« La France mafieuse » de Gérald Pandelon et Paul-François Paoli, parution le 10 janvier 2019 chez Max Milo

« La France mafieuse » de Gérald Pandelon et Paul-François Paoli,

Parution le 10 janvier 2019 chez Max Milo

à réclamer en service de presse à Guilaine Depis : 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

Gérald Pandelon est actuellement l’avocat de 200 grands bandits en France.
A travers une série de témoignages de gros voyoux ou d’ex-voyous qui évoquent leurs trafics, l’auteur campe le panorama d’une France mafieuse hallucinante, où l’Etat et les Politiques acceptent l’emprise des mafias en échange d’une prétendue paix sociale.
Juriste et politologue tout autant qu’avocat pénaliste renommé, passionné de philosophie politique, il a été l’élève de Jean-François Mattei à Science-Po, Gérald Pandelon connait parfaitement les arcanes du milieu du grand banditisme et en particulier du milieu marseillais aujourd’hui. Un milieu dangereux tiraillé par la lutte que se livrent les gangs souvent issus des vagues d’immigrations successives pour le contrôle des divers trafics, notamment celui du cannabis.
Il a conduit et guidé le journaliste Paul-François Paoli du Figaro, natif de Marseille, à la rencontre de ces voyous dont certains restent discrètement  » en activité « . Il lui a ouvert les portes de quartiers comme La Castellane ou Félix Pyat où la police n’entre que précautionneusement et où le trafic de drogue (cannabis, cocaïne…), qui se déroule au sus et au vu de tous, rapporte aux dealers des quartiers des sommes faramineuses tandis que la classe politique regarde ailleurs.
A la fois témoignage d’un avocat, reportage de terrain et enquête sociologique, ce livre contient des portraits et des entretiens terrifiants sur la dérive de quartiers en France, de zones de non droit, ainsi que des histoires inédites de voyous sur leurs activités. Il dresse un état des lieux plus qu’alarmant sur la démission de l’Etat et la corruption d’une classe politique locale qui accepte l’emprise des mafias en échange d’une prétendue  » paix sociale « . La peur, résignation, l’intérêt à court terme, ont-ils définitivement gagné les Politiques ? C’est la question que pose ce livre qui fera date.

Wukali distingue Aurélia Gantier avec un bel article

Les Volponi, une saga d’Aurélia Gantier sur Wukali

Premier volume excellent d’une saga familiale dont on attend déjà la suite…! 

A Sicilian family in Tunisia

Voilà le premier volume de ce qui sera une trilogie, la trilogie de la famille Volponi et à travers eux l’histoire d’une communauté bien spécifique, prise dans les vicissitudes de l’Histoire (Histoire avec une majuscule, car les membres de la famille ne sont rien, impuissants face au rouleau compresseur des faits, de l’évolution politique de leur environnement sur lequel ils n’ont strictement aucune prise). Soit, ce thème est connu, d’ailleurs les sagas familiales sont toutes plus ou moins une libre variation dessus : montrer l’évolution d’une famille, d’un groupe, d’une « communauté » à travers une période de temps plus ou moins longue. Songeons à La chroniques des Pasquier de Duhamel, aux Grandes familles de Druon sans parler des Hommes de bonne volonté de Roland.

Aurélia Gantier fait preuve d’originalité au niveau de la communauté (à travers une famille) bien spécifique et fort peu étudiée tant en littérature qu’au niveau des historiens : les Siciliens en Tunisie. On peut trouver des milliers de livres, d’études sur l’immigration italienne en général et sicilienne en particulier en France (essentiellement dans le nord ou le sud-est) mais je n’en connais aucune sur celle en Tunisie, alors protectorat français.

Au début du XX siècle, Filippo Panzone épouse Rita, et très vite ils fuient la misère sur la petite île de Pantelleria. Ils traversent la Méditerranée pour la Tunisie. Là, à force de travail, ils finissent par obtenir une certaine aisance. Il faut dire que Rita est une « maîtresse femme » au caractère bien affirmé et avec un grand sens des affaires qu’elle mène de main de maître malgré ses sept grossesses et autant d’enfants à élever. Soit, ils sont quelque peu laissés à eux même, sauf les filles, car se sont des filles et leur destin et tout tracé, rester et entretenir leur futur foyer. Pas la peine qu’elles aillent à l’école, elles seront toutes analphabètes.

