelles communes à ce genre de récit, multiples rebondissements, rythme effréné, suspense, fausses pistes en série. Quand on ouvre ce roman, on n’a plus envie de laisser tomber.

Mais ce thriller est également un thriller politique qui pose une question crue : et si un pays faisait un deal avec un dictateur : l’abdication de la liberté individuelle en échange d’un régime autoritaire certes, mais efficace et protégé par des règles drastiques de toute corruption ? En cette période de désenchantement, marqué par la crise des Gilets jaunes, le marché peut paraître tentant. Évidemment, il est un leurre, comme le découvrira l’héroïne et la réalité n’est pas aussi reluisante ! Si on supprime la liberté de la presse qui est l’élément le plus important de la démocratie occidentale plus que le droit de vote, tout régime invariablement sombrera dans la corruption. Il n’y a eu au cours des siècles aucune exception à cette règle.

Pour avoir exploré en détail et d’une manière crédible une société originale différente de celle que nous connaissons, nous pardonnerons à l’auteur quelques défauts sans doute de jeunesse : improbables révolutionnaires décrits d’une manière naïve, méchants peu crédibles, fin en miroir avec des solutions emboîtées comme des poupées russes mais dont la dernière semble illogique. Il ne faut jamais bouder son plaisir.

Christian de Moliner

L’affaire Mirage Life, de Pascal Framont – 400 pages – Le Lamentin – 19 euros

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

« Mauvaise nouvelle » signe un très beau papier sur « La Guerre de France ; Paul Sunderland est un EXCELLENT lecteur

Lire l’article sur le site où il est paru : http://www.mauvaisenouvelle.fr/?article=livres-la-guerre-de-france-de-christian-de-moliner–1363

Dans un futur proche (entre 2035 et 2040), la France se compose en gros de trois entités rivales :

  • L’Etat, qui semble ne plus contrôler grand-chose en matière de sécurité.
  • Le Front des croyants, organisation islamiste responsable d’attentats innombrables sur le territoire français.
  • L’Armée secrète française, composée de nationalistes tout aussi déterminés que les précédents.

L’enjeu n’est ni plus ni moins que la maîtrise du territoire. Cette guerre n’a pas commencé dans un monde fictif mais, selon l’auteur, à l’occasion des attentats du 13 novembre 2015. Il n’est donc pas aisé de dire à quel point ce roman est une anticipation. Dans ce contexte, la dernière chance pour la paix se joue à l’initiative des Russes et des Saoudiens : la conférence de Chisinau, Moldavie, doit déboucher sur un accord de cessez-le-feu entre les nationalistes et les islamistes.

Une étudiante en journalisme, Djamila Loufi, est approchée par les services secrets français afin de servir d’intermédiaire entre les deux factions ennemies. Le choix n’est pas fait par hasard : Djamila, qui jusque-là se croyait née de père inconnu à la suite du viol de sa mère, apprend qu’elle est la fille de François Bavay, le chef de l’Armée secrète. Elle ne dispose pas d’ailleurs d’une grande marge de manœuvre : si elle ne coopère pas, sa meilleure amie Pauline, qui a été kidnappée, mourra.

Kidnappée par qui ? Les Français ? Peut-être, mais c’est là une des ambiguïtés voulues du roman : on ne sait pas qui manipule qui, en définitive. Avant même son arrivée à Chisinau, Djamila est victime de tentatives de meurtre. Ou d’intimidations ? Le danger demeure omniprésent tandis que, sur fond de surveillance russe, Djamila, contre son gré, fait la navette entre François Bavay et El Idrissi, l’émir du Front des croyants.

Tout procède par écartèlements. Que ce soit à l’interne ou dans son rayonnement, la France n’est plus rien. Intra-muros, le pays est quotidiennement défiguré par des attentats commis par le Front des croyants et l’Armée secrète. Climat psychique sinistre que nous commençons à bien connaître : « La vie continue… était désormais le leitmotiv d’un peuple extraordinairement résilient. » « Les Français dominaient les tueurs en faisant comme s’ils n’existaient pas, comme s’il n’y avait pas plusieurs milliers de morts chaque année. Il n’existait pas d’alternative. Au début, on avait multiplié les commémorations et les meetings de protestations, avant de comprendre l’inanité de ces rassemblements. » Par le biais d’une comptabilité macabre, les deux adversaires ne peuvent paradoxalement s’entendre que sur la base d’un accord voyant la création de deux zones géographiques d’exclusion mutuelle, à l’intérieur de la France métropolitaine. Les critères d’appartenance à l’une ou l’autre zone sont d’ailleurs assez intéressants ; nous allons y venir.

