A paraître : « La femme aux cicatrices – Survivante de l’inceste »
le second livre de Kathya de Brinon aux éditions Maia.
Pour le recevoir en service de presse, interviewer l’auteur, contact guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85
Année 1980. Kathya rencontre l’homme de sa vie. Julien était en instance de divorce et père de deux jeunes enfants dont il avait la garde. Sa femme, qui l’avait quitté, ne verra pas d’un bon oeil l’arrivée de la jeune femme et de son fils. Un roman noir va alors commencer. Mariage, naissance d’Alexandra et fratrie recomposée apporteront la sérénité au jeune couple. Le départ de leur fille aînée âgée de 18 ans fera voler en éclat son bonheur. Le départ des autres enfants, au fil des ans, détruira Kathya et ses illusions. Seuls l’amour de Julien et sa réussite dans la presse donneront un sens à sa vie. Un autre viol, des tentatives de suicide, des cauchemars, des amnésies et des dépressions la conduiront à un internement volontaire en psychiatrie. L’abandon de ses enfants, le déni de sa mère quant à l’inceste commis par son père, puis des écrits abjects de sa fille devenue psychologue clinicienne, amèneront Kathya à une ultime mais positive révolte. Ses enfants lui avaient affirmé qu’ils auraient souhaité avoir une « maman comme les autres ». Mais toutes les mamans n’ont pas subi l’inceste et la prostitution infantile, et n’ont pas commencé leur vie de jeune couple avec trois enfants à élever. Après avoir écrit son histoire, elle crée l’association « SOS Violenfance » consacrée à la prévention de l’inceste et de la pédocriminalité. Kathya se bat pour préserver l’enfance en danger. Son leitmotiv : « Il vaut mieux prévenir plutôt que de tenter de guérir ».
L’auteur : Après des études de Droit et de Psychologie, Kathya de Brinon a étudié le journalisme. Elle enseignera pendant plusieurs années avant de trouver sa voie dans la presse professionnelle lorsqu’elle sera nommée rédactrice en chef d’une revue spécialisée en électronique.
Puis elle créera sa société d’édition afin de lancer la première revue bilingue dans ce domaine. Créée en 2019, l’association « SOS Violenfance » sera son ultime combat contre les pédocriminels.
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