La saga commence en 1947, quand la petite dernière, Crocefissa, la préférée de son papa, la plus belle de la fratrie, est une adolescente qui biaise, ment pour aller rejoindre l’homme qu’elle aime : Marcello Volponi. Ce dernier, fils unique du forgeron, élevé et adulé par sa tante est un jeune homme de 19 ans, caricature de l’Italien, ne s’occupant que de son apparence et de ses conquêtes féminines : un hédonistes doté d’un égoïsme à toute épreuve.

Crocefissa finit par tomber enceinte, sa famille fait pression sur Marcello pour l’obliger de l’épouser alors qu’il ne l’aime pas. De fait, s’il lui fait quatre enfants en tout, il est très souvent absent, plus occupé à s’amuser avec ses amis et ses conquêtes que de s’occuper de sa famille. La première enfant, Rosaria, l’enfant du péché, est de fait élevée par la voisine (et non moins maîtresse de Marcello) qui est bien plus affectueuse avec elle que ses parents génétiques. Ce n’est que quand elle est atteinte de poliomyélite qu’ils s’impliquent pour elle.

Les événements politiques rattrapent la famille, Marcello part en précurseur en France pour trouver du travail et un logement. Cette première partie s’achève sur le bateau qui amène Crocefissa et leurs enfants le rejoindre.

A travers cette famille, essentiellement autour des personnages de Rita, Crocefissa et Rosaria, Aurélia Gantier nous décrit la vie de cette petite communauté en Tunisie juste après la Seconde Guerre mondiale. On leur fait comprendre à l’Indépendance qu’ils ne sont pas tunisiens, mais si les enfants sont français par le droit du sol, qu’en est-il des plus anciens ? Ils ne se sentent plus italiens (siciliens oui, mais pas italiens, mais ont oubliés leurs racines matérielles), et leur univers, leur vie est leur village en Tunisie. Et même la France, personne ne sait ce qu’elle est vraiment, il y a bien sûr le mythe de Paris mais il y fait froid et il n’y a pas la mer. La métropole est une vraie « terra ingonita » pour eux. Ils se vivent comme siciliens (avec sa culture, ses codes sociaux) mais sûrement pas comme français, italiens ou tunisiens. Ils sont quelque peu « hors-sol ».

Et que dire de cette culture qui semble sortie d’une autre époque ; société machiste, la femme n’est rien, juste bonne à engendrer et à s’occuper de son maître, elle ne dispose d’aucune liberté autre que celles données par leurs pères puis par leurs maris, une culture fondée sur les apparences physiques et sociales dans laquelle le « qu ’en-dira-t-on » a force de loi. Soit Rita domine tout le monde, mais elle sait s’effacer quand il le faut. Des rapports sociaux, de fait, très violents. Les femmes en sont les victimes, mais les hommes aussi quand leur »honneur » et leur « réputation » est en jeu. Le libre arbitre, la volonté individuelles sont des concepts totalement inconnus. Et pourtant, chacun semble heureux dans cet univers, ils acceptent leur place dans la société et font tout pour y trouver le plus de bonheur possible. L ’arrivée dans la France de la fin des années 50 risque d’être dure.

Cette saga, indéniablement inspirée par la famille d’Aurélia Gantier (je soupçonne fortement Rosaria d’être sa mère), nous fait découvrir un pan de notre histoire quelque peu méconnu. Vivement la suite !

Émile Cougut


Les Volponi
Aurélia Gantier

éditions Une heure en été. 16€50

 

Un Beau « Prince de Galles » sur Le Nouveau Cénacle, par Julien Leclercq

Un Beau « Prince de Galles » sur Le Nouveau Cénacle, par Julien Leclercq

Raphaël Passerin publie Prince de Galles aux éditions Valeurs d’Avenir, un premier roman entraînant au cours duquel les voyages, le monde de l’édition et la quête de soi sont entremêlés.

Nous achetons des livres et les lisons, sans nous soucier de la langue originelle, c’est-à-dire la matière brute dans laquelle l’œuvre a été confectionnée. Le succès croissant de la littérature étrangère a tendance à nous faire oublier que ces romans ont été composés dans un autre langage, avec d’autres codes qu’il a fallu adapter aux nôtres. Nous faisons même fi d’un précieux intermédiaire sans qui la circulation des livres serait impossible, à savoir le traducteur.