Même si l’Etat tente de sauver la face, la France, dans ses rapports à l’extérieur, semble morte. Pourtant, et c’est un autre paradoxe, ce cadavre est l’objet de convoitises géopolitiques : autour de la conférence de Chisinau se tiennent, plus ou moins visibles, les Russes, les Saoudiens et les Américains. Christian de Moliner touche ici du doigt un très ancien et très sensible débat sur l’identité, pour ne pas dire le rôle providentiel de la France dans l’Histoire mondiale, rôle fait d’éminence et d’abaissement dans l’ordure. Que l’on s’attache à la prophétie de saint Rémi (le Grand Monarque) ou au débarquement des saintes Maries en Camargue (avec le Graal), ces traditions n’envisagent de toute façon la France que comme royaume.

Côté Front des croyants, il faut renoncer à la loi républicaine et se soumettre à la loi coranique (pléonasme). Sur un territoire en principe régi par la première, nous voyons là une extrapolation possible, dans ses conséquences extrêmes, de l’abandon de l’autorité, pour ne pas dire de la « trahison des clercs ». Cela dit, insistons quelque peu sur le discours tenu à ce sujet par le chef du Front, un homme austère répondant au nom d’El Idrissi : « Nous, les croyants, nous ne pouvons pas et ne souhaitons pas conquérir la France tout entière, et nous ne voulons pas la convertir à la foi du Prophète. » Le même déclare : « Les terroristes qui se réclament de l’islam ne m’obéissent pas. » S’agit-il là d’un discours hypocrite derrière lequel se retrancher en cas d’échec des négociations ?

El Idrissi, en tout cas, est d’apparence plus hiératique que Bavay. Son nom évoque le prophète Idris, équivalent musulman du prophète hébreu Hénoch et aussi, selon certaines traditions, d’Hermès Trismégiste. Il peut également faire penser à la figure du Mahdi, rédempteur eschatologique dont plusieurs personnes ont déjà revendiqué la fonction au cours des siècles. De nom d’état civil, point. Ce qui est ici bien souligné par l’auteur, c’est la différence entre le discours à prétentions traditionnelles avancé par El Idrissi et celui, d’aspect plus « profane » (ce qui ne veut pas dire illégitime), de Bavay. La Guerre de France oscille, de par ses protagonistes et ses péripéties, entre le roman apocalyptique et la tragédie grecque. Dans la perspective musulmane aussi, il est question de fin des temps et de dévoilement. El Idrissi serait donc une sorte d’hypostase, la manifestation dans l’Histoire de quelque chose de plus grand que le seul individu ayant revêtu sa fonction et avec lequel Djamila Loufi se retrouve en contact. Bavay, en comparaison, est plus « historicisé », il se réfère moins à l’aspect providentiel des événements et se tourne davantage vers l’influence civilisatrice, pourrait-on dire « horizontale », qui a été celle de la France. Cela dit, la figure d’El Idrissi demeure ambivalente dans la mesure où il ne détient peut-être pas entièrement le contrôle du mouvement qu’il prétend diriger ; d’autres personnes se tiennent peut-être derrière lui, dans l’ombre ; des factions dissidentes du Front des croyants entendent peut-être faire valoir leurs propres revendications. En cela, El Idrissi aurait un point commun (en dehors de leur point de vue concordant sur la fin désormais consommée de l’Etat de droit en France) avec Bavay qui, lui-même, a maille à partir avec des éléments de son propre camp refusant la moindre compromission avec le Front.

