Actualités (NON EXHAUSTIF)

La spiritualité dans l’Egypte antique, par Philip Kayne

Philip KAYNE, Romancier Egyptologue, auteur de la saga « LES CONQUERANTS D’ATON » Tome 1 et 2 aux Editions Baudelaire nous livre u nouveau texte sur LA SPIRITUALITE DANS L’EGYPTE ANCIENNE

On entend souvent dire que l’Egypte c’est le Nil. Eh oui, le Nil qui étendait chaque année ses limons fertiles, tel une chaire épaisse et bienfaisante sur l’aridité du désert ! Rassasiés, ceux qui ne s’appelaient pas encore les Egyptiens, observaient la faune du grand fleuve, favorable ou bien hostile, se rappelaient les animaux du même acabit qu’ils avaient abandonnés à leur sort dans la savane toute proche. Ces hommes auraient pu bêtementles craindre, ne voir en eux que des ennemis et se replier derrière les palissades illusoires de la peur. A l’inverse, les proto-Égyptiens vont se concilier leurs faveurs, les amadouer, si on peut dire, et transformer leur nature en les sublimant. Et le bestiaire va devenir divinités au pluriel. Le ciel peuplé d’étoiles, mystérieuses et inaccessibles, n’échappera pas à leurs métamorphoses, à l’instar du soleil qui dispense la vie et de la lune qui éclaire les chemins.

La spiritualité est née, et avec elle, les rites qui l’accompagnent. D’abord avec de simples pierres assemblées qui vont figurer les dieux naissants, des invocations courtes et directes. Les autels suivront, enchâssés dans des temples de plus en plus imposants, avec la caste des prêtres pour attirer les bonnes grâces divines. Et le somptueux le disputera au grandiose, alimentés  par toutes les richesses d’un peuple qui, au fil des siècles, des millénaires même, deviendra la nation, la société la plus évoluée de son temps : l’empire Egyptien ! De la Lybie a la Haute Nubie, en passant par la Syro-Palestine et jusqu’à l’Euphrate, les dieux de la Double Terre se montreront les plus forts avec, à leur tête, le roi des dieux et le dieu des rois de Thèbes, AMON ! Ses associés étaient cependant nombreux (+_ 2000) et recouvraient presque tous les aspects et menaces de la vie.  A travers des rites magiques souvent compliqués, des oracles et autres divinations, les suppliants leurs faisaient des offrandes dans l’espoir de se concilier leurs faveurs et, après une vie droite, de pouvoir gagner en paix les champs parfumés de Ialou(le paradis). Un vrai parcours du combattant qui semblait a tout jamais immuable. Pourtant, sous la XVIIIème Dynastie, AKHENATON et NEFERTITI vont bousculer l’ordre établi et provoquer un séisme. A une Egypte immobile, confinée dans ses traditions superstitieuses et idolâtres, savamment entretenue par la caste des prêtres qui confisquaient la foi à des fins de pouvoir et d’enrichissement, le couple solaire opposera une conception inédite et universelle : le soleil d’ATON brille pour tous, sans restriction !

 Mais, comme l’explique très bien Roger Sabbah,avant de construire une nouvelle spiritualité, il faut d’abord déconstruire l’ancienne, à commencer par les images de ces dieux innombrables, façonnées de main d’homme et qui lui ressemblaient sans doute trop dans leur comportement pour lui être vraiment supérieur. Dans l’ Egypte antique, la manière la plus efficace de réduire a néant une être, fut-il céleste, était d’effacer son nom pour lui ôter toute existence ; AKHENATON va s’y appliquer avec un zèle tout particulier puisqu’il va ordonner la fermeture d’un grand nombre de temple d’AMON – sauf le complexe religieux de Karnak qui comportait au moins un temple dédié à ATON – mais aussi ceux des autres divinités traditionnelles. Seul RA, aspect visible d’ATON, échappera bien sûr au discrédit…l’herbe pousse sur les chemins qui traversent les temples et on y voit passer les animaux de bât…  

Si, pour les prêtres d’ATON, l’interdiction et le bannissement des images des dieux multiples formaient la base du culte, les tenants des anciennes divinités vont continuer à adorer les représentations immémoriales des dieux. Une rivalité trop souvent sanglante va s’installer pour devenir, au fil du temps, le plus grave conflit interne qu’a enduré l’Egypte.    

