13h00 Atelier « S’entrainer à l’entretien d’embauche cadre » à Pole Emploi CRP Paris – Plateforme de Transition Professionnelle de Paris. Je ne sais pas pourquoi ca me fait déjà rire !
Catégorie : Ancien Blog Chercher les étoiles
« The Housemaid » (19.09.10) et Poetry
Odéon voir « The Housemaid » à 15 h 25 http://videos.leparisien.fr/video/iLyROo afvDVZ.html
de Im Sang-Soo au MK2 Odéon cet après-midi et l’a énormément aimé. L’esthétique est superbe (les plans, les images, les contrastes recherchés), autant que le fond intense (la domination sociale bourgeois/bonnes). Un film vraiment formidable, d’une force extraordinaire, auquel on « croit » immédiatement : y foncer.
Projection : Die Nibelungen, film de Fritz Lang (1924) (13.02.11 à 14 h)
Projection
Introduction et présentation par Patrick Brion. Patrick Brion est historien du cinéma, auteur de nombreux ouvrages consacrés au 7ème art, il est responsable de la programmation du « Cinéma de minuit » sur France 3
Hôtel Bedford, Salons Pasquier 17 rue de l’Arcade
prix
Despentes Grande Librairie (07.10.10)
&
François Busnel recevra Virginie Despentes pour son dernier roman « Apocalypse bébé » paru chez Grasset.
Le photographe et cinéaste Raymond Depardon viendra présenter son dernier livre « La France de Raymond Depardon » (Seuil/BnF).
Seront également présents sur le plateau, deux journalistes-écrivains : Judith Perrignon pour son septième roman « Les Chagrins » (Stock) et Marc Weitzmann pour « Quand j’étais normal » (Grasset).
gt; N’hésitez pas à vous inscrire pour assister à l’émission en direct jeudi 7 octobre à 20H35 (Studios Rive Gauche Paris 15e, Métro Javel).
Il suffit pour cela de contacter Eliott au 01 44 75 10 97 ou de vous inscrire par mail à public@rbprod.com
Ne manquez pas La Grande Librairie jeudi 7 octobre à 20h35 sur France 5 (rediffusion le dimanche 10 octobre à 8H50 toujours sur France 5)
Rosebud Productions & France 5 sont heureux de vous inviter à assister à La Grande Librairie, présentée par François Busnel, !
en public et en direct le jeudi 14 octobre 2010 à 20H35 (réponse obligatoire par mail à public@rbprod.com ou téléphone au (01 44 75 10 97).!
Nous vous accueillerons entre 19H55 et 20H15! aux STUDIOS RIVE GAUCHE 85-87 Quai André Citroën 75015 Paris métro : Javel André Citroën Ligne 10 !
Assemblée générale ordinaire suivie d’un récital de piano par Pascal Mantin de la Galette des Rois et du cocktail dînatoire (16.01.11 15h15)
Salons Pasquier Hôtel Bedford 17 rue de l’Arcade
« Eugène Onéguine » de Piotr Ilytch Tchaikovski (Opéra Bastille, le 29.09.10)
Eugène Onéguine (Piotr Ilyitch Tchaikovski)
Répétition générale du 15 septembre 2010
Opéra Bastille
Madame Larina Nadine Denize
Tatiana Olga Guryakova
Olga Alisa Kolosova
La Nourrice Nona Javakhidze
Lenski Joseph Kaiser
Eugène Onéguine Ludovic Tézier
Le Prince Grémine Gleb Nikolski
Zaretski Ugo Rabec
Monsieur Triquet Jean-Paul Fouchécourt
Mise en scène Willy Decker
Direction musicale Vasily Petrenko
Ludovic Tézier (Eugène Onéguine)
L’ouverture de la nouvelle saison de l’Opéra de Paris laisse le champ à deux portraits d’hommes en errance, le Hollandais du Vaisseau Fantôme et Eugène Onéguine, dans deux reprises créées sous la direction d’Hugues Gall et confiées au metteur en scène favori de Nicolas Joel : Willy Decker.
