Carte blanche à Jean-Pierre Luminet (Halle Saint-Pierre)

Voici la présentation de la soirée, « Carte blanche aux écrivains fous de piano » (à 19h30, sur une idée de Catherine David), recopiée du site de la Halle Saint-Pierre, splendide lieu montmartrois dédié à l’art et à la pensée animé avec brio par Martine Lusardy   

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Carte blanche à Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, romancier, poète, pianiste…

Eléments biographiques

 

Recherches scientifiques, écriture et musique, l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet mène toutes ces activités avec une égale passion. Directeur de recherches au CNRS, spécialiste des trous noirs et de tout ce qui est invisible dans l’univers, il travaille aussi sur la mystérieuse théorie des cordes et sur les harmoniques du rayonnement fossile. Il a été maintes fois récompensé par des prix internationaux.

Son impressionnante bibliographie peut –être consultée sur le site  http://luth2.obspm.fr/~luminet/ . Elle contient à la fois des ouvrages théoriques sur les modèles d’univers ou la naissance des étoiles et des romans inspirés de l’histoire des sciences, dont les héros s’appellent Copernic, Galilée ou Newton.

Ce n’est pas un hasard si son laboratoire de recherches à Meudon a été baptisé le LUTH, car Jean-Pierre Luminet est aussi pianiste depuis l’enfance, et contrairement à la plupart d’entre nous il circule aisément entre le classique et le jazz, entre Thelonious Monk et Astor Piazzolla, Jean-Sébastien Bach et Franz Schubert. Il lui arrive aussi de composer et il nous en donnera des exemples, entrecoupés de lectures de textes et de poèmes.

 

A lire, son dernier ouvrage, paru en mai 2010 : Bonnes nouvelles des étoiles, Jean-Pierre Luminet et Elisa Brune (éd. Odile Jacob)

 

Dîner offert par Jean-Pierre Luminet et l’exquise poétesse Vivian Lofiego à « L’été en pente douce », 23 rue Muller et retour en Vélib. Pour le repas (souris d’agneau confite, purée, jus de cèpes), j’étais à côté d’Etienne Klein, autre physicien écrivain.

 

Sur « L’été en pente libre », on trouve sur internet :

 478234_430x.jpgUn bel ancrage près du Sacré-Coeur

Un jour, une ancienne boulangerie du début de siècle est transformée en restaurant. Entre déjeuner et dîner, le lieu devient salon de thé. Côté cuisine, découvrez grâce à Jean-Luc Brillet la diversité des champignons – vous les retrouverez même au dessert (aspelstruddel aux cèpes ou nougat glacé aux cèpes)-, mais aussi d’autres plats plus traditionnels de la cuisine française.

Côté décor, c’est un charmant bistrot parisien clair, situé à quelques pas du Sacré-Coeur, et surtout avec une terrasse mi-ombragée, mi-ensoleillée, donnant sur le parc de la Butte Montmartre. Un moment de détente assuré en période estivale…

« La Walkyrie » en direct du Met (New-York) au Gaumont Parnasse

WalkyrieMet01.jpgPremière fois que j’assiste depuis une salle de cinéma (le Gaumont Parnasse) à un opéra en direct de New-York

Recopé du site de La Croix : « La Walkyrie » clôt la saison du Met au cinéma

C’est avec une retransmission wagnérienne, en direct depuis le théâtre lyrique new-yorkais, que s’achève la saison 2010/2011 du Met sur grand écran.

Dans la mise en scène de Robert Lepage, James Levine dirige l’orchestre de la maison et un plateau de chanteurs de grand luxe.

 Sur l’affiche du spectacle, opulente chevelure rousse et visage altier, la soprano Deborah Voigt toise de son regard de Walkyrie le public venu en nombre écouter cette nouvelle production du Met. Il faut dire que le spectacle collectionne les « ingrédients » aptes à aiguiser l’appétit des amateurs. Extrait ICI.

Comme le prouvera sans doute la retransmission en direct samedi prochain 14 mai, dans les salles de cinéma de 44 pays différents – dont plus d’une centaine en France – la promesse d’excellence fut parfois tenue, parfois non.