Une vraie révolution !

Le matériel archéologique est suffisamment abondant pour permettre une vision convaincante de ce que furent ces évènements tragiques, sans oublier l’action d’AKHENATON et NEFERTITI qui joueront un rôle clé dans leur déroulement. L’auteur, quant à lui, nous font découvrir deux personnages qui se montrent tour à tour extraordinaires…ou tout simplement vulnérables car, ne l’oublions pas, ils furent d’abord et avant tout des êtres faits de chair et de sang, ayant chacun son caractère, sa sensibilité. Bref, un homme et une femme qui, ensemble, vont vivre tout ce qui fait la vie, de la douceur insouciante du matin aux soirs d’orage, des joies de l’amour aux trahisons les plus dures, les coups d’audace… 

Philip KAYNE

Romancier Egyptologue

« LES CONQUERANTS D’ATON » Tome 1 et 2

Editions Baudelaire

Quelle place pour la femme dans l’Egypte antique ? Par Philip Kayne

THEMES AUTOUR DE LA FEMME DANS « LES CONQUERANTS D’ATON » Tome 1 « La Part de Vérité »

1)   LA MERE BIEN AIMEE :  

A la première syllabe, le prince Khetara (nom de jeunesse d’Akhenaton) reconnait la voix de sa mère, la reine Tiy (p 31-35). C’est l’enfant plus que le jeune adulte qui entend la voix maternelle. Mère, vous êtes là ?…La joie des retrouvailles l’assaille avant même qu’il ne voit l’objet de son amour. Le prince la découvre enfin, allongée sous un arbre et ne peut s’empêcher de la dévorer des yeux. Maintenant, il a besoin de la toucher et il lui embrasse les mains avec tendresse, presque de la dévotion ; d’ailleurs, il l’appelle Divine Mère ! La tendresse est à son comble et le prince laisse déborder son cœur …revoir le visage que mes yeux ont vu pour la première fois sera toujours le plus grand des bonheurs…

L’amour filial, exacerbé par l’absence, prime sur toutes autres considérations, sur le monde qui entoure la mère et son fils. Et sa mère le retient, comme si, elle-aussi, souhaitait prolonger l’étreinte. L’amour de sa vie serait-il dans ses bras ? Il est vrai que les études du prince les avaient séparés depuis plusieurs années. Mais qu’importe, puisqu’à présent ils sont à nouveau réunis ! Un moment intense se passe, à la limite de l’acceptable. Son père, le Pharaon Amenhotep III mettra d’ailleurs fin à l’envolée. Mais la reine Tiy n’a pas dit son dernier mot (dont elle jurerait pourtant, en bonne épouse, qu’il appartient a Pharaon…) et si c’est bien elle qui va laisser son royal époux rassurer leur fils Khetara quant à son devenir, on comprend bien que la Tiy a donné son assentiment. 

C’est la toute la finesse et le pouvoir d’une reine qui pèse sur les décisions politiques et religieuses (p35-37)  jusqu’à décider elle-même des orientations politiques lorsque la santé d’Amenhotep III deviendra chancelante, qui sera le ministre de l’ombre de son fils (p 288-294). Et puis, encore, cet amour filial entre une mère et son fils (p 37,fin p 288 et 289) jusqu’au décès douloureux et magnifique de Tiy(p 325-327)          

2)   LA RENCONTRE AMOUREUSE 

      Le prince Khetara est doublement malheureux ; au cours d’un banquet, il assiste aux fiançailles arrangées de son frère ainé, Touthmôsis, avec leur demi-sœur, la princesse Sitamon (p43). Si cette dernière, belle plante rosissantecomme l’appelle Khetara, se fait à l’idée d’une pareille union (le prince héritier est un bel athlète et aussi le futur Pharaon…) Touthmôsis, lui, se retrouve démuni devant la décision de Pharaon ; une mascarade ou ses sentiments les plus intimes se voient bafoués…De plus, la chasse au lion le laisse gravement blessé à la cuisse et tout autant dans son amour propre…Dans l’Egypte pharaonique, les mariages consanguins étaient autorisés au sein de la famille royale, pour préserver le précieux sang royal. Les unions incestueuses participent de la même logique, quoique ce type d’union fût le plus souvent rituel. Le prince Khetara lui aussi consentira, par amour, à épouser sa cousine NefertitiLa belle est venue, telle qu’on l’appelait sans doute avec raison (p113-115). 