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L’histoire de Samuel Papernick, traducteur de romans sentimentaux qu’il réécrit pour en faire des succès littéraires, est en cela notable. Avec légèreté, Raphaël Passerin nous décrit la trajectoire de cet orphelin amoureux des langues étrangères qui, après une chute dans un escalier, est frappé d’amnésie.

En se réveillant, Papernick ne sait plus l’anglais et doit donc se réinventer. Se traduire une nouvelle personne. S’assumer en devenant un autre. N’est-ce pas le fondement de toute entreprise littéraire ?

Traduction des livres, traduction de soi

L’auteur nous le confirme au cours du roman : « Alors Samuel reprend espoir. Au fond, traduire était une forme de lâcheté, une façon de vivre en sociétaire des lettres par procuration en faisant le cabot planqué derrière les mots des autres ».

On devine l’ombre de Jorge Luis Borges derrière ces mots. L’argentin était non seulement un génie de la littérature, mais aussi un immense traducteur. Il estimait qu’une œuvre était toujours à réécrire. En cela, l’oeuvre du traducteur est un rouage essentiel de la littérature, parce qu’elle permet toujours de recomposer un texte. Il l’affirme sans ambages : « L’idée de texte définitif relève de la religion ou de la fatigue ».

Raphaël Passerin semble connaître parfaitement la problématique, et distille son hypothèse tout au long d’un récit enlevé et plein d’humour. Pour son personnage, ne plus pouvoir traduire revient à se trahir. La paranomase italienne « Traduttore, traditore » souligne d’ailleurs le lien étymologique entre la traduction et la trahison : lorsque Perpenick se trouve impuissant au niveau de la re-création, il perd son essence. L’auteur suggère en creux que la langue qui nous est la plus étrangère, c’est notre être. Notre essence. Finalement, Prince de Galles pourrait être un hommage à Marcel Proust, qui déclarait :  «Le seul vrai livre, un grand écrivain n’a pas à l’inventer (…) mais à le traduire. Le devoir et la tâche d’un écrivain sont ceux d’un traducteur.»

Le « Que sais-je ? » de Maître Pandelon sur « Le métier d’avocat » annoncé dans Livres Hebdo

Par Pauline Leduc, le 30.11.2018JUSTICE

La parole aux avocats

Alors que le projet de réforme de la justice est actuellement examiné à l’Assemblée nationale, plusieurs avocats prennent la plume pour raconter leur métier et les affaires qui les ont le plus marqués. Françoise Cotta, avocate pénaliste de renom, revient sur sa carrière dans La robe noire (Fayard, 16 janvier), tout comme Nicolas Gardères, qui livre, le même jour, Voyage d’un avocat aux pays des extrêmes(L’Observatoire). Dans ce document, celui qu’on décrit fréquemment comme l’avocat d’extrême gauche qui défend l’extrême droite explique comment il défend en premier lieu la liberté d’expression et les libertés fondamentales. Le lendemain, Fabienne Roy-Nansion, plusieurs fois bâtonnière du barreau dans le Nord, raconte dans Droit au cœur (Michel Lafon) les grandes affaires qu’elle a traitées – notamment le procès Outreau – et la misère des oubliés de la France périphérique. Richard Malka et Georges Kiejman livrent dans Eloge de l’irrévérence (Grasset, 13 février) leurs plaidoiries du procès du journal satirique Charlie Hebdo en 2007 dans lesquelles ils prônent le droit de se moquer des idées et des religions. Enfin, pour mieux comprendre l’histoire de la profession et de ses coutumes, on se plongera dans le « Que sais-je ? » inédit signé par Gérald Pandelon sur Le métier d’avocat en France (Puf, 20 février). Pauline Leduc