 Au rang des déceptions, la mise en scène du Canadien Robert Lepage semble bien conventionnelle compte tenu du dispositif technique formidable dont elle bénéficie. Pourtant, le prélude laisse augurer du meilleur. Tandis que l’orchestre déchaîne un torrent de violence contenue et de passion à fleur de notes, les longues planches de bois mobiles qui sculptent le décor deviennent autant de sombres et gigantesques troncs d’arbres d’où émergera Siegmund fuyant ses ennemis.

 Cette forêt en marche est impressionnante, grandiose. Mais, si l’on excepte le rocher vu du ciel où s’endormira, à la fin de l’ouvrage, la Walkyrie rebelle, rares sont ensuite les images aussi spectaculaires. Comme si les idées avaient manqué au metteur en scène pour exploiter l’ingéniosité irréprochable de son outil mariant informatique et vidéo.

 LA DIRECTION DE JAMES LEVINE AVANCE SANS LOURDEUR

WalkyrieMet02.jpgQuelques images sont mêmes franchement ratées comme cet affreux fond vert salade qui accompagne de manière bien trop littérale le sublime chant du printemps au Ier acte.

Réserves aussi face au rôle-titre. Engagée, belle en scène en dépit de son costume sorti d’un film d’héroïque fantaisie pour adolescents – tous les protagonistes hors Sieglinde et la déesse Fricka, arborent cottes de mailles, armures passées au Miror et perruques aux boucles sauvages cascadant sur les épaules – Deborah Voigt n’a ni le timbre ni la ligne vocale rayonnante que l’on attend de Brünnhilde.

Sa vaillance certaine ne triomphe qu’aux dépens de la justesse parfois, du charme souvent, de la musicalité presque toujours. En revanche, ses sœurs les Walkyries ne sont jamais ces mégères glapissantes auxquelles nous condamne trop fréquemment la célébrissime Chevauchée. Prouvant que, bien chantée, cette page est d’une vigueur somptueuse mais non brutale.

Les spectateurs des salles de cinéma pourront goûter pleinement les atouts de la production. Déliée, colorée, soucieuse de ne jamais écraser les chanteurs sous le flot orchestral, la direction de James Levine est de celles qui avancent sans lourdeur, épousant l’élan dramatique. Peut-être, notamment au Ier acte, un zeste de lyrisme supplémentaire eût magnifié encore davantage l’émotion de cette partition incroyable. 

WalkyrieMet03.jpgD’autant qu’aux côtés de la frémissante Sieglinde d’Eva-Maria Westbroek, le magnifique – à tous les sens du terme – ténor Jonas Kaufmann incarne un Siegmund irrésistible. Pour sa prise de rôle, l’artiste traîne aussitôt tous les cœurs après soi. Son timbre sombre et pourtant irradiant creuse les notes graves tandis que les aigus éclatent comme des soleils, soudain voilés de nuances d’une douceur troublante dont il a le secret.

Autre « vedette » masculine de la Walkyrie , la basse Bryn Terfel campe un Wotan dont on ne doute pas une seconde qu’il est le dieu des dieux, le maître du tonnerre. Sa stature majestueuse s’accommode sans l’ombre d’un ridicule du costume « too much » dont il est revêtu. Sa voix mordante sur l’ensemble de la tessiture et sa diction superlative nourrissent le feu dont il enflamme son personnage de père sacrifiant successivement ses deux enfants.

WalkyrieMet04.jpgÀ la fin du IIIe acte, ses adieux à sa fille tant aimée sont à la fois superbes et bouleversants, laissant l’auditeur pantois. Et reconnaissant face à tant d’intense splendeur. Extrait 2 ICI

PROCHAIN ÉPISODE DE CE « RING » NEW-YORKAIS LE 5 NOVEMBRE 2011

On l’attend maintenant avec impatience dans Siegfried , le prochain épisode de ce Ring  new-yorkais, retransmis le 5 novembre 2011. Une séance parmi les onze que prévoie la 6e saison (2011/2012) de « The Metropolitan opera on the big screen » (le Metropolitan sur grand écran)… Elle s’ouvrira le 15 octobre sur Anna Bolena  de Donizetti, là encore avec une constellation lyrique !