Elle deviendra la Grande Epouse Royale c’a d la reine d’Egypte, l’égale de son mari, devenu le Pharaon Akhenaton. On prétendait même que si Pharaon célébrait le lever de Ra, jamais celui-ci ne se couchait sans que Nefertiti ne l’eut salué au cours de l’Oblation du soir (p16)…Son beau visage dissimulait sans doute un esprit bien fait et son corps élancé un cœur vaillant.  Six filles, sans tare apparente, naitront de l’amour indissoluble que se voua le couple solaire et, en dernier, un fils du nom de Toutankhaton (p339-340), victime à la fois de l’âge relativement avancé de sa mère, pour l’époque, et, dans son cas, des effets délétères de la consanguinité. 

Celui-ci deviendra ce roi connu de l’univers entier sous le nom de Toutankhamon et épousera sa sœur ainée Ankhensenamon qui sera son bâton de route. Dans un pareil contexte de consanguinité aggravée, la jeune femme fera sans doute plusieurs fausses couches (deux fœtus non viables ont été retrouvés momifiés dans la tombe de Toutankhamon).    

3)   KYA, LA CONCUBINE DE L’ADOLESCENCE DE KHETARA ET EPOUSE SECONDE

A dire vrai, nous ne savons pas grand-chose de Kya, femme de pouvoir, d’intrigues et qui donnera à son prince Khetara, son fils premier né, Semenkhara. Encore une fois, ce sera l’épouse-sœur de ce dernier, Meritaton, qui l’épaulera jusqu’à sa disparition brutale. Quant à Kya, après avoir mené un combat sans merci contre sa rivale Nefertiti (p192-193 p281-282 p346-347) – chacune d’elles avait un fils susceptible de devenir Pharaon… elle disparaitra sans laisser de traces (p360-365). Nous voyons bien que si Pharaon règne, la reine joue un rôle très important, parfois même déterminant dans la conduite des affaires de l’Etat. 

Ce sera particulièrement vrai tout au long de la XVIIIème Dynastie, la Dynastie impériale qui fera de L’Egypte le royaume le plus puissant du Moyen-Orient durant de nombreux siècles. D’ailleurs, on peut raisonnablement penser que l’un des secrets de la longévité du système pharaonique tient peut-être dans la répartition pragmatique du pouvoir, dans ce tandem homme-femme, porté au paroxysme par le couple de légende formé par AKHENATON-NEFERTITI qui mèneront une révolution des idées sans précèdent dans l’histoire de l’humanité et qui restera unique, tout comme la divinité qu’ils prônaient.

4)   MOUTNEDJEMET, SŒUR CADETTE DE NEFERTITI

Comment cette jeune et sans doute jolie femme (p115-116) aurait-elle pu rester en retrait alors que sa sœur avait épousé le prince héritier Khetara ? Dévorée par l’ambition, intrigante de charme, Moutnedjemet (p125-126) épousera le sémillant général Paatonheb qui deviendra plus tard le Pharaon Horemheb, le fossoyeur sans état d’âme de l’œuvre entreprise par ses prédécesseurs directs ! On peut se demander si Moutnedjemet n’a pas aidé à la disparition de Kya ?…(p360-365)       

5)   MOUNA, LA GOUVERNANTE ET LA CONFIDENTE DE NEFERTITI

La plupart du temps, le rôle de confident(e) était dévolu à la nourrice, mère de substitution pour les princes et princesses (p99-103). La momie de la reine Hatchepsout a d’ailleurs était découverte grâce à celle de sa nourrice, allongée à ses côtés. Dans le cas de Néfertiti, l’affaire est plus nébuleuse et il semble que sa nourrice fut épousée en deuxième noce par son père Ay, tant cette dernière fut attentive au bien être de l’enfant. Il est donc plausible que le rôle éminent de confidente pût échoir à une gouvernante, choisie pour ses affinités avec et envers sa divine maitresse. Dans ce cas-là, il s’agit d’une relation d’amitié, profonde et durable. 

