L’écrivain Luc-Olivier d’Algange est séduit par les enquêtes de Jasmine Catou

Un article de l’écrivain Luc-Olivier d’Algange sur « Les Exploits de Jasmine Catou » de Christian de Moliner

Avec les Exploits de Jasmine Catou, de Christian de Moliner, voici le retour du Sherlock Holmes félin, dont nous avions déjà suivi les aventures dans deux volumes précédents. L’ouvrage ne s’adresse pas seulement aux amateurs de ces énigmes délicieuses que l’observation et la logique dénouent et dont l’inventeur fut le chevalier Dupin des Contes extraordinaires d’Edgar Poe, il s’adresse aussi à ceux qui aiment les chats, les « amoureux fervents et les savants austères » ; encore que les félinolâtres, aussi anciens que les Egyptiens des Pyramides, ne se limitent pas à ces deux catégories baudelairiennes.

Il y eut les chats d’Ultaïr de Lovecraft, peuplant ces contrées du rêve dont on ne revient pas ; il y eut le chat Murr de Hoffmann, qui sans doute inspira Soséki,  et voici que nous avons, grâce au talent de Christian de Moliner, les récits de Jasmine Catou, écrits à la première personne,-  car chacun devrait savoir que dans une maison, ou un appartement, la première personne est toujours le chat, ou la chatte.

Christian de Moliner n’est ici que le transcripteur des pensées de Jasmine Catou . C’est elle qui analyse, qui raconte sa vie, par laquelle nous découvrons, au passage, celle de sa maîtresse, attachée de presse à Saint-Germain des Près. Nous y croisons des écrivains et des éditeurs, plus ou moins recommandables et sommes ainsi initiés à ce microcosme où fermentent les ambitions et les idéaux,  et quelques écheveaux qu’il appartiendra à Jasmine Catou de dénouer.

Quiconque a déjà observé un chat prendre possession d’un lieu n’aura manqué de remarquer la façon dont tout est examiné, aussi bien par l’œil, la patte que par l’odorat. Rien n’échappe à cette attention aiguisée. Le chat, et Christian de Moliner s’en avise avec justesse, est détective par nature. Un autre agrément de ces ouvrages est que l’on y trouve des « personnages à clefs », que nous devinons parfois, mais dont nous nous garderons de divulguer l’identité. Seule, parmi ces personnages de fiction, – car tout personnage dans une nouvelle ou un roman est toujours de fiction, quand bien même il emprunte les traits de tel ou tel contemporain -, est parfaitement réelle et reconnaissable, avec ses beaux yeux verts, Jasmine Catou. J’oserai la paraphrase : « Jasmine Catou existe, je l’ai rencontrée ».

Ajoutons enfin que Christian de Moliner n’est pas seulement l’auteur de ces aventures plaisantes, il est aussi l’auteur d’ouvrages beaucoup plus sérieux sur de brûlantes questions d’actualités qui engagent l’avenir de notre pays et de notre civilisation, et qui eurent, au demeurant, beaucoup plus d’échos à l’étranger qu’en France.

Luc-Olivier d’Algange

Anniversaire de S.O.S. Chrétiens d’Orient samedi 12 septembre, une occasion de rencontrer Anne-Lise Blanchard

