de diverses représentations de la femme dans l’histoire de l’art afin de composer un essai plastique visuel constitué d’une infinité de lavis.
« Depuis vingt-cinq ans, Colette Deblé n’a pas cessé de penser visiblement et de créer des images où les « faces opposées des choses » pouvaient coexister. Aujourd’hui, son œuvre
Il s’agit, selon ses propres termes, d’une suite de lavis, dessins et peintures (plus de deux mille) dont l’ensemble constitue une sorte d’essai plastique sur la représentation
des femmes dans l’histoire de l’art. Les lavis saisissent une attitude, une posture, un simple geste d’une femme appartenant à une scène peinte, sculptée ou photographiée
provenant de n’importe quelle époque. Ce personnage féminin est en quelque sorte « prélevé » par l’artiste, et la représentation qu’elle en donne ignore le contexte tout en