Dans le cas d’Eugène Onéguine, il nous faut remonter assez loin puisque la production date de 1995, lorsque les nouvelles créations de La Bohème, Billy Budd et Cosi Fan Tutteconstituaient, elles aussi, les nouvelles armes de reconquête du rang international de la Maison.
Confronter ce spectacle à celui qui vient au même moment d’ouvrir la première saison deGerard Mortier à Madrid, dans la vision de Dmitri Tcherniakov qu’accueillit Paris il y a deux ans, permet une captivante mise en relief des forces et faiblesses de part et d’autre.
Inévitablement, Madame Larina retombe dans une posture effacée et n’est plus la mère de famille qui rythme la vie dans sa datcha, bien que Nadine Denize restitue un maternalisme naturel.
La nourrice, petite vieille toute courbaturée, est traitée façon Singspiel, façon Papagena toute âgée, alors que Nona Javakhidze la chante avec la légèreté de l’âme en grâce, la seule voix qui pourrait atteindre la jeune fille.
Cette jeune fille, Tatiana, Olga Guryakova l’incarne totalement, avec ces couleurs russes, c’est-à-dire ces couleurs au galbe noble et à l’ébène lumineux qu’elle n’a pas perdu depuis son interprétation il y a sept ans de cela sur la même scène.
Le visage tout rond d’innocence, les cheveux parcourus de mèches finement tissées comme en peinture, la puissance de ses sentiments qui passent intégralement par la voix trouve aussi quelques expressions scéniques fortes lorsque, dans une réaction de honte absolue, elle détruit la lettre qu’Onéguine lui a sèchement rendu.
Olga Guryakova (Tatiana)
Il est vrai que Ludovic Tézier se contente de retrouver cette posture hautaine et méprisante qu’il acquière si facilement, son personnage ne suscitant aucune compassion de la part de l’auditeur, aucune circonstance atténuante.
Peu importe que les tonalités slaves ne soient pas un don naturel, il est la sévérité même qui doit cependant s’abaisser face à l’immense Prince de Gleb Nikolski, un médium impressionnant, quelques limites dans les expressions forcées, tout en mesure dans sa relation à Tatiana et Onéguine.
L’autre couple, Olga et Lenski, trouve en Alisa Kolosova et Joseph Kaiser deux interprètes élégants, musicalement et scéniquement, le second sans doute plus touchant de par son rôle, mais aussi par la variété de ses coloris.
Alisa Kolosova (Olga) et Joseph Kaiser (Lenski)
L’impeccable et fine diction de Jean-Paul Fouchécourt permet de retrouver un Monsieur Triquet chantant en langue française, principale entorse musicale que Dmitri Tcherniakovs’était alloué dans sa production du Bolchoï en faisant interpréter cet air par Lenski, mais dans un but bien précis.
Le haut niveau musical de cette reprise bénéficie par ailleurs du soutien d’un orchestre et d’un chef intégralement consacrés au potentiel sentimental et langoureusement mélancolique de la partition, une fluidité majestueuse du discours qui en réduit aussi la noirceur.
La gestuelle souple, harmonieuse, de Vasily Petrenko, et son emprise sur les musiciens et les chanteurs s’admirent avec autant de plaisir.
Joseph Kaiser (Lenski)
Evidemment, comparée à la richesse du travail dramatique de l’équipe du Bolchoï, vers lequel le cœur reste tourné, la vision de Willy Decker paraît bien sage et naïve, simple dans son approche humaine, attachée au folkore russe qui pourrait rappeler les farandoles deMireille la saison passée, et classique dans la représentation du milieu conventionnel et sinistre que rejoint Tatiana.
Mais il y a dans les éclairages, le fond de scène la nuit, les lumières d’hiver dans la seconde partie, un pouvoir psychique réellement saisissant.