Contact presse pour le recevoir / interviewer l’auteure : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85
Chaque année, le 12 septembre, les membres et amis de SOS Chrétiens d’Orient se retrouvent dans l’intimité de l’église Saint-Eugène Sainte-Cécile, à Paris, pour célébrer l’anniversaire de l’association. Il s’agit d’un moment particulier, parmi tous les temps forts qui rythment notre année, qui se distingue du grand rassemblement de l’été ou du dîner de charité de novembre. 
A la joie de se retrouver ou de lancer de nouveaux projets, s’ajoute une ferveur toute particulière. Sans doute est-ce dû à la messe, toujours célébrée par un prêtre de la Fraternité Saint Vincent Ferrier, qui veut bien nous conseiller sur le plan spirituel depuis les débuts de notre aventure. Sans doute aussi parce que l’anniversaire, en tant qu’événement, permet de mesurer le temps qui passe et le travail accompli ; et que la splendeur de la liturgie favorise le recueillement. Nous vivons une illumination de l’âme, avant de rejoindre les festivités plus attendues et charnelles du verre de l’amitié et du buffet froid. 
On y retrouve les collaborateurs, les anciens volontaires, qui repassent par là et que l’on a plaisir à revoir, les amis, comme Charlotte d’Ornellas, l’ancien ministre Thierry Mariani, des éditeurs, des journalistes, d’autres encore, moins connus, mais tout aussi investis…
Par un clin d’oeil de la Providence (on ne se l’explique pas autrement), notre anniversaire coïncide avec la libération du siège de Vienne, en 1683. On se souvient que, durant les combats, les boulangers viennois, qui travaillaient de nuit, avait repéré une tentative d’invasion et donné l’alerte, permettant aux assiégés de repousser les assaillants. En récompense, ils eurent le droit de créer une friandise de pâte feuilletée en forme de croissant, symbole de l’islam, appelée à devenir fameuse. 
Plus tard, une armée chrétienne menée par le roi de Pologne était venue briser l’étau posé par les Ottomans autour de la ville impériale. Les Turcs avaient été obligés de lever le camp dans la précipitation, laissant derrière eux d’abondantes provisions. A cette occasion, l’aumônier de l’armée de secours, le capucin Marco d’Aviano, avait élaboré une recette pour atténuer l’acidité du café trouvé, en le mélangeant avec du miel et une dose de crème. En son honneur, ce breuvage typiquement viennois fut baptisé « cappucino ». 
Chaque année, en dégustant ces deux symboles de liberté après la messe d’anniversaire, nous avons une forte pensée en imaginant les visages, les sourires, le soulagement d’être encore vivants, des habitants  de Vienne libérée. Et nous songeons qu’ils ont sans doute beaucoup en commun, ces sourires et cette joie de vivre, avec ceux des chrétiens d’Orient que nous sommes venus aider, après la libération de Mossoul ou Qaraqosh, en Irak, ou de Alep et Mhardeh, en Syrie. Et plus que jamais, nous nous sentons à notre place.

« Pour accompagner depuis 2014 SOS Chrétiens d’Orient, je me réjouis d’être présente à la soirée d’anniversaire de l’association et particulièrement ce 12 septembre où nous célèbrerons une messe d’actions de grâce pour les réalisations accomplies et le retour de nos collaborateurs sains et saufs.

Vivant loin de Paris, il est exceptionnel que je participe à ces anniversaires qui sont l’occasion de retrouver nos chefs de mission, les anciens et les nouveaux, ainsi que les volontaires qui se sont succédés depuis sept ans. « Carnet de route de l’Oronte à l’Euphrate, les marches de la résurrection » témoigne de l’engagement généreux, dévoué de cette jeunesse, de son enthousiasme, de sa ferveur également.

C’est également, comme cela m’est arrivé il y a deux ans, l’occasion de retrouver quelques Irakiens, Syriens, Libanais rencontrés en mission sur leur terre – ou déjà en exil au Liban ou en Jordanie – au pire moment de la lutte contre daesh ou al-Nosra, rencontres émouvantes que je retrace dans ce livre, et qui poursuivent leur route aux côtés de SOS Chrétiens d’Orient. On y a encore l’heureuse surprise que nous rejoignent ceux qui ont participé à nos voyages.

Enfin, c’est retrouver l’équipe parisienne qui met en musique tout ce monde dans les fabuleux projets conçus et mis en œuvre sur le terrain. Une équipe jeune, efficace, aguerrie dans l’humanitaire, reconnue par les autorités des pays de mission, aimée des populations locales parmi lesquelles se fondent les volontaires et cette affection portée à l’association, « Carnet de route de l’Oronte à l’Euphrate » l’évoque, ne serait-ce que par la préface du patriarche émérite Grégoire III ou l’avant-propos du Père Toufic Eid, curé de Maaloula.