6)    LA BEAUTE ET LES SOINS CORPORELS

Voilà un thème de prédilection dans l’Egypte antique ! Oui, l’Égyptienne prenait soin d’elle, de son apparence. Déjà, dans un pays chaud, le confort demande de porter des vêtements légers, d’autant plus que l’on grimpe dans l’échelle sociale ; le lin blanc fera plus que vêtir les égyptiennes, il enveloppera les corps aux courbes souvent sensuelles, l’arrondi ou le fuselé des formes. Sous Akhenaton et Nefertiti, la mode vestimentaire se fera vaporeuse et la Reine n’hésitera pas à dévoiler ses formes, arborant des tuniques transparentes et ouvertes. Comme nombre de ses contemporaines, Nefertiti possédait des coffrets à fars, sorte de beauty case avant la lettre qui contenaient une grande variété de produits à usage cosmétique. 

En effet, les pharmaciens du Palais concoctaient un grand nombre de potions, onguents et crèmes qui servaient à soigner mais aussi à embellir la peau, mélangeant extraits végétaux, animaux et matières inertes. Les médecines chinoises et indiennes procèdent encore de la sorte aujourd’hui, preuve que la méthode fonctionne ! Il en va de même pour les différents parfums et senteurs florales, si prisées dans tout le Moyen-Orient. Les fleurs (jasmin, lotus et autres fleurs du Nil) étaient broyées ou froissées et incluses dans une solution grasse qui permettait de conserver le parfum floral et servait aussi de baume pour la peau.     

7)   LA CONTRACEPTION

Encore un domaine innovant et d’excellence où intervenait la pharmacopée des produits végétaux, animaux et matières inertes ! En fait, les Egyptiens étaient les grands spécialistes de la médecine antique et leurs « Sinous » donnaient des consultations à tout ce que le monde antique possédait comme dirigeants ou personnalités d’importance. Et les méthodes de contraception, en particulier, faisaient partie de cette maitrise recherchée. 

Ainsi, les femmes qui souhaitaient éviter une grossesse indésirable humectait un tapon de lin avec un macérât de diverses substances spermicides comme le miel mélangé à du jus fermente de dattes, de la gomme d’acacia et du natron. Il suffisait alors d’enfoncer ledit tampon profondément dans le vagin pour obtenir l’effet recherché…qui allait parfois bien au-delà des espérances puisque, d’après certains papiri, l’infertilité pouvait se prolonger et devenir dans certains cas définitive…La chose devait sans doute arranger certaines catégories « socio-professionnelles » comme les prostituées et autres courtisanes. Les tests de grossesse existaient également et semblaient eux-aussi très performant, comme le signalaient l’Egyptologue Christiane Desroches-Noblecourt. 

Un tampon de lin imbibé d’échantillon d’orge et d’amidonnier et humecter d’urine était sensé indiquer une grossesse éventuelle ainsi que le sexe de l’enfant à naitre…Enfin, il ne faut surtout pas oublier l’art divinatoire sous toutes ses formes et les oracles car l’ésotérisme imprégnait la vie de tout un chacun ! (p156-159) Les astronomes Egyptiens sont les inventeurs de l’astrologie avec ses signes, ses décans et l’influence de ceux-ci sur l’existence des hommes.         

  

EN BREF… 

 

La société égyptienne accordait donc une grande place à la femme, dans de très nombreux domaines, pratiquement à égalité avec les hommes et toujours de concert avec eux. 

Malgré le fondement patriarcal des institutions, la femme possédait des biens, les gérait, disposait de sa personne, indépendamment de sa position sociale. 

Bien sûr, c’est dans la haute société, lieu de tous les jeux du pouvoir, que la femme trouvera la meilleure place pour s’exprimer, qu’elle soit reine, nourrice, gouvernante ou mère… 

Même la spiritualité était placée sous le signe de la dualité des sexes, jusqu’à la complémentarité sous le règne d’Akhnaton et Néfertiti

 

Indubitablement, la femme était l’avenir de l’homme…et inversement…quelle leçon de modernité, pour notre époque !    