Olga Guryakova (Tatiana)
Eugène Onéguine Superbe reprise de l’Eugène Onéguine intemporel signé par Willy Decker à l’Opéra Bastille en 1995. En tête d’une distribution remarquablement homogène et idiomatique, le trio Olga Guryakova, Ludovic Tézier, Joseph Kaiser assure le succès d’une soirée qui honore l’Opéra de Paris.
Comme celles de Robert Carsen, les productions de Willy Decker ont le mérite de défier le temps et les modes en gardant leur acuité et leur fraîcheur initiales. Son Eugène Onéguine épuré, où un décor unique stylisé sert de cadre psychologique aux scènes lyriques de Tchaïkovski, est un modèle d’intelligence dramatique. Quelques chaises et une direction d’acteurs très précise permettent au spectateur d’entrer dans l’univers du poème de Pouchkine et non seulement de suivre le drame, mais de comprendre les motivations et les sentiments de chacun des personnages. Si le canevas initial est respecté, la personnalité d’un nouvel interprète apporte bien entendu un complément et un supplément d’intérêt au spectacle. Tel est le cas pour cette reprise bénéficiant d’un plateau vocal de premier ordre : on salue un vrai sans faute, jusque dans le moindre rôle secondaire. Ainsi, Nadine Denize en Madame Larina, la Filipievna remarquée de Nona Javakhidze et l’incomparable Triquet de Jean-Paul Fouchécourt, si finement ridicule et touchant. Issue de l’Atelier lyrique de l’Opéra national de Paris, Alisa Kolosova incarne une Olga certes coqueete mais sincère, au chant expressif. Comme lors de la reprise de mars 2003, Gleb Nikolski est un Prince Grémine noble et émouvant. Remarqué au Festival de Salzbourg 2007, le ténor canadien Joseph Kaiser s’affirme comme un Lenski musical et stylé, dont la sincérité et la spontanéité contrastent avec l’Onéguine distant et peu sympathique dessiné par Ludovic Tézier. Après sa prise de rôle au Capitole de Toulouse en 2003 et sa consécration à la Scala de Milan en janvier 2006, où il avait déjà Olga Guryakova comme partenaire, le baryton français n’a rien à envier aux meilleurs Onéguine russes et internationaux. Son interprétation vocale est de bout en bout splendide, intense et raffinée, stylistiquement parfaite. Même si le personnage peut justifier une certaine froideur méprisante, sa conception accuse encore l’insensibilité – réelle ou feinte – d’un caractère étranger à la passion. Quant à Olga Guryakova, dont la voix s’est considérablement étoffée depuis ses Tatiana aixoises de 2002 et parisiennes de 2005, elle nous rassure sur sa santé vocale. Égale à elle-même, elle reste l’interprète idéale du rôle avec un chant puissant et expressif mais nuancé et maîtrisé dans tous les registres. Son charme, sa sensibilité et son rayonnement personnels rendent toujours sa Tatiana irrésistible. Sous la direction lyrique, délicate et idiomatique mais peu engagée du jeune chef russe Vasily Petrenko (aucune parenté avec Kirill Petrenko), on retrouve l’orchestre et les chœurs de l’Opéra de Paris des grands soirs.
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Femmes 3000 au Sénat, 19 h le 19.11
Loup Verlet Halle StP 17 oct 19h30
Métro : Anvers/Abbesses
Chers amis épris de littérature et de musique,
Le voyage musical que nous vous proposons mêle les pays et les langues. Comme il se doit, il commence par l’Invitation au voyage d’Henri Duparc qui, sur un texte de Baudelaire, nous transporte dans un monde de rêve : « Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté ! »
Avec l’Élégie, sur un texte traduit de l’anglais dû au poète irlandais Thomas Moore, Duparc nous conduit dans un monde dévasté par les combats qui s’y mènent. L’Élégie célèbre la mémoire de l’Irlandais Robert Emmet qui, ayant comploté contre l’Angleterre, fut condamné à mort et exécuté en 1803. Le texte qu’a mis en musique Henri Duparc, a été écrit par un ami d’Emmet, le poète irlandais Thomas Moore.