Bref, un anniversaire de SOS Chrétiens d’Orient se déroule comme une fête de famille, quand on se retrouve après une longue séparation ou s’être perdu de vue, que l’on évoque souvenirs, réalisations et projets. »

« Dix questions sur l’Europe post-covidienne – Entre défiance et puissance » de Pierre Ménat

« Dix questions sur l’Europe post-covidienne » Entre défiance et puissance de Pierre Ménat

Parution fin septembre 2020 – L’Harmatten Editions Pepper – 12,50 €

Contact presse pour le recevoir / interviewer l’auteur :

guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Avec la pandémie du Covid 19, l’anxiété du monde s’est encore accrue. Nous aimerions compter sur une Europe qui rassure. Or l’Union européenne est confrontée à la crise la plus grave de son histoire.

Face à ce tsunami, l’Union a révélé ses potentialités, en apportant une réponse monétaire et budgétaire inédite, mais aussi ses faiblesses : la dépendance du continent envers l’extérieur et notamment la Chine fut cruellement soulignée. La crise a accentué un malaise déjà installé.

La nécessaire puisse,ce européenne ne pourra devenir réalité que si les Européens se départissent de leur défiance, qui reste forte envers l’Union.

C’est ce dilemme que ce livre analyse à travers dix questions sur les grands choix européens, de l’euro à l’immigration, des suites du Brexit à l’écologie. Au coeur de tous les débats revient la notion de souveraineté européenne, prérogative exercée à la fois par les Etats, qui en sont les principaux détenteurs, et par l’Union européenne, qui en est attributaire déléguée.

Le modèle institutionnel actuel peut fonctionner, sous réserve d’être amélioré, pour l’économie et la monnaie. Mais ce modèle est inadapté à la politique étrangère et à La Défense, domaines pour lesquels le plan Fauchet présenté par le Général de Gaulle en 1961 pourrait être repris.

Un livre essentiel pour comprendre les choix à faire pour que l’Europe donne enfin la mesure de ses potentialités.

Après France cherche Europe désespérément, Pierre Ménat actualise ici sa réflexion avec le Brexit et à l’heure du Covid. L’auteur, qui a été ambassadeur de France en Roumanie, en Pologne, en Tunisie et aux Pays-Bas, est ancien directeur Europe du Ministère des Affaires étrangères.

« Opération Condor, Un homme face à la terreur en Amérique Latine » (sur Martin ALMADA) un livre de Pablo Daniel MAGEE aux éditions Saint-Simon (parution 1er octobre 2020)

Opération Condor
Un homme face à la terreur en Amérique Latine

Pablo Daniel Magee

Parution : 1er octobre 2020 aux éditions Saint-Simon
Prix : 22,00 €

 Contact presse pour le recevoir / interviewer l’auteur : guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

L’Opération Condor relate l’incroyable épopée du professeur et avocat Martin Almada, depuis son enfance misérable dans les terres arides du Chaco paraguayen des années 1930 jusqu’à sa découverte, en 1992, de cinq tonnes de documents TOP SECRET, les fameuses archives de la Terreur, révélant l’existence d’une des plus grandes conspirations du xxe siècle.

Le plan Condor, déclenché en novembre 1975, instituait un pacte secret de coopération criminelle anticommuniste et contre-révolutionnaire entre les dictatures du Chili, de l’Argentine, du Brésil, de la Bolivie, de l’Uruguay et du Paraguay, avec le concours de la CIA et orchestré par le controversé Henry Kissinger, prix Nobel de la Paix 1973… On estime le nombre de victimes à un demi-million de personnes sur le continent sud-américain.

En 1978, après mille jours de torture dans les geôles paraguayennes du sanguinaire général Stroessner pour « crime de terrorisme intellectuel », Martin Almada réussit son évasion des griffes du Condor vers le Panama, puis vers la France, qui lui accorde l’asile. Pendant dix ans il travaille au sein de l’Unesco et il va, à son tour, traquer le Condor.

