Alfred Eibel (20/11/2017, sur son blog https://memoirememoires.wordpress.com)
Vingt nouvelles. Des personnages pris dans les rets d’une miniaturisation du monde qui s’égarent parfois dans des amours parallèles, qui superposent leurs souvenirs dans l’attente du mot juste qui se fait prier. « Nos vies bariolées traînent leur part d’ombre ». Adriana Langer part à la recherche du tréfonds des vies ; à la recherche du reflet d’une action passée inaperçue. C’est ce qui fait l’originalité de ce recueil et son charme.