Nous continuerons notre trajet avec Liszt mettant en musique (en 1842) le poème de Victor Hugo Oh ! Quand je dors, poème où il est par deux fois allusion aux amours tumultueuses de Pétrarque et de sa Laura : « Oh viens ! Comme à Pétrarque apparaissait Laura » avec, en arrière-plan, la liaison de Liszt avec Marie d’Agoult qui prendra fin peu après qu’ait été écrite la mélodie que nous présentons.
Nouveau déplacement dans l’espace et le temps avec les trois étranges poèmes que Michel-Ange écrivit en italien pour Vittoria Colonna, une noble veuve avec laquelle il partage un amour intense mais platonique. La musique hors du commun composé par Hugo Wolf accompagne la version allemande des trois poèmes.
Guy Ropartz se réclame de plusieurs pays entre lesquels il circule. Sa Bretagne natale où il finira ces jours, la ville de Paris où il a fait des études musicales, qui à travers son maître César Franck, ont été fortement imprégnées par la tradition musicale allemande, comme on s’en rendra compte en écoutant deux des quatre mélodies composées sur des poèmes de Heine traduits en français.
Avec les trois mélodies qui composent le Don quichotte à Dulcinée – Chanson romanesque, Chanson épique, Chanson à boire – sur des textes de Paul Morand, Maurice Ravel nous emmène dans l’Espagne de Cervantès. Le prétexte en est fourni par un concours qui, organisé autour de la visite à Paris de Chaliapine, sera gagné par Jacques Ibert, lequel à bien écrit les quatre mélodies requises pour la célèbre basse russe. Avec ses trois chansons écrites pour une voix de baryton, Ravel a curieusement perdu toute chance de gagner le concours tout en démontrant sa supériorité musicale.
CONCERTS A LA HALLE SAINT PIERREau pied de la Butte Montmartre2 rue Ronsard, 75018 Paris
Métro : Anvers/AbbessesAvec le soutien de la Société des Gens de Lettres et de la Ville de ParisA partir du 19 septembreLe troisième dimanche de chaque mois…… un événement pianistico-littéraire…… inédit, surprenant, périlleux, émouvant…avecMariella Righini,Loup Verlet,Nancy Huston,Catherine David,Sébastien Balibar,Jean-Pierre Luminet…CARTE BLANCHE AUX ECRIVAINS PIANISTESConcert à 19h30Réservation obligatoire : 01 42 58 72 89Participation aux frais : 10€ plein tarif ; 8€ tarif réduitL’étymologie est claire : les amateurs sont ceux qui aiment. Ils ont cette chance, ce talent, cette faiblesse. Et, comme l’a écrit un jour à Proust la princesse Bibesco, “l’obligé en amour, c’est celui qui aime”.Catherine David, la Beauté du geste, 1994.Longtemps j’ai navigué entre mes deux claviers en rêvant de concilier un jour la musique du langage et le langage de la musique. Comment relier mes deux jardins secrets, tresser un pont suspendu entre les mots et les notes, entre les paroles et les gestes, entre les livres et les partitions ?J’aimais écrire, et pour cette raison je suis devenue journaliste puis écrivain. J’aimais aussi le piano, dont j’avais découvert la magie, dans mon enfance, grâce à mon père musicien.En 1994 et 2006, deux livres sont nés pour tenter de répondre à cette question, pour moi vitale, de la musicalité dans l’écriture et du sens de la musique dans nos vies : La Beauté du geste (Calmann-Lévy 1994 et Babel 2006) et Crescendo, Avis aux amateurs (Actes Sud 2006).Les écrivains sont plus nombreux qu’on ne le croit à s’escrimer sur leur Gaveau ou leur Schimmel. Ils se gavent de Czerny ou de Beethoven, tout en rêvant à ce jour improbable où, peut-être, ils auront le courage de jouer une sonate de Mozart ou un Nocturne de Chopin devant leurs amis.Dans son livre consacré