Suivant les traces de ce personnage hors du commun et ses rencontres avec le pape François, Stéphane Hessel, Costa-Gavras, Daniel Balavoine ou encore Pierre Rabhi, Pablo Daniel Magee nous plonge au coeur des rouages géopolitiques de cette machination sur fond de Guerre froide.

Après une enquête obstinée menée depuis son exil, Martin Almada est devenu un symbole de la lutte pour la justice. Il est considéré aujourd’hui comme le premier des lanceurs d’alerte. En 1997, Jacques Chirac lui remet la médaille des Droits de l’homme et, en 2002, il reçoit le prix Nobel Alternatif. Pourtant, comme Martin Almada ne cesse de le rappeler au vu des événements actuels en Amérique latine, « Le Condor vole toujours ».

Pablo Daniel Magee, journaliste et écrivain français, est né le 22 avril 1985 à Paris. Il étudie les sciences politiques, la littérature, la philosophie et le journalisme à l’université londonienne de Greenwich. En 2012, il s’installe au Paraguay, où il commence à enquêter sur le Dr Martin Almada et le plan Condor.

N’en fais pas une affaire personnelle, mais brise tout de même l’omerta (sur Actualitté)

https://www.actualitte.com/article/livres/n-en-fais-pas-une-affaire-personnelle-mais-brise-tout-de-meme-l-omerta/102574

N’en fais pas une affaire personnelle, mais brise tout de même l’omerta

La Licorne qui lit – 07.09.2020

LivreN’en fais pas une affaire personnellePaula Marchioni EyrollesRentrée littéraire 2020

ROMAN FRANCOPHONE – Non, ne mentez pas. Comme moi, vous avez un jour craqué pour cette nouvelle crème antirides hors-de-prix, séduite par la promesse de jeunesse éternelle, symbolisée par cette gamine de 24 ans et demi qui doit certainement se nourrir exclusivement de graines, de seitan et d’eau au concombre. Quel talent ces publicitaires. Quelle imagination. Quelle créativité. Mais surtout, combien d’heures passées à trouver la phrase choc, l’image qui claque, la lumière idéale, le tout juste assez sans en faire trop. Combien de propals, de briefs et de debriefs, d’aller-retour…. N’en fais pas une affaire personnelle nous plonge dans l’univers impitoyable de la publicité. Et c’est Bobette, quinquagénaire en fin de carrière, qui nous raconte ce monde.
 

Bobette, surnom qu’elle s’est elle-même donnée en raison de son côté bobo, est nommée à la tête de la Bulle, cellule de Chababada, agence de pub. La Bulle, qui n’est pas loin de sombrer, a pour unique client une grande marque de cosmétique, la NCC, qui ressemble étrangement à celle pour qui vous le valez bien. Bobette, au bénéfice d’une expérience de plusieurs années dans le secteur, entame ce nouveau défi professionnel plutôt confiante. C’est sans compter sur SuperPower, cadre sup qui gère les relations entre la NCC et l’agence.
 
Subtil mélange entre Cruella et Benito Mussolini, SuperPower va faire vivre un véritable enfer à Bobette et son équipe de chatons, manière dont elle appelle affectueusement ses équipes. Jamais contente, carrément méchante, SuperPower. Rythme insoutenable, demandes irréalisables, messages contradictoires, toujours plus de glowy mais pas trop, « allez on retravaille cette noix de coco » …
 