Un roman à partir d’une chatte réelle, la célèbre Jasmine Catou

Christian de Moliner, Jasmine Catou détective

S’il existe des chiens policiers, les chats sont beaucoup plus rares. Seule Lilian Jackson Braun a instauré la série Le Chat qui… Dame Agatha elle-même montre peu de minets dans ses pages, son Hercule est seulement un vieux beau. Mais si l’article ne se trouve pas chez Christie, Christian le produit.

Jasmine Catou est le nom d’une chatte réelle, étalée d’ailleurs en couverture sur ce qui fut un jour mon lit d’une nuit. Comme dans le livre, elle vit à Paris chez sa « mère »qui est aussi maitresse d’amants plus ou moins attentionnés et dans l’attente de « l’homme de sa vie ». Situation qui produit des rencontres, des quiproquos, des rébus, tous ingrédients fort utiles aux énigmes.

Cinq d’entre elles nous sont contées, parmi les innombrables que la chatte a vécu. C’est que l’appartement est petit, mais« bordélique », et que les choses ont une fâcheuse propension à se perdre tandis que l’exiguïté des lieux oblige les convives à se serrer, jusqu’à l’empoisonnement. Un éditeur tueur, dragueur et vaniteux en fait les frais au café, après un délicieux poulet accompagné de tomates confites au four (Jasmine se pourléchera des restes, prendra encore 100 g en plus de ses 6 kilos bien fourrés).

Catou est une chatte, donc observatrice et impitoyable aux détails. Elle ne parle pas (évidemment) mais sait s’exprimer (évidemment – tous les compagnons de chats le savent) : frottement, griffes dehors, miaulement, saut léger pour faire tomber les objets. Pas n’importe lesquels ! Ceux qui permettent à maitresse Agathe (hommage à la reine du crime anglaise) et à son amie Armelle (prof de math éprise de logique) d’orienter leurs hypothèses sur la plus probable.

J’ai l’honneur de connaître la bête et son théâtre d’opération, niché dans un recoin proche de Saint-Germain des Prés. Jasmine condescend à se laisser parfois caresser et à jouer, considérant tout de ses yeux verts. Tout est vrai (sauf le lave-vaisselle, qui n’existe pas) et tout est inventé, pour le plaisir de la lecture. Car un chat policier, et dans le 6ème arrondissement, dame, cela ne s’est jamais vu !

Christian de Moliner, Jasmine Catou détective, 2019, éditions du Val, 109 pages, €6.50 e-book Kindle €4.50 

Attachée de presse BALUSTRADE : Guilaine Depis, 06 84 36 31 85 guilaine_depis@yahoo.com

Dédicace de Philip Kayne à la librairie SORBONNE MASSENA d’ANTIBES le 12 octobre 2019

Philip Kayne dédicacera sa saga « Les Conquérants d’Aton » à la librairie LA SORBONNE MASSENA samedi 12 octobre à Antibes de 10h à 19h.adresse : 10 avenue Robert Soleau, 06600 ANTIBES JUAN LES PINS

Il vous attend nombreux !

Coup de coeur de Patrick Poivre d’Arvor, il est d’ores et déjà invité au prochain Salon du Livre de Monaco en avril 2020.

Trois événements prestigieux autour de « La Défense d’aimer »

Pour les amoureux du Ring… et de l’amour !