WalkyrieMet05.jpgÀ voir la page consacrée au cycle de Wagner sur le site du Met, une mine de renseignements, de vidéos, d’interviews, où se perdre avec délectation. EMMANUELLE GIULIANI, à New-York

Le ballet du Théâtre Bolchoï « Don Quichotte »

Soirée AROP – Le ballet « Don Quichotte »

stebletsova-rebetskaya17-2_photo-haegeman.jpgdon-quichotte-bolchoi-ossipova-vassiliev_m.jpgExtraits 1 et 2

Présentation du site officiel :

BALLET EN QUATRE ACTES ET HUIT TABLEAUX

En écho aux célébrations de l’année France-Russie, le Ballet du Théâtre Bolchoï présente au Palais Garnier un double programme dans lequel se déploie toute la virtuosité de cette prestigieuse Compagnie.

Ludwig Minkus Musique
Marius Petipa et Alexander Gorski  Chorégraphie
Nouvelle version d’Alexei Fadeechev
Sergei Barkhin Décors
Costumes d’après Vasily Diyachkov
Tatiana Artamonova et Yelena Merkurova Réalisation

Orchestre Colonne
Pavel Sorokin  
Direction musicale

 

En écho aux célébrations de l’année France- Russie, et après les tournées du Ballet de l’Opéra de Paris en Russie, le Ballet du Théâtre Bolchoï présente au Palais Garnier un double programme.Flammes de Paris, créé en 1932, avait disparu de la scène avant d’être remonté par Alexei Ratmansky en 2008. Ce ballet, qui se situe pendant la Révolution française, met en scène de touchants pas de deux et de grands ensembles qui dévoilent une danse puissante et énergique. Grand ballet du répertoire classique, Don Quichotte fut créé par Marius Petipa sur la scène du Théâtre Bolchoï en 1869. Transmis par la tradition, revisité par Gorski, le ballet est présenté dans la version qu’Alexei Fadeechev imagina en 1999. S’inspirant des péripéties du héros de Cervantès, il permet d’apprécier toute la virtuosité de cette prestigieuse Compagnie.

 

Dire que le mot « bolchoï » signifie « grand » est un euphémisme. L’envergure du Théâtre Bolchoï de Moscou ne se traduit pas seulement en chiffres – le Ballet compte aujourd’hui 213 artistes -, mais elle est aussi de nature historique. Depuis la création d’une première troupe en 1776, le Bolchoï aura créé, renouvelé et développé un vaste répertoire dont le rayonnement est à jamais lié aux danseurs et chorégraphes qui furent de génération en génération ses figures mythiques et ses passeurs de mémoire. 

La tradition des échanges chorégraphiques entre l’Opéra de Paris et le Théâtre Bolchoï est elle aussi riche de presque deux siècles d’histoire. Depuis le début du XIXe siècle, les artistes moscovites ont toujours su éblouir le public français par leur art de la danse de caractère et par la vitalité d’une esthétique toute en souplesse et étirements. D’invitations ponctuelles au gré des contextes artistiques et politiques, ces échanges se sont transformés avec la déstalinisation en véritables relations bilatérales, 1956 marquant le début des tournées respectives des deux compagnies. Depuis, peu de saisons se sont écoulées sans que les solistes russes et français ne soient invités dans chacun des théâtres à l’occasion de galas ou de la reprise de grands classiques. La soirée d’« Hommage aux Ballets Russes » du 16 décembre 2009 a été à cet égard un grand sommet, rassemblant les étoiles de Moscou et de Paris. 

Si en cette année de célébration du dialogue « France-Russie », Paris a l’honneur d’accueillir le Ballet du Bolchoï, les publics de Novossibirsk et de Moscou pourront également découvrir quelques chefs d’œuvres du Ballet de l’Opéra, lors des tournées de ce dernier en septembre 2010 et février 2011. 

