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Guilaine Depis, attachée de presse (Balustrade)
Rampe de lancement ! Appuyez-vous sur la balustrade !
La revue chic « Le Snobinard » a aussi craqué pour « La Conversation » d’Alexandre Arditti

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L’archipel des secrets
On me pardonnera peut-être la réticence qui est la mienne à entrer dans La Recherche, malgré l’amour de Swann pour Odette et les frasques de Charlus. C’est que – encore pardon ! – j’y étouffe, je m’y sens comme obligé de rester dans une chambre capitonnée, et sous la courtepointe. Que l’on apprécie donc mon courage, ma témérité consistant à lire un ouvrage qui est à la fois une rêverie à partir de l’univers proustien, un recueil de suggestions de lectures et un ensemble de fragments autobiographiques.
Il est vrai qu’on y est invité agréablement par l’excellente préface de Jean-Yves Tadié : … C’est l’histoire d’une lecture, genre qui remonte à Montaigne. Il y a en effet plusieurs manières d’être critique littéraire : la première consiste à étudier une œuvre de manière classique et universitaire. Une autre, à montrer comment on a lu, à faire l’histoire de sa lecture, à montrer comment un livre a changé votre vie ou vous a aidé à vivre.
On ne saurait mieux dire.
Hélène Waysbord a donc entrepris d’examiner ce qui la relie au monde proustien – quelques avenues parisiennes, des lettres de jadis, et bien sûr la Normandie – jonglant ensuite avec ce qu’a écrit Proust et ce qu’il a vécu, y découvrant parfois ce qu’elle a vécu elle-même. Née dans une famille de Juifs étrangers qui furent déportés à Auschwitz, cachée en Normandie, plus tard enseignante en classes prépa à Caen, elle devint la protégée de François Mitterrand qui lui demanda, entre autres missions, de présider la Maison des enfants d’Izieu.
En la lisant, on pressent la présence d’un écrivain et d’une personne d’une qualité rare. Un grand désir de révéler des pans entiers de sa vie s’entremêle à un immense besoin de secret, une hantise presque : se cacher. Entre l’envie de se livrer et le besoin de se dissimuler, Hélène Waysbord tisse une toile en laquelle les souvenirs de Marcel Proust et l’évocation de la lecture de ses œuvres sont entrelacés.
La guerre m’avait coupée de ma famille, j’étais devenue quelqu’un d’autre, sans archives sur mon origine, un pan de ma vie englouti dans l’oubli. Si J’essaie de démêler aujourd’hui quelle sorte d’obscurité, il m’est difficile de l’exprimer. Peut-on y voir clair dans une âme d’enfant ? Je peux dire qu’il y avait en moi un secret repoussé mais présent, ma judéité. Une menace, une différence. Proust l’était lui aussi, de façon compliquée, juif. Quand je commençai à m’initier à La Recherche, le personnage de Swann, l’intérêt passionné de l’auteur pour l’affaire Dreyfus dut m’apporter quelque chose comme une parenté avec une famille perdue que j’aurais à retrouver.
Par des chapitres brefs qui sont autant de nouvelles, l’auteure nous prie de la suivre et mieux, de la connaître ; plus elle se cachera, plus nous devrons faire sa connaissance ; ainsi naîtra-t-elle avec nous. Comme toutes les personnes subtiles, Hélène Waysbord se croit devinée, et peut-être n’en dit-elle pas assez pour que nous la devinions. C’est une princesse de l’implicite.
Mais elle parvient à enchaîner ses chapitres comme des perles, bribes et fragments du passé, îlots du non-dit. Intrigués, nous la suivons et découvrons qu’il y a là mieux que des îles : un archipel.
Bertrand du Chambon
Hélène Waysbord, La Chambre de Léonie, préface de Jean-Yves Tadié, éditions Le Vistemboir, septembre 2021, 127 p.-, 19,90 €
Sept idées libérales par François de Coincy
A paraitre en novembre 2021, publié par les Editions L’Harmattan
Chef d’entreprise à la retraite, François de Coincy avait publié en 2020 un livre renouvelant l’analyse et la théorie économique à partir des idées qu’il a accumulées au cours de sa vie professionnelle sur l’efficacité de la liberté dans le monde économique. Ce premier essai lui donné une crédibilité lui permettant d’écrire des articles publiés dans Figaro Vox, Causeur ou Economie Matin.
Dans son nouvel essai, François de Coincy aborde le libéralisme sous un angle bien moins théorique en proposant sept idées économiques concrètes et innovantes, toujours basées sur la liberté et la responsabilité, dont la mise en place donnerait à notre pays une dynamique nouvelle.
Loin de l’idée fausse du libéralisme du laissez-faire, les propositions de ce livre sont basées sur une politique d’incitations fortes qui laissent à tous la possibilité d’agir, de participer et d’innover. Dans une période où beaucoup de Français attendent des projets et des solutions nouvelles, chacun des chapitres expose une idée en rupture avec l’approche conventionnelle qui devrait nourrir le débat.
Les 7 idées libérales du livre
1 Le produit social
Concept totalement nouveau, le produit social, qui est une forme de charge sociale négative, permet de supprimer le chômage structurel et développer une dynamique d’entreprises en France.
2 L’investissement déductible
Une vision audacieuse et de long terme du résultat des entreprises, qui génère des emplois immédiats, nous procure des ressources dans le futur et rend la France attractive pour les investisseurs.
3 Les comptes bancaires sécurisés
Le développement et les conséquences d’une idée, déjà suggérée par Maurice Allais (prix Nobel), consistant à ce que les dépôts non rémunérés des clients des banques soient considérés comme faits à la Banque Centrale.
4 La libération du marché monétaire
Hormis les activités régaliennes, la finance est le grand secteur économique qui ne relève pas d’un marché libre. Il faut corriger cette situation qui génère des crises et occasionne des transferts injustifiés de valeur ajoutée vers le secteur bancaire au détriment de l’économie réelle.
5 La régionalisation de l’Education Nationale
Le monolithisme de l’Education Nationale ne lui permet pas d’évoluer pour assurer efficacement l‘éducation de nos enfants. En délégant totalement l’Education aux Régions on va libérer les innovations, les prises de responsabilité, et susciter une émulation dynamique.
6 L’écologie libérale
La monétarisation du carbone est effectivement une solution libérale car elle permet d’atteindre un objectif en laissant un choix aux acteurs économique ; mais il faut en contrepartie supprimer toutes les règles et contraintes de l‘écologie punitive, morale et inefficace.
7 La réforme des retraites
On ne peut pas avoir un accord libre quand les choses sont confuses. Il faut distinguer ce qui relève de la cotisation de ce qui relève du transfert social et que les cotisations payées reflètent réellement les avantages obtenus.
En conclusion
Les idées ci-dessus ne sont que des exemples d’une approche libérale qui est un art difficile : il n’y a pas de liberté sans règles, mais celles-ci doivent être un instrument de liberté
Anne-Marie Revol-Balleroy de France Infos a remarqué Alexandre Arditti parmi les premiers romans !
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Soirée de la Revue Natives : Rencontre- #conférence exceptionnelle avec Assossa, #Chamane Puvi-Pygmée du Gabon Assossa à l’Agora 64 rue du Père Corentin 75 014 Paris (inscription obligatoire par sms pour les journalistes 06 84 36 31 85 ; Pour les non journalistes, l’entrée coûte 40 euros et un abonnement à la revue Natives est offert)
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