Entre dépressions, burnouts et démissions, Bobette tente de maintenir le cap et d’avertir sa hiérarchie des comportements toxiques et autoritaires de SuperPower. Rien n’y fait. Bobette, elle aussi n’est pas loin de craquer. Heureusement, elle a Nounours, son compagnon ; puis, sa coach, Coralie, son Psychiatre préféré, et sa passion pour l’écriture, autant de garde-fous qui lui permettent de garder la tête hors de l’eau. Tous comme le souvenir de son papa adoré récemment décédé, qui avait le don de lui remettre les pieds sur terre.L’auteur ne s’en cache pas : N’en fais pas une affaire personnelle est un roman largement inspiré de son vécu, qui réussit à dénoncer, avec humour et tendresse, les incohérences et la violence d’un système qui broie les volontés, détruit les espoirs et annihile l’enthousiasme. Car au fond, le lecteur n’est pas dupe. Il connaît les conditions de travail imposées dans les domaines de la communication et de la pub. Et pas que d’ailleurs. Tous les milieux professionnels peuvent être les victimes de modes de management pervers, qui ont pour seul but de dénigrer et soumettre.
 

Toutefois, avec ce roman, Paula Marchioni ose briser l’omerta. Alors bien sûr, il y a ceux qui maltraitent et qui harcèlent ; mais il y a aussi ceux qui acceptent de se faire maltraiter et se faire harceler. Il y a ceux qui ont le pouvoir et les leviers financiers et il y a ceux qui n’ont d’autre choix que de trimer, peu importe les insultes et les maltraitances. Reflet d’un monde qui tend à placer le profit avant le bien-être, qui tend à sacrifier l’humain au nom de la rentabilité, la Bulle est le symbole de notre société ultra-consumériste, embrumée par des odeurs chimiques, des sons artificiels et des images photoshopées.
 
Paula Marchioni, en toute bonne publicitaire, vend très bien son histoire. Ecriture précise et cynique, elle tape pile dans le mille. C’est drôle, c’est efficace et, sous cette couche de paillettes dorées, on s’attache à Bobette, qui malgré toutes ses bonnes intentions et sa détermination à sauver le navire, n’arrive pas à dire franchement merde à cette vie qui l’use et continuera à l’user…
 
Le roman oscille entre descriptions très réalistes de situations que nous avons tous vécues et caricatures, comme en témoignent les noms des personnages et des campagnes publicitaires. Comme si grossir le trait aidait à réduire un peu la force des coups assénés. Pas si sûr…

Paula Marchioni – N’en fais pas une affaire personnelle – Eyrolles – 9782212573251 – 16 €

L’essentiel sur la nouvelle Chasse au Trésor lancée par les Editions de la Chouette d’or en 2021 pour chercher le coffret de l’Entente cordiale des deux côtés de la Manche

Des liens vous permettant d’approfondir (savoir ce qu’est le conte des Etrei, comment est le trésor en tant qu’objet d’art et son histoire racontée par Stephen Clarke) se cachent sous les mots de ce texte : il suffit de cliquer dessus.

Pour en savoir davantage, merci de contacter guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Le récit dévoilé d’une rencontre improbable.

La quête fictive d’un coffret bien réel.

Le début d’une chasse au trésor.

Découvrez dans ce livre une histoire aux multiples facettes. L’histoire de deux hommes, Édouard VII et Émile Loubet, qui ont scellé l’Entente Cordiale en 1904 alors que tout les opposait. L’histoire d’un trésor né de ce pacte étrange, puis oublié durant cent ans : le coffret d’or. L’histoire inspirée de ce symbole de paix, chasse au trésor sous forme d’énigmes pour exhumer la merveille perdue.

Cadeau remis à la France par l’Angleterre, fait d’or, d’émaux et de gemmes, le trésor d’Édouard VII reviendra à qui saura retrouver les quatre fragments de la géode : seule la réunion de ces éléments permettra d’actionner la clef déverrouillant l’écrin de cristal. Il faudra pour cela chercher de chaque côté de la Manche et creuser tant le sol français que le sol anglais.

Voulu par le Roi d’Angleterre, offert au Président de la République française, c’est entre vos mains que doit revenir ce trésor historique.

Des anecdotes inédites rapportées par Stephen Clarke et un conte magnifiquement illustré par Michel Becker agrémenteront votre quête.

Ces récits distrayants seront, peut-être, autant d’indices pour vous aider à résoudre les énigmes conduisant au coffret d’or.