au Toucher des philosophes (Gallimard), le philosophe François Noudelmann raconte combien fut importante et méconnue, pour Jean-Paul Sartre comme pour Roland Barthes, tous deux grands déchiffreurs de partitions, la fréquentation régulière de Bach et Schumann. Le lisant, je me disais, comme c’est dommage, on aurait aimé les entendre !C’est ainsi qu’est née l’idée de proposer une Carte blanche à quelques écrivains-pianistes courageux et bien vivants. Martine Lusardy, directrice de La Halle Saint Pierre, s’est enthousiasmée pour le projet et a mis à notre disposition pour des concerts-lectures ce magnifique bâtiment transparent sis au pied de la Butte Montmartre.Et voilà la possibilité offerte à des écrivains fous de piano d’entrelacer des mots et des notes, de créer des résonances nouvelles, de faire émerger des résonances avec des textes inédits, écrits spécialement pour l’occasion, de prendre le risque de faire entendre les sonorités exquises ou déchirantes qui hantent leur jardin secret, à un public bienveillant.Les concerts-lectures dureront environ une heure. Ils auront lieu à l’étage, dans la salle d’exposition où trône un magnifique Yamaha, et qui peut accueillir jusqu’à 150 auditeurs.CATHERINE DAVID
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Dimanche 17 octobre 2010 : Loup Verlet Le psychanalyste et historien des sciences Loup Verlet interprétera quelques Lieder extraits du Voyage d’hiver de Schubert (Winterreise) avec le chanteur Bernard Vitrac, par ailleurs mathématicien et chercheur au CNRS.
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Dimanche 21 novembre 2010 : Catherine David Catherine David jouera un programme de piano solo
et musique de chambre Chopin, Schubert, Beethoven, Schumann… |
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Dimanche 19 décembre 2010 : Nancy Huston
C’est la célèbre romancière Nancy Huston, qui n’est pas seulement pianiste, mais aussi claveciniste et flûtiste,
qui nous proposera sa Carte blanche. |
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Dimanche 20 mars 2011 : Sébastien Balibar Nous recevrons le physicien Sébastien Balibar, auteur notamment de « Je casse de l’eau » (Le Pommier), dans un répertoire de musique de chambre – notamment Brahms et Mendelssohn.
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Dimanche 15 mai 2011 : Jean-Pierre Luminet
L’astrophysicien et romancier Jean-Pierre Luminet viendra nous offrir des mélanges musicaux à sa façon – avec notamment Thelonious Monk, Astor Piazzolla, Jean-Sébastien Bach, Franz Schubert, un Quatre-Mains de sa composition – et des lectures de textes et de poèmes.
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Halle Saint Pierre
Responsable Communication
Tél.: 01 42 58 72 89
Cycle « Wagner et après ? » : Les livrets d’opéra après Wagner, par Agnès Terrier (15h15, 12.12.10)
Hôtel Bedford 17 rue de l’Arcade
A qui les lettres françaises doivent-elles, à la fin du XIXème siècle, l’apparition du vers libre et le recul du sacro-saint alexandrin ? Sur les traces de Baudelaire, premier Français enthousiaste de Wagner, ce sont les poètes plus que les musiciens qui contribuèrent à acclimater Wagner en France par des débats autour de ses traductions, la diffusion de son esthétique et, surtout, l’adaptation de son art à l’écriture poétique.
Agrégée et docteure en lettres modernes, premier prix de recherche en culture musicale du Conservatoire de Paris (CNSMDP), Agnès Terrier est dramaturge et conseiller artistique de l’Opéra Comique, ainsi que professeur de diction française au CNSMDP.