Les Échos voient en la revue Conflits « une nouvelle référence ». MERCI à Julien Damon

gauchon les échos.jpgpoutine1.jpgLes Échos, vendredi 4 et samedi 5 p.10

IDÉES ET DÉBATS

La Revue du Jour

Le projet eurasien de Poutine

Le propos

Les Français n’aiment pas trop la Russie. Ils sont, selon un sondage publié dans ces pages, 8 sur 10 à en avoir une mauvaise image. Mais il faut aller au-delà de ces sentiments, passagers ou bien ancrés, pour saisir les fondements et perspectives de la Russie contemporaine. Emmenée par Vladimir Poutine, contre l’atlantisme, la Russie voudrait donner corps et frontières au mythe de l’Eurasie, d’une Russie absorbant ses couronnes européennes et asiatiques. Un dessein qui passe sur l’Ukraine (qui est d’abord divisions), par les steppes et par bien des conflits.

La publication

Nouveau trimestriel dédié à la géopolitique, « Conflits » bénéficie d’une forte actualité avec la crise ukrainienne. La revue propose un dossier thématique, des entretiens (ici avec Yves Lacoste), des contributions plus historiques (sur la géopolitique de l’ordre teutonique) ou plus polémiques (sur la grandeur de Barack Obama), un petit essai de géopolitique fiction (sur la Chine) et des chroniques critiques bien senties. L’ensemble fera bientôt référence.

La citation

« Il ne faut pas que, en devenant populaire, la géopolitique se banalise, noyée dans l’océan inépuisable des bons sentiments et en même temps instrumentalisée par les intérêts », écrit Pascal Gauchon

Julien Damon

« Conflits » n°1, 2014 * 9,90 euros

Le Dauphiné Libéré salue la naissance « audacieuse et courageuse » de la revue Conflits

le-festival-est-consacre-a-l-eurasie-en-general-et-a-la-russie-en-particulier-le-dl-c-a.jpgLe Dauphiné Libéré vendredi 4 avril 2014

GRENOBLE ET SA RÉGION, page 9

GRENOBLE Débutée hier, la 6ème édition du Festival de géopolitique décrypte les enjeux de l’Eurasie jusqu’à dimanche

Quand GEM explique les desseins de Poutine

La 6ème édition du Festival de géopolitique de Grenoble École de Management a commencé hier et se poursuit jusqu’à dimanche. Si vous souhaitez comprendre le grand dessein de Poutine, c’est l’occasion d’y aller !

L’Ukraine, la Crimée, la Russie de Vladimir Poutine, la Turquie, les Pussy Riot… Autant de mots qui résonnent dans l’actualité comme dans l’enceinte de Grenoble École de Management (GEM) depuis hier.

Pendant trois jours, jusqu’au dimanche 6 avril, conférenciers et professeurs vous décryptent les enjeux de l’Eurasie grâce à la 6ème édition du Festival de géopolitique de Grenoble.  

Un événement pour comprendre le monde qui nous entoure. « L’Eurasie constitue le grand dessein de Vladimir Poutine, qui entend regrouper autour de la Russie les peuples liés à elle par la géographie et par l’histoire », expliquent Pascal Gauchon et Jean-Marc Huissoud, co-organisateurs du festival.

« L’Ukraine, aux identités multiples, constitue l’un des enjeux majeurs de ce projet. Quelle attitude doit adopter l’Union européenne face à ce projet ? Le combattre comme le font les États-Unis, ou admettre qu’aucun équilibre sur le continent ne peut être établi sans un accord avec la Russie ? »

Pour y voir plus clair, le public a le choix entre 95 conférences, tables rondes, projections de films, ateliers, expositions ou jeux de rôle.