Reste le « cas » Djamila Loufi. Ici revient avec force l’aspect plus spécialement tragique du roman, dans ce personnage qui éprouve les pires difficultés à se positionner idéologiquement d’une part et à traiter la vérité irréfutable de sa double origine : elle est bel et bien la fille de Bavay. La petite histoire vient se mêler à la grande, mais les souffrances, de part et d’autre, sont terribles. C’est précisément parce qu’elle est la fille de Bavay qu’elle peut approcher celui-ci dans le jeu dangereux des négociations avec le Front des croyants. Malgré cela, et autant le dire de manière brutale, Djamila Loufi peut donner l’impression d’être une impulsive petite dinde survitaminée à la bien-pensance. Son père lui détaille sa vision pour la France : « Ma zone sera basée sur la religion et la culture, et non sur la race. Un pur aryen converti à l’islam ne pourra pas y habiter, mais un Arabe qui a rompu avec la foi de ses ancêtres sera le bienvenu, s’il respecte nos valeurs. » Pour autant, tout ce que sa fille trouve à lui répondre est un discours préfabriqué : « votre racisme est odieux », « préjugés tenaces, idée haineuses et arguments nauséeux ». N’est-elle rien d’autre qu’une excroissance docile de son alma mater ? Christian de Moliner présente en effet Sciences-Po comme une université pratiquant l’auto-censure et dans laquelle les étudiants n’abordent que des thèmes jugés neutres. Lui-même est-il en phase avec le personnage de Djamila Loufi ou a-t-il sciemment élaboré une caricature ? Dans une de ses rares notes de bas de page, il propose la définition suivante du terme « remigration » : « La remigration est une théorie raciste qui propose d’expulser les musulmans hors de France et d’imposer une immigration à l’envers vers les pays du Maghreb. » Ce n’est pas tout à fait ce que dit François Bavay, c’est même en définitive (outre la réaction de Djamila) plus proche du discours d’El Idrissi : « La  »remigration »est une illusion et une chimère. » On peut en conclure que La Guerre de France ne fera pas l’unanimité chez les réactionnaires.

Il n’en demeure pas moins que ce roman est un prudent exercice de futurologie, prudent et pessimiste malgré la toile de fond des négociations visant un accord durable entre les groupes en présence. Comme le dernier roman de Jean-Louis Costes, La dernière croisade, qui est une autre spéculation sur l’avenir proche (quoique proposée dans une perspective très différente), La Guerre de France (publié chez Pierre-Guillaume de Roux) narre des événements très ponctuels dans le temps et l’espace et dont les conséquences n’auront de cesse de se déployer à grande échelle. Le pessimisme qu’on y inhale à grandes goulées vient de l’écart minimal entre le futur imaginé et notre actualité. On n’y trouvera donc pas les allégories et ironies propres à une certaine science-fiction, mais une ambiance oppressante bien restituée, même s’il n’est pas demandé d’avoir de l’empathie pour la protagoniste.

Jennifer Monnot, première lectrice de « Juste avant ma mort » de Christian de Moliner sur France Net Infos.

Augustin Miroux est au stade terminal de son cancer du poumon. Alors qu’il devait aller à une de ses séances de chimiothérapie, ses vieux démons refont surface … Meurtri par une épouse qui ne rêve que d’aller à Venise avec son amant après sa mort et 3 enfants indifférents à son sort, il éprouve le besoin soudain de retourner dans sa ville natale, Dijon, qu’il a quitté il y a près de 40 ans suite à une tragédie …

Il cherche alors à retrouver la fille d’une ancienne connaissance de son passé qui s’est suicidée avant qu’il ne parte de Dijon. Croyant être responsable de cette mort tragique, il se retrouve à se faire passer pour le père qu’elle n’a jamais connu et à s’embourber dans un mensonge qui le dépasse.

« Juste avant ma mort » de Christian Moliner parait aux éditions Jean Picollec. Ce roman assez sombre nous surprend par le portrait attachant d’un homme qui sait qu’il ne s’en sortira pas et celui d’une jeune fille qui croit absolument avoir retrouvé le père qu’elle n’a jamais connu. Leur relation devient alors assez ambigües, la solitude les ayant au final rapprochés. Christian Moliner a su nous transporter à Dijon, dans ses rues et dans son patrimoine. Ancienne Dijonnaise, j’ai pu facilement me plonger dans ce roman qui m’a rappelé ma ville d’adoption lorsque j’étais étudiante. Tout le long du roman, on se demande ce qui ronge réellement Augustin et finalement on le comprend de vouloir rechercher un peu d’affection. Un joli roman qui se lit d’une traite et qui nous rappelle combien nous aimerions nous aussi avoir quelqu’un à qui on manquera avant de mourir.

