Le paragraphe sur moi comme attachée de presse, écrit par François Kasbi dans le mensuel papier « Service littéraire » de mai à la fin de son article sur le Journal intime de Noureev écrit par mon auteure Marianne Vourch me va droit au cœur :
« (…) Comme on applaudit l’attachée de presse Guilaine Depis, qui défend ce livre avec l’énergie et la générosité qu’on lui connaît. Courageuse et intrépide, aussi, face à la bêtise – qui l’écarte du Marché de la Poésie (un de ses « budgets ») – pour avoir défendu Sylvain Tesson, dans la lamentable querelle du Printemps des poètes. Guilaine ne se paie pas de mots : elle acte la bêtise – et en fait une ennemie personnelle. Bien visé. » F.K