2168685043.jpgPascal Gauchon, professeur de classes supérieures, a souligné en introduction que « le courant de l’eurasisme de Poutine proclame que l’Eurasie s’arrête à la Pologne qui n’en fait pas partie et s’identifie profondément à la steppe à laquelle s’est alliée la forêt russe. C’est donc, pour les eurasistes, un troisième continent, radicalement différent d’une Europe qualifiée romano-germanique. »

Les étudiants imaginent l’Eurasie dans dix ans

Dans la salle des marchés de GEM, Thibault Chappuis et Anne-Sophie Fargheon, étudiants et membres de l’association Trader, se sont projetés en 2024 et ont imaginé un scénario en tenant compte de la réalité. « Les poids de la Russie, de la Biélorussie et du Kazakhstan sont disproportionnés », constate Thibault.

Et de poursuivre : « L’objectif à court terme de ces trois pays, c’est d’avoir un poids politique égal. Cela peut paraître utopique, mais on explique comment cela se met en place : équilibrages des échanges, développement des hautes technologies et des services. Et le but, c’est la création d’une union monétaire. En France, on a tendance à critiquer ce qui se passe en Russie. On voulait amener les gens à penser différemment. Et si l’union eurasienne était possible ? »

Saléra Benarbia

Festival de géopolitique de Grenoble, jusqu’à dimanche à GEM. Entrée gratuite sur inscription obligatoire. Plus d’informations sur http://www.festivalgeopolitique.com

Le Festival de géopolitique de Grenoble se poursuit jusqu’à dimanche. Où Thibault Chappuis et Anne-Sophie Fargheon étudiants à GEM, ont déjà imaginé l’Eurasie en 2024.

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« CONFLITS », une nouvelle revue dans les kiosques

L’idée est à la fois audacieuse et courageuse. La société d’édition et de presse Antéios vient de lancer une nouvelle revue trimestrielle, « Conflits », sous la rédaction en chef de Pascal Gauchon, professeur de classes supérieures.

Le premier numero est justement consacré à l’Eurasie et Vladimir Poutine, avec un dossier complet, cartes géographiques à l’appui, sur le grand dessein du président russe.

Pascal Gauchon, rédacteur en chef de « Conflits ».

Aujourd’hui
9h, débat : « La Russie et sa sécurité, la renaissance d’une grande puissance ? » par Éric Brunat et Jacques Fontanel, salle A303.

10h45 : « Entre Chine, Russie et islam, où va l’Asie centrale ? », avec René Cagnat, au WTC.

14h, table ronde autour d’expérience : « S’implanter en Russie », avec Franck Bernard, Philippe Schleiter et Étienne Tequi, au WTC, Kilimandjaro.

16h30 : film et débat autour de « La Prise du pouvoir par Vladimir Poutine », de Tania Rakhmanova, salle A302.

18h : table ronde « L’innovation en Russie » avec Michel Zigone, salle A303.

Manifeste pour une géopolitique critique (édito de la nouvelle revue de géopolitique Conflits)

poutine1.jpgManifeste pour une géopolitique critique

(édito de la nouvelle revue de géopolitique Conflits lancée par Pascal Gauchon)

Premier numéro, grandes ambitions.

En lançant Conflits, nous entendons bien sûr exposer les faits et les réflexions qui permettent à nos lecteurs de comprendre le monde où ils vivent. La géopolitique ne s’est-elle pas imposée comme la culture générale du monde moderne ? Aussi est-elle à la mode et d’une certaine façon, nous ne pouvons que nous en féliciter.

Il ne faudrait pas que, en devenant populaire, la géopolitique se banalise. Entre les mains des hommes politiques et des faiseurs d’opinion, entre café du commerce et bureaux d’étude, la voilà noyée dans l’océan inépuisable des bons sentiments et en même temps instrumentalisée par les intérêts.

C’est pourquoi nous nous mettons au service d’une géopolitique critique. En voici les fondements.

● Une géopolitique du temps long. Là où les medias et les intérêts privilégient l’émotion et le rendement immédiats, nous nous efforcerons d’analyser l’actualité dans la longue durée dont nous n’oublions pas les héritages.