Soirée Jalons « Confessions d’une catho branchée » (Frigide Barjot)

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Ce soir, lancement du nouveau livre de Frigide Barjot chez Plon « Confessions d’une catho branchée » au Dôme du Marais, 53 bis rue des Francs-Bourgeois, 75004 Paris 

Présentation par l’éditeur Plon :

Frigide Barjot croit en Dieu : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Et prie la Vierge Marie avec son chapelet fluo. Pourtant, à première vue, sa Trinité à elle, c’était plutôt fêtes, alcool et rock’n roll. Jusqu’à son mariage avec Basile de Koch, la mort de ses parents et la naissance de ses enfants, Frigide était une catho light. Au tournant des années 2000, elle fait son coming out et vit désormais sa foi à 200 %, sans y voir de contradictionavec la fête, bien au contraire !
Cet ouvrage raconte son parcours de Saint-Tropez au Saint-Esprit, de Ruquier à Benoît XVI, de Jacques Chirac à Jésus-Christ. Et sa révolte actuelle contre la vulgate anticatho et pour la laïcité positive. Ses analyses cohérentes et argumentées sur le discours de l’Eglise catholique, qui s’élèvent contre les idées reçues dans une langue personnelle et incisive, rejoignent les questionnements actuels sur la religion et la spiritualité. Après la lecture de ce livre, on y croit. Sainte Frigide, priez pour nous !

Frigide Barjot est parodiste, chroniqueuse, première dame du groupe Jalons et chanteuse des Dead Pompidou’s. Elle est l’auteur de nombreux ouvrages commeJ’élève mon mari (Lattès) et le Manuel de survie de la femme moderne (Presses de la Renaissance). Habituée des plateaux télé (Ardisson, Ruquier, Taddeï) où elle a souvent exercé ses talents, elle est portée par des jambes interminables et une foi qu’elle affiche, comme ses T-shirts papistes, sans aucun complexe.

« Un fil à la patte » de Georges Feydeau à la Comédie Française

Dossier de presse

un-fil-a-la-patte-brigitte-enguerand-2.1292704329.jpgVu, « Un fil à la patte » de Georges Feydeau 

Extraits 1 et 2

dec0dc22-06ce-11e0-8097-d6a29e67fd7b.jpgRésumé recopié du site officiel :

Comment se débarrasser d’une maîtresse lorsqu’on prévoit de se marier le jour même avec une riche héritière ? Voici ce à quoi s’emploie Bois d’Enghien, amant de Lucette Gautier, chanteuse de café-concert, artiste réclamée par la baronne Duverger pour la signature du contrat de mariage de sa fille avec… Bois d’Enghien lui-même. L’amant ménage Lucette et déjoue la cascade d’événements et de quiproquos qui pourraient dévoiler son projet. Pour compléter le tableau : Bouzin, minable clerc de notaire et compositeur raté, le furieux général Irrigua, amoureux de Lucette prêt à tout pour conquérir la belle, et Viviane, la future mariée qui trouve son fiancé trop sage et rêverait d’un séducteur expérimenté, ainsi que quelques valets, rouages indispensables du vaudeville. Avec la participation de la Maîtrise des Hauts-de-Seine

Gala AROP : le ballet du Théâtre Bolchoï « Flammes de Paris »

Gala AROP – Ballet « Flammes de Paris » du Théâtre Bolchoï 

Extraits 12 et 3

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 Présentation du site officiel :

BALLET EN QUATRE ACTES ET SEPT TABLEAUX

En écho aux célébrations de l’année France-Russie, le Ballet du Théâtre Bolchoï présente au Palais Garnier un double programme dans lequel se déploie toute la virtuosité de cette prestigieuse Compagnie.