La Financière Pouyanne acquiert une galerie marchande et six moyennes surfaces à Saint-Gaudens (Haute-Garonne) pour le compte de son Fonds « Nymphéas 10 ans »

Communiqué de presse du Groupe Essor du 22 février 2019

attachée de presse : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Le 22 février 2019

La Financière Pouyanne acquiert une galerie marchande et six moyennes surfaces à Saint-Gaudens (Haute-Garonne) pour le compte de son Fonds « Nymphéas 10 ans »

La Financière Pouyanne annonce la conclusion de sa première opération d’envergure avec l’acquisition ce 19 février 2019, pour le compte de son Fonds « Nymphéas 10 ans », d’une galerie marchande (33 commerces) et des six moyennes surfaces situées à Saint-Gaudens (Haute Garonne).

Cet investissement a été sélectionné au regard de son intérêt économique et financier, mais aussi de son impact sur la vie des habitants de la région. La sécurité de l’opération, apportée par les contrats en cours avec les enseignes régionales et nationales présentes, a également été déterminante. Ce Fonds, qui apporte aux investisseurs professionnels un bon horizon de rentabilité ainsi que la possibilité de soutenir l’économie du territoire, illustre la vocation de la Financière Pouyanne, spécialiste de l’investissement d’impact territorial.

Cette opération d’importance a été réalisée par l’intermédiaire d’un crédit-bail immobilier conduit par BPI France aux côtés de GENEFIM (groupe Société Générale), de la Banque Postale Leasing & Factoring avec une participation de la Banque Pouyanne.

Une opération décisive dans le développement de la Financière Pouyanne

« Cette opération qui a mobilisé nos équipes depuis plusieurs mois est une étape décisive dans le développement de la Financière Pouyanne. Elle a été rendue possible grâce au soutien de nos actionnaires et de nos partenaires financiers. Elle matérialise le bien fondé de notre positionnement stratégique sur l’Investissement d’Impact Territorial » précise Jean PHILIPPE, Président de la Financière Pouyanne.

De son côté, David POUYANNE, Président du Conseil de Surveillance de la Financière Pouyanne et PDG du Groupe Essor, indique : « Cette première opération d’envergure de la Financière Pouyanne valide la stratégie d’Essor Investissement de se doter d’une expertise et d’outils innovants dans l’ingénierie de l’investissement afin d’accompagner le développement du Groupe Essor ».

Une stratégie de développement maitrisée et conquérante

La Financière Pouyanne continue de déployer sa stratégie d’Investissement d’Impact Territorial. Elle proposera dans les mois qui viennent une gamme complète. Un Fonds nommé « Impact Territorial I » est déjà ouvert à la souscription. Il est diversifié et regroupe des investissements dans l’immobilier professionnel en région, les énergies renouvelables ainsi que le portage de stocks sur des produits du terroir à forte notoriété.

Une façon originale de mettre l’investissement au service du développement des territoires.

À propos de La Financière Pouyanne

La Financière Pouyanne est une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (agrément GP-18000005) basée à Pau.
La Financière Pouyanne est portée par un actionnariat familial robuste, impliqué dans son territoire : Essor Investissement, filiale du Groupe Essor, dirigé par David POUYANNE et la Banque Pouyanne, dirigée par Christian POUYANNE.

La Financière Pouyanne est présidée par Jean PHILIPPE et dirigée par Patrick TOUTON. La Financière Pouyanne est membre de France Invest.

À propos d’Essor

Entreprise familiale, Essor est un constructeur d’immeubles à usage professionnel structuré autour de 6 expertises complémentaires: assistance à maîtrise d’ouvrage, développement de projets immobiliers, construction clé en main, maîtrise d’œuvre, ingénierie agroalimentaire, investissement immobilier et ingénierie de financement et de l’investissement. Créé en 2006 par David Pouyanne, bénéficiant aujourd’hui de 15 implantations en France, le groupe Essor emploie 200 personnes pour un chiffre d’affaires de 83M€ en 2018.