● Une géopolitique des horizons lointains. Nous rejetons toutes les géopolitiques de l’instant et de la mode qui proclament un jour, par exemple, l’inéluctable déclin des Etats-Unis avant de célébrer leur toute puissance le lendemain. Les fondements de la puissance ne se modifient pas aussi vite, au gré de l’événement. Même les défaites les plus désastreuses n’y arrivent pas toujours. Après deux guerres mondiales où l’Allemagne fut écrasée et deux paix imposées où elle fut muselée, qui domine aujourd’hui l’Union européenne ?

● Une géopolitique du terrain. La popularité de la géopolitique s’accompagne de son déracinement et l’arrache au terreau géographique où elle a pris naissance. Beaucoup de géographes vont jusqu’à rejeter leur enfant comme un bâtard. A nous de rétablir les liens de filiation et de rappeler qu’il n’est pas de géopolitique sans géographie. N’est-ce pas elle qui donne son sens au temps long des historiens ?

● Une géopolitique de l’imprévu. Le temps long trace des lignes de force, il ne permet pas de prédire ce qui se produira précisément en un moment donné. Les individus, le hasard, l’inattendu sont à l’œuvre dans le temps court. Nous nous garderons des prévisions catégoriques démenties sitôt que proférées.

● Une géopolitique globale. Il s’agit d’intégrer l’ensemble des forces à l’œuvre (politiques, mais aussi économiques, sociales, culturelles…) et d’étudier toutes leurs interactions.

● Une géopolitique des réalités ou, si l’on préfère, une Realpolitik. Ce n’est pas que nous ne croyions ni au bien ni au mal, mais il n’est pas sain de mélanger les ordres et de confondre les bons sentiments et le politique. Sans doute le politique se doit d’avoir des règles et des principes d’action ; mais il ne doit pas être hypnotisé par ceux qui passent leur temps à lui « faire la morale », souvent pour mieux le subjuguer. La morale du politique, qui existe, est d’une autre nature et s’appelle le bien commun.

● Une géopolitique du soupçon. Enthousiasme, émotions et compassion sont autant de leviers que manipulent les intérêts. Les dévoiler est une œuvre de salubrité publique.

● Une géopolitique des identités. La géopolitique étudie le rapport de forces dans l’espace, mais ces forces n’existent que si elles ont conscience d’elles-mêmes et de leur identité. Alors elles sont légitimes, alors elles créent des solidarités profondes, alors elles peuvent mobiliser leurs membres et les amener à se sacrifier[1] . De la profondeur du sentiment d’identité dépend leur capacité à agir et donc leur puissance.

● Une géopolitique du conflit. Le véritable sujet d’étude de la géopolitique, c’est l’antagonisme sous toutes ses formes, les plus innocentes, les plus sournoises mais aussi les plus brutales, ainsi que les équilibres que ces rivalités finissent par générer et qui restent toujours fragiles. Nos compatriotes ont tendance à oublier cette réalité. Nous sommes là pour la rappeler. Sans aimer l’affrontement en tant que tel, mais parce que ceux qui veulent vraiment la paix et la stabilité se doivent de connaître toutes les menaces.

Ce n’est pas par hasard que nous avons choisi le titre « Conflits ».



[1] Voir sur ce sujet les réflexions éclairantes d’Yves Lacoste, page XX.

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Pascal Gauchon, Normalien, agrégé d’histoire, directeur de la collection Major aux PUF, fondateur du festival de géopolitique lance une nouvelle revue de géopolitique : CONFLITS (parution en kiosques le 27 mars 2014)

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Pascal Gauchon lance la nouvelle revue de géopolitique Conflits (29 mars 2014)

Joindre Guilaine Depis comme attachée de presse pour interviewer Pascal Gauchon et/ou pour recevoir le n°1 de la revue Conflits avec pour couverture « Que veut Poutine ? ») au 06 84 36 31 85 / guilaine_depis@yahoo.com

Né en 1950, Pascal Gauchon a suivi des études littéraires au lycée Louis-le-Grand avant d’intégrer l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm en 1970, puis d’obtenir l’agrégation d’Histoire en 1973. Il commence à enseigner dans l’éducation nationale en Seine-Saint Denis.