Un écrivain du Québec surfe sur la vague Sylvie-Johnny en France

Un écrivain du Québec surfe sur la vague Sylvie-Johnny en France

Marie Desjardins est un écrivain prolifique dont on parle peu au Québec. Auteur de romans, biographies, essais et divers articles, elle vient de faire paraître Ambassador Hotel, une fiction sur la dernière tournée d’une rock star, qui, en France a récolté une kyrielle de critiques élogieuses. (À lire l’article de La Métropole*).  Débarquant à Paris cet automne pour promouvoir ce livre sur le rock, Marie Desjardins s’est sans s’y attendre retrouvée en plein tourbillon médiatique. Toute la presse, attendant la sortie d’un CD posthume, était tournéesur Johnny, le seul et unique. Une déferlante qui a fait ressurgir dans les rédactions le seul et unique roman jamais écrit sur les amours du chanteur avec sa première femme : Sylvie Johnny Love Story. Lire la suite ici : http://lametropole.com/arts/litterature/un-ecrivain-du-quebec-surfe-sur-la-vague-en-france/?fbclid=IwAR0OcfcaYeIO3w2z9baux6us7t8nNWe6VbCzH5NHIU_dFxSGHAchDiz6iSg

Inauguration du 1er Cooliving de France Jeudi 13 décembre à 18H30

Inauguration du 1er Cooliving de France Jeudi 13 décembre à 18H30

Deux ans de préparation, un nouveau concept et surtout un nouveau lieu dédié à la colocation : Cooliving ouvre ses portes au 46, rue d’Étigny à Pau.
1ère colocation de ce type en France, le projet a été créé en partenariat avec deux grands acteurs du tissu économique Palois : l’ESC Pau BS et le Groupe Essor.

Cooliving, c’est la colocation affinitaire Paloise, qui s’inspire du modèle du Coliving, sur un mode 2.0 avecune infrastructure et des services entièrement adaptés au quotidien d’une communauté.

Un immeuble entier réhabilité

L’aventure Cooliving a débuté avec la réhabilitation d’un immeuble de 280 m2, situé au 46, rue d’Etignyà Pau. Totalement rénové, cet immeuble a permis la création de 9 chambres meublées, allant de 9 à 12 m2; ainsi que d’espaces mutualisés à l’échelle de l’immeuble: cuisine, salle à manger, salon, bibliothèque. L’objectif ? Proposer aux étudiants et jeunes actifs aux profils sociables, des lieux adaptés.L’aménagement a été défini en priorité avec l’ESC Pau BS et ses étudiants, pour innover et adapter le bien, tout en proposant des services à la carte.

Une colocation conçue pour créer du lien

Cooliving a été conçu pour favoriser au maximum les échanges entre les étudiants et les jeunes actifs, en mettant à disposition des lieux propices à la création du lien, au partage et au rassemblement. La maisonnée se compose de parties communes diverses : un espace de coworking pour favoriser lepartage d’expérience et l’entraide académique, ou encore un foyer et une salle de cinéma pourencourager l’échange social.

Des colocataires choisis par affinités

Intégrer Cooliving, c’est vivre avec des colocataires dont les affinités et les centres d’intérêts matchent. De ce fait, et pour renforcer l’expérience client, Cooliving met en place une sélection de candidats par le biais de la cooptation. Les équipes de Cooliving valident le dossier administratif du candidat, puis, ce sont les colocataires qui se choisissent entre eux.

Le projet s’inscrit dans une politique économique locale, et une démarche de redynamisation du centre- ville Palois, en proposant un logement étudiant innovant et collaboratif. Innover en matière de logement partagé, représente de réels enjeux pour remédier à un problème de société comptemporain : la solitude.

Finalement, Cooliving, c’est vivre avec sa bande de potes en partageant un immeuble entièrement adapté à ses besoins et à son quotidien. Plus qu’un simple logement avec des services, c’est une expérience de vie sociale et affinitaire.

Rendez-vous pour l’inauguration le jeudi 13 décembre 2018 à 18h30 au Tem’Pau Bar, 15 rue d’Etigny à Pau.

Allez viens, on est bien !

A PROPOS DE MEHDI TOULLEC, fondateur de Cooliving :

Diplômé d’un Master à l’ESC Pau et ayant fait ses armes chez Météorage, Mehdi Toullec,entreprend à 26 ans un nouveau type d’habitat partagé : le Co-living. Il revisite la colocationgrâce à un concept affuté qu’il a construit tout au long de sa vie étudiante et de sesexpériences à l’étranger.