À propos de la Banque Pouyanne

La Banque Pouyanne est une banque familiale indépendante.
Fondée en Béarn, à Orthez, en 1903, elle compte 12 agences et rayonne sur l’ensemble du bassin de l’Adour en accompagnant notamment plus de 2.000 dirigeants de TPE et de PME.
Elle dispose d’une équipe de spécialistes de la Gestion Privée qui apporte un accompagnement personnalisé à ses clients patrimoniaux.
Elle est dirigée par Christian Pouyanne qui représente la 4ème génération de la famille Pouyanne.

Pour en savoir plus www.financiere-pouyanne.com

1er communiqué – 20ème anniversaire du Salon Culture et Jeux mathématiques – Place Saint-Sulpice du 23 au 26 mai 2019

1er Communiqué février 2019 * 20èmeanniversaire du Salon Culture et Jeux Mathématiques (site officiel : https://www.cijm.org/salon)

« Jouons ensemble aux mathématiques » du 23 au 26 mai 2019 

Depuis sa création en 2000 à l’occasion de l’Année Mondiale des Mathématiques, le Salon Culture & Jeux Mathématiques connait un succès grandissant, fidélisant un très large public. Ce Salon génère une prise de conscience, élargie chaque année, selon laquelle les mathématiques sont stimulantes, surprenantes, merveilleuses et passionnantes. Dans tous les secteurs d’activités les mathématiques se cachent pour mieux nous aider. Communication, transports, soins médicaux, divertissements sont les plus visibles et concrets mais partout dans la chaîne humaine elles sont omniprésentes et bienfaitrices.

Devenu un rendez-vous majeur des manifestations parisiennes le dernier week-end de mai, place Saint-Sulpice, la force singulière de ce Salon réside essentiellement dans sa capacité à réunir toutes les générations dans une grande manifestation aussi instructive que ludique. Toucher un panel aussi large et hétérogène de la population est vraiment un cas unique. Porté depuis sa création par Marie José Pestel, Présidente du Comité International des Jeux mathématiques (CIJM) récompensée par le Prix d’Alembert en 2008, épaulée par une équipe de choc aussi dévouée que prestigieuse, le Salon apparaît à beaucoup comme une réjouissante festivité, sans que l’on puisse soupçonner l’immense travail bénévole en amont qui chaque année le rend possible, beau et généreux.

Sous la houlette de Jean-Marie De Koninck, Parrain du salon, chercheur mondialement connu de la théorie des nombres, journaliste scientifique mais aussi merveilleux passeur de sciences à la radio, dans ses livres et avec l’association Sciences Mathématiques en Action dont il est le président, l’édition 2019 proposera conférences, spectacles, soirées à thème, compétitions ainsi que 6 grands pôles d’activités, Récréations mathématiques, Espace Numérique, Quand la recherche se prend au jeu, Les Métiers des maths, Astronomie, Jeux de l’esprit et de nombreux stands pour tous les âges, pour tous ceux qui n’aiment pas les maths et tous ceux qui  les aiment. 

Relations presse/interviews : guilaine_depis@yahoo.com / 06 84 36 31 85

 

Nous vous engageons pour plus d’informations à consulter notre site : www.cijm.org/salon

Comité International des Jeux Mathématiques

Association nationale de jeunesse et d’éducation populaire

Agréée Association nationale de l’Education Nationale

CIJM – Institut Henri Poincaré – 11 rue Pierre et Marie Curie – 75 231 Paris cedex 05

« Jouons ensemble aux mathématiques » (20ème Salon Culture et Jeux mathématiques, Place Saint-Sulpice)

Le Parrain du Salon
Jean-Marie De Koninck Mathématicien québécois mondialement reconnu pour ses travaux en théorie des nombres, mais aussi merveilleux passeur de sciences notamment à travers son association Science Mathématique en Action.

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Conférences rencontres

Mathématiques et Récréations à travers l’Histoire: une belle équation ! par Lisa Rougetet (Université de Brest),

Du jeu vidéo au monde virtuel par Eric Jeux (Ingénieur, entrepreneur et écrivain)

Le hasard, ami ou ennemi , par Jean Philippe Aubin (Maison des Mathématiques et de l’Informatique, Lyon)

Omar Khayyam, mathématicien persan, poète et marionnettiste par Leili Anvar (Maître de conférences).