 

Un roman recommandé par le Cercle National Richard Wagner de Paris

Trois grands rendez-vous avec l’auteur autour du livre : 

 

      Mardi 12 novembre à 19h, 

soirée de lancement du livre par la Librairie Gallimard 

suivie d’un cocktail dînatoire proche (inscription auprès de l’attachée de presse par mail guilaine_depis@yahoo.com) 15 boulevard Raspail 75 007 Paris

 

      Dimanche 8 décembre à 15h15, présentation du livre au Cercle National Richard Wagner de Paris à l’Hôtel Bedford 17 rue de l’Arcade 75 008 Paris (aux membres)

 

      Jeudi  26 mars 2020, en prélude aux « Moments musicaux de l’Hermitage » à la Baule, soirée « Coup d’éclat » à Pornichet de présentation du livre par Guilaine Depis et entretien avec l’auteur Domitille Marbeau Funck-Brentano 

 

Alex Dutilh consacre un « Open Jazz » à Laurent Dehors

A réécouter : https://www.francemusique.fr/emissions/open-jazz/laurent-dehors-une-nuit-a-l-opera-76101

Après un opus 1 très remarqué, Laurent Dehors continue son exploration de l’opéra, de l’époque baroque au XXème siècle, entouré d’une nouvelle équipe de musiciens dans “Une petite histoire de l’opéra, vol. 2”.

Laurent Dehors, une nuit à l'opéra
Tous Dehors, © Christophe Charpenel

Au sommaire aujourd’hui

  • Laurent Dehors à la Une

De Bizet à Purcell en passant par Mozart, Verdi, Rameau… ou par une version slam d’un opéra flamand, le répertoire s’égaie, se contorsionne, s’ornemente, se réinvente avec finesse.

Laurent Dehors poursuit avec bonheur dans « Une petite histoire de l’opéra, Vol 2 »  son exploration du répertoire lyrique avec comme boussole intérieure ses propres repères de compositeur jazz. Respectueux mais audacieux, exigeant mais joyeux et poétique, il repousse les frontières esthétiques pour insuffler un vent frais et décoiffant aux pièces incontournables de l’Opéra ainsi qu’à des airs moins connus et une pièce originale. Laurent Dehors offre un décalage fantaisiste et profond, porté par la soprano solaire Tineke Van Ingelgem et cinq poly-instrumentistes talentueux prêts à repousser les contours esthétiques du répertoire opératique avec une aisance un brin « no-limit ».

La profusion d’instruments (glockenspiel, balafon, vibraphone, marimba, batterie, trombone, tuba, soubassophone, saxophones, clarinettes, guimbarde, cornemuse, banjo, guitare, piano et piano préparé), l’étendue vocale de la soprano Tineke Van Ingelgem, la richesse d’interprétation et d’inventivité, font de « La Petite histoire de l’opéra opus 2 » un projet surprenant d’humour et d’énergie.
(extrait du communiqué de presse)

A écouter dans Jazz Club de Yvan Amar du samedi 21 septembre

« Les 150 derniers jours », opus 3 de la trilogie de romans scientifiques de Gérard MULLER

Gérard Muller publie l’opus 3 de sa trilogie de romans scientifiques aux éditions Lazare et Capucine

Parution octobre 2019 du roman

« Les 150 derniers jours – Mission Humanis »

Un astronome vient de découvrir un astéroïde non identifié. Sa trajectoire doit lui faire percuter la Terre dans 150 jours. Par sa taille, ce corps céleste est un tueur et l’humanité prend alors conscience de la possible disparition de la vie sur notre planète. Les agences spatiales du monde entier décident officiellement de se coordonner pour le neutraliser avant qu’il ne soit trop tard.

Jean, ingénieur du CNES, nommé responsable de la mission européenne, obtient les pleins pouvoirs du Président de la République. Il va tenter de mener à bien un terrible challenge : trouver la parade pour détruire l’astéroïde avant la collision et coordonner tous les projets sans les arrières pensées politiques des Russes, Chinois et Américains, qui vont tout faire pour être la nation qui sauvera la Terre.

Alors que le compte à rebours est lancé, une femme va surgir d’un passé que Jean pensait à jamais oublié et lui révéler un secret qui bouleversera sa vie, si l’impact imminent est évité.

Ce thriller est le troisième opus de sa trilogie de romans scientifiques publiés cette année : après la mécanique quantique, l’astrophysique et les trous noirs, avec « L’âme de la fontaine étourdie » et « Le soleil noir de Tenerife », Gérard Muller plonge à nouveau ses lecteurs dans un univers qu’il connaît parfaitement : l’espace, les corps célestes, les fusées, les satellites, et le travail des ingénieurs qui maîtrisent cette haute technologie.

Prix 15 €