Contact Presse :
Mehdi TOULLECmehdi.toullec@cooliving.fr

En savoir plus :
Cooliving : www.cooliving.fr / ESC PAU BS – Cooliving : www.esc-pau.fr/cooliving.html

A PROPOS D’ESSOR :

Entreprise familiale, Essor est un constructeur d’immeubles à usage professionnel structuré autourde 5 métiers : développement de programmes immobiliers, construction clé en main, maîtrised’œuvre, ingénierie agroalimentaire, ingénierie de financement. Créé en 2006 par DavidPouyanne, puis rebaptisé en juin 2017, le groupe Essor s’est d’abord appelé DPG puis Groupe DPG DELTA avec le rachat du groupe Delta. Bénéficiant aujourd’hui de 10 implantations en France, legroupe Essor emploie 150 personnes pour un chiffre d’affaires de 72M€ en 2017. Le groupe Essorcompte plus de 2250 réalisations à son actif, dont quelques réalisations emblématiquesrécompensées aux Pyramides d’Argent de la FPI et aux Green Solutions Awards 2018. La Directiongénérale du groupe Essor se situe à Paris.

En savoir plus :https://www.essor.group

Communiqué_de_presse_Cooliving13122018

L’émission « Bibliomanie » de Valère-Marie Marchand sur Radio Libertaire reçoit Aurélia Gantier

Jeudi 29 novembre, entre 15h et 16h30, les histoires de famille vous donnent rendez-vous sur les ondes libertaires. Au menu de l’émission Bibliomanie (Radio Libertaire 89.4 FM) : Rodolphe Trouilleux nous présentera, jusqu’à 16h, le journal des frères Goncourt à l’occasion de la publication de « Deux sous de Vérité, perles du journal » une édition présentée et établie par ses soins pour Le Castor Astral. En seconde partie d’émission, à partir de 16 h, place au premier volume d’une saga familiale : « Les Volponi, genèse tunisienne » le second roman d’Aurélia Gantier qui vient de paraître aux éditions Une heure en été. Une toute nouvelle maison d’édition dont nous parlerons aussi … Bonne écoute (et lecture) à tous !

Essor lance le Parc de la Fontaine Cypierre à Gonesse

Essor lance le Parc de la Fontaine Cypierre à Gonesse

Le Groupe Essor s’est jusqu’à présent principalement fait connaître pour ses réalisations en régions.Aujourd’hui, Essor relève le challenge de devenir l’un des acteurs majeurs de l’immobilier d’entrepriseen Île-de-France !

Fort d’un premier chantier industriel d’envergure en cours à Roissy, Essor poursuit son développement en Île-de-France avec un projet stratégique de transformation urbaine dans le Val d’Oise.
C’est dans la Communauté d’agglomération Roissy Pays de France et la ville de Gonesse qu’EssorDéveloppement ayant remporté un appel d’offre vient de déposer un permis de construire. Les travauxcommenceront en 2019 pour une livraison en 2020.

Un patrimoine mis en valeur

Marquée par une histoire urbaine forte, cette commune francilienne laissait apparaître une ancienne usine Paul Prédault en friche. Réinventer cet espace, le réinvestir est le défi relevé par Essor. En tant quemaître d’ouvrage de l’opération, Essor se réjouit d’avoir imaginé un rêve en train de se concrétiser : celui de participer à l’attractivité et au dynamisme de la ville de Gonesse.

Un projet à fort impact : 7 600m2 repensés pour dynamiser un territoire

La singularité du projet porté par Essor réside dans son côté résolument urbain, durable et esthétique :l’objectif est d’inscrire les deux bâtiments d’activités (5 400 m2) et celui de bureaux (2 200 m2) qu’il s’apprête à construire dans l’écosystème local.
Situé à deux pas de l’aéroport de Roissy, de celui du Bourget et de Villepinte dans une zone où sontinstallées des sociétés leaders de l’événementiel, ce parc est attendu par les entreprises déjà présentes dans l’agglomération qui pourront y nouer des relations en bonne intelligence.