Spectacles

Peut-on faire des maths sans le savoir ? Le cas inquiétant du Chat de Geluck par Daniel Justens

Compte sur moi, spectacle familial burlesque présenté par l’association Science

Mathématique en Action, enchantera petits et grands.

3 Soirées exceptionnelles

Soirée débat

Education : mathématiques et jeu

Soirée anniversaire Vingtième anniversaire du Salon avec nos marraines et parrains, nos partenaires et exposants

Soirée cabaret mathématique
Faire des mathématiques autrement, pourquoi ? et surtout comment ?
conduit par Jean-Marie De Koninck, Parrain du salon

retrouvez tous les renseignements sur www.cijm.org/salon/

70 stands d’animations TOUT PUBLIC

6 espaces thématiques 

Espace Récréations Mathématiques

Cet espace coordonné par Plaisir Maths, animé par des associations membres du CIJM,
présentera une exposition interactive et des jeux mathématiques, sous le plan historique, mathématique et didactique.

Espace Numérique avec Imaginary
FabLab, Logiciels mathématiques, Jeux Vidéo.
S’impliquer, explorer et devenir chercheur.

Quand la recherche se prend au jeu

Coordonné par INSMI (CNRS), avec les contributions de IHP, Sorbonne Université, Paris Diderot, FSMP, MMI (Lyon ), Laboratoire Nicolas Oresme de l’Université Caen-Normandie.

Des maths et des jeux avec la tête et les mains, en compagnie de ceux qui font les maths de demain !

Les Métiers des maths

avec les sociétés savantes (SMF, SMAI, SFdS, SIF et Femmes et maths.
Pour filles ou garçons, les mathématiques ouvrent à de nombreux métiers, de la recherche pure aux applications.

AstroMaths

SAF – FOU – Science à l’Ecole –
Observatoire de Paris – CLEA
Sans l’astronomie, l’homme ignore la place qu’il occupe. Aristote

Les jeux de l’esprit

Dames, Echec, Bridge ,Go, HEX, Awalé…

L’homme ne cesse pas de jouer quand il devient vieux, il devient vieux quand il cesse de jouer. G.B.Shaw

Evènements compétitions

Six groupes de collégiens et lycéens font partager leurs découvertes et leur enthousiasme pour les maths, comprendre les questions qu’ils se sont posées et les réponses qu’ils apportent, découvrir les problèmes qu’ils se posent encore … Un challenge, rendre leur recherche accessible à tous!

Inscriptions et règlement sur www.cijm.org/salon/concours

Spectacle Euromath – CASIO

Inscriptions et règlement sur www.cijm.org/salon/concours

Une compétition par équipes de 7 personnes de 10 ans à 18 ans représentant différentes régions de France et du monde.
Finale Spectacle sur l’espace rencontre du salon pour jouer ensemble aux mathématiques. samedi 25 mai à 10h

Tournoi de calcul mental avec Mathador et Canopé Entraînez votre mémoire, jonglez avec les nombres et surtout prenez du plaisir ! Venez découvrir et fêter les 20 ans de Mathador. Dimanche 26 mai, 12h

Inscriptions sur le salon

 

Rallye mathématique de Paris

il proposera, avec le concours de Un Trésor à Paris, un espace game mathématique, historico-énigmatique autour de Saint-Sulpice.

Inscriptions sur www.cijm.org/salon et sur le salon

Maths Jeux et Culture express

Brochure thématique en trois parties : jouer pour jouer, jouer pour enseigner, jouer pour chercher.
Sous la direction de Lisa Rougetet

 

Concours Photos

Instantané de jeu mathématique – Règlement sur www.cijm.org/salon

Livrets Jeux avec ACL – Kangourou

Soirée Christian de Moliner présenté par Paul-François Paoli du Figaro à la Nouvelle Librairie

Rappel ! c’est ce mardi 19 février soir à la Nouvelle Librairie, 11 rue de Médicis, dès 18h, une soirée présentée par Paul-François Paoli du Figaro – Christian de Moliner dédicacera ses livres, un verre de l’amitié sera offert, et nous serons tous solidaires de la Nouvelle Librairie ! Fiers d’y être accueillis et de résister à l’ignorance, la bêtise et la haine des antifa !