En 1985 il prend la direction de Prépasup, établissement privé d’enseignement supérieur spécialisé dans les classes préparatoires économiques et commerciales ainsi que dans les préparations à Sciences-Po. Il occupera ce poste jusqu’en 2011, année où il décide de se concentrer sur les activités d’écriture et d’enseignement.

Parallèlement il devient le professeur d’histoire et géographie économique (devenue histoire et géographie géopolitique) de la prépa HEC d’Ipésup, maison mère de Prépasup. Il exerce toujours cette fonction.

En 1992 il lance aux Presses Universitaires de France la collection Major destinée à l’ensemble des classes préparatoires. Plus de 500 titres ont été lancés dans cette collection qui est aujourd’hui la première de France pour ce public.

En 2009 il propose à Grenoble Ecole de Management de lancer un Festival de Géopolitique. Il en est toujours le coorganisateur au nom de l’association Anteios qu’il préside et qui consacre sa sixième édition, en 2014, à l’Eurasie. C’est dans le cadre de cette manifestation que sera lancée la revue Conflits, du 3 au 6 avril prochains.

Parallèlement, il publie de nombreux ouvrages (une vingtaine) et des articles dans des revues historiques ou géopolitiques. Parmi les titres parus :

L’Histoire à Sciences-Po (Ellipses)

La Triade dans la nouvelle économie mondiale (PUF)

Le modèle français depuis 1945 (Que sais-je ?)

Dictionnaire de géopolitique (direction, PUF)

Géopolitique de la France (PUF)

Conflits couv jpeg.jpgFort de toutes ces expériences, il lance en 2014 la revue Conflits qui vise les différents publics qu’il connaît, les classes préparatoires, les étudiants, en particulier ceux des IEP, les enseignants, les cadres d’entreprise ainsi que le grand public averti qui forme les gros bataillons des assistants au Festival de Géopolitique.

Le revue Conflits est ainsi la synthèse d’une vie faite d’expériences diverses dans le domaine de l’enseignement, de l’édition, de l’écriture et de l’organisation d’événements culturels.

Valeurs actuelles annonce le 6ème Festival de géopolitique de Grenoble lançant la revue Conflits

gauchon valeurs.jpgValeurs actuelles, jeudi 3 avril 2014, P.33

Grenoble, carrefour de la géopolitique

GEM (Grenoble École de management) et Pascal Gauchon, président de l’association Anteios et directeur de la revue Conflits, organisent le 6ème Festival de géopolitique de Grenoble, qui place la France au premier plan de la réflexion stratégique. Avec le retour de la puissance russe, le thème de cette année est en pleine actualité : « Eurasie : l’avenir de l’Europe ? ». Au programme, du 3 au 6 avril, une centaine d’intervenants.

http://www.centregeopolitique.com/v2/fr/6eme-edition

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Pour Olivier Maulin, de l’Observatoire des Journalistes et de l’Information Médiatique, la revue « Conflits » est « indispensable ».

fe8f3472-7a77-11e1-9bc7-3a2136159e27-493x328.jpgObservatoire des Journalistes et de l’Information Médiatique

http://www.ojim.fr

La Revue CONFLITS en kiosques

Annoncée depuis plusieurs mois et très attendue, la revue trimestrielle de géopolitiqueConflits livre son premier numéro daté d’avril-mai-juin 2014. Conçu avant l’annexion dela Crimée par la Russie, le sommaire de ce numéro un est consacré à l’Eurasisme (« Eurasisme, le grand dessein de Poutine »). La revue arrive ainsi à point nommé pouréclairer l’actualité internationale en fournissant des analyses approfondies que lesmédias traditionnels, dans leur grande majorité, ont malheureusement renoncé àproduire, au profit de réactions sentimentales et manichéennes.