FICHE TECHNIQUE DU PROJET :
Maître d’Ouvrage : Essor Développement
Maître d’Œuvre : Essor Ingénierie
Architecte : Atelier Arago
Surface : 7 561 m2
Début des travaux prévu au premier semestre 2019

Anticiper l’immobilier de demain

La puissance du groupe Essor consiste à offrir des prestations multiples et sur mesure pour ses clients privés, comme pour les collectivités locales.
En tant qu’interlocuteur unique, Essor propose un accompagnement sur mesure aux collectivités locales, garantissant une exploitation saine et féconde de ses immeubles, puisque le Groupe en demeure pour partie le propriétaire.

Cet engagement qualitatif génère une dynamique économique vertueuse, dont les impacts touchent lecœur de la ville. Il s’agit de dessiner les contours de la ville de demain, aussi agréable à vivre que pratiquepour travailler, afin que les bienfaits d’un paysage urbain repensé puissent rejaillir sur tous.

Essor s’impose donc comme un partenaire essentiel de l’accompagnement des transformations etcréations urbaines réussies. Son extrême attention portée sur les désirs des acteurs locaux fait la différence.
Gageons que le parc d’activités de la Fontaine Cypierre à Gonesse devrait faire des émules.

Essor présent au SIMI

Grand rendez-vous de l’immobilier et véritable référence pour tous les acteurs de l’industrie immobilière,le SIMI, Salon de l’Immobilier d’Entreprise, se tiendra les 5, 6 et 7 décembre prochains au Palais des Congrès de Paris (Porte Maillot). Comme chaque année, le Groupe Essor sera présent afin de partager avec vous son expertise immobilière plurielle. Seront présents sur le stand les commerciaux, mais aussi David Pouyanne – PDG –, accompagné par Jean-Yves Langla et Yannick Couach, respectivement directeurs généraux d’Essor Développement et Essor Ingénierie.

Chaque jour sur notre stand E174, les petits déjeuners à 9h30 offrent des moments privilégiés pour accueillir les professionnels et leur faire découvrir les projets du groupe Essor. En outre, des événementiels sur le stand auront lieu. Une soirée « Vin Fromage » est organisée le jeudi soir.

À propos d’Essor

Entreprise familiale, Essor est un constructeur d’immeubles à usage professionnel structuré autour de 5métiers : développement de programmes immobiliers, construction clé en main, maîtrise d’œuvre,ingénierie agroalimentaire, ingénierie de financement. Créé en 2006 par David Pouyanne, puis rebaptiséen juin 2017, le groupe Essor s’est d’abord appelé DPG puis Groupe DPG DELTA avec le rachat du groupe Delta. Bénéficiant aujourd’hui de 10 implantations en France, le groupe Essor emploie 150 personnes pourun chiffre d’affaires de 72M€ en 2017. Le groupe Essor compte plus de 2 250 réalisations à son actif, dont quelques réalisations emblématiques récompensées aux Pyramides d’Argent de la FPI et aux Green Solutions Awards 2018. La Direction générale du groupe Essor se situe à Paris. David Pouyanne, fondateur et PDG du Groupe a reçu le trophée d’entrepreneur de l’année 2018.

Contact Presse : Guilaine Depis 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

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Maître Gérald Pandelon, avocat des sinistrés indirects de la rue d’Aubagne

Au-delà des sinistrés de la rue d’Aubagne qui ont perdu leurs vies, de multiples locataires subissent également des dommages collatéraux en raison de l’obligation qui leur est faites par la mairie de quitter leurs appartements, lesquels pourtant n’ont été impactés que faiblement par ce drame. Une double peine pour ces sinistrés indirects qui ont l’obligation d’aller vivre dans des hôtels de fortune et ce uniquement jusqu’au 5 décembre à la suite de quoi ils devront en urgence se trouver un logement sans être indemnisés.
Par conséquent, pour la plupart d’entre eux, se retrouver tout simplement à la rue. En effet, non seulement Marseille Habitat est responsable des faits survenus, mais aucune couverture des frais au-delà du 5 décembre précité n’est prévue, ni par ailleurs par une quelconque compagnie d’assurance. Enfin, la mairie ne communique aucune information à ces sinistrés indirects sur le point de savoir si un jour ils pourront regagner leur domicile… Quand l’incompétence et l’irresponsabilité se conjuguent…
Maître Gérald Pandelon, désigné par ces sinistrés, précisément et surtout parce qu’il n’appartient pas au Barreau de Marseille, va saisir les juridictions compétentes en référé.