Soirée Poésie autour de Socotra le 12 juin

Dans le cadre de l’exposition « Socotra, des dragonniers et des hommes » du photographe Benoit Palusnski
 
La poète Cécile Palusinski vous invite à une
 
Soirée Poésie avec Eric PoindronSaphoCharlotte SaliouPrince Roro
et Mohammed Jumeh, ambassadeur du Yémen à l’UNESCO
 
Mercredi 12 juin dès 18h30 
 
à La Louisiane, 60 rue de Seine, 75 006 Paris
Inscriptions par sms 06 84 36 31 85

Rencontre Biodiversité autour de Socotra le 8 juin

Dans le cadre de leur exposition « Socotra, des dragonniers et des hommes »
 
Benoit et Cécile Palusinski vous invitent à une
 
Rencontre biodiversité avec 
Leili Anvar (« L’arbre de vie en littérature persane »), 
Françoise Cadol (podcast « Le frisson des arbres ») 
et Charles Cohen (forestier) …
 
Samedi 8 juin de 16h à 20h 
 
à La Louisiane, 60 rue de Seine, 75 006
Inscription par sms 06 84 36 31 85

Soirée Vernissage « Socotra, des dragonniers et des hommes » (exposition du 5 au 14 juin 2024)

Vernissage « Socotra, des dragonniers et des hommes »
de Benoit Palusinski et Cécile Palusinski
en présence de Mohammed Jumeh, ambassadeur du Yémen à l’UNESCO
Mercredi 5 juin dès 18h30
 
à La Louisiane, 60 rue de Seine, 75 006.
* entrée libre à l’exposition du 5 au 14 juin de 17h à 20h.
Inscription par sms 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com

Soirée « La République au coeur » avec Laurent Benarrous et Eric Naulleau le 18 juin à 19h

Invitation Mardi 18 juin à 19h
 
Rencontre littéraire La République au coeur
 
avec Laurent Benarrous (« Tintamarre », éditions La Route de la Soie) 
et 
Eric Naulleau (« La République c’était lui ! », éditions Léo Scheer) 
animée par Guilaine Depis
 
Suivie d’un débat autour d’un verre
au 8 rue Dahomey 75 011 Paris
*** 
Inscription par sms 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com

Durant l’exposition « Socotra », plusieurs soirées vous sont proposées

Pour télécharger le PDF de ces trois événements, merci de cliquer ICI

Trois événements « Socotra, des dragonniers et des hommes » auxquels vous êtes invités durant l’exposition de Benoit et Cécile Palusinski

En juin 2024, la Balustrade de Guilaine Depis vous invite à trois événements parisiens : 

Vernissage de l’exposition « Socotra, des dragonniers et des hommes » du photographe Benoit Palusinski avec textes de l’écrivain Cécile Palusinski (beau livre paru cette année) en présence de Mohammed Jumeh, ambassadeur du Yémen à l’UNESCO
Mercredi 5 juin dès 18h30
 
Rencontre biodiversité avec Leili Anvar (« L’arbre de vie en littérature persane »), Charles Cohen, forestier à Paris après avoir exercé ce métier méconnu dans le nord de la Colombie britannique, Françoise Cadol (podcast « Le frisson des arbres »)
Samedi 8 juin de 16h à 20h 

Soirée Poésie avec Eric PoindronSaphoCharlotte SaliouPrince Roro
Mercredi 12 juin dès 18h30 
 
à l’Hôtel La Louisiane, 60 rue de Seine, 75 006 Paris au coeur de Saint-Germain des Prés.
* entrée libre à l’exposition du 5 au 14 juin de 17h à 20h.
 
Inscription par sms 06 84 36 31 85.
Contact presse, informations, journalistes, demandes de livres et d’interviews : guilaine_depis@yahoo.com

Cinq événements Balustrade de juin 2024 auxquels vous êtes invités

Pour télécharger le PDF des 5 soirées de juin, merci de cliquer ICI

En juin 2024, la Balustrade de Guilaine Depis vous invite à cinq événements parisiens : 
Vernissage de l’exposition « Socotra, des dragonniers et des hommes » du photographe Benoit Palusinski avec textes de l’écrivain Cécile Palusinski (beau livre paru cette année) en présence de Mohammed Jumeh, ambassadeur du Yémen à l’UNESCO
Mercredi 5 juin dès 18h30
 
Rencontre biodiversité avec Leili Anvar (« L’arbre de vie en littérature persane »), Charles Cohen, forestier à Paris après avoir exercé ce métier méconnu dans le nord de la Colombie britannique, Françoise Cadol (podcast « Le frisson des arbres »)
Samedi 8 juin de 16h à 20h 

Soirée Poésie avec Eric PoindronSaphoCharlotte SaliouPrince Roro
Mercredi 12 juin dès 18h30 
 
à l’Hôtel La Louisiane, 60 rue de Seine, 75 006 Paris au coeur de Saint-Germain des Prés.
* entrée libre à l’exposition du 5 au 14 juin de 17h à 20h.
***
Mardi 18 juin à 19h
Rencontre littéraire La République au coeur
avec Laurent Benarrous (« Tintamarre », éditions La Route de la Soie) 
et 
Eric Naulleau (« La République c’était lui ! Grandeur et déchéance du camarade Mélenchon », éditions Léo Scheer) animée par Guilaine Depis
Suivie d’un débat avec le public, de dédicaces et d’un verre de vin
au 8 rue Dahomey 75 011 Paris
*** 
Mercredi 19 juin Journée Edith PIAF avec le « Journal intime d’Edith Piaf » écrit par Marianne Vourch (coédition Villanelle et Radio France)
à 15h pour les enfants et centres de loisirs et à 18h30 pour les adultes
à la Mairie du 7ème (Salle des Mariages) 116 rue de Grenelle 75 007 Paris
 
Inscription par sms 06 84 36 31 85.
Contact presse, informations, journalistes, demandes de livres et d’interviews : guilaine_depis@yahoo.com

Exposition « Socotra, des dragonniers et des hommes » (Paris 6ème) et trois soirées événements du 5 au 14 juin 2024

L’exposition « Socotra, des dragonniers et des hommes » (photographies de Benoit Palusinski, textes de Cécile Palusinski) aura lieu du 5 au 14 juin 2024 au coeur de Saint-Germain des Prés, à l’Hôtel La Louisiane (tous les jours de 17h à 20h) 60 rue de Seine 75006 Paris.