Les trésors ne sont pas là pour rien. Ils portent en eux l’ADN du mystère, le gène de la convoitise et le prestige du symbole. Les uns les cherchent, d’autres les dissimulent ; certains les trouvent. 

 

Le principe de la nouvelle Chasse au Trésor lancée par les Editions de la Chouette d’or en 2021  pour chercher le coffret de l’Entente cordiale des deux côtés de la Manche :

Comment trouver le trésor ?

Cette chasse au trésor a été conçue afin de permettre à tout un chacun de pouvoir y participer. Certaines énigmes sont faciles, voire très faciles ; d’autres demandent sagacité et recherches approfondies. Les nouveaux chercheurs pourront ainsi facilement prendre cette chasse au trésor en main et progresser dans la résolution d’énigmes, jusqu’à peut-être trouver l’emplacement du trésor. Les joueurs plus expérimentés surferont quant à eux facilement sur les premières énigmes avant d’être ralentis par leur difficulté croissante, voire abrupte.

Il ne s’agit pas d’une chasse au trésor facile.

Afin d’en venir à bout, il faudra de la ténacité : un trésor n’est accessible qu’aux courageux.

Trois éléments vous seront nécessaires pour réussir :

  • Ce livre. Celui-ci comporte 9 énigmes. Chacune de ces énigmes est composée d’un tableau et d’un texte indicatif qui est caché dans le conte des Edrei. La première chose à faire est de reconstituer ce texte indicatif, puis de résoudre les cryptages qui permettent de le compléter et d’enfin interpréter leurs indications. Un « x » isolé ou un « _ » dans un texte indicatif indiquent qu’il manque une partie qu’il vous faut compléter. Les énigmes sont classées dans l’ordre.
  • La carte au trésor. Elle comporte des secrets de votre résolution et constituera un véritable outil dans votre enquête. Il peut arriver que la carte vous indique un lieu sur lequel vous devrez zoomer ou faire des recherches. Inutile d’aller sur place pour obtenir des indications complémentaires : tout se trouve sur internet ou dans de bonnes encyclopédies.
  • Le carnet de l’aventurier. Celui-ci comporte des énigmes qui vous permettent d’ajouter des précisions sur des étapes bien précises de la chasse ; à vous de trouver lesquelles.

Un papier et un crayon suffiront à découvrir certaines solutions. Pour d’autres, il vous faudra faire des recherches complémentaires : comme évoqué plus haut, internet sera un allié précieux pour trouver les informations dont vous avez besoin sans quitter votre fauteuil.

S’il faut de l’astuce et de l’ingéniosité pour arriver à bout des énigmes, c’est surtout votre persévérance qui, en vous poussant à continuer là où d’autres s‘arrêtent, vous permettra de remporter le trésor !

Bonne chasse à tous,

  1. Becker & V. Bianca

Le coffret de l’Entente cordiale qui est le Trésor de la Chasse de 2021 :

 

« Le Trésor des Edrei », un conte de Pauline Deysson dans lequel sont glissées les énigmes de la nouvelle Chasse

Le Trésor des Edrei

Écrit dans le cadre du projet de la Chasse au Trésor de l’Entente cordiale, Le Trésor des Edrei réunit beaucoup de premières fois. Premier texte publié par Pauline Deysson en dehors de sa saga La Bibliothèque, premier récit édité à compte d’éditeur, première histoire créée avec des éléments imposés, il condense les thèmes chers à l’auteur dans une forme courte, à la croisée du conte et du mythe.

Dans ce récit qui réinvente l’origine des hommes, Pauline Deysson a imaginé un peuple des nuages, les Edrei, scindé en deux tribus opposées: les Albes et les Phryges. Doués du pouvoir de métamorphose, ils se livrent sur Terre une guerre sans fin. Leur rivalité exacerbée finit par rompre l’équilibre cosmique entre la Déesse créatrice et le Dieu destructeur. Le monde qu’ils connaissent disparaît peu à peu : obéissant aux injonctions de leur Déesse, ils envoient chacun trois émissaires sur un mystérieux chemin de lierre à travers les nuages, au bout duquel se trouve le trésor censé les sauver.

