Les Conquérants d’Aton – Tome 2 : Aÿ, le Pharaon Sans Couronne – un roman de Philip KAYNE

Vient de paraître le 15 juillet 2019

Les conquérants d’Aton – Tome 2 : Aÿ, le Pharaon Sans Couronne

Roman

Pour le recevoir en service de presse et/ou interviewer l’auteur Philip KAYNE, merci de contacter Guilaine Depis 06 84 36 31 85 * guilaine_depis@yahoo.com

Bien des récits mythiques recèlent des vérités, cachées à l’intérieur des mots, des noms, à travers des personnages ou des situations.
Derrière ces fameux mots, noms illustres ou situations rocambolesques se cachent aussi des personnes faites de chair et de sang. Ces personnages, que l’on juge aujourd’hui mythiques, ont connu tout ce qui fait l’existence humaine, ses moments de joie ou de peine, de gloire ou de chute.

Avec l’aide précieuse d’égyptologues de renom tels que Christiane Desroches Noblecourt, le professeur Joseph Davidovits ou Estelle Villeneuve mais aussi des archéologues comme Israël Finkelstein ou des chercheurs linguistes tels Roger et Messod Sabbah, l’auteur tente de dégager une approche différente des grands mythes, accessible au plus grand nombre.

Un roman fascinant qui mêle légende, Histoire et croyances.

Code ISBN 979-10-203-1361-4 – Format : 15 x 21 cm – 406 pages – Prix de vente public : 22,00 €

Au fil des pages…

 Râ n’a pas encore donné naissance au jour nou- veau.

Juché sur son char, Aÿ observe les premières lueurs qui émergent d’Akhet-Aton. Ce sont celles des boulangers. Avec leur dextérité, ils s’affairent à la première fournée pour le Grand temple d’Aton. Tout est paisible et serein. On dirait l’un de ces matins calmes où tout n’est que promesses et bonheurs à venir. Pourtant, contrairement aux autres jours, à tous les autres jours depuis plus de douze années, les pains sacrés n’auront pas le temps de lever. À présent, le temps presse.

Derrière lui, Aÿ entend des bruits assourdis où se mêlent couinements mats et cliquetis. Il ne s’en émeut pas ; c’est Paramessou accompagné de

Paatonheb. Tous deux viennent le rejoindre avec les officiers de leur suite. Paramessou se porte à sa hauteur, sans qu’Aÿ ne lui prête attention.

— On n’y voit goutte ! lui lance Paramessou, allongeant le cou.

La mine impassible, Aÿ lui précise qu’il n’a nul besoin de Râ, lumière du Très-Haut, pour imaginer la magnifique cité qui s’étale devant eux. Il la connaît par coeur, l’a aimée avec passion cette Cité de l’Horizon d’Aton, telle qu’on la dénommait, avec ses temples et l’or de ses palais, ses jardins luxuriants qui s’étendaient à perte de vue, sa joie de vivre. Tout y était ravissement et beauté ! Le Pharaon Akhenaton, son roi, presque son fils, l’avait voulu ainsi avec Néfertiti, sa chère fille.

Quatrième de couverture

Tout commence par une tentative d’assassinat à l’encontre du Pharaon Sémenkharâ. Le danger et la corruption sont partout depuis la disparition de son père, le Pharaon Akhenaton. Dénommé l’Hérétique par ses opposants, ce dernier était l’intransigeant souverain qui, sous l’égide d’Aton le Vrai, avait relégué les anciennes divinités au rôle de figurants. La guerre des clans reprend de plus belle et seul le Divin père Aÿ, celui que l’on nomme AtonAÿ, en mesure toute l’étendue. Aux menaces de l’intérieur ourdies par les tenants du dieu Amon, viendront s’ajouter celles des ennemis extérieurs de l’Égypte, avec les Hittites et leurs alliés.

Aÿ possède une alliée de poids, sa petite-fille, Méritaton, ambitieuse et décidée, qui est aussi l’épouse-sœur de Sémenkharâ. La rencontre amoureuse que fera la jeune reine avec le général Paatonheb la confortera encore dans son idée d’épauler Aÿ.

Dans ce conflit où l’un jure la perte de l’autre, tous les coups sont permis et les tragédies personnelles vont s’enchaîner. Aÿ verra sa famille endeuillée, le laissant un temps déconcerté et amer. Mais l’atteinte la plus inattendue viendra de la trahison dans ses propres rangs, parmi le clergé d’Aton. Alors que l’héritage d’Akhenaton semble voué à disparaître à tout jamais, Aÿ va tenter une ultime manœuvre : convaincre Pharaon de chasser hors d’Égypte les agitateurs de tous bords.

Philip KAYNE

Auteur résidant à : Antibes, Alpes-Maritimes

Guidé par le savoir d’éminents égyptologues, archéologues et linguistes de renom, Philip Kayne nous livre sa propre intuition de chercheur des civilisations anciennes et, en particulier, la civilisation pharaonique, celle qui a édifié la grande pyramide et la plus vaste société organisée de son temps. Mais Philip Kayne n’oublie pas que ce sont les hommes et les circonstances qui font l’Histoire !

Nourri de lettres classiques (latin, grec), sa passion pour l’égyptologie a grandi lors de ses trois années à l’ULB (université libre de Bruxelles) où il a étudié en tant qu’auditeur libre. Son appétence pour l’écriture et la recherche l’a naturellement porté vers la littérature et il est devenu ce que l’on appelle communément « un nègre d’Écriture ».

Sa saga « Les Conquérants d’Aton » trouve naturellement sa source dans ses propres découvertes de chercheur en égyptologie, mais également dans ses nombreux voyages en Égypte et dans ses multiples rencontres avec de prestigieux Égyptologues, archéologues ou linguistes.

