ANNA JOFFO au MOULIN DE LA GALETTE
83 Rue Lepic, 75018 Paris
Du 3 au 30 septembre 2022
Contact presse / interviews :
Guilaine Depis 06 84 36 31 85
Anna Joffo est née le 4 mai 1986. À l’âge de 10 ans elle découvre le dessin en participant par hasard à un cours de dessin pour adultes dans un centre artistique. Depuis lors, l’art et la peinture n’ont cessé d’accompagner sa vie. Après le lycée, elle intègre Penningen pour entrer l’année suivante à l’ECV de Paris, et se met à peindre des nus dont la facture et l’émotion émeuvent Cathy Rozier qui lui propose de consacrer une partie de sa galerie aux émotions cinématographiques. Anna Joffo crée alors des toiles inspirées de La Môme, Le Rouge et le Noir, Amen et Mort à Venise. Par la suite elle posera ses toiles à la galerie Frank Picon à Paris pour une exposition qui lui sera entièrement consacrée, puis fera d’autres expositions dans des restaurants. Après une pause pour la plus belle de ses œuvres : SON FILS, et des années de créations artistiques en tous genres (graphisme, musique et BD) Anna revient vers ses pinceaux et renoue avec romantisme et timidité avec ce premier amour qu’est la peinture !
FRAGMENTATIONS
On cligne de l’œil et rapidement on perçoit quelque chose… Une forme ? Des couleurs ? Comme si l’œil ne retenait que l’essentiel, la nature même de l’objet observé, sans tous ces détails qui nous perdent, qui le perdent ! À travers la série « fragmentations » Anna a voulu voir le monde plus simplement, revenir à l’essence même des choses et à leur beauté la plus naturelle. La poésie de l’imparfait, celle qui ne cherche pas le détails mais révèle le cœur de ce qui nous entoure. La poésie du mouvement et de l’atmosphère, celle qui préfère voir et ressentir plutôt que de regarder.
SILHOUETTES
Anna a toujours aimé dessiner, mais elle a réellement découvert l’art à 10 ans, quand elle participé à des cours de dessin pour adultes, des cours de croquis de nus. Elle a tout de suite été fascinée par le corps féminin, elle qui n’était même pas encore à l’aube de sa puberté. Elle y a vu beauté, poésie et une force toute en douceur.
En devenant femme moi-même, j’ai découvert que ce corps est parfois dur à porter, à cause du regard des autres ou pire encore : de celui qu’on y porte nous-mêmes ! On en oublie alors la beauté primaire et la poésie qui, par nature, fait de la femme ce qu’elle est. C’est cela que j’ai eu envie de retranscrire à travers cette série « silhouettes »: cette véracité, cette simplicité pure et magnifique qu’est le corps de la femme. Sans artifice, juste une ligne épurée et sincère, une courbe simple et sublime.
VISAGES DU MONDE
Anna vous propose un voyage au cœur des visages du monde, les couleurs des tissus, les ornements, les odeurs des épices, les textures des bijoux. Mais pas seulement…
Ici j’ai voulu mettre en lumière la beauté, l’émotion, et l’élégance des visages autour du monde, afin de faire jaillir le charme de la diversité qui fait l’essence même de l’humanité. Cette humanité que l’on oublie si souvent.
Car l’humain, qui est-il vraiment ? Nous ne le savons pas toujours. Dans cette série je vous invite donc à venir à la rencontre de l’autre, le découvrir, lui, sa culture, son histoire, SON humanité, SON IDENTITÉ ! C’est d’ailleurs pour cela que j’ai voulu donner un prénom à chacun de mes portraits : car quoi de plus humain et porteur d’identité qu’un prénom ?
Aujourd’hui Anna Joffo annonce une nouvelle exposition. Dans un lieu mythique et somptueux, rendez-vous des artistes de la capitale, le MOULIN DE LA GALETTE, peint par RENOIR et VAN GOGH, ou Anna va accrocher quelques toiles pendant tout le mois de septembre.
Lieu légendaire de la Butte Montmartre, Le Moulin de la Galette abritait au XIXème siècle une guinguette populaire où le tout-Paris aimait se réunir. Devenu restaurant dans les années 80, l’adresse de la guinguette populaire au restaurant prisé des personnalités.
L’histoire commence en 1812, lorsque le meunier Nicolas-Charles Debray, propriétaire du Moulin Blute-Fin et de sa ferme, rachète le Moulin Radet construit sur une propriété voisine. Pendant quelques années, le Blute-Fin poursuit son activité d’origine en fournissant Paris en farine, tandis que le Radet, plus loin, concasse des graines destinées à la parfumerie. Entrepreneur bien inspiré, le meunier Debray décide de réunir ses deux moulins et transfère le Radet à proximité de son aîné afin d’ouvrir en dessous une guinguette qui fera la renommée de ce lieu mythique.
C’est un honneur et une expérience enthousiasmante pour moi d’exposer dans ce lieu habité, à l’histoire chargée de créativité et d’émotion. En entrant au Moulin de la Galette j’ai eu l’impression de retrouver l’âme de Renoir, Picasso, Van-Gogh, Toulouse-Lautrec…
ANNA JOFFO au MOULIN DE LA GALETTE
83 Rue Lepic, 75018 Paris
Du 3 au 30 septembre 2022
Quelques oeuvres :
DAYA
Guerrière :
Hinda :
Iwasaki :
Izzia :
Kateryna :
L’attente :
Le Moulin de la Galette (2) :
- Affiche officielle
- et sur invitations uniquement :