Le Trésor des Edrei raconte la beauté d’une Terre fragile, la magie d’un mystère durable et la quête d’un trésor éternel. Aux spécificités exigées par la Chasse au Trésor, Pauline Deysson a ajouté des idées inspirées par son travail autour de La Bibliothèque. Elle guide ainsi ses lecteurs sur le chemin d’un quotidien réenchanté, où la volonté toute‐puissante devient le secret de la réussite et du bonheur.

L’auteur : Pauline Deysson 

Après des études à la croisée des domaines scientifique et littéraire, Pauline Deysson est documentaliste numérique dans une banque le jour et auteur la nuit. Grande lectrice de longue date, elle lit couramment en français, anglais, espagnol et allemand. Ayant arpentéHarry Potter en hollandais et en latin (elle se réserve pour plus tard l’italien et le roumain), elle apprécie tous les bons auteurs, de Tolkien à Tocqueville en passant par Stefan Zweig, Edgar Poe et Ray Bradbury. Elle écrit son premier conte à 9 ans et en invente depuis régulièrement pour sa famille : Le Trésor des Edrei s’inscrit ainsi dans une passion de longue date. Après huit ans de travail, elle publie en 2016 Grandir, premier roman d’une saga qui doit en compter cinq : La Bibliothèque. La suite, Vivre, est sortie en 2018 et le tome 3, Aimer, va paraître en 2020. Cette série tous publics mêlant fantasy, dystopie et conte philosophique s’achèvera avec Mourir et Rêver, et aborde des thèmes chers à l’auteur qui se retrouvent dans Le Trésor des Edrei.

http://www.paulinedeysson.com

Le coffret de l’Entente cordiale (c’est le Trésor de la Chasse lancée en 2021 par les Editions de la Chouette d’or)

Description

Coffret en or jaune, en forme de piédestal. Le couvercle est surmonté d’une allégorie de la Paix couronnant de lauriers la France  et l’Angleterre. Décor ciselé de frises de guirlandes retenues par des rubans sur le couvercle, et de trophées militaires sur les côtés de la base. Celle-ci est également ornée de quatre petites plaques de porcelaine peintes représentant le London Bridge, la cathédrale Saint-Paul, le palais de Westminster et le Royal Opera House. Au centre, le blason (d’argent à la croix de gueules cantonnée au premier quartier d’une épée du même, entre deux griffons. Timbré d’un heaume d’acier à grille d’or, tortil et lambrequins d’argent et de gueules. Aux supports, deux dragons d’argent affrontés, allumés et lampassés de gueules, les ailes chargées d’une croix de gueules) et la devise de Londres (Domine Dirige Nos : Dieu nous guide) émaillés et au dos, dans un cartouche, la dédicace de la ville de Londres adressée au Président Loubet.

Le coffret repose sur quatre pieds feuillagés se terminant en volutes, dont deux retiennent les drapeaux émaillés croisés de la France et du Royaume-Uni appliqués des initiales d’Émile Loubet d’un côté émaillées et de l’autre serties de diamants.

L’intérieur tapissé de bouillonné de satin crème recèle un rouleau en manière d’enluminure d’une dédicace emphatique et détaillée des relations franco-anglaises, rédigées à Guildhall le 7 juillet 1903.

Signé sur le rebord du couvercle et poinçons de maître.

Dimensions : 30 x 21 x 20 cm environ.

Poids brut : 1 485,2 g (18K – 750/1000).

An 18K gold, enamel and diamond casket. It represents four views of London and differents symbols of the French Republic and United Kingdom. It was offered by the City of London to President Emile Loubet, during his visit in July 1903.