 

 

Les conquérants d’Aton – Tome I : La part de vérité – un roman de Philip KAYNE

Vient de paraître le 15 juillet 2019

Les conquérants d’Aton – Tome I : La part de vérité

Roman

Pour le recevoir en service de presse et/ou interviewer l’auteur Philip KAYNE, merci de contacter Guilaine Depis 06 84 36 31 85 * guilaine_depis@yahoo.com

La XVIIIe dynastie représente sans doute la quintessence de la civilisation pharaonique, celle qui a édifié la grande pyramide, de la plus vaste société organisée de son temps. D’un point de vue politique, les souverains hors normes se succèdent. Dans leur lignée viennent s’ajouter, dans un registre très différent, Akhenaton et Néfertiti.

En ces temps ancestraux, le sacré imprégnait tous les aspects de la vie. C’est dans ce contexte sensible qu’Akhenaton et Néfertiti vont inaugurer une voie novatrice, épurée, très en avance sur les croyances embrouillées de leur temps. Pour Akhenaton et Néfertiti, une ultime gageure, auquel le destin semble les pousser : répandre le culte de l’Unique, Aton le vrai. Akhenaton et Néfertiti seraient-ils les vrais précurseurs, les initiateurs du monothéisme qui fleurira plus tard et sous d’autres cieux ?

Code ISBN 979-10-203-1362-1 – Format : 15 x 21 cm – 430 pages – Prix de vente public : 22,00 €

Au fil des pages…

En ces temps reculés, le sacré imprégnait la vie quotidienne des Égyptiens, habitués à s’en remettre aux divinités ancestrales. C’est dans ce contexte que l’aventure d’Aton le Vrai a débuté avec le Pharaon Akhenaton et l’inoubliable Néfertiti. Ensemble, ils vont tout bouleverser. À une Égypte immobile, confinée dans des traditions superstitieuses et idolâtres, savamment entretenue par la caste des Prêtres qui confisquaient la foi à des fins de pouvoir, d’enrichissement, le couple solaire leur opposera une conception inédite et universelle : le soleil d’Aton brille pour tous, sans restriction aucune ! Pourtant, avant de reconstruire une nouvelle spiritualité il fallait d’abord réduire à néant les anciennes croyances, à commencer par les images de ces dieux innombrables, façonnées de main d’homme et qui lui ressemblaient trop dans leur comportement pour lui être vraiment supérieur. Une vraie révolution ! Mais comment le peuple allait-il vivre un changement aussi radical dans ses coutumes religieuses ? A dire vrai, l’Égyptien de base, habitué depuis des millénaires à l’enchevêtrement des dieux et des déesses qui veillaient à travers des rites magiques à chaque besoin de la vie, devait être perplexe devant l’abstraction du dieu unique (…).

Quatrième de couverture

Nous sommes en 1358 avant J-C. Le quatrième Amenhotep, futur Akhenaton, ceint la double Couronne dans la cité de Thèbes. Aux côtés du nouveau Pharaon se tient non seulement sa mère, la reine Tiy, qui l’a initié au culte d’Aton l’Unique, le Vrai, mais aussi et surtout la divine Néfertiti, son épouse, qu’il appelle Sahrâ dans l’intimité. Un couple de légende est né, mais personne ou presque ne s’en est aperçu. Akhenaton, iconoclaste convaincu, veut bouleverser les codes, renverser les barrières qu’on tente de lui imposer. Néfertiti, elle, soutient son époux, démontrant qu’au-delà des apparences, sa beauté cache un cœur vaillant et un esprit bien fait. Dans ce combat partagé, elle deviendra son égale.

Pour les tenants des divinités traditionnelles, la situation vire au cauchemar. Pharaon remet en cause leur pouvoir, et, pire encore, porte atteinte à leurs immenses richesses. La lutte des clans entre les Anciens et les Modernes aboutira à un combat sans merci qu’Aânen, Grand prêtre d’Amon, mènera contre le couple royal. Même Kya, l’épouse seconde d’Akhenaton, va prendre parti contre lui ; sans doute pense-t-elle que la couronne siérait mieux à son fils, Sememkharâ. Devant tant d’empêchements, Akhenaton et Néfertiti vont-ils renoncer ? Se renier soi-même est inconcevable pour le couple solaire qui veut accomplir jusqu’au bout le destin inouï qu’il s’est choisi. Main dans la main, Akhenaton et Néfertiti vont s’y engager avec d’autant plus de résolution que le chemin emprunté est sans retour.

« …Je me suis attaché à rendre une image non- conventionnelle et crédible d’un couple, si moderne dans son attitude de révolte face à la raideur des traditions, aux stéréotypes de toutes espèces… »

Philip KAYNE

Auteur résidant à : Antibes, Alpes-Maritimes

Guidé par le savoir d’éminents égyptologues, archéologues et linguistes de renom, Philip Kayne nous livre sa propre intuition de chercheur des civilisations anciennes et, en particulier, la civilisation pharaonique, celle qui a édifié la grande pyramide et la plus vaste société organisée de son temps. Mais Philip Kayne n’oublie pas que ce sont les hommes et les circonstances qui font l’Histoire !

Nourri de lettres classiques (latin, grec), sa passion pour l’égyptologie a grandi lors de ses trois années à l’ULB (université libre de Bruxelles) où il a étudié en tant qu’auditeur libre. Son appétence pour l’écriture et la recherche l’a naturellement porté vers la littérature et il est devenu ce que l’on appelle communément « un nègre d’Écriture ».

Sa saga « Les Conquérants d’Aton » trouve naturellement sa source dans ses propres découvertes de chercheur en égyptologie, mais également dans ses nombreux voyages en Égypte et dans ses multiples rencontres avec de prestigieux Égyptologues, archéologues ou linguistes.