Boris Asafiev Musique
Alexei Ratmansky Chorégraphie
D’après Vasily Vainonen
Ilya Utkin, Evgeny Monakhov Décors
Yelena Markovskaya Costumes
Damir Ismagilov Lumières

Orchestre de l’Opéra national de Paris

Pavel Sorokin  Direction musicale


En écho aux célébrations de l’année France- Russie, et après les tournées du Ballet de l’Opéra de Paris en Russie, le Ballet du Théâtre Bolchoï présente au Palais Garnier un double programme.Flammes de Paris, créé en 1932, avait disparu de la scène avant d’être remonté par Alexei Ratmansky en 2008. Ce ballet, qui se situe pendant la Révolution française, met en scène de touchants pas de deux et de grands ensembles qui dévoilent une danse puissante et énergique. Grand ballet du répertoire classique, Don Quichotte fut créé par Marius Petipa sur la scène du Théâtre Bolchoï en 1869. Transmis par la tradition, revisité par Gorski, le ballet est présenté dans la version qu’Alexei Fadeechev imagina en 1999. S’inspirant des péripéties du héros de Cervantès, il permet d’apprécier toute la virtuosité de cette prestigieuse Compagnie.

 

Dire que le mot « bolchoï » signifie « grand » est un euphémisme. L’envergure du Théâtre Bolchoï de Moscou ne se traduit pas seulement en chiffres – le Ballet compte aujourd’hui 213 artistes -, mais elle est aussi de nature historique. Depuis la création d’une première troupe en 1776, le Bolchoï aura créé, renouvelé et développé un vaste répertoire dont le rayonnement est à jamais lié aux danseurs et chorégraphes qui furent de génération en génération ses figures mythiques et ses passeurs de mémoire. 

La tradition des échanges chorégraphiques entre l’Opéra de Paris et le Théâtre Bolchoï est elle aussi riche de presque deux siècles d’histoire. Depuis le début du XIXe siècle, les artistes moscovites ont toujours su éblouir le public français par leur art de la danse de caractère et par la vitalité d’une esthétique toute en souplesse et étirements. D’invitations ponctuelles au gré des contextes artistiques et politiques, ces échanges se sont transformés avec la déstalinisation en véritables relations bilatérales, 1956 marquant le début des tournées respectives des deux compagnies. Depuis, peu de saisons se sont écoulées sans que les solistes russes et français ne soient invités dans chacun des théâtres à l’occasion de galas ou de la reprise de grands classiques. La soirée d’« Hommage aux Ballets Russes » du 16 décembre 2009 a été à cet égard un grand sommet, rassemblant les étoiles de Moscou et de Paris. 

Si en cette année de célébration du dialogue « France-Russie », Paris a l’honneur d’accueillir le Ballet du Bolchoï, les publics de Novossibirsk et de Moscou pourront également découvrir quelques chefs d’œuvres du Ballet de l’Opéra, lors des tournées de ce dernier en septembre 2010 et février 2011. 

Muriel Mayette, Administrateur général de la Comédie française, et Les Valseuses

Café de Femmes 3000, au Flore de 19h à 20h30, avec ce mardi 3 mai pour invitée…

Muriel Mayette. Carrément celle qui m’a le plus subjuguée depuis que ces rencontres existent.

 

Sa présentation sur le site de Femmes 3000 :

 

Muriel_MAYETTE_3_email_petit.jpgMuriel Mayette est administrateur général de la Comédie Française, et première femme à diriger cette institution tricentenaire. Tombée dans la marmite théâtrale très jeune, lauréate du Concours du Conservatoire en 1982, elle fut engagée en 1985, à 21 ans à peine, au Français, où elle fut dirigée par Antoine Vitez et Jacques Lasalle. Elle a joué avec Jean-Paul Roussillon, J.L Boutté et bien d’autres. Elle a signé elle-même des mises en scène de Corneille, Thomas Bernhard, Shakespeare ou Marivaux, faisant rentrer au répertoire Koltès ou Dario Fo. Issue de la troupe, en connaissant bien les habitudes, elle est un administrateur apprécié et les dernières productions sont autant de gages de haute qualité artistique, comme de succès populaires.

Venez écouter une dame qui n’a pas froid aux yeux dès qu’il s’agit de promouvoir une certaine qualité française…

 

Les-Valseuses.jpgNB : Muriel Mayette est officier de l’ordre des Arts et Lettres. Petite curiosité : son poste d’administrateur fait d’elle le 39personnage de l’État par ordre protocolaire

 

Puis…

…Linguines aux palourdes, sauce à l’ail et piments ici