 

Historique :

En 1903, dans un contexte de rapprochement diplomatique, appelé « Entente Cordiale », la France et le Royaume-Uni multiplient les visites diplomatiques. Après un séjour à Paris en mai 1903 du roi Edouard VII, au mois de juillet c’est au président Emile Loubet de se rendre à Londres. A cette occasion, il reçoit ce coffret orné de tous les

symboles d’amitié franco-anglais pour manifester ce rapprochement.

Une illustration du Petit Journal en date du 12 juillet 1903 représente ce moment et relate le déroulé des manifestations de cette journée.

Ce genre de cadeau est une tradition de la ville de Londres. Le sultan de Turquie Abd’ul Aziz j’ai (1830-1876) en reçu un en 1867 en l’honneur de la première visite d’un sultan de Turquie en Europe. Plus tard, en 1909, nous trouvons la trace d’un autre coffret offert à la reine Victoria, aujourd’hui conservé au Victoria and Albert Museum, à l’occasion de la sa visite dans un nouvel arrondissement londonien.

Enfin en 1930, le premier ministre canadien Bennett se vit également offrir un coffret de la maison Goldsmiths & Silversmiths Co en marge de négociations économiques. Il est aujourd’hui conservé au musée du Nouveau-Brunswick.


Provenance :

Ce coffret a été transmis de génération en génération chez les héritiers du président Loubet jusqu’à ces dernières années.

 

Les photos de la clef et de son anneau destinés à recevoir la  géode. (chasse au trésor 2021)

Les photos de la clef et de son anneau destinés à recevoir la  géode.

La moitié de cette  géode est enterrée, une en France et une autre au Royaume-Uni.

Il faut donc les réunir pour pouvoir reconstituer la clef afin qu’elle devienne opérationnelle et permette d’entrer en possession du trésor. Cette clef sera exposée au Lingot d’Art en attendant de recevoir la géode. 

 

« Un tourbillon inversé », le second roman de Bruno Salazard qui complète « L’Eternité et deux mains »

Un tourbillon inversé

       de Bruno Salazard

Parution Librinova août 2020

Pour le recevoir en service de presse / interviewer l’auteur, contact guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

Un soir, en rentrant du travail, Samuel découvre que son fils a disparu de la maison d’Ardèche. Il soupçonne rapidement sa compagne, qui souffre de troubles psychologiques. Avec l’aide de Christian, un ami fidèle, Samuel part à la recherche de son petit garçon. 

Sur leur route, ils font la rencontre de Johnny, Marie-Philomène ou encore Charles, des personnages hauts en couleur, à l’existence cabossée. Touchés par la quête de Samuel, ceux-ci décident de l’aider à retrouver le petit Alexandre. Ensemble, ils traversent la France, de Marseille à Dunkerque, sur les traces de l’enfant.

Bruno Salazard nous plonge dans un roman sensible et poignant sur la famille, la paternité et l’amitié.

« L’Éternité et deux mains », un premier roman de Bruno Salazard

L’Éternité et deux mains

       de Bruno Salazard

Parution Librinova juillet 2020

Pour le recevoir en service de presse / interviewer l’auteur, contact guilaine_depis@yahoo.com 06 84 36 31 85

En 2023, à New York, Alexandre naît sans mains. Les docteurs Jefferson, pédiatre expérimenté, et Kogino, chirurgien de la main, décident d’équiper le nouveau-né de prothèses myoélectriques intelligentes reliées à son cerveau.

Malgré cette prouesse médicale, Jefferson se questionne sur l’existence de cet enfant. Pour quelles raisons Alexandre semble-t-il si concerné par son absence de mains, alors qu’il vient à peine de naître ?

Les recherches du pédiatre lui révèlent que la vie d’Alexandre a débuté trente millénaires plus tôt et qu’il renaît éternellement… De la grotte de Maltraviesco, en passant par l’apprentissage des hiéroglyphes et les métiers manuels, Alexandre a toujours fait de l’usage de ses mains le centre de sa vie. De quoi sera faite sa nouvelle destinée ?

Plongez dans L’Éternité et deux mainsun roman intemporel qui nous transporte de siècle en siècle sur les traces d’un homme aux vies multiples.