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Piloté par l’universitaire Pascal Gauchon, fondateur du festival de géopolitique de Grenoble, lanouvelle revue se propose d’exposer « les faits et les réflexions » permettant au lecteur « decomprendre le monde » où il vit, par le biais d’une géopolitique critique privilégiant « le tempslong » et « les horizons lointains », mais aussi une « géopolitique des réalités » : « Ce n’est pasque nous ne croyions ni au bien ni au mal, mais il n’est pas sain de mélanger les ordres et deconfondre les bons sentiments et la politique », écrit Pascal Gauchon dans un éditorialprogrammatique. « Le véritable sujet d’étude de la géopolitique, c’est l’antagonisme soustoutes ses formes […] ainsi que les équilibres que ces rivalités finissent par générer, et quirestent toujours fragiles », rappelle l’universitaire qui ajoute : « Nos compatriotes ont tendance à oublier cette réalité. Nous sommes là pour la rappeler ». Nul hasard donc au nom donné à larevue.

Polémiques – #Obama, un grand président ? Vous pouvez d’ores et déjà réagir en lignesur le site de la revue : http://t.co/R2a0KqP2zS

— Revue Conflits (@revueconflits) 28 Mars 2014

Le dossier consacré à l’Eurasisme rappelle ainsi que la guerre froide, dont on annonceaujourd’hui la résurgence, ne s’était somme toute jamais interrompue. La politique des États-Unis, « d’une remarquable continuité depuis 1991 » est en effet de tout faire pour isoler laRussie et empêcher l’unité de l’Eurasie, inacceptable pour elle, en faisant entrer dans « lesystème euro-atlantique » les pays de l’ancienne URSS, et en particulier l’Ukraine, et ce, avecle soutien de l’Union européenne. Dès la chute de l’URSS, le politologue américain d’originepolonaise Zbigniev Brzezinski encourageait son pays à isoler la Russie, perçue comme unemenace, et à faire rentrer dans « le système euro-atlantique » les pays de l’ancienne URSS. Endécembre 2012, Hillary Clinton affirmait encore sa volonté de « ralentir ou empêcher » leprocessus d’unification conduit par la Russie, processus qui avait déjà conduit à une uniondouanière entre la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan, effective depuis le 1er janvier 2012.

poutine1.jpgL’Eurasie ne serait alors qu’une réplique à l’atlantisme des États-Unis et de Bruxelles. Un des(nombreux) mérites de ce dossier est de rappeler une vérité que l’on a tendance à oublier : laréalité géographique fondamentale de l’Eurasie est celle de la continuité territoriale (« la grandeplaine d’Europe du Nord se déploie sans rupture sensible de la Flandre à la Moscovie ») ; bref,la Russie est en Europe… contrairement aux États-Unis qu’un océan sépare d’elle. Or, « selonla « loi d’airain » de la distance, nous sommes, par la force des choses, plus solidaires de nosvoisins que du reste du monde ». La stratégie d’expansion atlantiste de l’Union européenne,fondée sur une instrumentalisation des droits de l’homme, témoigne ainsi d’une dépolitisationde l’Union qui va contre ses propres intérêts… mais pas contre ceux des États-Unis qui,profitant de la « lâcheté » (Jacques Attali) de ses dirigeants ectoplasmiques (Van Rompuy etAshton) l’instrumentalise de manière évidente.

Un entretien avec le géographe Yves Lacoste, fondateur de la revue Hérodote et précurseur del’étude de la géopolitique en France ; un article sur le choc des religions en Afrique ; un autresur la géopolitique de l’ordre teutonique, des chroniques, des portraits et des critiques de livreachèvent de rendre cette jeune revue immédiatement indispensable à tous ceux quidésespèrent de voir le monde expliqué par les amuseurs du « Grand Journal » de Canal+,surtout lorsque ces derniers se moquent de la propagande des médias russes après avoirtranquillement servi leur propre propagande atlantiste…

Crédit photo : DR www.revueconflits.com