Vernissage mercredi 5 juin à 19h

Rencontre Biodiversité samedi 8 juin à 16h avec Leli Anvar à 18h « L’arbre de vie en littérature persane », Charles Cohen, forestier à Paris après avoir exercé ce métier méconnu dans le nord de la Colombie britannique, Françoise Cadol (podcast « Le frisson des arbres »)

Soirée Poésie mercredi 12 juin à 19h avec Eric Poindron, Sapho, Charlotte Saliou, Prince Roro…

Inscriptions obligatoires pour les 3 événements par sms 06 84 36 31 85

Contact presse : guilaine_depis@yahoo.com 

 

« ambitieux » : le roman d’Alexandre Arditti sur Mark Zuckerberg

L’assassinat de Mark Zuckerberg, par Alexandre Arditti

Créé en 2004, Facebook connecte aujourd’hui presque trois milliards d’humains à travers le monde, ce qui suscite à la fois passions et critiques. Accusé de manipuler les données, de voler du temps de vie, Mark Zuckerberg laisse rarement indifférent. Journaliste et éditeur de presse, Alexandre Arditti a, lui, imaginé le meurtre de l’entrepreneur, à travers un polar bref, sec, au titre programmatique. Par Étienne Ruhaud.

Tueur d’un certain âge, face à un flic lui-même d’un certain âge, Travis tente de justifier son crime par des motivations idéologiques profondes, sous l’œil désabusé du commissaire Gerbier et de ses collègues. À mi-chemin entre le thriller et la pièce de théâtre, faisant la part belle aux dialogues, L’assassinat de Mark Zuckerberg demeure assez concis, tout en embrassant un certain nombre de grandes thématiques contemporaines.

Un meurtre

Paris, de nos jours. L’actualité est marquée par une série de scandales, d’affaires de corruption, et par l’assassinat de diverses personnalités : les ex-présidents François Hollande et Donald Trump, Angela Merkel, Jeff Bezos, le PDG d’Amazon, etc. Alors en France, Mark Zuckerberg, donc, est exécuté par balles au début de sa conférence, dans un amphithéâtre de la Sorbonne.

Immédiatement arrêté, Patrick Travis, la cinquantaine, passe rapidement aux aveux, face à Gerbier, divorcé, sans grandes illusions quant à la condition humaine. S’ensuit un long dialogue entre deux hommes d’une même génération.

Supérieurement intelligent, opposé aux réseaux sociaux, sources de divertissement et de manipulation, Travis apparaît rapidement comme une sorte de vieux con légèrement dépassé ; incapable d’accepter la modernité, la venue (inéluctable, selon Gerbier), du transhumanisme. Membre du groupe militant Table rase, Travis souhaite ainsi une sorte d’impossible retour en arrière, et se heurte aux oppositions, aux doutes de son interlocuteur. La fin du roman réserve une surprise singulière aux lecteurs.

Un roman théâtral et métaphysique

Faisant la part belle aux dialogues, Alexandre Arditti nous offre donc ici une fiction quasiment théâtrale, et qu’on imaginerait volontiers portée sur scène.

L’essentiel du livre est ainsi constitué par une conversation, à bâtons rompus, entre Gerbier et Travis, chacun portant la contradiction à l’autre, tout en vidant une bouteille de whisky. Pour un peu, nous pourrions évoquer Garde à vue, le fameux film de Claude Miller mettant en scène Michel Serrault, Lino Ventura et Guy Marchand.

Loin d’être terre-à-terre, les propos ici tenus approchent pourtant de la réflexion sociétale et philosophique. S’écharpant sur de grandes questions, Gerbier et Travis semblent partager le même désabusement. À cette différence près que Gerbier se révèle totalement fataliste, acceptant passivement l’évolution d’un monde qui lui déplaît, quand Travis, mégalomane, pense pouvoir inverser le cours des choses, lutter (entre autres) pour la démocratie.

Bref mais ambitieux

Court, concis, composé de petits chapitres, chacun portant un titre, L’assassinat de Mark Zuckerberg vaut aussi par un suspense maintenu de bout en bout, jusqu’à la surprise finale, à l’ultime retournement.

Écrit dans un style à la fois sobre et efficace, typique du genre polar, L’assassinat de Mark Zuckerberg paraît très (trop ?) ambitieux. En évoquant un groupe terroriste lambda, sorte d’« Extinction/rébellion » en plus violent, Alexandre Arditti illustre aussi les débordements auxquels peut aboutir l’idéologie anti-progrès, luddite.

Le propos s’avère donc, en soi, intéressant, car original. On pourrait toutefois faire reproche à l’auteur de ne pas approfondir suffisamment, d’avoir voulu viser trop haut, sans pour autant développer. Dès lors, il s’agit d’accepter un parti, un choix sans doute discutable d’économie narrative.

Cette histoire est une fiction, une parabole, presque une dystopie, selon les propres termes d’Alexandre Arditti, interviewé par Marc Alpozzo pour le magazine Entreprendre.